Chapitre 9

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Toutes embarrassé par cette combinaison de plongé moulante, partent s’assoir essayant de se cacher sauf Inaya qui ne prêtent pas attention aux regards, Karma trop occupé à baillé et Nomen qui en femme ne comprend pas le but de cette tenue.

« Les filles arrêtez de faire les mijaurées, c’est juste un maillot de bain on porte des vêtements et on porte tous la même chose, n’y a pas de quoi être excité pour un bout de tissue » résonne-t-elle

« Bien dit, Inaya, bref vous devez vous demandez ce que vous foutez dans une piscine, tous simplement pour entrainer vos pouvoirs, parce que les gens ont tendances à négligés l’importance du physique et de l’esprit sur la personne, c’est comme un puzzle certes même s’il manque des pièces tu peux avoir l’image, mais il manquera toujours les pièces pour être complet, c’est 20% peuvent changer le cours d’une histoire, Duncan en est la preuve vivante raconte leur »

« Je ne vais pas rentrés dans les détails, si vous avez un minimum de connaissance, vous avez dû entendre parler des guerres éclairs, ou la sais plus combientième de guerres contre les démons, bref dans ce combat y as plus de trente ans, si je m’étais pas entrainé quotidiennement, j’aurais pas juste perdu un œil, mais la vie, bref donc notre but pour ce trimestre est de vous développer physiquement, vous endurcir physiquement et mentalement… »

« Sur ce coup, c’était de notre faute, mais vous aussi ! Si vous arrêtiez à vouloir nous génocide à longueur de journée, on ne serait pas toujours en guerre ! Tous les démons ne sont pas mauvais, n’oubliez pas qu’il existe un pays à Thanatos ou le démon sont pacifiste » pense Klaus

« Laisse-moi dire le meilleur, grâce au collier à votre cou, un inhibiteur de pouvoir entre autres, comme tous les ans et pour tous les élèves de cette école jusqu’à vos vacances de noël, personne n’aura le droit et pourras utiliser ses pouvoirs, je sais ça parait cruel mais vous nous remercierais un jour »

D’un cri de rages commun, à l’unisson une union de groupe se créent insulte le professeur de tous les mots existants ou non, lutte pour ne pas réussir à retirer un fin collier en argent à leur cou, tous bougeant dans tous les sens ne peut utiliser leur capacités, pouvoirs, et comme les 5 étapes du deuil, auxquelles seraient successivement confrontés ceux qui subissent une perte : le déni, la colère, la négociation, la dépression et enfin l'acceptation, malgré tous ses sentiments néfaste se relèvent tous unis d’un regard noir attendant les ordres.

« Désolé, mais c’est pour votre bien » assure Lena l’expression lourde

Claquant des doigts leur bras se retrouvent noué à leurs dos retenus par des menottes, subitement leur corps d’une lourdeur extravagante tombe au sol, aucun d’eux n’arrivant à se relever se font tous jeter à l’eau, tous paniqué, criant se débattant comme une chose se brisant en eux leur instinct de survie explose de rage et les forces à vivre, or ces poids inconnus mélangé à la peur, l’eau, le manque d’oxygène et d’autre facteur rendent la survie bien difficile, des larmes se mélangeant à l’eau des souvenirs teinté de souvenirs faisant surfaces, paniquent encore plus.

Mais se rappelant qu’ils peuvent respirer nos héros invulnérable, brisant les menottes, attrape leurs camarades et les sauvent, Mazel et Icarus déjà en dehors de la piscine, surveillés par Duncan d’un signe des mains soupirant, font semblant de tomber au sol, essoufflé, tous conscient mais en piteux état après une demi-heure de repos, partent ce changer en colère, remarquant qu’il est l’heure de leur entrainement au MMA ou Taïchi, Kung-fu, les voyant tous enragés eux s’échauffant.

« Pour cette fois je vous propose un deal, si l’un de vous arrive à me touche, je serais son larbin pendant un mois »

Remonté à bloc et au maximum, n’ayant plus que de la haine en eux et des envies de meurtre, sans hésiter tente le tous pour le tous et jusqu’à fin sans suite, ou suite évidente du sang gicle, des os se brisent, des danses brisées le tout dans une symphonie à sens unique.

Comme toujours à la fin de l’entrainement, Nathanaël portant sur son dos Inaya, des clones portant les jumeaux et leur camarade de classe, tous évanouies, soupir à cette vie plus effrayante que son visage, sortant de la salle eux aussi sortant, en perdant ses mots en voyant sa petite-amie avec un cocard boitant, se tient à lui.

« Non ! Je te vois arrivé et non ! Accompagne-moi plutôt à l’infirmerie, plus important comment ça se fait que tu sois intact ? Ses trucs annulent nos pouvoirs »

« Je suis invulnérable, mais garde la chose secrète pour le moment, sinon le démon va me tomber dessus, et je n’ai pas envie de souffrir, toi ça va ? »

« J’ai connu beaucoup mieux, si seulement je pouvais me téléporté, là je serais déjà en train de dormir, d’un côté pour moi c’est même une récompense, certes c’est chiant si j’avais pu utiliser mes pouvoirs ma vie serait tellement plus simple, mais d’un côté comme mes pouvoirs passifs sont de type radio, je peux juste baisser le volume, l’intensité et depuis ma naissance toujours tous capter s’est horrible, j’en ai faits des crises, même si j’ai l’habitude sa reste pénible, donc ne rien n’entendre c’est un gâteau divin, c’est bandant tellement c’est reposant, c’est pour ça que des fois je me focalise sur toi, ton esprit comme je ne vois pas, j’entends rien ça me permet de me détendre désolé si je me sert… »

« Pas du tout, sert toi autant de fois que tu veux de moi, je suis ton petit-ami après tous, suis là pour ça, surtout si ça peut t’aider »

« Vous êtes tellement niais et mignon, que ça me donnerait la gerbe » assure Inaya accouder à sa tête se rendormant.

« Elle est où au faite ? Ce n’est pas marquer sur le plan qu’ils nous ont donné au début »

« Le plan était faux, le vrai était caché dedans » explique Neven à côté portant Jehan qui s’est cassé le bras

« Ils n’ont rien de mieux à foutre que faire des faux plans ?! » crie Lara portant Nomen

« Je vous l’ai déjà dit, c’est des sadiques ! » critique Klaus portant Asuna sur son dos

« Vous êtes encore loin du compte, c’est pour nous apprendre à récolter des informations, mais je vais vous les données, ce seras plus simple et rapide » les prends-il en pitié ce quatrième année

Loin d’être le dernier, apprennent que cette école, lycée ou chacun d’eux va passer leur vie durant les cinq prochaines années, aux méthodes cruel et étranges, cache bien des secrets, en plus des bâtiments déjà connue remarque ceux qui était déjà la et depuis la création de cette école, voir avant, l’hôpital ou l’infirmerie, situé à quelque kilomètre entre d’autre dortoir ayant un symbole de minotaure pour les garçons et centaure pour les filles, derrière le long bâtiment ressemblant à un mille-feuille.

Le lycée un immense et ridiculement grand château, prenant plusieurs hectare digne d’un riche prince égocentrique, au style médiéval dont chaque étage correspond à une année scolaire, avec sur chaque côté un énorme bâtiment, sur quatre étage dans un style plus moderne, ressemblant étonnamment à un mille-feuille dont une partie sur deux est recouverte de baie vitré, un étant un dortoir provisoire, salles de repos, des professeur, l’autre tous ce qui est administratif et divers, entre les deux bâtiment encore une autre cette fois-ci en cercle comme un macaron sur six étages, consacrés à l’entretien physique, au fond plus loin se trouve d’autre dortoir toujours par genre, plus précisément deux du côté à gauche et deux à droite, un pour les deuxièmes année, et pour finir visible au loin de leur dortoir, sur sa petite ile privé, la villa au sang latin du proviseur enfermé dans un dôme.

Continuant à être surpris par cette île, mais surtout l’organisation et la logique de leur lycée, ils apprennent que cette île est composée de multitudes abandonnées, d’archipel voisines, dont trois détiens les dortoirs pour les employées, professeurs et autre, trois autres iles au défi, trois iles pour les dortoirs, le jardin privé du proviseur, sur l’île principal mis à part le château qui sert de lycée, avec les mille-feuilles sur les côtés, même si dans le gymnase on peut trouver tous les sport, derrière le gymnase plus loin y a une piste d’athlétisme, avec au centre un terrain de football, comme un peu partout des airs de pique-nique, de repos en pleine air, dont certains sont couverts.

Mais tous si éreinter ce chemin parait une éternité, une ancienne église chrétienne datant du moyenne-âge, restauré, réparer aux normes du jours, repeinte en beige et rose, surtout réaménagé en mini hôpital, avec tous les instruments perfectionnées et utiles pour soigner et sauver des vies, devine facilement qu’il s’agit de l’hôpital en question, y rentrant intimidé, passant les portes automatiques, aussitôt des jets d’eau puis d’air chaud vient les stérilisés, toutes de suites informés des infirmiers prennent la relève, assis dans un bureau avec le docteur en charge, rassure Nathanaël.

« Pourquoi, je n’ai jamais tilter que c’était la ça ? » se demande Klaus qui les a rejoints après.

« Mes collègues sont en train de le remettre à plombs, et ils les raccompagneront à leur dortoir, donc vous pouvez rentrer on s’occupe du reste, sinon un café avant de partir ? »

« Non merci »

Assis dans ce bureau, très ressemblant voir identique au bureau du proviseur, à Nathanaël, Klaus et Neven rien ne le parait hors du commun, sauf au moment où il remarque le visage de la doctoresse, pour des raisons inconnues, Klaus à l’impression de l’avoir déjà rencontré, or il s’agit pas uniquement d’un déjà vu, mais d’un sentiment plus complexe comme s’il la connaissait personnellement, comme si un jour dans son passé à eu un impact dans sa vie, or bien trop épuisé par cette journée n’as pas la volonté ni l’énergie d’y réfléchir.

« Tous les ans à la même période c’est la même histoire et c’est qui qui doit recoller les morceaux, c’est bibi, Duncan un de ses jours je vais te buter » soupire la doctoresse

« Parce qu’en plus c’est tous les ans ! Ils essayent quoi ?! De nous tuer ! Des vraies psychopathes ! »

« En temps normal, je devrais soutenir mes collègues mais je ne suis pas d’accord avec leur méthode, un de ses jours ils vont vraiment tués quelqu’un »

« Madame, c’est normal que ce soit aussi rapide ? Au moment on est rentrée, pif » demande Neven

« C’est une technologie qui existe depuis un moment, basé sur l’intelligence artificiel, qui scanne les patients envoie les informations aux médecins, comme ça en ayant les informations au préalable, on peut intervenir plus rapidement, sur ce il commence à se faire tard rentrer manger et vous reposer »

Ne pouvant contredire, épuisé dans chaque recoin de son corps et son esprit de cette journée, bien trop blasé de tous, s’affalant dans leur lit, recevant un messages, soupirant d’un appel vidéo Nathanaël appelle Klaus.

« Cassia veut nous voir, elle à un truc à nous dire avec ses copines »

« Tu sais quoi, je n’ai même pas la volonté vas-y si t’en as envie, mais moi je rends l’âme »

« Putain ! Si toi tu refuses d’aller voir des filles c’est vraiment que c’est la merde, mais t’as raison même moi j’ai la flemme »

Inanimé avec un léger soupçon d’énergie n’ayant qu’une envie mais pas la force se laisse tomber et dos par terre pour s’endormir dans cet état, contrairement à lui les autres ont eu la force de se laver, se changer pour dormir.

Le lendemain matin, les professeurs ayant déjà l’habitude tous les ans de ce rituel prennent les parie, s’attendant à un taux d’échec des premières années extrêment élevé, voir parfait, ignorant la chose la plupart bien trop habitué à utiliser leur pouvoir, Duncan et Lena dans le réfectoire sirotant son café matinal, rigole sadiquement à tous ses cris, regardant l’heure plein sont en retard, pas mal qui d’habitude se servirait de leur pouvoir pour leur tâche quotidienne, se retrouve à comme ses enfants à devoir tous réapprendre, frustré de toute leur rage insulte Duncan et Lena, tous paniqué à courir dans tous les sens, se bousculant, criant, faisant tous en quatrième vitesse, sauf pour certain qui se sont préparé en avance comme Vento, Lara, Mazel, Nathanaël et d’autre élèves conscient de leur perte de pouvoir, se sont préparé en conséquences, déjà prêt et même en avance assis sur un des bancs discutant entre eux observe les étudiant presser, apercevant au loin Cassia les cheveux au quatre vent, en train de courir un beignet dans la bouche, se stoppant de justesse évitant de rentré dans Karma

« Reste pas planté ! »

« Don ! Tu fous quoi ?! Je n’ai pas que ça à foutre ! »

Triplant de volume Donovan se pose au sol, d’une seule et unique envie de gifler

« Tu vas calmer ta joie toute suite ! Ingrate ! C’est toujours moi qui fais le sale boulot ! Tech ne commence pas à m’énerver, ou je vais me barrer et tu serais bien dans la merde ! Sale gamine insolente ! Contrairement à toi, je n’ai pas que ça à foutre à moi ! Ta des jambes sert toi en ! Sérieux tu me fais perdre mon temps pour ça ! »

« Don ? T’es pas juste un robot intelligent ? »

« Non, longue histoire courte, j’étais un humain et je suis devenu un être métaphysique qui empreinte ce corps matériel pour pouvoir faire ce que j’ai à faire, bref ne te fait pas mal au crâne inutilement, un de ses jours, je vous expliquerais tous, mais pour le moment monte »

Volant d’un battement d’aile sont déjà devant le lycée, d’un air dépité reprend sa taille standard et d’un air dépité repart en volant, certain déjà en classe contrairement à d’autre en retard mais pas encore, se pressent courant comme des dératés, finissant par tous arrivé à l’heure ou en retard, malgré leur perte de pouvoir assiste au cours comme tous élève, et comme tous ses élèves nos héros s’imprègne des leçons donnés, suivant le programme de l’année chapitre par chapitre, pour le moment certain s’ennuie des cours, d’autre toujours satisfait, ou tout simplement ignore et assimile les connaissances et ceci pour chaque cours, les cours de langues, sciences, sports, littérature, mécanique, botanise [….] des cours varié et divers, laisse la journée coulé et comme une routine bien installé et présente, le soirée arrivant partent à leur entrainement or bien trop habitué à ce facilité la vie, grâce à leur pouvoir, se mettent eux même en difficulté comme Lara ou les jumeaux, qui doté d’une super-vitesse ne se pressent jamais, or oubliant la perte de ses capacités se retrouvent à devoir courir.

Comme toujours et pour ne pas changer les choses, en plein instruction pour devenir d’excellant combattant de MMA ou Taïchi / Kung-Fu mais comme toujours après les séances d’étirement, de musculation, les répétitions des bases, finisse à la merci des entraineurs, écrasé, piétiner lamentablement, ce qui est logique et comme toujours rentre épuiser, d’habitude se serait contenter de manger, se laver, réviser leur cours puis dormir or cette fois-ci préoccuper par ce qu’ils ont autour du coup, se donne rendez-vous dans le salon des filles, étant plus spacieux mais surtout plus pratique, toute leur classe réunit discutant de tous et de rien, mais d’une chose essentiel leur premier bilan mensuel, arrivant à chaque fin de mois, un contrôle sur toutes leur connaissances du mois, aussitôt tous déprimant sauf les bon élèves, propose de diminuer les séances dans leur club, pour ce focaliser dessus en fais

« Je réfléchissais, comme vous savez suis une bête en tous ce qui touche aux sciences, tous ce qui est littérature j’y arrive mais avec des migraines donc je me disais, on peut faire un système genre on fait des réunions entre nous, ou on révise, on s’explique, on s’aide pour les cours… »

« Oui ! Tu me sauverais la vie ! Sais pas pour vous mais… »

« Euuh… Désole je me suis permis, de faire pour chacun de vous des notes détaillées des cours, selon vos points fort et faible pour que vous puissiez comprendre les cours… Désolé ! » Tremble-t-elle respirant difficilement, le visage caché derrière cette énorme capuche, ce mordant le pousse frénétiquement.

« Respire Mazel, ici personne te veut du mal, on est tous amis et ne t’excuse pas au contraire, ça fait extrêment plaisir que tu veuilles nous aidés » assure et rassure Asuna

« Mon cerveau c’est loin d’être mon point fort, mais t’inquiète pas si t’as besoin de muscle, je me ferais plaisir d’être là »

« Depuis le temps, tu l’admets enfin que t’es stupide » assure-t-il d’un sourire narquois

« Ven, je te jure que je vais te faire bouffer ta race ! »

S’interposant, Lara empêche Lorenzo d’étrangler Vento sous la colère, oubliant complètement la pression explose de rire, avec Lucius qui encourage Lorenzo, les observant Mazel oublie ses idées, souvenirs sombre, malgré le visage caché on imagine un sourire soulagé, lui tendant un paquet de bonbon Klaus lui fait un clin d’œil, comme toujours le couvre-feu arrivant, les garçons sont chassés, alors qu’il allais se coucher après cette journée, affalés dans son lit voit sur sa table une petite boite en velours décoré d’un ruban rouge, soupirant, le prend et devant la porte d’à côté chez Klaus sonne à l’interphone, qui lui le recevant d’abord une notification sur son portable, cliquant dessus voit en direct le visage de son meilleur-amie, le soupirant lui ouvre la porte, lui lançant la boite.

« Déjà enfile au moins un caleçon et tiens un cadeau de Cassia, pourquoi tu ne m’as pas dit que tu lui avais dit ce que tu es ? »

« Je ne leur ai pas dit, elles l’ont deviné, mais elles vont garder le secret »

« Ton machin soi-disant mystique, n’est pas sensé caché ton aura démoniaque, tu m’as fait tous un discours, mais tu t’es fait cramer en moins d’une semaine »

Soudainement ressens en lui de la colère et encore de la rage, avec une touche de mélancolie, se remémorant toutes les souffrances qu’il a dû encaissé à cause de ce qu’il est, de ca nature démoniaque, soupirant ouvrant cette boite, regarde ce collier commençant par une un long collier en cuir avec au bout une perle d'or retenant une plaque métallique gravé d’un soleil levant, enlevant ses boucles d’oreilles pour les remplacés par un anneau en or avec en pendentif la même plaque métallique, curieux d’un truc ce craquant la colonne vertébrale sa peau devient rouge, ses ongles s’allongent d’une dizaine de centimètre la sclérotique de ses yeux devient noir corbeau, l’iris devient jaune aux bords rouges, sa pupille dilatée en un trait comme les reptiles, ses canines s’allonge et une queues préhensile finissant comme celle d’un lion.

« J’ai deux questions, pourquoi tu te transforme en démon ? Et ce n’est pas censé justement supprimer ton démon ? C’est quoi au faite ? »

« Déjà ça fait trois pas deux ! Ses des artefacts de privation de type angélique, oui je porte un truc qui pourrait potentiellement me tuer, ça ne supprime pas ce que je suis mais me sert à deux choses, si les gens me scannent peu importe, pouvoir, technologie, ça les trompera et accessoirement pour m’empêcher de déborder, surtout pendant la nuit sanglante, des préparatifs quoi, au cas où »

Le giflant avec sa queue, puis l’attrapant et le soulevant par le cou le jette sur le lit.

« Je ne suis pas une putain de magical girl ! Et ce n’est pas un power up ! On n’est pas dans DBZ ! Combien de fois va-t-il falloir que je te l’explique ! (Respire profondément) Ecoute bien, je sais c’est compliqué et bizarre, ça l’est tous les jours depuis ma naissance, c’est comme une pièce elle à deux facettes, aucune des deux vraie ou fausse, se sont juste deux aspects de la même chose, pour moi c’est pareil, je suis un démon hybride, bref tu me rejoins ? Une petite partie »

« Pourquoi pas, par contre j’en ai marre cette fois-ci je ! Choisis le terrain »

« Dans tous les cas tu te prends une raclée donc choisit le lieu de t’as défaite »

Donc comme tous ses étudiants peu importe où il se situe dans ce monde, lutte entre l’ennuie la paresse, les jours passent et vivent leur vie d’étudiant entre cours et amis jusqu’à que le premier jour fatidique arrive, tous réveiller le cœur lourd, anxieux à l’idée de ce premier test se déroulant sur une journée complète, le pas tendue vont dans leur salle de classe comme l’animal à l’abattoir, leur sort inévitable se chemin qui d’ordinaire paraît quelconque devient leur escalier vers une mort sur, tous dans l’état d’esprit même les bon élèves, sauf comme toujours le ou les moutons noirs dans le troupeaux qui soit insouciant ou préparé vivent leur vie, comme chaque jour.

Derrière ses amis, les voyants ainsi comprend leur inquiétude, sans réellement en comprendre les raisons, voulant leur remonter le moral, les rassurés cherche une idée, assis dans un véhicule volant à une place, il s’agit d’un petit vaisseau flottant avec une forme très distincte ressemblant étrangement à une soucoupe volante, du à sa forme ovale, un vaisseau à une place grise argenté avec des bandes de danger noires et jaunes sur les côtés, son fauteuil en cuir rouge pale, avec plein de petites trappes entourant le véhicule, en soit de loin comme de près ressemble à une soucoupe volante, sur son ordinateur en fait un contrôle technique et son véhicule plus qu’optimal, remarquant vexés les étudiants qui passent et s’en moquent ce qui lui donnant une idée, se remémorant toutes les fois, ou ses amis se sont moqués de sa création, en un instant les rejoints, les doublant et leur bloquant la route.

« Alors les péquenots on marches ? » assure Karma d’un ton narquois

Ne pouvant se retenir plus longtemps, n’arrivant pas à la prendre au sérieux se tordent de rire en la voyant dans ce véhicule, la narguant aussi tôt en oublie toutes leur tension, marchant tranquillement vers leur premier gros contrôle.

« Mes parents avait raison, le terrien est une créature bien étrange, vous avez une vision bien biaiser des choses, vous compliquer toujours les choses » en soupir Nomen

Tous dans leur salle de classe, assis à leur place, les professeur ordonnant aux élèves de sortir leur tablettes électronique, toutes identique une tablette de quinze pouce avec une coque protectrice avec le nom, prénom et identifiant gravé au dos, la sortant automatiquement une évaluation s’affiche et ne peuvent pas revenir au menu, tant qu’ils n’ont pas remplie et envoyé l’évaluation, ayant pour chaque épreuve soixante minute et pas une de plus, avec des pauses de dix minutes entre chaque épreuve, dont celle d’un heure pour le midi.

Les professeurs pour la première entendent et savoure un silence quasi parfait, admirant tous les élèves sans exception focaliser sur, tous ont fait leur pronostic sur leur élève, lisant les questions eux même s’étonne de comprendre et connaitre la réponse, grâce aux cours soigneusement détaillés de Mazel, tous leur viennent avec limpidité comme une révélation.

La matinée de finit, épuisée intellectuellement et physiquement par toutes ses questions, partent comme une horde de zombie inanimée se restauré, bien trop ennuyé et fatigué pour lâcher des mots compréhensible, volontairement ou pas chaque classe se réunit entre eux pour manger, avant de reprendre restant encore un peu de temps avant le supplice, curieux sur le sort de leur autre amis chacun se mélange avec les autre classe, Nathanaël par voir Cassia réduit à l’état d’objet non identifié au sol, curieux mais toute force mental perdu ce contente de s’allongé à côté, se tenant la main parlant de tous sauf de ce qu’il leur en ce jour.

Cette torture, supplice qu’ils ressentent finir par se finir est exceptionnellement leur entrainement annulé, partent s’affalé en attendant les résultats, étrangement, d’ordinaire n’importe quel élève fera tout un discours, passerais par des phases, ferait des suppositions sur leurs épreuves, or eux après une journée intensif deviennent des coquilles vide, n’ont plus envie de rien, n’attendent plus rien de la vie, se laisse couler jusqu’à que les résultats arrivent, se rassurant car ils sont en week-end sur cette note partent tous dormir et à leur réveille ont dans leur boite de réception un long message, le genre de message que personne ne lit jamais avec en pièce jointe un tableau montrant pour chaque matière, la note et l’appréciation, sans tarder des groupes se forment pour en débattre, sachant que leur professeur principal et aussi le coach de leur club, on rendez-vous avec lui le jour suivant mais conclusion des choses ont tous au minimum la moyenne, criant de joie, voulant aller la remercier, Nathanaël les stoppent.

Sans prévenir et de justesse Klaus esquive un coup de pied volé de Duncan, continuant à esquiver des coups, or l’écart d’expérience et de capacité bien trop grand finir au sol en prise de soumission, ou sa préférée celle du cobra qu’il a personnellement modifié, d’abord d’une balayette l’envoie au sol, puis s’asseyant sur sa tête attrape ses jambes et les tires vers lui.

« Je te l’ai dit des milliards de fois ! Portes des vêtements ! Y’a une façon de se comporter en public quand t’es seul dans ta chambre, je m’en fou, mais en public non ! Donc va enfiler des vêtements ! Je n’ai pas envie de voir cette horreur dès le matin ! »

Les autres déjà partie depuis un moment, l’abandonne déjà habituer sont parties mangés et vagabonder à leurs affaires, quelque heure plus tard passant dans un couloir avec plein de salle, essentiellement pour les clubs, passant devant un des clubs de musique, aperçoit Neven curieuse l’espionne par la fenêtre et le voit discuter joyeusement avec une jolie fille assise à côté de lui, heureuse pour lui, repart pas loin de sa salle vérifiant à la lumière la propretés de ses pinceaux apercevant cette fois Inaya qui se fait violemment abordé, sans réfléchir Inaya d’une prise de judo, l’aplatit au sol et d’un coup de poing l’assomme en lui brisant le nez, en un rien de temps, l’applaudissant alors qu’Inaya la voit pas, en rigole.

Repartant se cognant à un élève, cette fois-ci autour de Cassandra un jeune homme portant aussi la combinaison comme uniforme mais dans un style rock, aussitôt est étonné de voir qu’il existe vraiment des gens comme lui ici, représentant autant de cliché les ongles noirs, les piercings aux oreilles, deux aux lèvres, au nez à l’arcade, les yeux et lèvres maquillés de noir le trouvant ridicule, s’excuse et voulant repartir il a retenu par le bras.

« Putain que t’es canon ! Je suis dans le club de rock ça te dit que je te montre mes talents »

« C’est gentil mais je ne suis pas intéressé et j’ai des trucs à faire, sur ce au revoir »

« On peut discuter au moins »

De derrière le soulève par le cou le plaque contre le mur, face à lui, d’un simple air méprisant il suffit pour que l’autre s’urine dessus, part prenant la main à sa copine.

« Merci mais j’aurais pu gérer… »

« C’est lui que je sauvais de toi »

Tous vaguant à des occupations précise, se donnant du répit après leurs évaluations partent se détendre, certains à travers des activités sportives, d’autre littéraire, divertissantes […] à part le club de parkour inscrit à aucun club Klaus préfère glander croisant dans sa promenade les jumeaux lui proposant de les accompagnes dans leur entrainement de parkour, Klaus préfère glander et pour une fois en solitaire.

Suivant le même exemple Vento, Mazel, Karma sont dans leur chambre, Lara avec Asuna dans un club de cinéma à débattre avec les autres membres d’un film après l’avoir vu, Nomen cours rejoindre les jumeaux, Lorenzo avec Inaya dans une salle de boxe dans le ring à s’entrainer contre un sac de frappe, comme toujours il remarque les regards langoureux des hommes sur Inaya, mais ne pouvant nier l’indéniable beauté d’Inaya lui-même luttant pour pas fixer cette beauté fulgurante, ayant encore plus de mal à retenir ses pulsions quand il l’a voit dans cette tenue, portant pourtant une tenue banal de boxeur, la brassière, le short et les gants, combinés avec des cheveux tressés en arrière.

Cette jeune femme aux origines oriental à la peau caucasienne, du même âge, mince et d'assez grande taille, aux cheveux longs de couleur brune soyeuse, descendant jusqu'au milieu de son dos, ses yeux sont de couleur marron avec des nuances d'orange, de stature athlétique, aux physiques plutôt avantageux, totalement focaliser corps et âme dans son art ignore complètement ses camarades, s’ennuyant ayant besoin de plus, observant Lorenzo qui lui aussi doté de bonne technique à la boxe, remarquant que derrière ce corps enrobés on voit bien les muscles saillant.

« Renzo ! Pourquoi la graisse ? Tu ne serais pas mieux si tu maigrissais ? Je ne dis pas ça parce que je trouve gros, oui je te trouve gros mais ce n’est pas mon problème mais pour te battre ça te gêne pas ? Fait comme tu veux » dit-elle embarrassé

« Toujours aussi direct toi (ricane) ne change jamais et c’est voulu, c’est une technique de défense, viens sur le ring pour un combat tu vas comprendre »

S’interposant la star du club, un élève de quatrième année très prometteur connu dans le lycée pour trois choses, sa droiture d’esprit, sa beauté et son talent au MMA, part dans un récit, un débat sur les différences hommes femmes, se sentant profondément insulté, d’un signe Lorenzo lui fait comprendre qu’ils s’en chargent.

« Ridicule, dans un vrai combat il n’est pas question de sexe mais de survie, plus si tu respectes réellement la personne tu l’affronteras peu importe, son origine et son sexe, surtout on parle d’Inaya la pas de la première bimbo qui passe, Inaya en plus dans le pantalon qu’une centaine d’homme et ce que tu viens de dire est discriminatif, t’insinue que parce que c’est une femme, elle est forcément plus faible qu’un homme, ça se voit que t’as jamais eu à faire à mes sœurs ou à ma mère »

Encouragés par les autres filles du club, se sentant insultés par les propos du jeune homme, demande des excuses, d’une tape amicale Inaya le remercie et prend la relève.

« Tu sais quoi beau gosse, on va faire plus simple … Non ça ne se fait pas, c’est juste toi le misogyne, on ne va pas punir les autres pour tes conneries, je sais ! On va faire un petit combat, si tu gagnes je deviens ton larbin pendant un mois, ça te va ? »

« Je suis désolé si je vous offensés les filles, l’histoire nous la prouvé des milliards de fois, qu’une femme peut être bien plus puissante qu’un homme, mais faut reconnaitre qu’un homme seras naturellement plus puissant qu’une femme (remarquant les regards meurtries), d’accord mais pas besoin d’aller aussi loin, bon t’as du le remarqué t’es magnifique et tu plais aux hommes… »

« Encore un (soupir, lève les yeux au ciel) tu sais quoi si tu gagnes, j’irais à trois rendez-vous avec toi, où et quand tu veux mais si tu perds tu fais le tour du campus dans le déguisement que je choisirais, alors t’es chaud ou pas ?! Soit un homme, fait toi poussez des couilles et vient sur le ring ! »

« Quand tu veux ma belle, par contre comme suis mannequin et j’ai une séance photo tout à l’heure, donc on porte des protections, j’aimerais bien pouvoir utiliser cette tronche mais donne tous ce que tu as du moment que tu évites de toucher le visage »

« Bien vu, moi aussi si tu pouvais éviter de toucher mon visage, ce serait cool »

Sous mes houlement des autres membres du club, montre sur le ring le regards sombre, en face à face se tourne autour elle comme la fauve prêt à bondir, analyse, étudie sa proie, lui plus excité et effrayés par sa beauté ce mordant les lèvres retient le mini lui de montre son engouement, le gong sonnant toujours dans un style offensif le charge et l’enchaine de coup, malgré les gant qu’elle portent remarque que ce beau brun ténébreux aux yeux noisettes, n’est pas juste un beau parleur, mais à entrainer durement son corps pour encaisser des coups.

« Alors Duke, vas-y ! Montre-moi ce que tu vaux ! Prouve-moi que les hommes sont meilleurs ! Tu préfères me manquer de respect ?! »

« T’as raison »

Repulsant plusieurs de ses coups, à son tour d’un coup de poings l’envoie dans les cordes, de justesse esquive plusieurs coups s’en prenant un sur deux, dans un combat à sens unique, comprend rapidement qu’il ne combat pas à son maximum ce qui l’humilie dans son âme de combattante.

« Vu que tu ne me prends pas au sérieux, je vais t’y obliger »

D’un bond en arrière, inspirant profondément d’un appuie balance un coup, souriante qui l’érafle au cou, puis d’un cri de toutes ses forces balance de coups de poings dans tous les sens à pleine vitesse, le voyant esquivé ou parer ses coups s’énervant, voulant forcer d’un craquement s’évanouit.

Ce réveillant en sursaut des heures plus tard, à l’infirmerie une fois de plus gronder par une doctoresse qui l’as vu bien trop souvent, lui fait le moral réveillant d’une gifle Lorenzo qui ronflait assis dans un fauteuil.

Ce premier mois de cours ce finissant rapidement, tous définitivement à cette vie, vivent pleinement leur vie d’étudiant entre cours, entrainement, club […] les liens entre eux se resserrent, chacun des protagoniste à force de voir leur camarade de classe à longueur de journée, deviennent extrêment proche, en apprennent sur eux et sur les autres, rigolent, s’amusent, s’entraident, pleure, s’énerve ensemble comme une unité de même pour les autres comme la classe de Cassia, comme Jehan qui devient son meilleur-ami et confident, se rapproche de tous ses camarades de classe fille comme garçon, même d’Icarus qu’elle trouvait à l’origine trop aléatoire, simplet, libertin, trouve en lui des qualités qu’elle y pensait pas trouvé, voit en lui l’amie loyal qui contrairement à d’autre jaloux d’autre classe, n’essaye pas de rompre son couple avec Nathanaël, au contraire le soutient et la pousse sans cesse vers lui, la défend à toute occasion, quand certain jeune on essaye de la draguer alors qu’elle est en couple et qu’ils le savaient, même pour Nathanaël lui fait rapidement une confiance aveugle.

En soit tout le monde confondu en ses quelques mois, se sont développer intellectuellement, physiquement, moralement […] les liens créés se sont renforcés, certains endurcies, comme le couple que forme Nathanaël et Cassandra, tout le monde c’est ouvert à tout le monde, même Mazel de nature réservé et timide d’autre devenue très ouverte, bavarde, mais uniquement avec ses camarades de classes et Cassia et pour des raison que tout le monde ignore, c’est énormément rapproché de Nathanaël et de Neven, d’autre relation sont devenue ambiguë, désormais au mois de Décembre la neige déjà tombé abandonnée, les températures qui ont chuté drastiquement, le froids se ressentant concrètement visuellement et physiquement, même si leur tenue les tiens à une bonne températures, leur tête n’est pas couverte, ayant sortie les bonnes, écharpes et autre leur vie continue quand même, portant toujours leur collier inhibiteur de pouvoir, ironiquement après plusieurs mois sans utiliser leur pouvoir se sont fait une raison, et vivent leur vie pleinement sans s’en soucier.

La classe de Cassia et de Nathanaël ayant un cours spécial, ont rendez-vous dès le matin sur une des îles au défi, une île sauvage remplie de verdure, ayant déjà froid à l’idée d’abord ils doivent se réveiller, baillant de toutes ses forces Klaus s’étire tournant la tête, criant voit ce qui se passe derrière le mur, voit Nathanaël faisant ses exercices d’étirement matinaux, effraye par ses changements soudain, voulant demander de l’aide mais se rappelant ce qu’il est, se rassure arrive difficilement à ce calmer, envoyant quand même un message à son père qui d’un long mais long message lui explique plein de chose, inspire profondément se tâtant de partout remarque le collier qui le privait de ses pouvoir tomber au sol, alors que pendant des heures il n’as pas réussi à faire quoi que ce soit.

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