Chapitre 34 - Marielle

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Oh mon dieu dans quel état il m’a mise !!! Ma culotte est toute mouillée et je n’en ai pas de rechange. Je vais rapidement et discrètement au vestiaire où y a des douches et vais me nettoyer. Mes cheveux sont salis du sperme de Mick’ et je n’arrive pas encore à croire ce qu’il vient de m’arriver. C’était tellement bon, tellement excitant de me retrouver coincé avec Mick’. Et puis ce cadeau…Oh mon dieu je n’arrive pas à croire ce que je viens de faire. Au fur et à mesure que l’eau et le savon me lavent, mes remords arrivent et je m’effondre en larmes.

A partir de quand c’est tromper Ju’ ?

Oh merde t’as couché avec Mick’ !

Non. Je sais plus où j’en suis.

T’es où ?

Dans les douches.

J’arrive !!!

Tu pourrais me passer une de tes culottes de rechange stp ?

Je sais que Julie a toujours des fringues de rechange. Je tremble encore de l’effet du cadeau de Mick’. Je n’aurais pas pensé qu’un sextoy puisse me faire jouir si vite et si fort. Mais je ne peux pas le nier, il m’a fait vraiment du bien, même si mon clitoris est toujours sous le choc.

- Marielle t’es où !!! Dit Julie affolée

- Là.

- Ouvre.

Alors que j’ouvre elle me regarde comme si elle cherchait quelque chose.

- Il t’a violé c’est ça ? Me lance-t-elle

- Quoi !!! Mais non !!!

- Pourquoi tu prends une douche Marielle ? Et cette histoire de culotte ? Dis-moi la vérité !

- Il m’a offert un cadeau de Noël. Dis-je en lui montrant mon sac.

Elle va voir et découvre l’objet du délit et me regarde.

- Un womanizer ? Il t’a offert un… womanizer.

- J’ai sali ma culotte et …il a jouit dans mes cheveux. J’ai grave merdé Ju’.

- Oh putain tu m’as fait peur Marie !!! J’ai cru qu’il t’avait violé ou un truc grave du genre.

- C’est grave !!! J’ai trompé Brian, Julie.

- Bah t’offrir un womanizer c’est pas non plus interdit, j’aurais très bien pu te l’offrir. Et quant à jouir dans tes cheveux, bon bah c’est lui qui s’est fait plaisir comme il aurait pu le faire avec une culotte qu’il aurait empruntée. C’est pas toi qui l’a branlé ou sucé, tu vois donc c’est pas vraiment une volonté de ta part.

- J’en avais envie.

- Euh j’ai envie de me faire baiser sauvagement par José Loutmord et je suis pourtant fidèle.

José Loutmord est le nouvel acteur de la série « harcèlement » qui fait un tabac sur Netflix. C’est vrai qu’il est canon, en plus de jouer le rôle du harceleur psychopathe.

- C’est lui qui a mis mon cadeau dans ma culotte. Dis-je en pleurant

- Bah il t’a fait un tuto. Relaxe Marie, vous n’avez pas couché ensemble…si ?

- Non !!!

- Bon bah voilà, tu as eu un super cadeau, le dernier de la gamme en plus, chanceuse !

- Tu parles.

- Eh, au moins tu vas jouir maintenant.

Lorsqu’elle me dit ça, j’ai comme une révélation.

- C’est toi qui lui a dit que je jouissais pas avec Brian !!!

- Quoi ? Mais non !!!

- T’en as parlé à Jack ?

- Euh…ouais possible, merde ! C’est pour ça qu’il t’a fait ce cadeau alors ?

- Connaissant Mick’ ouais surement.

- Bon bah dis moi merci alors.

- T’es con.

Elle a finit par me rendre le sourire.

- Putain qu’est ce que je vais dire à Brian maintenant.

- Dis rien. T’as rien à lui dire Marie, tu te fais jouir avec un sextoy comme la plupart des femmes, c’est tout. Tente de passer des bonnes vacances et oublie tout ça.

Elle a probablement raison, je préfère ne rien dire. Surtout qu’on va passer Noël ensemble avec Brian, sa famille m’a invité et comme ma mère sera pas seule pour gérer les jumeaux car elle a son nouveau copain, j’ai accepté la proposition. La famille de Brian est adorable et très accueillante. Brian à ce sourire scotché dès qu’il me regarde, il a beau m’aimer, moi j’y arrive pas. Aucun papillon dans le ventre, pas la petite décharge dans mon cœur, putain rien. Comment on peut déclencher ça ? Comment on fait pour tomber amoureuse ? Faut aimer me rappelle le cours de Mr Zacaro. C’est décidé je veux aimer Brian, comme ça, je ne penserai plus à Mick’, il me fera plus d’effet et je pourrais vivre ma relation pleinement. Les bras de Brian s’enroulent autour de ma taille et il pose un baiser dans mes cheveux. Ca rendrait dingue Mick’ s’il voyait ça. Pourquoi je pense encore à lui ! Mais qu’il sorte de ma tête !

- Bouge pas j’ai quelque chose pour toi. Me chuchote Brian.

Un sextoy ? Non Brian ne m’offrirai pas ça.

- Joyeux Noël ma douce. Me dit Brian en m’offrant son cadeau.

Je défais le papier et découvre un écrin. Lorsque je l’ouvre, j’ai un bracelet scintillant qui vient s’accrocher à mon poignet.

- Merci beaucoup. Dis-je en lui donnant un baiser.

Il défait à son tour son cadeau. Je lui ai offert un coffret de deux stylos à son nom.

- J’adore. Merci beaucoup.

On s’embrasse puis on va s’installer à table auprès des membres de sa famille. Alors qu’on est au plat principal, mon téléphone n’arrête pas de vibrer. Je m’excuse et vais voir qui me harcèle comme ça.

Mick’ a pété les plombs, c’est la merde Marie, stp débarque à l’hôtel des 4 champs, chambre 203 stp.Ca urg’ !

Mon cœur a du rater quelques battements car j’ai comme la tête qui tourne.

- Je…je suis désolée mais j’ai un souci à régler, je ne vais pas pouvoir rester. Dis-je aux convives.

- Oh mince Marielle, j’espère que ce n’est pas trop grave. Dit la mère de Brian compréhensive.

Brian saute sur ses pieds et vient près de moi.

- Qu’est ce qui se passe ?

- Julie a un problème, je dois y aller. Dis-je en chuchotant.

- Attend là, tu vas me planter pour ta copine ? Mais elle a un mec et une famille Marie.

- Je suis sa meilleure amie Brian.

- Et alors ? Merde Marie c’est Noël là !

- Je sais, je suis désolée. Je t’appelle. Dis-je en lui posant une bise.

Je prends mon sac et vais à l’adresse que m’a donné Julie. Je frappe à la porte et Julie m’ouvre.

- Il a envoyé un message à Jack en disant qu’il en avait plus rien à foutre de sa promesse, qu’il allait en finir et on a tenté de lui parler, il veut rien entendre. Dit-elle alors que Mick’ est assis sur un canapé devant une table basse où de la drogue chauffe.

Mon cœur se tape une accélération et je me dirige vers Mick’.

- Mick’, qu’est ce qui se passe ! Pourquoi tu veux faire ça ?

- Qu’est ce que tu fous là toi. Retourne auprès ton mec ! Crache-t-il.

- Je ne veux pas que tu brises ta promesse Mick’.

- Je m’en tape de ma promesse, dégage.

Je regarde Jack avec une entaille au niveau de la pommette qui observe Mick’ d’un air mauvais. Je regarde les mains de Mick’ et une est marquée.

- Vous vous êtes battu !

- Non il m’a frappé, nuance. Dit Jack’ en lançant un regard noir à Mick’

- Fallait pas me faire chier ! Réplique Mick’

- Désolé de ne pas vouloir voir mon meilleur pote crever !

- Va te faire foutre.

- Fais pas ça Mick’ stp, fais pas ça. Dis-moi ce qui ne va pas. Dis-je pour le ramener à la raison.

Il ne dit rien, plongé dans ce qui est en train de fondre. Je ne connais pas la quantité mais ça paraît énorme vu la taille de la seringue. Je m’accroupis près de lui et tente de capter son regard.

- Mick’ regarde-moi stp. Dis-je d’une voix douce.

Celui-ci se pose sur mon bracelet et Mick’ s’empare de mon poignet.

- C’est quoi ça !

Et merde le bracelet de Brian.

- Il vient de me l’offrir.

- Génial, il compte t’offrir une alliance à la St Valentin aussi.

- T’es jaloux ? Dis-je étonnée que ça le touche à ce point là.

- Pfff je m’en tape, de toute façon je vais briser notre promesse, t’auras plus de raison de tenir la tienne.

- Je compte la tenir ma promesse Mick’.

- Bah pas moi.

Je veux pas qu’il replonge alors j’agis et le pousse contre le dossier du canapé et l’enjambe. Pardon Brian.

- Tu crois vraiment que de te baiser m’empêcherai de me camer ?

- J’espère être meilleure que de la drogue ouais.

- Bah tu te goure, dégage ! Dit-il en me poussant par terre.

Il n’a jamais été violent envers moi et je sais qu’il ne se le pardonnerait pas si ça arrivait. Alors je joue ma dernière carte et me met à crier.

- Ah putain t’es malade !!! Mon poignet !!! Dis-je en me tenant le poignet

- Arrête, je t’ai à peine touché.

Je joue la comédie et mon corps suit mon plan car je me mets à pleurer.

- J’ai mal.

- Putain merde fait chier ! Montre-moi ça. Me dit Mick’ qui vient de sauter du canapé pour me rejoindre.

Parfait. Il regarde mon poignet et je fais genre qu’il me fait très mal.

- Bébé, je suis désolé, j’ai pas voulu te faire mal. Putain quel con !

Il regarde encore mon poignet et j’en fais des tonnes. Je regarde Julie qui capte mon plan et vient en rajouter une couche.

- Putain elle arrive plus à le bouger !!! Tu lui as pété le poignet Mick’ !!! Putain mais t’es vraiment qu’un gros con !!!

- C’est bon je sais ! Crache-t-il

Il m’aide à me relever bien embêté et n’a plus d’attrait pour sa drogue et ça c’est le principal.

- Je vais t’emmener à l’hôpital, je suis désolé, vraiment. Dit-il

En effet il est plus que mal mais je l’éloigne de la drogue et le laisse m’emmener aux urgences. Plus il restera loin de sa drogue et mieux ça sera. Ça me laisse un peu de temps pour désamorcer la bombe. On se pose dans la salle d’attente et je me tiens le poignet pour continuer mon petit manège.

- Alors qu’est ce qu’il s’est passé pour qu’on en arrive là ? Dis-je

Il hausse les épaules.

- Tu me dois au moins une explication, je vais finir avec un plâtre à cause de toi.

Il soupire et commence à me raconter. Son père est vraiment dur avec lui.

- Ma vie c’est de la merde.

- Arrête ce n’est pas vrai, t’as Jack, et puis moi.

- Toi ?

- Bah on peut toujours devenir ami.

- Ami ? Je ne sais pas faire ça, toi et moi soit on se déteste, soit on baise et pour rappel t’as un mec. D’ailleurs tu n’étais pas sensé passer Noël avec lui ?

- Si.

- Pourquoi t’as débarqué ? Ça te rendrait service si je clamsais.

- Arrête, je ne veux pas imaginer te perdre. J’ai eu assez peur la dernière fois.

- Marie…je ne pourrais jamais être ami avec toi.

- Melle Rainot svp. Dit un homme en blouse blanche.

Ah c’est vrai que je suis sensée voir un médecin moi. Mick’ m’accompagne et j’explique être tombée. On me fait passer une radio et on nous fait patienter dans une pièce. Je suis assise sur le bord d’une table, et Mick’ se met entre mes cuisses. Je ne le repousse pas alors que je devrais mais j’aime l’avoir contre moi.

- Je suis désolé Marie, je ne voulais pas te blesser.

- Alors replonge pas car là tu me tuerais Mick’. Promets-le moi.

- Non, tu vas te barrer sinon pour aller rejoindre Psycho.

- Non t’as foutu ma soirée en l’air, je ne me vois pas y retourner.

Il me regarde avec un début de sourire et j’ai envie de ses lèvres.

- Bien nous avons votre radio, tout va bien, ce n’est pas cassé, y a même pas d’hématome. Je vais vous prescrire de quoi calmer la douleur mais ça devrait passer très vite, ça doit être du au choc.

J’entends le soupire de soulagement de Mick’.

- Vous pouvez y aller.

- Merci

On sort dans la nuit et l’air frais fait du bien.

- Premier Noël et je t’offre l’hosto. Super.

- Ce n’est pas l’hôpital que tu m’as offert.

Il me regarde et se marre.

- Tu t’en sers au moins ?

- Il est très efficace.

Il éclate de rire et j’adore le voir comme ça.

- Ça va ton poignet ? Me demande-t-il encore inquiet

- Il a rien mon poignet Mick’.

- Comment ça il n’a rien ?

- Il n’a rien. Dis-je en tournant mon poignet

- T’as mytho ?!

- Fallait que je t’empêche de briser notre promesse.

- Putain mais t’es vraiment…putain !!! Tu n’as pas envie de baiser tranquillement ? D’être libre ?

- Non.

Il se stoppe net et me regarde.

- Non ?

- Non. Dis-je en répétant.

Il m’envoie un de ces plus beau sourire et nous marchons jusqu’au centre de la ville illuminé. On retombe en enfance immédiatement devant les décorations. On discute de tout et de rien, on se rappelle des souvenirs de notre enfance.

- Tu l’as avec toi ton cadeau Marie ?

Je ne devrais pas répondre à cette question, pourtant je lui dis qu’il est dans mon sac.

- Viens avec moi.

Il m’emmène auprès de la calèche du père Noel et me fait monter.

- On n’a pas le droit Mick’ !

- On s’en tape, on fait ce qu’on veut.

Il se pose à coté de moi et me demande mon cadeau. Je lui donne et il me fait m’allonger au ¾ sur la banquette. J’avoue que c’est très excitant d’être un peu à la vue de tous, même si à presque 3h du matin, y a personne. Sa main remonte le long de ma cuisse et j’ose plus bouger. Il se faufile dans mon collant et ma culotte, et pose l’objet à sa place.

- Oh Mick’… Dis-je en sentant l’objet me stimuler lentement.

Mick’ m’observe et accélère la puissance et là tout s’emballe en moi. Je me tortille de plaisir et m’accroche à lui.

- Jouis bébé.

De toute façon même si je ne voulais pas, le sextoy ne laisse aucune autre issu. Mon clitoris est ultra sensible et s’en est presqu’une torture lorsqu’il m’empêche de l’enlever. Son autre main se pose sur ma bouche et il met la plus haute vitesse. En quelques secondes mes orgasmes se déchaînent et je me retrouve sur le sol de la calèche, essoufflée, trempée et en larmes.

- Pourquoi tu me fais ça Mick’ !

- Parce que t’adore ça bébé.

- Non c’est faux.

- Putain mais arrête Marie.

- Je ne veux pas tromper Brian !

- Alors fallait rester avec lui ce soir car je compte bien te baiser ce soir.

- Là tu rêves Mick’ !

- T’es foutu Marie

Je le regarde, et il est assis sur la banquette et m’observe alors que je suis à ses pieds. Lorsque mes yeux remontent à son entre jambe, son sexe est sorti et son sourire est en arrière plan.

- Allez viens bébé. Dit-il en me tendant sa main

Je ne sais pas pourquoi je la saisi mais je le fais, je me mets sur lui et sa bouche se pose sur mon cou. Je sais plus qui je suis et le laisse me guider. J’entends le tissu de mon collant craquer, puis ma culotte et son sexe se frotte enfin au mien. Nos bouches se rejoignent et son sexe entre en moi. L’effet est immédiat quand son gland s’écrase en moi.

- Ouais bébé, vas y fort. Dit-il alors que je bouge comme si ma vie en dépendait.

J’ondule comme pour le pousser plus loin et je finis par jouir me lovant contre lui. Il me caresse les cheveux, le temps que mon corps retrouve un peu son calme mais son sexe durcit en moi, ne me calme pas du tout.

- Je te veux Mick’

- Je ne peux pas aller plus loin bébé, je vais te déchirer à force ma belle.

- Au moins j’aurais une bonne raison d’aller à l’hôpital.

- J’ai une meilleure idée.

Il se retire de moi et me pose à genoux sur la banquette. Il vient derrière moi et je sens son sexe contre mes fesses. Oh mon dieu !!! Il se penche contre moi et sens la pression que son sexe m’impose.

- Je vais t’enculer bébé d’accord ?

- Stp.

Il ricane et pousse son sexe en moi. Je me cambre et bouge avec lui. Il retire ma robe et ses les seins à l’air, le collant et la culotte déchirés que je me fais…baiser. Mon dieu que j’ai chaud !!! Il me met un coup si fort que j’agrippe le dossier de la banquette et me fige pour le laisser faire. Il pose son pied sur le siège et s’enfonce jusqu’à ne plus pouvoir. Mes cris et ses râles transpercent la nuit. Je ne sais pas combien de coups il m’a mis mais ma jouissance a été épuisante et c’est dans ses bras que j’arrive à sa voiture. Lorsque j’ouvre les yeux, nous sommes à son hôtel.

- Je ne veux pas dormir avec toi.

- On ne va pas dormir rassure toi.

Je le regarde encore ensommeillée et il me sourit avant de m’ouvrir la porte puis me porte.

- Mick’ non.

- Demain Noël sera fini, laisse-moi profiter de mon cadeau.

Son cadeau ? Oh mon dieu je suis son cadeau. Il me met à 4 pattes sur son lit et il me retire mon collant et ma culotte. Où est ma robe d’ailleurs ? Il écarte mes fesses encore et je sens son sexe de nouveau en moi. Mais lorsque mon cadeau arrive sur mon clitoris, j’ai l’impression d’être dans un autre monde.

- Mick !!!! Mick !!!

- Putain bébé t’es bonne !!!!

Il continue à me torturer mon clitoris, et se reforme en moi. Je finis par ne plus supporter qu’il me touche alors que lui est en sueur. Je tremble de partout et mon sexe n’est que plaisir. Lorsqu’il écarte mes cuisses et que sa bouche se pose sur moi, j’ai l’impression que mon cœur ne va pas tenir. Pourtant je maintiens sa tête contre moi et ondule contre sa bouche.

- Attend !!! Attend !!!

Il arrête et me regarde. L’orgasme me submerge et je me tords sur le lit.

- Putain ce que j’aime te voir comme ça bébé.

Je reconnais plus le son de ma voix ni mon attitude. Je suis possédée par le plaisir qu’il me procure et ça s’arrête lorsqu’il s’effondre à coté de moi.

- J’ai dis de la merde toute à l’heure. Dit-il essoufflé

- De quoi tu parles ? Dis-je à bout de souffle moi aussi

- T’es bien mieux que de la came. Dit-il en mettant un coup de pied à la table basse.

Si la came met dans le même état où je suis alors je comprends comment on peut en être accro. Tout est beau et merveilleux mais lorsque je me réveille et que je suis seule dans la chambre, la redescente se fait. J’ai trompé Brian avec Mick’. Qu’est ce que j’ai fais de mes principes ?

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