Aux origines
Enfin me voilà ! Après une longue hésitation, j’atterris à Songium. Faut dire, que de base, je suis quelqu’un de très sceptique et quand l’idée de le visiter provient d’un fascicule tendu par un inconnu, je pensais tout simplement à de l’arnaque.
« Et si, vous avez la possibilité de vivre dans vos rêves ? Chez Dreamworld c’est possible ! Soyez également, les premiers hommes à tester notre machine mentale pour mieux en parler autour de vous ! De plus, vous ne payer qu’un petit billet car l’Etat finance la majorité du projet. Prenez rendez-vous, avec ou sans engagement ! »
Alors comment, me suis-je trouver embarquer là-dedans ?
Ma curiosité m’encourage à ne fermer aucune porte et mon courage, à refuser net d’un ton ferme. Cependant, l’idée aussi de devenir des cobayes m’a séduite. De plus, au fond de moi, j’ai toujours voulu tout savoir sur le cerveau et tenter des expériences pour l’humanité.
J’ai fouiller sur le net pour trouver des bons avis et qu’effectivement le gouvernement encourage cette recherche. Pour le moment, peu mis en avant…
J’avais donc appeler pour un premier rendez-vous pour en savoir plus, il y a une semaine. Après un temps de réflexion sans pression, je suis allé pour la mise en œuvre.
Un dernier passage avec des batteries de tests, des documents signés pour mon accord, on m’a emmené dans une cabine en forme d’œuf accompagné de deux autres hommes aussi stresser que moi.
Les scientifiques m’ont placé un casque avec des capteurs relier à leurs ordinateurs et m’ont rassuré que l’expérience s’arrêtera dès que je le désire en actionnant un bouton rouge sur l’accoudoir gauche.
Je me suis inscrite sur une semaine sachant que je peux voyager deux fois par jour. Le soir, je rentre chez moi. Il faut faire minimum un jour et il n’y a pas de maximum.
Pour le moment, le retour des quelques humains, ont permis de mettre en évidence, que chacun vit sa propre quête tel que prévu. De plus, certains rapportent que les rêves sont plus cohérents et qu’ils en profitent plus. Enfin, que d’autres dorment mieux et s’en souviennent. Moi, je suis dans le dernier cas et j’ai hâte de revivre mes nuits ! Et de rien laisser s’échapper !
Pour pouvoir mieux me cerner, j’ai vaguement exprimer mes réminiscences et j’ai dû choisir un nom pour mon pays psychique. Songium m’est venu à l’esprit. Et puis, j’ai dû aussi, me donner un prénom parce que les tests seront publier sous pseudonyme. Rêviolas me paraît jolie.
Bref, me voilà pour mon premier jour. Il est neuf heure sur Terre mais une fois fermer les yeux aider par un léger somnifère, je me retrouve sans montre avec ma petite valise rose au milieu de ce drôle d’aéroport.
Je l’ai toujours trouvé bizarre et je vais enfin pouvoir en faire le tour. Mon œil trouve enfin l’horloge qui affiche midi mais pas la date. Les autres cobayes notaient aussi le plaisir de l’expérience par les chiffres et les lettres qui ne sont aucunement déformés.
Je repense au but des recherches…on m’a expliqué, que c’était un moyen de mieux comprendre nos rêves, mieux cerner les thèmes communs quelque que soit les cultures. Cependant, le secret est bien scellé concernant le fonctionnement des machines dont les chercheurs les ont eux-mêmes tester après dix ans de recherche.
— Excusez-moi mademoiselle, mais je cherche la porte A421.Vous avez-une idée ? Vous allez-où ?
Je me tourne vers ce jeune garçon, à peine âgé de dix ans, qui en mon sens, ne devrait pas voyager seul. Remarque, je suis bien dans un rêve et les cohérences sont rares.
— Tu es seul ?
— Oui comme beaucoup d’entres nous. Visiblement, le prenez pas mal, mais vous n’êtes pas d’ici.
— Enfin, je…oui c’est ça. Je n’ai pas de billet donc malheureusement, je ne peux t’aider.
— Merci quand même ! Bon courage ! Et sinon, l’achat des billets se fait par les escaliers, il faut donc descendre. Enfin monter d’abord pour redescendre.
— Hein ?!
— Une fois compris, tout roule ! Je dois partir, bonne chance !
— Quel escalier ?!
Il file comme l’éclair pour disparaître dans une foule qui s’amasse dans ce hall bien vite petit. Je repère les fameux escaliers qui sont d’apparence classique mais ça se gâte après en effet. Une fois en haut, je tombe dans un toboggan composer d’un tapis de course et arrive sur les fesses devant différents bureaux protéger par des vitres dans une salle ovale sans sortie, enfin j’espère qu’on peut…
En levant les yeux, sur la droite, un autre escalier s’en va jusqu’au plafond et quelques marches s’arrêtent pour s’entremêler avec un autre escalier qui reprend le relais s’en aller, je suppose vers le hall d’où j’étais. Je souris et je réfléchis où aller. Je cherche d’abord si j’ai mes papiers.
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