Le léger différent.

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Le laveur de carreaux de l'Elysée : MADAME FARMER, C'est horrible !! MADAME FARMER !!! Pitié !!"

Présidente Farmer : Bonjour Gérard, calmez vous ! il est quinze heures vous allez réveiller mes collaborateurs.

La laveur etc... : J'ai entendu dire que l'Andorre veut notre peau, ça dégénère de partout !
Faufilez vous en vitesse dans notre abri atomique à gauche au niveau du compost.

Présidente Farmer : C'est l'honneur de la patrie qui est en jeu, nous ne pouvons plus reculer Didier, sortez moi votre téléphone de cette poche, nous allons envoyer un communiqué à l'AFP, comment osent-ils.

(Exercice vocal en Do Majeur)


Présidente Farmer : Mes chers concitoyens, aujourd'hui, nous faisons face à une menace insidieuse venant de nos voisins andorrans. Des renseignements cruciaux nous ont été transmis par nos services de renseignement, mettant en lumière des conspirations qui menacent notre souveraineté.

Homme Normal (Ministre de la Défense et des Affaires Étrangères) : En tant que représentant de la normalité, je me tiens aux côtés de la présidente pour défendre notre nation contre cette menace inattendue. Nous devons agir avec détermination pour préserver nos intérêts et la sécurité de notre peuple.

Les raisons exactes de cette déclaration de guerre demeuraient floues, et la communauté internationale était perplexe face à cette soudaine escalade. Des spéculations circulaient quant aux motivations réelles derrière cette décision, allant des théories du complot à des erreurs de communication.

Les réactions internationales furent mitigées, allant de l'incompréhension à l'inquiétude. Les dirigeants mondiaux tentèrent de comprendre les motivations de la France pour cette déclaration de guerre contre l'Andorre, un pays de moins de 80 000 habitants.

Au fur et à mesure que l'histoire se développait, des manifestations pacifiques éclatèrent dans plusieurs villes françaises, exprimant le désaccord de la population avec cette décision controversée. Les médias internationaux tentèrent de comprendre les motivations derrière cette guerre étrange et sans précédent.

L'avis des français :

Lens : Bah, t'fachon, c'est facheux
Aubervilliers : La tête de oim, l'Andorre c'est le sang, wallah.
Saint-Jean des Besaces : Vous pouvez m'aider, je cherche le marché ?

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