Chapitre 13

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Autrefois, des enfants jouaient sur les immense dalles autour de la fontaine, dessiner dessus ou danser, qu’importe leur âge. Les adulte les surveillent assis aux bars, les grand parents leur acheter des gâteaux à la boulangerie qui faisait l’angle, des mères préparer des bouquet de fleur chez le fleuriste en face, tandis que les travailleur prenaient une pause dans les petits restaurant.

Puis tout bascula.

L’un des enfants créa un jet de lumière aveuglant et brûlant. Par chance, celle-ci se jeta dans le ciel, ne blessant personne, creusant juste un trou dans la première couche du dôme du vaisseau-mère.

Mais cela suffit.

Des SS qui surveillaient les environs arrivèrent sans plus tarder. Tout de suite, ils surent qui était le coupable. Son t-shirt sans manche ne cachèrent pas la marque noir qui recouvrait son bras.

L'un d'eux agrippe le bras frêle sans douceur. Prêt à embarquer l’enfant dans leur camion. Immédiatement, les adultes des environs cessèrent ce qu’ils faisaient pour courir en direction de l’enfant, hurlant de le lâcher.

Même les enfants sont interviennus. Les plus jeunes ne purent que crier de le relâcher.

Les SS les ignorent, et tirent sur le bras du petit pour l’embarquer. L’un d’eux attrape même la mère qui hurle en larme de relâcher son fils.

En panique, la peur refroidissant son sang, l’enfant se mit à pleurer et crier qu’il sera un gentil garçon.

À cette vue, le groupe d'adolescents non loin qui dansaient interviennent sans plus de réflexion, et se jette sur les SS. Les échanges de coup n'épargnent personne.

Quand vient le premier coup de feu.

Normalement, toute les forces de l’ordre doit en premier lieu tirer à blanc. Puis en deuxième, tirer des balles anesthésiantes ou à faible décharge électrique, et en dernier recours, à balle réelle.

Pour la Section Spéciale c’est différent. Ils ont le droit de tirer directement à balle réelle s’ils sentent leur vie en danger.

La balle traverse l’abdomen de la mère, détruisant ses organes. Le sang jaillit à flot.

Son corp tombe à genoux, lance un dernier regard à son fils, avant de s’effondrer. L’enfant, qui n’avait pas quitté sa mère des yeux, l’appelle à travers le silence, ne comprenant pas. Les larmes couvrent ses joues.

Et cri.

La lumière jaillit de son corps. D’un blanc aveuglant, d’une chaleur écrasante. Elle engloba toute la place en un bref instant.

Quand elle disparue, sous les yeux des témoins restés à l’écart, ils découvrent les cadavres des enfants, des adultes et des SS tomber au sol, la peau brûlée.

Tous sont morts dans ce cri enfantin.

Seul la fontaine, devenue noir et fumante, trône encore debout au centre de la tragédie.

Depuis, des petits monolithe en verre avec écrit le noms des victimes ainsi que leur âge se tiennent à côté de la petite statue d’un enfant souriant, une auréole sur sa tête.

Cet événement provoqua une vague de colère chez les familles de marqués. Et une vague d’enrôlement chez les dissidents. En particulier les jeunes, se reconnaissant dans les vingt sept victimes n’ayant pas plus de vingt ans.

Depuis, quinze ans se sont écoulés.

Du haut de son toit, l’elfe observe les manifestants attaquer les hommes en noirs. Tout juste les premiers coups échangés que les plus peureux reculent déjà. Seuls ceux masqués ou les quelque courageux continuent d’attaquer avec leur poings, avant d’être rapidement maîtrisé au sol et menottés. D’autres billes de feux d’artifice explosent au sol, provoquant quelque seconde d’inattention qui permet aux prisonniers de s’évader.

Rapidement, les forces de l’ordre vêtue de bleu se mettent entre les manifestants et les hommes en noirs. Utilisant leur corps comme bouclier pour permettre aux évadés de se mélanger dans la foule et disparaître.

Seul la fontaine, entouré d’homme en noir, sépare les deux camps prêt à se sauter à la gorge.

- Seigneur, l’appel l’homme dans son dos.

Rencontrant ses yeux d’un rouge sombre, l’homme déglutit. Tous ses instinct animal lui crie de s’enfuir à grande enjambé. Évitant son regard intense, il examine sa main blessée par balle. Quand il remarque que celle-ci à déjà guérie.

- Capitaine, l’un de ses hommes s’approche, resserrant son fusil entre ses mains. Nous devons le ramener au plus vite avant que quelqu’un nous remarque.

Il sait bien cela. Tournant la tête vers son groupe, il remarque que tous ont eux aussi senti le danger. Ils ne doivent surtout pas le provoquer. Alors lui faisant face, le capitaine de l'unité déclare.

- Seigneur, vous devez nous suivre. Nous allons vous expliquer toute la situation. Est ce que vous me comprenez ?

Depuis le début, l’elfe reste au bord du toit, ses yeux les observant, comme si ils étaient quelque chose d’étrange. Tous ont senti qu'il avait remarqué leur arrivée, mais n’a pas agit. Comme s'ils étaient quelque chose d’insignifiant.

Le capitaine Chaï tente une approche en douceur. Parlant doucement, même s'il se doute que l’elfe ne comprend un traite mot de ce qu'il raconte.

- Suivez nous, et vous aurez toutes les réponses à vos questions, il continue les mains en l’air, prouvant qu’il vient en paix, s’approchant pas à pas. Vous serez plus en sécurité avec nous.

L’elfe remarque qu’ils sont six hommes et deux femmes. Équipés d'armes à distance. Aucune arme blanche apparente. Mais l’odeur animale qu’ils dégagent. Des thérianthropes à n’en pas douter. Leurs habits noirs sont exactement les mêmes que ceux sur la place.

Et l'un d'eux possédait une arme réservée à la garde rapprochée du Haut Roi.

Comment a-t-elle put atterrir entre les mains de simples soldats du peuple ?

Soudain, il remarque le renard sautant du toit d’un étrange carrosse, puis atterir au pied de l’homme armée du cracheur de tonnerre et le menacer la gueule grande ouverte, dévoilant ses croc. Ne le voyant pas, il le traversant. Le renard disparaît dans une étrange brume.

La main sur son épaule le ramène sur le toit. Le mouvement trop rapide pour l'oeil humain, Chaï ne put ressentir que la douleur lui traverser son bras. Dorénavent tordu dans un angle improbable au niveau du coude.

Le thérianthrope croise le regard de l’elfe, aucune émotion ne traverse ses rubis d’un rouge sombre.

- Tirez, il ordonne d'une voix étranglée par la douleur.

L'équipe pointe leur arme qu'ils n'ont pas lâcher depuis le début de l'opération. Quand il disparaît.

Les poils hérissaient sur sa nuque, l’un des hommes à l'arrière de la formation fait demi tour, évitant de justesse le coup de poings. L’elfe réplique d’un tour de pied au sol, percutant la cheville du SS qui tombe.

Entendant le grabuge, les autres membres tirent sur l’elfe. Il évite d’un mouvement fluide les balles tandis qu’il donne un coup au menton au deuxième, lui faisant perdre connaissance d’un seul coup. Il se penche en arrière, évitant une autre floppé de balles, et s’approche d’un autre soldat d'un seul mouvement.

Sentant le danger, l’homme entame sa formation en animal pour augmenter ses capacités physiques et ses sens. Il échange quelque coup avec l’elfe, réussissant à lui maintenir son bras gauche. Mais l’elfe lui agrippe son bras, atterrit dans son dos et lui déboite l’épaule. L’homme s’agenouille de douleur, lui exposant sa nuque, ou il donne un coup du côté de la main, le faisant s’évanouir.

Tout cela en quelques secondes.

Alors qu’il fonce vers un autre soldat, il donne un coup de pied au premier, qui s'apprête à se relever. Le coup à la tempe le fait tomber en arrière, perdant connaissance.

Mais cela lui fait perdre de l’élan, et le soldat qui eut le temps de faire une transformation partielle en profite pour l’attaquer en premier. L’elfe se protège avec ses bras quand le soldat donne un coup de pied dans son abdomen.

Serrant des dents, l’elfe recule. Une odeur de sang. L’homme et les quatre autres soldats encore en état de se battre regardent le sang s'écouler de son ventre.

L’elfe jure dans sa langue, en deux jour il n'a pus guerrir de sa blessure qui aurait dut disparaît en l'espace de d'une minutes. D'autant plus que ce n'est pas la seule.

Il voit leur yeux briller d'un espoir de le battre. Bande d'idiot.

Un léger sourire incurve ses lèvres.

Chaï tremble en remarquant son sourire alors qu'il est faible, seule et blessée.

-Vous… croyez… que vous… pouvez… me battre ?!

Une voix grave, enrouée, mais étrangement légère. Comme s'il était essoufflé après avoir ri à une blague. Mais surtout, l’elfe à réussi à apprendre leur langue alors qu’il est en fuite.

- Seigneur, vous devez venir avec nous, tente de nouveau le capitaine saisissant l'occasion.

Le sourire de l’elfe s’agrandit, dévoilant des dents recouvertes de sang. Il tourne la tête pour cracher une gerbe de sang, mais son regard ne quitte en aucun cas Chaï.

-Non. Je ne… suit pas… vous. Les personnes… comme vous. Je sais ce que…

Ne trouvant pas le mot, l’elfe tape de son index sa tempe.

Chaï ne comprend pas ce qu’il tente de dire. De toute manière cela ne sert strictement à rien de discuter avec lui. Se remettant sur pied, Chaï ouvre la bouche pour donner un ordre quand un poing apparaît devant son nez. Le coup le fait reculer de plusieurs pas, son nez éclaté.

Profitant de leur inattention, l’elfe attaque l’homme et la femme les plus proches. Échangeant coup de pied à droite, coup de coude à gauche, et coup de poing à droite sur la nuque, et coup de pied à gauche dans le ventre.

Une balle lui traverse le bras.

L’elfe l'examine, puis lève le regard sur la coupable juste derrière lui. Alors que les autres soldats, jusque-là inconscients, se remettent sur leurs pieds. Il sent qu’il ne tiendra pas le coup, il perd de plus en plus de sang. Une flaque rouge se forme à ses pieds.

Tournant la tête vers celui qu’ils appellent capitaine, l’elfe sait qu’il ne lui reste qu’une solution.

Il ne peut les affronter maintenant sinon il va perdre. D’autant plus qu’il doit en apprendre plus sur cette ville des étoiles et son peuple.

Alors sans aucune hésitation, il fonce vers l'homme.

Retrouvant tout juste ses esprit, Chaï se prépare au choc contrfe l'elfe. Quand ce dernier le dépasse, s’appuie sur le rebord, et saute dans le vide.

Dans les airs, l’elfe regarde passer à côté de lui l’un de ses étranges œils mécaniques. Durant moins d’une seconde, ses yeux rouges entrent en contact avec ce cercle vert sur la surface de l’œil mécanique, avant de tomber dans le vide.

Le capitaine et ses hommes sont choqués. Se précipite au bord et le cherche du regard, utilisant sa lentille pour scanner les environs, mais l’elfe à déjà disparue dans la foule en délire.

Poussant l’homme dans la ruelle, Allison lui lance un regard, le menaçant de ne pas revenir dans la manifestation. L’homme retire son masque d’un geste rageur et part. La renarde jette un regard à l’avant de la manifestation, mais ne réussit qu'à voir la tête blonde d’Édouard tentant de parler avec un membre de la Section Spécial.

Cherchant Solange, elle la trouve à une dizaine de mètres d’elle, enlevant le masque à un jeune casseur. Elle le réprimande et le ramène à sa famille, qui prend du recul sur la manifestation.

Soudain, Allison sent une tension dans l’air. Elle grimpe sur le banc d’un arrêt de tram et tourne la tête vers Édouard, observant le comportement des SS. Mais bien que violents dans leur arrestation et menaçant la foule avec leur arme, ils restent étrangement calme et obéissant à celui qui doit être leur commandant.

D’ailleurs, il s'approche d'Édouard et ses hommes. Son étrange fusil à canon électrique en main, il entame la conversation d’un air nonchalant.

L’air devient lourd.

Cherchant du regard le danger, Allison observe un groupe qui s’approche d’un même pas en direction d’Edouard et du commandant des SS. L’un d'eux, portant une capuche, fait apparaître de l’eau d'un geste de la main. Les hommes et femme masqués l’entourant forme un bouclier autour de lui. La foule, d’un accord silencieux, leur laisse le passage.

Allison s'apprête à les stopper quand une femme aux long cheveux brun et tressé apparaît devant le groupe.

- N’y aller pas, crie Solange pour se faire entendre, vous ne ferez qu’empirer la situation.

- Ils ont employé la force en premier, répond le jeune homme manipulant l’eau du bout de ses doigts. Ce n’est que de la légitime défense si on contre-attaque.

Baissant les yeux sur sa main, Solange remarque des trait d’un noir d’encre le long de ses doigt. Un marqué.

- Faites demi-tour. Moi et mon équipe on gère la situation, elle ordonne d'un ton sec.

- Vous appelez ça géré, d’un geste de sa main non marqué, le jeune homme lui montre la cacophonie autour de lui. Cela devait être une manifestation pacifique et dans le calme. Pas une arrestation massive comme il y a trois jours.

Le jeune homme avance, bousculant Solange d’un coup d’épaule, mais elle l’arrête en attrapant son bras fermement.

- Je t’ordonne toi et tes amis de ne rien faire de stupide. Ne gâchez pas notre fuite maintenant en vous faisant vous aussi capturer. Vous ne faites que nous rajouter du travail.

- Mais Solange, râle le jeune homme.

Serrant des dents, il lance un dernier regard assassin aux SS juste de l’autre côté de la foule, retire son bras de la poigne de Solange et fait demi tour. Mais avant de partir il dit.

- Je vous respecte énormément, Solange. Moi, ainsi que beaucoup d'autres. Sur ce que vous avez vécu, ce que vous avez fait à l’époque et ce que vous faites maintenant encore. Et c’est grâce à ce respect que je vous obéis aujourd’hui. Mais la prochaine fois, ne m’en empêcher pas, la regardant par-dessus son épaule, il termine. Vous savez à quel point la vengeance vous ronge jusqu’à l’os.

Ses yeux d'un bleu brillant deviennent soudainement sombres.

- Je le sais mieux que quiconque. Mais l’heure n’est pas à la vengeance. Nous devons d’abord survivre et pour cela, il faut que notre fuite se déroule sans encombre, tournant le regard sur l’un des hommes masqué elle ordonne, fais passer le message aux autres, puis repose ses yeux sur le jeune homme devant elle. Ne faite rien de stupide jusqu’à ce jour.

L’homme renifle, la moutarde lui monte au nez. Mais rétracte son pouvoir et l’eau tombe au sol. Il fait signe à son groupe de partir, se perdant dans la foule qui ne cesse de crier et d’agiter ses pancartes.

Poussant un soupir de soulagement, Solange observe autour d’elle, vérifiant si elle doit intervenir ailleurs. Sans s’en rendre compte, elle s’est éloignée de la queue de la manifestation, elle à même dépassé la moitié de la vague humaine. Elle ne verra sûrement pas Charlotte aujourd’hui avec l’agitation.

Elle jure en sachant que cela repousse leur rencontre, ainsi que les réponses qu’elle peut lui apporter. De plus, elle doit éviter le plus que possible d’appeler son frère. Grâce à Jon, l’appel qu’elle a passé à Solen lors de l’attaque des SS était sécurisé, mais le logiciel à détecté une surveillance de son téléphone. Elle s’en doutée. Les SS ont mit sous surveillance toute personne susceptible de faire partie ou d’entrer en contact avec les dissidents.

Ce n’est un secret pour personne qu’elle en fait partie. Mais Jon efface toutes les preuves susceptibles de l’arrêter, et grâce à Édouard, en entrant dans la police, elle à une protection en étant sous les ordres de la Haute Dirigeante Cidho.

Solange sort de ses pensées quand son regard tombe sur un adolescent, portant un bandana, fixant des yeux un groupe de SS qui emporte les manifestants arrêtés dans un fourgon.

Le fourgon part dans les airs. Étrangement, la troupe de SS ne se disperse pas et reste groupé devant une boutique. Se penchant pour essayer de mieux les voir, elle constate qu’ils s’échangent quelque chose entre eux. L’un d’eux sort une billes d’un bleu éclatant de sa sacoche, et l’insère dans un boîtier accroché à son arme.

S’approchant pour mieux voir, Solange comprend. Ce qu’ils ont entre les mains, ce ne sont pas des fusils d’un nouveau genre, donné par la Professeur Blavatsky, mais des reliques de l’ancien monde. Des armes faites pour la guerre qui ne fonctionnent que par la magie. Magie contenu dans les perles qu’ils viennent de s’échanger.

Solange va pour contacter Jon quand elle s’arrête soudainement. Poussé par son insticnt, elle fixe l’adolescent. Ses mains chargé d'un paquet.

Un mauvais pressentiment lui traverse tout le corps.

Quand des manifestants virulent la bousculent, Solange se rattrape, les ignore et repose les yeux sur le garçon au bandana.

Il est parti. Elle le cherche frénétiquement du regard, passant outre les cris et les bousculades, quand enfin elle le voit, collé contre le mur d’un immeuble aux abords de la place.

Ignorant les appels d’Allison derrière elle qui tente de la rejoindre, Solange s’enfonce dans la foule. Poussant les manifestants sur son chemin. Percutant même un homme au point ou elle tombe à genoux, elle se relève rapidement sans perdre un instant et court vers le jeune homme.

Tournant ses yeux d’un rouge rubis, l’homme bousculer regarde la femme du coin de l’œil. Il entend son coeur battre de panique. Au loins, il voit un enfant caché contre un mur. Ce dernier, alors que la colère grimpe en lui, court en direction du groupe d’homme en noir plusieurs mètre plus loin, évitant habilement ceux qui sert de garde et jette un objet circulaire.

La jeune femme qui l’a bousculer crie, la main tendue vers l’enfant comme si elle pouvait l’arrêter. Mais sa voix se perd dans la foule.

L’elfe n’y prête guère attention, fait demi-tour pour disparaître dans la foule. Quand un bruit sourd suivi d’une chaleur soudaine le frappe dans le dos. Réagissant en moins d’une seconde, il tourne sur lui-même.

Ses yeux rouges reflètent les flammes de l’explosion. Suivit des corps sans vie, en morceau et en feu des hommes en noir propulser dans les airs.

L’espace d’une brève respiration, les manifestants et les civils observent, incrédule, cette scène macabre. Leur cri se mélange aux rugissements des flammes. Quand la fumée de l’explosion rejoint le ciel et les routes aériennes, une deuxième, plus intense, détruit l’immeuble et la fontaine.

Son souffle et sa langue de flammes touche les premier manifestant, les force de l’ordre et les SS. Le bruit du sol qui s'effondre. Le son cristallin de la statue commémorative en verre qui explose.

Seul l’elfe reste calme immobile au milieu de la foule qui s'enfuit en hurlant.

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