Raffelle

Une minute de lecture

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Trois fois rien, juste que tu es toi aussi très beau, comme Ulrik

Le bras droit de Racontas.

Or, quand je t’ai observé jouant au tennis,

J’ai su que tu avais un talent fou,

Dommage, à ce propos, que tu aies abandonné si tôt !

Car je te trouvais en toi le talent pour ceci !

J’aimais et j’appréciais chez toi cette fougue de petit premier de la classe, ce petit prince surdoué.

Or, je sais à présent que tu as arrêté parce que tu devais rentrer dans l’armée, et rien n’au monde ne pouvait t‘empêcher de faire tes classes.

Toi Lysor le bel homme au charme ravageur, je sais que tu en trouveras une autre, une autre princesse et tu verras tu m'oublieras,

Moi la belle du nom de Raffelle de Celuim.

Je n'ai pas le charme de Sybelle, la duchesse de Tarnos.

J’ai appris qu’elle te cherchait aux dernières nouvelles.

Et, ce jour-là, j'ai su que jamais plus je ne te verrais, tant sa beauté est divine et son esprit est si grand qu’il ferait tomber tout le monde à la renverse.

Sa beauté est telle qu’elle fait même rager les Ondines, créatures des abîmes.

Alors pour toi, mon beau, je déclare forfait, car je ne suis pas assez en charme pour cela.

J’attends grandement de te revoir et surtout de te savoir heureux.

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