Chapitre 8

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Le weekend passé, l’année scolaire commençant du côté des filles, comme toujours Lara alors qu’il reste encore une ou deux heure avant leur premier cours, a déjà pris son petit-déjeuner, ranger et nettoyer sa chambre, s’est préparé, déjà elle et ses affaire soigneusement rangé dans son sac à dos, un banal sac qu’elle utilise depuis déjà pas mal d’année, un sac à dos unisexe tous ce qui a de plus classique, avec dedans son ordinateur portable construit par Karma identique au sien mais à motif de fleur, en plus du journal qu’ils ont reçu comme devoir et cadeau, pendant une demi-heure vérifie plusieurs fois ses affaires, un peu anxieuse à l’idée de ce premier jour de leur avenir jusqu’à que Asuna, Nomen et Inaya viennent sonner à sa porte, l’invitant à se préparer, toutes ses camarades de classe déjà prête sauf Karma qui n’étant pas du matin, est toujours eu du mal à se réveiller le matin, est le genre de personne qui ne peut pas être elle, ou réfléchir tant qu’elle n’as pas eu sa dose de café.
Du côté des garçons, comme sa meilleures-amie lui est déjà prêt, ses affaires dans son sac à dos, tous prêt même Klaus qui a eu du mal comme tous les matins à se mettre en route, ayant pris le petit-déjeuner ensemble, devant le manoir sursautant discutant tous assis sur une table de pique-nique dans le petit foret qui entoure leur dortoir, Cassia subitement se téléporte assis sur Nathanaël criant tous de stupeur, sauf Nathanaël qui s’est rapidement habitué à ses téléportations impromptues.

« Préviens merde à la fin ! » crie Neven

« Déso, bref les gars je vous empreinte nana, mais d’abord pour pas qu’on me dise que j’exagère, vous savez ce qui l’as fait cet abruti ?! Comme on n’est pas dans la même classe, c’est normal que je veuille passer du temps avec la personne que j’aime, et cet abruti m’envoie un clone »

« J’ai juste envoyé un clone relax, c’est toujours moi la preuve t’a même pas vu la différence ! »

« Et t’aimerais qu’on te fasse la même chose ? Imagine t’as un date et on te pose un putain de fat lapin ! Alors que t’as passé trois heures à te préparer ! En recevant comme excuse un déso je n’ai pas vu l’heure, ce n’est pas une excuse ! » s’énerve Julian

« Ça sent le vécu, mais il a raison met toi à sa place, qu’est-ce que tu ressentirais si on te faisait une chose similaire, imagine deux secondes, ta un date avec Cassia, t’es la tous se passe bien et pouf c’était qu’un hologramme » se moque Inaya

« Déçu ! Bien dit ! Franchement ce n’est pas cool, faire ça à ta copine, elle veut passer du temps avec toi ! Pas ta copie ! T’as intérêt à te faire pardonner » Ordonne Lara

« Suis d’accord mais exagérons pas, clone ou pas clone c’est toujours lui, il est toujours la même personne, je parle par expérience j’ai déjà passé des journées entières avec ses clones s’en voir aucune différence, s’il ne me l’avait pas dit je n’aurais jamais remarqué » se fait avocat Klaus

Commençant à se disputer sur le côtés éthiques et moral des pouvoirs, les filles arrivants se mêle à la dispute, certains sont pour d’autre contre ou encore neutre comme Klaus, un autre Nathanaël les cheveux complètement mouillé et désordonné, s’excusant offre à chacun un tupperware de muffin en guise d’excuse, à côté de son clone à la fois vexé qu’ils n’aient rien remarqué, prenant sa petite-amie par la main fuit la scène pour se retrouver avec elle, seul à seul assis sur un banc.

« Désolé, jamais de la vie je n’ai pas fait ça pour t’embêter, t’énervé ou je ne sais pas, j’avais juste la flemme de me lever »

« Je comprends que tu es besoin de passer du temps seul, ce qui est normal, on a tous besoin de moment solitaire, mais je ne veux pas qu’on finisse comme mes parents, ou la relation qu’avait nos parents, certes mon père a fait des saloperies, pour être correcte, mais y a pas que ça, à force de rien dire, de garder des secrets et ainsi de suite, ça fini par exploser, donc je préfère que tu sois trop honnête avec moi, qui t’as être cash, que finir comme ceci, je pense que pour une relation s’épanouisse faut communiquer et ne pas avoir peur de discuter… »

« T’as raison, j’aurais du tout simplement te le dire, pour me faire pardonné je vais te révéler un secret qui te permettras de me différencies de mes clones, tous comme les métamorphe j’ai une marque de veritas, donc quand je me clone seul l’original moi, ait ce truc, ma langue est bleue »

Se tournant pour être face à elle lui tire la langue, l’ayant vu suspicieux et ressentie son amour, sa confiance pour elle, le trouvant adorable l’embrasse langoureusement, puis à chevet sur lui, le regardant attentivement son cœur se resserre et est heureux, puis dès son énergie sèche ses cheveux, prenant ses mains pour les enlacer avec les siennes, le fixant amoureusement, inspire profondément.

« Je t’aime, je me disais comme t’aime pas avoir les ongles salent je peux m’en occuper, je te mets du vernis et tu ne verras pas, je sais ce n’est pas… »

« J’y pensais et comme c’est toujours pénible à faire, je laisse mes ongles à l’abandon et comme suis invulnérable je ne peux pas les coupés ce qui est chiant, mais j’ai une machine pour les polir mais je n’y pense pas tout le temps et pourtant, avoir des ongles sales ça me fait chier, d’habitude se sont mes sœurs depuis qu’on est gamins s’amuse à me mettre du vernis, sinon si ça ne te dérange pas tu peux aussi me coiffer ? C’est toujours une corvée, inutilement et ridiculement long »

« Carrément même ! Je me suis toujours dis si un jour j’ai un copain, j’aimerais bien le chouchouter, mais mes frères me disent que c’as plait pas à tout le monde et ce n’est pas viril »

« Ça me gêne pas du tout au contraire, même des fois avec mes sœurs et ma mère on se fait des journées spa, mais la totale et putain que ça fait du bien, déjà physiquement t’es décontracté, et mentalement ça fait un bien fou ! Désolé mais c’est con, c’est comme dire que si tu prends soin de toi, t’es homosexuel, c’est ridicule, ça veut juste dire que t’aime prends soin de toi et que tu tiens, à ta santé, c’est tout ! Le bien-être est pour tout le monde, donc fait toi plaisir, fait ce que tu veux avec mes cheveux, d’ailleurs tu peux fait un truc pour que je sente ma nuque »

Excité, commençant par les cheveux téléportant une trousse de maquillage, avec dedans toutes sortes de vernis, crème, brosse, peigne, lui tournant autour d’une idée le coiffe les cheveux en arrière, montant légèrement, devant partant un peu sur le côté, avec une longue queue de cheval.

« Sans rapport mais c’est possible pour un ange, d’avoir de l’acné et autre »

Lui dévoilant une photo datant de l’année d’avant, la voyant

« Un ange et un humain ne sont pas si différent que ça, même si certes on est pas constitué de la même manière, nous on a trois cœur, quatre poumons, trois estomac, notre sang est blanc, on a plus de facilité pour maigrir, on n’est pas affecté par les maladies, les poisons et autres, comme vous les humains on mange, on chie ainsi de suite, ont née pas parfait contrairement à ce qu’on croit, justement ! Dieu nous à créer à son image, comme l’humain capable de toujours devenir meilleur, que le jour précédent, à savoir chacune de nos dimensions ne fonctionne pas de la même façon, elles ont chacune leur histoire et leurs lois, à Thanatos et à Eden y a un dieu unique et une succession d’archange et ou arch-démon, dans le vôtre plusieurs dieux, c’est l’avènement zéro qui a ouvert une brèche entre nos dimensions d’un côté et fusionné Edeninferno et la terre, pour des raisons inconnues, quand un ange viens au monde, il naitras automatiquement dans sa dimension d’origine, je m’emporte, désolé si je t’ai… »

« Pas du tout, c’est intéressant…Pourquoi j’ai l’impression d’avoir déjà dit ça, bref je tiens à te rappeler que suis pas humain non plus, je suis un ogre, physiquement on se rapproche plus du démon que de l’humain, on est constitué comme un humain à part pour l’estomac on en a six, nos organes sauf le cœur se régénère, notre sang est noir, du coup je doute que le mien aussi »

Comme tous lycéen pour tout le monde il est temps d’aller en cours, chaque classe ayant une salle attitrée avec les professeurs qui viennent leur enseigner leur art, cultures, connaissances, encore novice, toutes les premières années peu importe à quel point il le cache son stressé, parcourant les couloirs timidement, comme la jeune brebis qui découvre le monde loin de sa mère, arrivant dans leur classe murmurante entre eux devant la porte, soupirant les trouvant inutilement anxieux, Vento passe sa carte sur un scanne à côté des portes automatiques, et part s’associer à sa place au fond à gauche près de la fenêtre, le suivant elle est assise en haut à droite prêt des baie vitré, tirant la fenêtre.

Tous dans la salle, pense à l’unisson que la salle est ridiculement grande pour douze personnes, des tables en bois pour une personne, avec un tiroir tous ce qui a de plus ordinaire et simple, mais n’y prêtant pas plus attention qu’autre chose, réfléchissant à une place stratégique à laquelle ils seront assis durant des heures, pendant plusieurs mois, d’une idée sur l’estrade du professeur Klaus propose un jeu ils doivent deviner la place de chacun des élèves, se regardant d’un air assuré et montre la dernière place au fond à droite.

« Laisse-moi devinez, au fond à droite pour pouvoir mater les filles qui passent où dormir ? C’est tellement hétéro » assure Julian

« Je dirais plus pervers, parce que suis lesbienne et je n’ai rien contre admirer une jolie fille »

« Bien dit Ina, et viens à côté de moi » assure Klaus

« Truc qui a aucun rapport mais j’y pensais, vu qu’on seras une équipe, même une famille vous allez me trouve vieille école mais je pense qu’on devrait éviter les relations amoureuses entre nous, parce qu’on sait tous et vous avez déjà dû voir les cas, ou deux camarades de classe se mettent en couple rompt des mois après et ça devient super tendue, et j’ai pas envie de choisir » propose Asuna

« Dans les faits je suis d’accord mais malheureusement les sentiments ça ne se contrôle pas, on ne choisit jamais réellement de qui ont tombe amoureux, mais je pense qu’on peut être assez mature pour pas que ce soit bizarre après, je pense qu’ont arriveras à faire en sorte de rompre tout en gardant des relations amicales par la suite » Contredit Nomen

« Il, Elle…T’as raison, d’ailleurs Nomen tu préfères quoi ? » assure Lucius et Lorenzo

« Je ne me sens ni femme, ni homme, je suis juste moi, sur ma planète ça n’existe même pas le principe de genre, en venant sur terre j’ai remarqué tellement de différence, surtout vous aimez trop vous compliqués la vie, vu que nous y a ni homme ni femme, le principe d’orientation sexuel, disons que nous on se pose pas ses questions, on vie notre vie et on aime qui on aime, même si certes il existe des cas ou un vénusiens ce sentiras et opteras plus pour un sexe que l’autre, mais chez nous on a pas de conflit d’identité ou autre, ça se fait naturellement et c’est ancré dans notre culture depuis la nuit des temps, ça c’est toujours fait naturellement comme une évidence, ce qui simplifie beaucoup les choses »

« Je ne pourrais pas être plus d’accord, je trouve que les gens se mettent trop la pression, à partir du moment que tu ne portes atteintes à l’intégrité de qui que ce soit, va vie et dévient » assure Vento

Finissant par tous choisir une place, près des fenêtres à gauche de la salle, or n’étant que douze tous assis trouve la chose trop triste, tous cette espace vide, c’est trois rangés de quatre table trop formaté, géométrique, labeur à la chaine décide de se disperser.

« Est-ce qu’on a le droit au moins ? » demande Lara

« On verras bien » hausse des épaules Lucius

Curieux de savoir qui est leur professeur principal, entendant le bruit du badge accepté, la porte s’ouvrant lentement, leur cœur battant à l’unisson, d’un air inintéressé comme si de rien était Vento jette des coups d’œil et le premier surpris à voir un des plus célèbre super-héros et philosophe de cette planète, un héros asiatique aux origines allemande, réputé pour sa belle apparence, le fait que malgré qu’il soit centenaire, ne parait pas plus vieux qu’un homme d’une cinquantaine d’année à l’air toujours paisible, serein, connus sous plusieurs nom mais à l’identité de Tao Bach, habillé en décontracté mais avec un sens de la mode aigue.

« Tao ! » crie-t-ils tous d’un sentiment d’unité

D’un geste les fait taire, commençant son discours de bienvenue et leur expliquant leur année, les choses à savoir, d’une douce, apaisante soudainement tous les élèves se sentent fatigués, sauf quatre encore parfaitement réveillé, Karma, Lara, Vento et Mazel, d’autre lutte pour rester éveillés, au bout de trente minute d’un cri strident, grinçant tous des dents, sont subitement revigoré et se trouvent tous alignés en trois rangés de quatre table, en commençant par la gauche près des fenêtres qui donne vue panoramique sur l’arrière du lycée, dévoilé comme une épaisse forêt, avec au loin l’océan.

Dans cette rangé du haut vers le bas, Nathanaël, Neven, Lorenzo, Inaya et Vento, dans la rangé du milieu Mazel, Lara, Nomen et Asuna, dans la rangée de droite, Karma, Julian, Lucius et Klaus, se regardant incompris pour la plupart leur place ont changé, soupirant acceptent la chose, sortant tous de quoi noter le cour, comme l’école préconise un appareil électrique pour une question d’efficacité et rapidité, ont tous un ordinateur portable, sauf Mazel et Asuna qui ont une tablette, notant tous le cours, l’heure se finissant ayant quelque minute de répit avant le prochain tour, soupirant alors qu’ils viennent de commencer, dubitatif Klaus pose une question qui lui vaut d’être foudroyer par Karma.

« Carrément ! Ça a aucun rapport avec avant »

« Jay ! T’es con ou tu le fais exprès, on est dans un lycée privé financer par le directeur avec un contrat avec le gouvernement, pour faire de nous des agent d’Arcadia, est leur but ce n’est pas juste trouver des doroeus, c’est beaucoup plus vaste, c’est tous ce qui s’en approche de façon directe et indirect, c’est pour ça que le créateur de Arcadia, Giorno Bertolini à créer plusieurs secteurs, plus tu connais ton sujet, plus tu sais comment le traiter »

« Logique ! Mais pourquoi des cours d’informatiques, de sciences et vie de la terre, biologie ? »

« Justement ! Cas pratique tous simplement en connaissant ton environnement et ses conséquences tu sais comment agir à ton avantage, pareil pour le reste »

« Je n’aurais pas pu mieux expliquer, et voilà pourquoi nous enseignant, on se donne autant de mal parce que dans votre future vie, quand vous serez sur le terrain au moins vous aurez des compétences pour répondre, je sais c’est pénible et long, exemple tous simple, vous êtes en exploration et votre scanner a été détruit, vous vous retrouve face à un allier empoisonnée si vous savez comment faire l’antidote, vous lui sauver la vie, même avec un scanner, il vous dira le problème et vous proposeras des solutions, mais laquelle est bonnes ? Bref enchanté je suis Tao Bach, vous connaissez déjà en tant que célèbre héros, agent d’Arcadia et autre métier que j’ai pu effectuer au long de ma vie, mais m’approchant de la fin, je souhaite transmettre mes connaissances à la prochaine génération, je vous rassure je vais bien et contrairement à ce qu’on pense je ne suis pas immortel, bien au contraire, il est juste temps pour moi de laisser la place aux jeunes, bref je serais votre professeur de technologie…J’ai 389 ans certes mais justement j’ai vu la technologie évolué, j’ai fait partie de ceux qui l’ont aidé à évolué, c’est moi qui est inventé le principe même du hacking, sur ce commençons, d’ailleurs tutoyer moi, pas le temps pour les courbettes » explique-t-il

« Tao, si j’ai une tablette ça ne pose pas de problème ? » demande Lucius

« Non pas du tout pour moi un bon informaticien peut faire son boulot peu importe le support, donc non, plus important commençons »

Ecrivant au tableau des exemples de ce qu’il dit, tous dans cette pièce à part Karma et Neven s’attendent à être confus or étonnamment l’écoutant attentivement tous deviennent simple et logique, posant des questions pendant deux heures interagissent, encore une heure avant de manger leur premier cours de physique, comme tous élève leur faim les déconcentre de leur but, tous soulagé sans tarder, sans parler, trop affamé pour réfléchir se pressent de retourner à leur dortoir pour manger, comme toujours ils ont le choix entre trois menu, encore sous la pression de cette première matinée, mange sans réellement savourer leur repas.

« On a un emploi du temps monstrueux, ça va brûler bien salement ! » assure Julian

« Comme tout le monde ici, mais le plus pour nous c’est le mardi, sachant que la géographie, svt et biologie son mélangé on a ça dès le matin pendant quatre heures, enchaine par la physique/chimie, étude physique, et encore informatique tous ce que je déteste dans une même journée, sans oublier les entrainement quotidien » se plaint Lorenzo

« Bon on n’a plus qu’à apprendre à être maso » en rigole Lucius

« Faut croire » soupire Vento

Finissant leur repas, sans aucune motivation retourne dans leur salle de classe, pour le reste de l’après-midi à inspirer des connaissances, avec leur énergie physique et mental qui sans cesse montent et descend selon le moment du cours, comme prévu le soir part pour s’entrainer aux combats n’apprenant que les bases, se font frapper, écrasé et finissent la journée épuisée dans leur lit.

Cette routine s’installant rapidement, jours après jours suivent ce même rythme entrainement de combat le matin et le soir avec leur cours la journée, avec des moments de repos, des début difficiles dans cette nouvel façon de vivre, que tous le montre trouvent intensifs, pour nos protagonistes cette expériences s’est divisé en deux façons, à cause ou grâce à leur parent militaire qui leur a toujours imposer un train de vie assez imposant, rapide, Nathanaël et Lara n’ont eu aucune difficulté à s’adapter, on même était les premiers à s’y faire et rapidement, Karma malgré sa grande intelligence les deux premières semaine ont été pénible physiquement mais encore plus moralement, mais grâce à l’aide de son fidèle compagnon de route Donovan à trouver sa méthode, et a réussi à s’organise pour suivre le rythme sans soucis, contrairement à Klaus qui a encore besoin de ses meilleures-amis sur certains points, quant aux camarades de classes dans le même cas de Klaus on retrouve Inaya, Nomen et les jumeaux, dans le cas de Karma, Vento, Lorenzo, Asuna et dans le derniers cas Neven et Mazel, mais s’habituant à leur nouvel vie, se retrousse les manches et affronte cette vie.

Comme un nouveau matin qui se lève, les batteries qui se rechargent comme toujours du côté des filles, Lara est déjà prête et part réveiller Karma, devant sa porte avec son nom gravé dessus sur une plaque en bronze comme pour toutes les portes, avec systématiquement une serrure numérique à empreinte digital et oculaire, ayant les codes y rentre or ne s’y habituant jamais cette chambre est un désordre monumental, comme toujours la connaissant depuis des années elle et ses habitudes, rangent la chambre puis la voyant affalé dans son lit sur le dos, la tête sur le côté, ricanant, s’en approchant d’un air dédaigneux toujours dans le coin à droite, Donovan l’as fixe.

« Je n’y peut rien si t’es naze »

« Même sa propre famille n’arrive pas à la réveiller ! Pourquoi toi alors ! »

« Parce qu’on a vécu des choses qui à créer un lien particulier entre nous, ne soit pas jaloux »

Vexé par en volant la tchipant, rigolant revient à sa mission, caressant tendrement son visage, heureuse Karma sourit, embrasse langoureusement Lara.

« Arrête de t’excuser à chaque fois ce n’est pas la fin du monde, si t’embrassait mal j’aurais compris, mais c’est pas le cas, par contre faudra vraiment un jour que tu m’expliques pourquoi tu fais ça à chaque et qu’avec moi »

« Quand j’aurais le courage, mais sans doute un jour »

Partant prendre le petit-déjeuner avec les autres filles, comme toujours Cassandra passe leur dire bonjour, leur faire un câlin et un bisou sur la joue, avant de courir voir Nathanaël qui comme d’habitude prennent leur petit-déjeuner ensemble, dans un des réfectoires, cette fois-ci elle veut aller le voir, puis vont dans sa chambre, comme tous les matins elle le coiffe et lui fait les ongles.

« Chéri j’ai une meilleure idée, au lieu de zigzage à chaque fois, la dernière fois tu m’as dit que tu voulais manger avec tes amies, donc mange avec tes amies tranquillement et après je viens dans ta chambre pour que tu me coiffes et tous, ça t’éviteras d’avoir à te trimballer ta trousse à maquillage »

D’une idée Neven ayant des papillons pour Karma, l’attend devant son dortoir révisant son plan d’attaque, interrompue par un camarade de classe homosexuel de Cassia, le même qu’il l’avait embrassé avant la rentrée, facilement reconnaissable par son caractère extravagant, extrêmement sociable, efféminé un peu le cliché du gay riche en couleur et en énergie, esquivant sa tentative de baisé, Neven le plaque contre le mur, les filles voulant le défendre leur fait un clin d’œil.

Le fixant du haut vers le bas, cet homme ami et camarade de classe à Cassia, qui l’as défendue quand il a crue qu’il s’en prenait à elle, un jeune homme caucasien aux yeux bleu, de son âge de même taille au physique élancé et mince, aux cheveux arc-en-ciel symbole de la gay pride, considéré comme charmant mais pas particulièrement beau aux origines de l’est de l’Europe, un visage fin et efféminé qui lui vaut souvent d’être confondue avec une personne du sexe opposé.

« Désolé Jehan, mais je ne suis pas intéressé, j’aime déjà quelqu’un et c’est une femme »

« Si tu changes d’avis t’as mon numéro » Rigolant lui caresse la joue

« Comme quoi avec t’as tronche on peut plaire » nargue Karma assis sur les marches à l’entrée.

« Il a fallu qu’elle apparaisse maintenant ! Elle va encore se faire des idées chelou ! Je dis quoi maintenant moi ?! Je sais ! » pense-t-il

« Faut croire, sinon t’en pense quoi de l’équation que je t’ai envoyée ? »

« Pas mal, ça résout le problème d’équivalence…mais t’as fait tous le chemin juste pour ça ? Au pire fallait m’appeler »

« T’as essayé dans l’autre sens avec la méthode andromède ? »

« Ça ne fonctionne pas, mais attend ? Mais oui putain ! T’es un génie ! Pourquoi je n’y ai pas pensé ! »

Heureuse se jettent dans ses bras l’embrasse sur le front puis part en volant à toute vitesse, vers le lycée, rougissant ne sachant pas comment réagir reste figée, ce moquant de lui les filles se dirige pour les cours.

Encore sur le point d’être en retard, parce qu’ils ont trop dormis les jumeaux préparés à l’arrache courant hors du dortoir, se préparant à utiliser leur super-vitesse Klaus lui aussi en retard, lui fait signe de grimper sur son dos, à pleine vitesse, traversant la cour à pleine vitesse.

« Je vous l’ai déjà dit, si comme tout le monde vous vous prépariez en avance vous n’auriez pas ce problème, donc assumez vos conneries et accepter la punition, tout le monde est déjà sur place » critique Duncan

« Jamais ! » crie-t-il avec Klaus qui exprime son esprit rebelle avec des doigts d’honneur

Rigolant nerveusement, son visage s’assombrissant le sol se brisant sous leur pieds d’un bond, se jetant en arrière, d’une frappe dans le dos les propulse d’une explosion d’énergie.

« Les gars réussissez pour moi, je vous fais confiance ! » crie Klaus

Ainsi commencent un jeu de chat, Klaus la sourit déjanter qui bloque le chemin au chat psychopathe, partant dans un échange de coups, souriant observe son élève qui déjà doué et expérimenté a fait des progrès mais encore loin de son niveau, fier mais agacé d’un croche-patte le fait basculer en arrière et d’un coup de poing lui écrase la tête au sol, brisant le sol sous sa tête, lui faisant faire un salto le rattrapant par la jambe et l’entraine jusqu’à sa classe, d’un clin d’œil salut les filles en chemin déjà dans leur classe, arrivant à sa classe le jette dans sa classe.

« Encore en retard Klaus, Merci Duncan, toi va à ta place, c’est quoi ça punition aujourd’hui ? »

Prêt à le défendre, il leur fait signe de se taire pour ne pas gâché sacrifice.

« On peut négocier ? Tous mais pas le tour du campus sur les mains, c’est fatiguant et long ! Pourquoi il est aussi grand ce putain de campus ?! »

« Si t’arrivais à l’heure comme tous tes camarades, tu serais pas punit à chaque fois, mais parce que Julian et Lucius ont plaidé t’as cause, tu sais quoi je te fais un test et si tu fais un sans-faute, pas de punition, sinon le double ça te va ? »

« Adjugés vendue ! » assure-t-il sûr de lui

Comme à chaque fois et pour chaque matière, on un QCM et des questions à résoudre en début de cours, sur leur leçon précédente et comme chaque épreuve, contrôle, test c’est noté et selon le résultat est transformé en point, tous à leur bureau, on dix minute pour remplir le QCM, tous focaliser sur leur contrôle passant dans les rangs ce professeur d’histoire, les observent et reconnait la hiérarchie de cette classe, en tête de classe les cerveaux du lot les élèves sérieux, studieux et calme nous avons Karma, Neven, Vento et Asuna qui sans hésitation et rapidement finissent le QCM, juste après Inaya, Nathanaël, Lara, Mazel, qui avec difficultés s’en sortent et le reste tremblant nerveusement, se triture les neurones.

Tous concentré sur leur épreuve on peut voir les jumeaux se triturés le crâne, Nomen complètement perdu.

Pendant que cette classe est focalisée, dans la classe de Cassia beaucoup plus nombreux passant de douze membres, à vingt-une personne eux tous en cours d’informatique assis en tailleurs, ce concentre à résoudre des exercices, doivent expliquer chaque code.

« Ah ! Je ne comprends rien ! C’est du charabia ce machin ! Désolé Monsieur mais tous se ressemble ! C’est la même chose ! » s’énerve Icarus se cognant la tête contre la table frustrée.

« Je finis avec ta collègue et j’arrive en attendant Cassandra essaye de lui expliquer, si t’as compris »

Lui montrant sa tablette, chuchotant elle lui explique en donnant des exemples, tous devenant rapidement plus clair, la remercie et résout rapidement les exercices, le matin finissant pouvant enfin aller se ressourcer avec un bon repas, recevant un message excité Cassia s’excuse auprès de ses amis car elle ne pourra pas manger avec eux, se téléportant devant la salle de classe de son copain, curieuse remarque qu’ils sont tous partie sauf lui qui est rester selon les ordres de son professeur, sortant une amie à lui faisant partie du même club d’art, petite et légèrement enrobé blonde aux marrons à l’air pacifiste, haletant épuisé lui fait signe de regarder son portable, voyant en même temps sa copine excité pour des raisons qu’il ignore soupirant.

« Si j’envoie des clones à ma place ça ne dérange personne ? Comme ça tout le monde sera content et moi je pourrais faire ce que j’ai à faire »

« Des fois j’ai l’impression que tes clones sont plus doués que toi » ce moque-t-elle

« Très drôle »

Tout le monde acquiesçant, ne l’ayant jamais vu se multiplier en direct curieuse, le fixe attentivement et s’attendant à un feu d’artifice, ou un spectacle d’horreur aucun des deux ne se déroule, simplement ou étrangement le clone se crée comme si un autre lui sortait de lui et trois en même temps, chacun partant d’un côté, curieux la suivant arrivant au réfectoire du dortoir des filles des premières années, s’installant et savourant un repas japonais, discutant entre sushi et ramen observant ses environs pour comprendre, l’engouement de sa petite-amie et mise à part les murmures et les expressions effrayés, rien d’inhabituel, à envie de savoir or n’osant pas lui demandé, réfléchissant, elle en face heureuse d’avoir un petit-copain aussi attentionné et adorable que lui, lisant en lui entendant ses sentiments comprend simplement et rapidement, qu’il s’inquiétait pour elle par conséquence il a fait quelque chose pour elle, ce qui explique ses cernes mais n’arrive pas à savoir quoi.

Se retenant de rire, le trouvant adorable tombe encore plus amoureuse de lui, et le voyant lui tendre un tupperware avec dedans un gâteau qui a une grande valeur pour elle, lui montrant sa langue bleue.

« Pour toi, comme en ce moment t’es fatigué je voulais faire quelque chose pour te booster, du coup j’ai demandé des conseils à ta mère… »

« Toi, je t’aime prend pas mal ce que je vais te dire, mais tu me rappelles ma grand-mère maternelle, elle était toujours petit soin, même si ça ne fait pas longtemps, j’ai déjà envie de t’épouser »

« Pourquoi je devrais le prendre mal ? Je ne peux qu’être heureux d’être comparé à un ange, et j’espère être un jour à la hauteur, quant au mariage personnellement c’est un peu tôt, mais j’espère bien que notre relation évoluera dans ce sens, on verra bien ce que l’avenir nous réserve »

Assis juste derrière ayant tous entendue, ne pouvant plus se retenir Nomen et Inaya l’enlace et s’installe à côté d’eux, puis une de leur amie d’une autre classe venant.

« Désolé d’interrompre, mais t’as intérêt à le garder, ce mec c’est une perle rare, comment on peut avoir peur d’un amour pareil, si t’en veux plus suis plus que partant » essuie ses larmes sur son visage, murmurant une phrase dans sa langue natale, le regardant Nomen ne regrette pas son choix.

« Ma belle t’as pas intérêt à le larguer, certes il est chanceux de t’avoir, mais toi aussi, la dernière fois je ne me sentais pas bien, alors que les autres ont beuger comme des idiots, il m’a sauvé et à même surveillé mon état, malheureusement il est en couple, mais je t’annonce officiellement que je suis amoureuse de lui, à la moindre erreur je serais la »

Avant de partir leur faisant un clin d’œil, embrasse Nathanaël, le laissant figer, vexé Cassandra l’embrasse à nouveau pour effacé le baisé, rigolant trouve la chose adorable.

« Chéri t’es tombé sur une perle rare en plus d’être incroyablement talentueux, il a une âme d’explorateur, j’en suis témoin on se connait depuis nos onze ans… »

« C’est vrai ça ! Comment vous vous êtes connus ? » demande Cassia

« Longue histoire courte, en vacances à Tunis il a participé à un tournoi de boxe auquel je participais aussi, c’est un peu grâce à lui que j’ai réussi à m’assumer, comme je suis née dans une famille très religieuse, le genre cliché et stupide surtout mes parents, je faisais tous en cachette sauf qu’ils ont fini par tout apprendre, trahi par mon propre frère, ça s’est très mal passé, mais extrêmement mal, j’ai fini torturé d’où le cicatrice de fouet sur mon dos, avec ses sœurs ils sont venue me sauver, je tiens à préciser que la religion n’as rien avoir dans l’histoire, ma tante est religieuse, mais totalement différente, mes géniteurs sont juste des attardés à l’esprit coincé, pour eux une femme sans homme ne sert à rien, ils ont la vieille mentalité, mais nana j’ai réussi à faire, du moins assumé la tête haute mon coming-out, mes parents mon viré de la famille, mais t’inquiètes tous va bien, ma tante qui est bisexuel et avait été aussi renié par la famille m’as hébergé, depuis je suis très épanouies et une maison ou je peux m’épanouir librement » raconte-t-elle

« Du moment que tu vas bien et t’accepte qui tu es aujourd’hui le reste est secondaire » rassure Cassandra

Après ce déjeuner, partant déposer leur affaire dans leur chambre, leurs deux classes on court ensemble d’éducation physique, anxieux mais excité à l’idée de ce premier cours après que leur professeur originel, soit subitement partis ayant rendez-vous à 15h00, ont d’abord un cours de science qui les attends, un cours de deux heures sur les différents types de terrain et leur caractéristique, luttant pour pas s’endormir pour certains passionnée par les sciences un débat commence, pour d’autre essaye déjà de garder les yeux ouvert.

A la seconde ou la sonnerie sonne, cette sonnerie pourtant si basique en trois temps composé d’une seule note, sonne comment la fin d’une souffrance et le début de leur délivrance, courant à leur prochain cours, encore en plein débat Karma et Neven sont en pleine discussion avec le professeur.

Ayant rendez-vous en dans les airs d’entrainement, ce grand gymnase en rond, ayant rendez-vous dans une des piscines, une grande piscine ordinaire fermé divisé en quatre grand bassin de plusieurs mètres de profondeurs, entouré de gradin avec en face des sorties, les vestiaires non mixtes opposés l’un à l’autre, avec ses quatre bassin qui les séparent, tous discutant entre eux cherchent à comprendre le rapport entre une matière, similaire à un cours de sport où les élèves doivent développer et apprendre à utiliser leur pouvoir, pour le moment uniquement les garçons son prêt.

« En quoi nagé ça va nous aider ? Ce n’est pas en sachant nagé, que je vais réussir à développer mes pouvoirs, ce n’est pas comme ça qu’on va dépasser nos limites ! » se plaint Lorenzo

« Pour une fois suis d’accord avec lui, ce n’est pas en nagent que je vais réussir à créer des ouragans ! En quoi ça va changer notre vie ?! »

S’étirant aux bords de la piscine, pendant que la plupart cherchent à comprendre, d’autre son bien trop occupé à trouver des tactiques pour espionner les filles, un groupe prêt des vestiaires des filles, essayant de regarder par la fenêtre, sur les côtés, tous se bousculant pour avoir accès au sésame, étrangement il y a de plus en plus de place, restant plus que Klaus qui fait la courte échelle à Julius, remarquant le visage froid qui annonce un mauvais présage pour eux, leur professeur de combat et de sport, qui de plus est la gardienne du dortoir des filles de première année, ce visage d’ordinaire d’apparence si chaleureux s’assombrit, leur tapotant une épaule, d’un coup de pied retourné Julius est envoyé dans la piscine, soulevant Klaus par le cou le tire

« On peut discuter ? Pas besoin d’en arriver aux mains et puis je ne pense pas que… »

« Vous et vos parents avez signé une charte qui nous autorise à vous frapper si on a envie, tu peux vérifier si t’en as envie, j’ai même une autorisation particulière de ton père »

« Ce sale démon ! Toujours à me pourrir » crie Klaus

D’un sifflement tous se ressemble, un homme de grande taille musclé aux limites de l'hypertrophie, pas très accueillant en tenue militaires et débardeur dévoilant bien les nombreuses cicatrices en tous genre sur son corps, avec cache-œil sur le côté droit, maintenant qu’il est en maillot de bain, aucun élève n’as de doute sursautant reconnaissent tous sans exception cette figure, et surtout connaissant son caractère après seulement quelque semaine, intransigeant, rigide, souriant jamais, réputé pour suivre les règles à la lettre près, toujours sérieux à l’extrême il n’est pas réellement apprécié par les élèves, soupirent déjà recevant une fois de plus un sermon.

Même sa femme fatigué par son sermon qui n’en finit jamais lui fait signe de se taire, les filles enfin fini de se préparer d’un coups les garçons récupères leur joie de vivre et réveille, leur hormones et une partie d’eux qui est rapidement à l’affut, d’un coup s’assoient tous croisant les jambes, toutes un peu gêner, embarrassé et excité par les réactions des garçons, portant tous pourtant le maillot de bain fournit par l’école, que la plupart trouve même moche, une tenue de plongée du coup aux pieds noir, avec au dos le symbole de leur école moulant avec au dos ayant l'emblème d'Arcadia ou soit l’œil de la providence comme symbole de la connaissance, un œil dans un triangle, avec leur prénom puis nom marqué au-dessus, sauf pour ceux qui ont un prénom trop long à écrire pour des questions esthétique, soit mettent une abréviation ou la une des initiales, comme pour Nathanaël qui à choisit l’abréviation « Nate » et en dessous le nom de l’école « Genos » pour eux, porté par les garçons et les filles, les garçons sans rancunes enregistre dans leur esprit ses corps féminin, mais par-dessus tout ahurie par le corps voluptueux de Mazel, qui comme toujours le visage cachés, voir la tête complètement, portant d’ordinaire une combinaison ample, son subjugués par ce corps de rêve, ce demandant si elle a réellement le même âge qu’eux.

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