Chapitre 4

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« Je comprends pourquoi on porte des plastrons maintenant, et même ça fait mal ! Je préfère la version sans pouvoir, beaucoup moins dangereux, les gars venger moi, que ma mort ne soit pas vaine » assure-t-il levant le poing s’évaporant pour réapparaitre dans une cage au fond du terrain dans le ciel.

Vaporisée vers des cages en hauteur, ses coéquipier pleurant sa défaite, comme les compagnons du héros mort sur le champs de guerre, criant et pleurant sa mort se promettent de le venger, déployant ou transformant la flamme en eux en ce volcan enragé de la perte de ses proches, crie vengeance et conséquences, d'un cri de guerre se rallie contre eux, commençant les hostilités la balles fusant dans tous les sens pendant une vingtaine de minute personne ne se fait toucher, et comme dit dans les règles attendent que la balle touche le sol avant de la rattraper et la relancer, esquivant toujours avec hargne des deux côtés, oubliant même leur stratégies, puis tenant la balle entre ses mains Julian regardants ses coéquipier fait la passe à Nathanaël transmettant le message, reprenant leur routine, jusqu'au nouveau signal, cette fois-ci Lucius détient la balle et d'un bond dans les airs souriant sa main ou il tient la balle vibrant à une grande vitesses projette la balle un des joueurs esquivant, d'une main l'insulte, rigolant lui fait signe de se retourner, voyant la balle tourner au sol le fouette en plein partie génital puis rebondissant le fauche sans le rater.

« Plus que deux joueurs vous ne voulez pas abandonner ? » nargue Inaya

« Je ne voulais pas en arriver à la mais préparez-vous aux pires »

Devenant subitement invisible tous ce qu'ils voit c'est des vêtements volant, la partie reprenant sans avoir le temps de soupirer, Inaya et Lucius se font éliminer, ne restant plus que Klaus, Julian et Nathanaël, prêt à en découdre avec cet homme invisible tapotant l'épaule de ses camarades d'une pulsion d'énergie, leur yeux brillant sursautant voit de tout le monde des flux d'énergie sortir, les tirant en arrière pour esquiver la balle, réceptionnant la balle avec ses pieds, se met à jongler avec puis d’un salto arrière envoie la balle dans les airs.

« Nana ! »

D’un cri sautant d’un coup de tête avec hargne mettant toute sa force, partant à pleine puissance, fissurant son casque et cassant la visière, la balle subitement se multiplié brillant, effrayé le joueur redevenant visible, ne voulant pas abandonné, criant à son tour triple de volume, la tenue extensible grandit avec lui, bloque la balle d’abord avec sa main droite, mais révulsée finit par la bloqué avec son ventre criant de rage, ne voulant pas abandonné, or la puissance le fait reculé, avant de finir dans les cages, le costumes déchiré et lui évanouit.

Les matchs continuant, chaque équipe sa battant jusqu'à la dernière sueur, personne n'abandonne et continuant l'équipe de Cassia qui copiant la stratégie de l'équipe de Nathanaël en y ajoutant leur touche, la télékinésie gagne sans jamais perdre un seul membre, contrairement à eux qui gagnant toujours mais tant bien que mal, toujours de justesse.

« On va voir si tu peux continuer longtemps à te faciliter la vie, ma chérie »

« Ne fait pas cette tête, je ne fais que suivre les consignes, j'utilise mes pouvoirs pour la victoire »

Face à face, sur ce terrain, face l'un à l'autre, face au vent sortant du sol la balle volante, d'un bond Julian coince la balle entre ses jambes et la fait tourner à toute vitesse l'envoyant à Nathanaël qui d’un salto arrière esquive la balle, faisant des doigts d’honneur à l’équipe adverse, donnant l’occasion à Inaya de son meilleur tir frapper la balle d’un coup de pied, la balle partant en zigzag d’un doigt d’honneur vers le ciel tirant la langue souriante, se soulève elle et toute son équipe, esquivant la balle, mais qui va dans les cages.

« Tu veux jouer Cassia, moi aussi je peux jouer à ça, deux de tes joueurs vont être éliminer » assure Lara

« Ina, Nana, les jumeaux j’ai une idée, c’est dangereux mais c’est sûr de fonctionné » leur dit-elle

Se mettant à tourner à toute vitesse sur tous le terrain, l’équipe adverse n’arrive pas prédire les mouvements, beaucoup trop rapide et aléatoire, un des jumeaux ayant la balle la faisant tournoyer l’envoie vers le goal, en la renvoyant se la renvoie toujours plus vite possible de toute ses forces d’un coup de pieds retournée Klaus l’envoie sur Nathanaël qui à son tour l’envoie dans les airs le plus haut possible, touché par une frappe dans le dos par Inaya, se rendant extrêment léger, les jumeaux projet à grande vitesse Lorenzo au-dessus de la balle qui d’une frappe monstrueuse la rendant extrêment lourd, l’envoie sur Lara au cage, qui d’un coup de poing alliant vitesse à puissance, détruit tous le terrain sur son chemin.

N’étant pas assez fou pour arrêter la chose, s’éloigne le plus possible du terrain, soupirant un chat bipède noir aux yeux marron clair, en smoking ressemblant à un chat tous ce qui a de plus normal, mais qui marche sur deux jambes avec des mains et reconnaissable par une crête rebelle rouge et des yeux hétérochromes, un rouge et un bleu, se téléportant devant la balle, les mains dans les poches, la balle s’arrête subitement tombant au sol, puis jonglant avec la balle, cet homme ou ce chat qui n’est autre que le proviseur de cet école, se préparant à les punir, ressentant de puissant frissons regarde au loin dans les tribunes, une ombre souriante qui lui fait signe de se taire.

« Vous êtes tarés ! Vous voulez tuez quelqu’un ?! Comment tu veux arrêtez ça ?! Pour cette fois je vous pardonne mais faites attentions, on est dans un lycée pas un champ de guerre » rigole-t-il

Tous réunit en cette soirées chaque classe formé ses disperse et tous discute entre eux, de chose et d'autre apprenant à ce connaître, les étudiants se mélangeant tout le monde sauf Neven et Nathanaël dans leur coin loin de la foule entre eux discute, observant tous les autres étudiants qui font le détour en les voyants ou murmurant sur eux en pensant devant eux, heureux d'avoir enfin trouver un ami qui vit et ressent la même chose que lui, ses critiques infondés sur eux, mangeant des hot-dogs, burgers, soda en débattant d'une série qu'eux deux adorent.

D'un clignotement rosé Cassia apparaît devant eux, les faisant crié de sursaut frustré d'un air furieux se rapprochant dangereusement d'elle, lui font la moral, or pour un passant d'une vision troublé sa sonne plus comme une menace, très rapidement se retrouve enferme jusqu'au cou dans un sarcophage de pierre, ne réagissant pas bien trop habitué à ses réactions, or Cassia n'acceptant pas qu'on insulte son petit-ami et son ami sans aucune raison, intervenant avec diplomatie explique la situation à l'étudiant qui s'avère être un de ses camarades de classe, réalisant qu'il a jugé trop rapidement, s'en voulant transforme leur prison en rose, les faisant sourire.

« T'en fait pas pour ça, on a l'habitude si on avait eu un euro à chaque fois que ça nous aient arrivés, à l'heure d’aujourd’hui on serait multi milliardaire » résonne Neven

« Au contraire merci, ça prouve que t'es quelqu'un de courageux, combatif et savoir que ma copine est dans la classe de quelqu’un comme toi, c’est rassurant » continue Nathanaël

D'un imprévue se sont fait une nouvelle amie, s'asseyant à côté de lui discute, imaginant leur vie dans ce lycée, or d’un jeu de regards Nathanaël et Cassia voulant s’éclipser pour passer un moment en couple, n'ose pas les coinçant entre deux dilemmes.

« Allez, les amoureux dégagez ! » assure ce nouvel ami

Partant entre amoureux, retournant sur la plage ou Cassia a énormément de souvenir bon comme mauvais, sur la terrasse de la villa en bord de plage appartenant à la mère de Cassia, cette villa où elle à grandit, vécu toute sa vie l'ayant laissé seul avec sa mère pendant qu'elle se change, descendant les marches les cheveux mouillés, inquiète à l'idée de savoir sa mère seul avec la personne qu'elle aime, et l'interrogatoire forcé qu'elle a pu lui faire, or les voyants s'enlacer puis retournant dans la salon, souriante mais d'un sourire sincère mais heurté par un passé qui ne sait pas finit en avenir voulue, ou de la façon voulue, passant à côté de sa fille, voyant dans son regard les même yeux qu'elle avait avec le père de Nathanaël espère une meilleure fin pour eux, s'arrête soupirant.

« En discutant avec nana, ça m’a rappelé des souvenirs, je me suis rappelé pourquoi je suis tombé amoureuse de son père et pourquoi je l’ai autant aimé, s'il te plaît ne commet pas mon erreur et soit toujours honnêtes et franche avec lui, je n’ai jamais eu l'occasion de m'excuser ou plutôt je n'ai jamais eu le courage, j’ai commis des erreurs qui ont tous brisés, qui aurait pu être éviter »

« Ce n’est pas toi qui m’as toujours dit, mieux vaut vivre une vie remplie d'amertume que de regret »

Rigolant comme elle ne l’a pas fait depuis des mois, or elle ne rigole pas à la remarque de sa fille mais à sa honte, sortant de sa poche son portable.

Passant la soirée en amoureux, sur une terrasse donnant vu sur la mer, se regardants droit dans les yeux leur cœur ne peuvent s’empêcher de battre, de jubilé à la vue de l'autre.

Toujours avec le camarade de classe de Cassia, un jeune homme de son âge, un énième brun aux yeux marron, fin et mince, pour la première fois à part son cercle habituel d'ami, se sent libre et d'une sensation étrange, excitante différentes des autres ne peut s’empêcher de sourire niaisement, remarque d'énorme similitudes avec Karma la même apparence mignonne, adorable son cœur s’excitant d'une pulsion de plus en plus puissant se faisant violence est sur d'une choses être amoureux de Karma, or ne comprend pas pourquoi il ressent la même choses pour cet homme et ayant remarque son dilemme à chevet sur lui l'embrassant langoureusement, et ne sachant pas pourquoi n'arrive pas ou plutôt ne veut pas le repousser, rigolant se lève.

« Je n’y crois pas c'était ton premier baiser tu me plais encore plus, bon beau gosse, je te laisse j'ai des personnes à aller voir et contrôle tes humeurs certains pourrait se poser des questions » assure-t-il lui montrant son pantalon.

Croisant automatiquement les jambes, honteux de sa réaction se laisse tomber de ce banc en marbre et criant fait sursauter Klaus un peu plus loin caché dans la pénombre face à un mur derrière le dortoir des garçons torse nu, le pantalon sur les chevilles, en compagnie de jumelle en pleine activité sportif embrassant l'autre qui en plein débat avec Icarus, qui embrasse l'autre jumelle mais grâce à la pénombre on voit que des formes bouger.

Les heures filant la fête de bienvenue finissant, tout le monde part se coucher dormir à bon point, dans la salle de professeur eux encore debout débattant des derniers préparatif dans une des maison de sécurités avec les centaines de milliers de caméras donnant sur l'extérieur et l'intérieur, dans tous les recoins, chaque pièces du lycées, des dortoirs en soit chaque carré de cette îles est surveiller mais qu'une infime partie est surveiller par nos gardes, ordonne par le proviseurs à cause de tous les accidents, crime qu'il y a eu à une époques, sortant de nulle part les bras dans le dos toujours en costume, d'un rire machiavélique à trois heure du matin enclenche l'alarme d'urgence, annonçant qu'une horde de robot à envahie une archipel où a existé une ville, devenue une ville fantôme qui sort désormais d'arène pour les tournois, combat et éventuel entraînement, remis au goût du jour par le précédent proviseurs, leur ordonnant d'aller les détruire pour rejoindre l'île surnommé depuis des années l'île des survivants, que des jet-ski sont à leur disposition ainsi que l'armurerie et d'autres équipements spéciaux au sous-sol, tous agacé contre les adultes, essayant d'ignorer, continuant à retentir finissant par croire à une réelle urgence, la majorités des étudiants se pressent, excité les jumeaux Julian et Lucius n'ont pas perdu de temps, d'autre voyant déjà leur première aventures comme Lorenzo sont déjà sur le front à combattre, d'autre qui détestent être déranger dans leur sommeil, le genre personne qui ne faut surtout pas réveiller en plein milieu de la nuit.

Du côté de nos héros, Klaus bien trop focalisé dans son sommeil n'as rien entendu et nu sous sa couette, affalé en étoile dans son lit ronflant et bavant ne se doute de ce qui passe dehors, d'autre comme Vento à la fenêtre assoupie préfère retourner se coucher, d'autre comme Icarus et Nathanaël sorti de leur gond ne prenant pas la peine de se changer, torse et pied nu, prenant leur arme grognant comme des bêtes enragés, sous la colère n'ayant entendu qu'à moitié l'annonce, sort du dortoir prenant de l'élan de toute sa rage utilise toute sa force et d'un bond remarquable à une vitesse, monumental parcours l'océan criant de rage les cheveux dans tous les sens, comme le fou sortie de sa folie pour devenir un psychopathe, s'écrasant contre un robot l'explosant dans le choc, juste derrière en pleine folie meurtrière, aussi enflammé par une haine immense lui contrairement à Nathanaël bien trop enragé, regardants autour lui et une centaine d'autre étudiant encore sur la plage son face à une horde de robot, les regardants tous bien tous remarquent un détail, ses robots à forme humaine sont tous défaillant, certain leur manque un membre, d'autre en ont un plus gros que la norme, mais dans tous les cas ils ont une démarches casser, crachant des grognement mélanger à des grésillements, mixé encore à une apparence non complète le tout donnant l'impression de la conclusion final d'un film d'action apocalyptique, où les héros doivent affronter une horde de zombie robot pour sauver l'humanité.

« On n’est pas vos cobayes ! Et encore moins vos larbins ! Si vous vouliez vous en débarrasser ils suffisaient de les recyclés ! » crie de toutes sa rage un jeune

« J'entends et comprend vos plaintes, mais dites-vous que si vous voulez devenir des professionnel dans le secteur, vous devant être prêt à tout événements, et à tout heure parce que ce métier est dangereux oubliez pas qu'ici tous présent peu importe le secteur, vous êtes des futur cavalier, votre mission seras de récupérer, trouver tous ce qui s'approche au Doroeus, et par moment cela peut être une mission risqué, voir mortel, une simple mission peut toujours mal tourné et avec ce test c'est ce qu'on veut vous faire comprendre, sur ce amusez-vous bien » assure le proviseur

« Pendant les sélections, ça on l'avait bien compris ! Avec l'autre psychopathe ! » crie un étudiant, avec tous ses camarades qui confirme.

Remonter à bloc, prêt à en découdre, une dizaine dont Nathanaël et Icarus bien trop furieux pour écouter, dans leur folie destructrice sans aucune retenue détruisent les robots, impressionné par leur technique d'autre qui pensait qu'ils avaient tricher, ou ont été favoriser grâce à leur pouvoir pour intégrer l'école les voyant en plein combat, on la preuve du contraire de mouvements subtil, fin, précis mais violent maîtrisant l'art du bâton comme un de ses maître du Kung-fu qu'on voit dans les films, faisant circuler son bâton autour de son corps ce qui a l'air d'être figure acrobatique inutile, est en réalité des coups bien précis faisant tourner le bâton autour de son cou en décapite deux, puis le plantant au sol s'en sert comme bar d’appuis pour tournoyer et enchaîné les coups de pieds, à côté à l'opposé qui ne se soucies pas de l’esthétique aux mouvements plus imprévisibles, sec et violents allié de sa batte toujours en un coup les décapites, malgré son manque d’expérience on voit qu’il sait où et comment blesser son adversaire, leur arraches des membres, les déformes, aplatit, d'autre les font explosé, transperce, excités par leur esprit combatif tous les étudiants se prennent à cette rage collectif et détruisent tous sans retenue, transformant cette île, ville abandonnées en une arène de guerre ou encore pire une guerre mondial, n'hésitant pas utilisé tous ce qui leur passe sous la main, pour faire plus de dégâts, détruisant les robots en les envoyant dans le décor, se servant du décor comme appuie pour faire plus de dégât, ou l'utiliser comme arme.

Ce combat sans fin durant déjà depuis plusieurs heures, à un tel point que le soleil ses réveilles sous ce vacarme, or ne pouvant continuant cette guerre sans fin, se levant dans le ciel grâce à se télékinésie, observant de haut ce combat rejoint par deux autres étudiants se regardants, d'un simple dialogue silencieux se doute des mêmes choses.

Karma fermant les yeux vidant ses esprits une fois prêtes ouvrant les yeux, son esprit absorbes des milliers de pensées et souvenirs tous lui venant d'un coup, trop d'image et débat tourne en même temps, se focalisant sur le passé des robots trouvent ce qu'elles cherchent, transférant tous ceci à tout le monde leur faisant comprendre clairement que le moyen le plus efficace et simple d'en finir, est de désactiver l'ordinateur principal.

Pris par une soudaine fatigue, comme un monde de plus en plus lourd sachant pertinemment qu'elle ne pourra pas lutter bien longtemps, tremblant, gardant péniblement les yeux ouverts, s’appuyant sur un jeune au hasard qui volait à côté d’elle.

« Les gars je vous fait confiance, vous pouvez le faire, par contre désolé je ne pourrais pas vous aidés, je suis bien trop fatigué » assure-t-elle par télépathie à la centaine d'étudiant avant de se téléporter dans son lit, s’évanouissant sous la fatigue.

Un autre télépathe prenant la relève organise un plan d'attaque, et plusieurs étudiant doué en informatique se propose, pendant qu'eux retiennent l'apocalypse se faufile dans un immeuble, délabré, en ruine où la guerre dans le passé à déjà fait des ravages, à un tel point que ça ressemble à des catacombes, rapidement suivant sur le portable un point rouge, rentre dans cette immeuble ne prêtant pas confiance, le cœur lourd hésitant se font violence pensant à ceux rester en arrière pour le bien de la mission, or comme les choses était trop facile une alarme retentit dans toute la ville, indiquant une éminent autodestruction, comme une choses venant pas seul, les troupes adverses triples d'effectifs et même s'ils sont faible et facile à détruire, le nombre ne leur facilite pas la tâche et l'alarme qui continue à sonner sans jamais se taire, ne faisant que les frustrés encore plus.

Cette troupe d'élite rapidement encerclé, rigolant sortant un boomerang les tranches tous à la têtes en un coup et rattrapant son arme pour couper la porte en un coup, rentrant tombant devant toujours un robot mais plus grand que d'habitude, dépassant la taille standard d'un humain identique aux autres mais transformé en un robot hypertrophié à quatre bras, prêt à les attaques lui aussi tombant du ciel, lui tombe dessus en un cri lui plantant sa batte en plein cœur, d'un coup il se fait projeter brisant plusieurs murs sur son passage, lui laissant pas le temps se sert de Nathanaël comme matraque pour détruire le sol, dans sa rage Nathanaël arrache un bras à son adversaire et lui plante dans les côtes, le déséquilibrant et lui permettant de se libérer, pensant à la nuit de sommeil qu'il a perdu à cause des robots, l’agaçant encore plus, reprend sa batte et d'une rage animal avec sa batte le torture de coup, le défigure complètement et à chaque coup le sol tremble, d'un coup de pied comme cou final l'envoie dans l'immeuble d'en face, se retournant vers eux d'un visage naturellement effrayant remplie de haine, les fixent, puis d’un geste projette ca batte la plantant dans la tête, pour d’un bond se jeter dans l’autre immeuble, la prendre et continuer son carnage.

Sortant de débris s'excusant effrayés, ils partent en courant, pensant enfin pouvoir souffler un télépathe en face le saluant lui crie qu'il n’a pas fini et plusieurs mètres plus loin le même robot, voulant lancer sa batte mais ayant à côté un élève ayant peur d'échouer se relevant se prépare pour un sauvetage limite.

D'une entrée aussi fracassante le sa peau couleur argenté et les yeux couleur or, Icarus glissant devant son adversaire l’enchaîne de coup de poings, transperçant son adversaire à chaque coup et d'un coup de pieds retournés envoie la tête sur Nathanaël qui l'attrapant au dernier moment voyant bien le visage du robot, souriant l’aplatit.

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