Chapitre 41 - Mickaël

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Je tire sur ma clope et bois une bière lorsque je vois arriver de loin la plus belle et la plus courageuse des femmes.

Ta femme.

Si seulement…

Epouse là, elle est majeure.

On n’est pas compatible je te rappelle.

Arrête de dealer alors.

Et comment je paye la came d’Adrianna ? Comment j’aide ma mère à payer ses dettes ? Comment j’offre une belle vie à Marie ? Ce n’est pas avec un SMIC que je pourrais le faire alors ferme là.

- Putain les mecs regardez-moi ce que dieu m’offre. Dis-je

- J’avoue qu’elle est canon.

- Et puis elle à l’air d’être aussi fatale en dansant qu’en baisant. Ricane un autre de mes potes qui nous a chopés en train de baiser. Heureusement Marie ne l’a pas capté.

- Tu n’as pas idée. Dis-je fièrement.

- Bah prête la moi.

Je lui envoie un regard noir et il se marre.

- Je déconnais Mick’.

- Celui qui ose la toucher, il est mort.

- Et celle ? Me lance la nana d’une de mes potes.

- Tu aimes les chattes ? Dis-je étonné

- Bien avant d’aimer ce que vous avez entre les jambes. Alors tu me la prêterais ? Me relance-t-elle décidée.

- Là ce n’est pas avec moi qu’il faut voir mais avec elle. Dis-je en ouvrant mes bras à ma beauté encore ensommeillée qui ne se fait pas prier et vient se loger dedans.

Elle referme ses paupières et se rendort. Elle a juste enfilé un long pull, laissant ses bas à la vue de tous. J’adore lorsqu’elle se montre même quand ce n’est pas volontaire. Julie me lance un regard noir, vexée que son plan ait foiré. Je lui fais un doigt d’honneur qu’elle me rend. Jack la prend dans ses bras et l’embrasse comme pour détourner son attention.

- Jason !!! Crie Jack en lui demandant de venir.

- Ca va baiser dur cette nuit. Dit un des gars lorsqu’on voit les trois se barrer.

Je regarde ma brune être entre le sommeil et l’éveil, elle me sourit et vient chercher un baiser.

- Tu te sens comment bébé ?

- J’ai faim. T’as pas eu ton gâteau j’espère ?

- Non on le fait demain le gâteau. Tu veux manger quoi ?

- Quelque chose de très frais, je meurs de soif en fait.

. Ah les femmes, elles ne savent jamais ce qu’elles veulent. Je n’ai pas envie de la laisser seule alors je demande à un des gars d’aller me trouver un truc de frais à boire et la demoiselle intéressée se propose pour lui faire un lait fraise. Petite maline.

- Tiens, tu m’en diras des nouvelles. Dit-elle à Marie

Marie savoure le liquide frais qui doit apaiser sa gorge en feu vu comment elle a crié tout à l’heure.

- Marielle, c’est ça ? Demande la fille.

- Ouais.

- Moi c’est Morgane. Ça te tenterait qu’on aille toutes les deux dans votre chambre…histoire de faire connaissance et pourquoi pas s’amuser un peu.

Marie me regarde et je lève les mains pour m’innocenter.

- Sur ce coup là j’y suis pour rien bébé.

- Je confirme, tu m’as fais beaucoup d’effet en dansant et t’es très belle alors on pourrait peut être toutes les deux jouer.

Je vois la panique dans les yeux de ma brune, surprise par cette proposition inattendue qui j’avoue me fait grave bander.

- Enfin si ça te tente et que tu me trouves jolie bien sur.

- T’es jolie mais je ne sais pas si…enfin je n’ai jamais…

- Et bien, on peut aller s’isoler un peu, on discute, et tu vois si l’envie arrive, si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave.

- Pas sans Mick’ par contre.

Putain elle veut me tuer ou quoi !!!

Quoi tu te sens pas de baiser deux femmes ? Pourtant tu l’as déjà fait.

Si mais là on parle de Marielle, vierge y a encore quelques mois.

Elle vient de te sucer devant tout le monde, faut que tu arrêtes de la voir comme une petite vierge, elle est désormais une femme.

Fatale si elle continue sur ce chemin.

Elle aura ta peau mais pas la mienne alors relaxe et profite car dans quelques jours, elle retournera dans ses bras.

Pourquoi tu dois toujours foutre tout en l’air ! Pourquoi tu me parles de cet abruti !

Parce que tu ne bouges pas ton cul !

- Enfin je ne veux pas qu’il participe mais juste qu’il soit là, ça me rassurait sa présence. Continue Marie.

Je confirme elle veut ma mort.

Elle a décidé de te faire bander tout le week-end je crois.

Putain grave. Mais bordel qu’est ce qu’elle a bouffé pour être si ouverte.

Ta queue. Je crois que ça l’a beaucoup excitée cette pipe. Profite avant qu’elle ne retrouve la raison.

- Et bien moi je suis partante. Dit Morgane plus qu’enjouée.

Les deux filles me regardent et je vois l’hésitation dans les yeux de Marie.

- Et toi bébé, t’es partante ? Dis-je pour être sur que c’est ce qu’elle veut.

- Euh…

Ses joues rougissent, elle est curieuse mais n’ose pas l’assumer. Je vais prendre ça pour un oui. Après tout ça ne l’oblige pas à baiser si jamais ça ne colle pas.

- Allez go on bouge. Dis-je pour les amener dans notre piaule.

Le lit montre encore les traces de nos ébats ce qui va aider à la détendre. Morgane l’amène sur le lit et les filles commencent à papoter. Le feeling passe immédiatement et limite je me fais snober. Bon quand elles veulent pour baiser là ! Non ça papote truc de meuf, au secours. Non mais elles sont sérieuses là, qu’est qu’on s’en branle du nom du maquillage qui ne file pas ! Putain la prochaine fois je dis non pour un plan à 3 avec deux meufs. Ah maintenant ça parle parfum, je baille, c’est ennuyeux à mourir là. Moi je veux qu’elles se touchent, se tripotent les nichons, qu’elles se mettent des doigts ou se lèchent la moule. Je veux du cul putain ! Allez merde quoi ! Putain laisse tomber, j’ai autre chose à foutre que de mater des nanas discuter, je préfère me tirer.

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