Ils sortirent tranquillement de cette soirée qui tourna au drame. La rue Mellier du quartier de Nantes était relativement calme, mais quelques passants déboulais des coins de rue plus ou moins ivre, fatigué ou simplement seul sur son carton. Beaucoup de petits groupes de personnes, d'ami sortirent aussi du bar un peu plus haut dans la rue. Ils s'arrêtèrent un peu devant la maison dans un but d'une possiblement rentré chez soi. Lino voulant si possiblement plus avec Samuel, ce compagnon de soirée découvert, il y a à peine 3 heures. Lino propose de marcher un peu, pour passer le plus de temps avec ce si beau garçon, très mystérieux. Samuel acquiesçant, tout en finissant un fond de bouteille de whisky récupérer au préalable. Il la finissait dans la seconde du départ de cette petite balade qui mènerait nulle part. Par signe de remerciement, il

Déposes en offrande la bouteille vide sur la boite aux lettres. Ils commencèrent leur route, tout en croisant quelques personnes. Cela le stressait énormément, car d'un, il se balade avec un gars quasiment inconnu sachant juste dans les moments inoportain et surtout croiser quelques personnes. Après, une foulée de pas que je n'ai pas compté, Lino sentit, un geste tendre de la part Samuel, tout simplement, non, juste son petit lassais merdique se défaisant tout seul. Il se posa sur le côté, le pied sur une borne électrique. Il le refit calmement sans précipitation. Sur l'autre trottoir, jouxtant la route, arrivait un groupe d'hommes, âgé entre 22 et 28 ans environ, ils marchaient pour certains plus ou moins droit avec des allures de personnes ivres tout en gardant, un aspect très macho et masculin sur eux. Ils auraient pu arriver en courant tous avec des houes, haches, pelles, tronçonneuses vers Samuel et Lino. Mais non, en passant à côté d'eux, mais de l'autre trottoir, un, laissait entendre "ah tiens, regarde la tarlouze fait son lacet". Son niveau d'alcoolémie était élevé, mais la raison de cette parole en l'air, bien attrapé par Lino, ne le blessait pas, intérieurement peut-être. Pourquoi, cela lui était visé à lui ? Tiens, peut-être que l'autre, plus muscles, plus virils, sans doute plus masculin ne peut, il ne pas recevoir se genre d'insulte ? Moins. Un deuxième ajouta par "pd". Pourquoi ? Qu'a t-il fait, rien, il est comme il est, peut être pour certains trop effémines, mais qu'est ce l'éffeminisme, est ce aux autres de trouver ça bien pour nous ? Il ne porte pas pourtant de T-shirt écrit "je suis un gros pd, allez-y insulter moi", et non et pourtant des gens y préfère perdre leur temps à insultes des gens sur les différences, mais tout, ces beau mot ont des conséquences sur autrui alors , profitant-en pour vivre heureux dessus. Après quelques secondes, d'utopie joyeuse, mais surtout quelque peu bancale, passé dans la tête de Lino, il ne préféra pas y prendre compte et finir son petit lacet. Samuel bouche bée, pour lui ce genre d'insulte, n'ont jamais été visible a ses yeux, il y prenait compte cette nuit. Il ne préféra lui aussi rien répondre tout en jetant un regard noir. Par ce manque de folie, et de joie à récupérer, Samuel propose à Lino d'aller en boîte de night. Il y en a une à 2,3 km, le "Macumba club".