Chapitre 4

23 minutes de lecture

« Boss, relax tu vas encore nous tuer les nouveaux »

« Je suis déçu d’Arcadia, on ne vous apprend pas à ne jamais juger un livre par son apparence ? »

Bondissant vers Neven, prêt à lui donner un coup de cane bloque le coup, provoquant une onde de choc, remuant le décor.

« Calme toi, le vieux est-ce que tu nous as entendues dire quoi que ce soit ? Non, donc avant de faire des fausses accusations, assure toi d’avoir raison au minimum, même si on à penser que t’étais gros et moche et alors ? Le président d’une entreprise est affecté par des paroles ? » critique Nathanaël

« Boss, il a raison le gamin, faut que tu te détendes ou tu vas encore avoir mal »

Rigolant mais toujours vexé, essaye d’attaque Nathanaël vous l’enchainés de coup, il esquive se faisant insulté, soupirant l’ignore d’un air désabusé puis l’entendant critique ses sœurs, d’un nerf essaye de ce contrôlé, puis entendant une insulte sur ses parents, d’une gifle l’envoie s’écraser contre la baie vitrée derrière son bureau

« Quoi t’es vexé ? Je n’y peux rien si t’as mère vous a abandonné, elle en avait peut-être marre de vous, ce n’est pas étonnant avec un visage aussi effrayant »

Ne supportant pas une insulte de plus, d’une trace de chaussure au sol, déformant le parquet Dallas à la limite du visage de son boss arrête le coup de poing, d’un geste de la main gauche, les soulèves et les installent sur le canapé, leur donnant une boisson froide.

« Kentucky Gerald Jameson junior, tu fais chier ! A chaque fois c’est la même histoire, même moi j’atteins mes limites, tu vas arrêtes ses conneries, ou je t’en ferais payer personnellement les conséquences, Dallas va te faire soigner, toi attends-moi dans la voiture, maintenant ! »

Voyant cette homme ce plié aux fait et gestes, d’une femme qui a l’air d’avoir son âge, sont opposés direct, grande, fine mais beaucoup plus grande que lui, à la beauté pourtant ordinaire, mais simple et élégante sans artifice qui prend soin d’elle, vêtu en survêtement de sport.

D’une raison inconnue, se sentent subitement et étrangement calme, détendue, inspirant profondément, se sentent apaiser mais en même temps n’osant pas la regarder, ressentent une pression immense comme deux gazelles face à un lion prêt à les dévorés.

« Enchanté, je me prénomme Nina Jameson, la femme de l’idiot qui vient de passer, ainsi que la présidente de cette entreprise, tous d’abord j’aimerais m’excuser du comportement enfantin de mon mari et par la même occasion, ma tenue peu recommandable, il se trouve qu’il aime s’amuser à tester les nouvelles recrues, mon mari n’as pas mauvaises intentions, juste des idées stupides, mais cela ne pardonne en rien les propos en votre encontre, mais si souhaitez un dédommagement je me ferais un plaisir de vous en effectuez un, parler librement mais dans les limites du respect »

« Bien entendue, madame Jameson, nous aussi on s’excuse de notre réaction enfantine, ainsi nous ne méritons pas de dédommagement, sur ce laissons ce malencontreux événements de côté, pour se concentrer sur la suite des choses, de manière à repartir sur des bonnes bases, enchanté je suis Neven Sékou Marshall, étudiant au lycée Genos d’Arcadia et voici mon camarade de classe, ami Nathanaël Giorno, comme vous avez pu le voir sur notre dossier, nous sommes dotés de physiques invulnérable et somme prêt à mettre à profit nos capacités, pour le bien de la mission »

« Tous est mon plaisir, comme vous l’avez entendue pour des raisons de sécurités nous vous donnons des noms de codes, mis à part si vous en avez un, comme j’ai pu le voir monsieur Giorno, vous avez choisi Gal-El donc vous serez adressé comme tel ici, vous Neven n’en n’avez pas donc si je peux me permettre, je pense en avoir un pour vous qui vous correspond parfaitement, je pensais Ukuchuma, si vous savez ce que cela signifie »

« Quel africain digne de ce nom, ne sait pas qu’il est, un des plus célèbres super-héros d’Afrique, mondialement connue est respecté, ce serait un honneur et une joie que de porter un emblème qui fait écho à ce grand héros, mais je n’en suis pas digne, si serait possible quelque chose de plus neutre »

« Bien sûr, vous savez quoi les jeunes tutoyez-moi je vous aime bien, vous m’inspirez confiance, bref tu sais quoi on va laisser le destin choisir, donnez-moi dix seconde »

D’une super-vitesse, disparait puis revient changer en tailleur et avec un paquet de carte, l’étalant sur la table basse en face d’eux, lui fait signe de choisir, en prenant une au hasard tombe sur le as de pique noir pour le roi.

« Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un Black King, beau message en plus (regardant l’heure) sur ce aller au huitième étage, dans la salle de réunion 404, votre équipe vous attends »

Allant rapidement rejoindre leur collège en salle de réunion, se faisant stopper Dallas en chemin leur explique quelques règles et leur donne un costume, arrivant en retard, portant un smoking noir taillé sur mesure avec une cravate, des gants en cuir, basket bleu, les cheveux impeccablement plaqué en arrière, les lunettes de soleil dans la poche de devant partent se présenter, au moment de rentré dans une salle enfermé par des baies vitrés, d’un cri strident propulser à travers la vitre à cause d’une rafale de vent, puis utilisant ses don se propulse vers eux, entourant ses mains de lame de terre, pointant sur le cou d’une phrase crie en mandarin, la princesse bégayant s’excuse dans un anglais parfait leur donnant une main.

Se relevant Neven reste figé sur place, comme un arbre qui attend de la lumière, bavant de cette jeune femme asiatique de leur âge, d'une beauté naturelle, élégante et mystérieusement enivrante avec des yeux en amande noisette et des cheveux noirs mi-long, de petite taille, mince et athlétique, ressemblant à l’image typique de la belle jeune femme, asiatique, d’un côté Neven est foudroyé par sa beauté et à la différence Nathanaël est indifférent, de son plus beau sourire montrant un aspect pur de son âme, d’une idée s’approchant de cette princesse, aussitôt une dizaine de garde, lance à la main sont prêt à l’embrocher, soupirant s’agenouille explosant faisant rapidement de ses mains une rose en papier et lui tendant.

(Parle en mandarin)

« Enchanté, mademoiselle Sakura Shen Shui-Fujin, je suis Nathanaël Giorno et je serais votre agent de protection rapproché, pour votre séjour et ne vous inquiétez pas ça nous arrive souvent, mais on s’excuse si on vous a effrayé, mais vous avez l’air de bien vous défendre pourtant, êtes-vous sûr d’avoir besoin de nos compétences ? Ne serait-il pas mieux, que vous ayez à faire des réels professionnels car nous somme que de simple et médiocre étudiant » assure-t-il dans un mandarin quasi natif d’un baissant la tête.

Tellement heureuse de rencontrer une personne qui parle sa langue natale, d’un bond lui saute dans les bras, le remerciant puis se rappelant ses origines timidement s’excuse et rigolant Nathanaël, lui sort un proverbe chinois qui la rassure, détendant l’atmosphère retourne s’installe autour de la table, comme si de rien était

« Encore une fois, je suis sincèrement désolé de mon comportement indigne de mon statut, et je tacherais à me faire pardonner (d’une pause, soupir) bon ça me fatigue, j’en ai marre de c’est courbette inutile, on a le même âge, considérons-nous comme des amis, j’insiste ça me perturbe, pour répondre à tes questions, c’est ma secrétaire, l’autre constipé du visage derrière, mais adorable, qui m’as obligé… tutoyez-moi et c’est un ordre… »

« Si la princesse le demande » assure-t-il sur un ton sarcastique

Se rendant compte des conséquences de ses paroles, imaginant déjà sa fin, la voyant rigoler de bon cœur le remercie, leur explique leur planning et prépare en avance les stratégies, or ne commençant que lundi, se disent au revoir retournant dans leur hôtel avec un Neven encore sous le charme.

Dans une suite de luxe, ne sentant pas à leur place, n’osant pas y rentre bien plus grande que leurs deux maisons réunit, ayant trop de place pour eux et surtout pas habitué de dormir de tel endroit, timidement s’affale dans leur lit, allumant la télévision, d’une foule de sentiment partent se changer puis curieux suite à un message de la princesse, n’hésitant pas une seconde commande tous sur la carte d’un des restaurant de l’hôtel, profitant d’un repas gratuit arrivent à tous manger.

« Mais damn ! T’as vu le canon ?! Depuis quand tu parles chinois toi ? »

« Mes parents sont des militaires, toujours en mode survie ce qui maintenant à donner que j’ai appris à parler et à écrire plusieurs langues, ils ont choisi pour nous le Mandarin, le Japonais, le Coréen, l’Anglais, l’Espagnol, l’Allemand et le Russe, depuis qu’on est petit, donc en plus du Français et de l’Italien qui sont les langues national d’Euforia, donc tu vois Neven que je ne suis pas si con, je peux donc t’insulté dans neuf langes différents si j’en ai envie, encore t’as pas vu Lara et Karma, elles connaissent littéralement toutes les langues existantes, même celle qui n’existe plus »

Quelque heure plus tard, tous en discutant en survêtement de sport, sonnant à la porte de leur suite de luxe, n’entendant rien car trop occupé à écouter de la musique en faisant du sport, Nathanaël et Neven à faire des pompes à la vertical sur une main en pleine compétition torse-nue, ouvrant la porte, sursautant en les voyants ainsi d’une rafale de vent, les envois s’écraser contre un mur, puis s’excusant, remarque qu’ils n’ont aucune blessure.

« Faut que t’arrête de nous envoyer dans le décor ! Tu rentres et tu nous dégages ! D’ailleurs comment t’es rentré ?! C’est une coutume chez vous la principauté des éléments ou quoi ?! Entre Vento qui rentre dans la salle de bain et m’envoie dehors, c’est lui qui rentre ! Et c’est moi qui me fais expulsés ?! Il n’avait pas qu’à rentrer, c’est une salle de bain public abruti ! » s’énerve Neven en anglais

« Comment va Vento ? Toujours aussi calme ? Bref vous m’avez dit que comme je m’ennuyais je pouvais passer, je ne dérange pas j’espère ? »

« Non, mais Sakura, précise la prochaine fois, on pensait que tu disais demain, pas aujourd’hui, t’as vu l’heure ? Il est 22h00, mais t’es là, installe-toi »

Tous les deux torse-nue Sakura, Neven enfile un débardeur cherchant le sien remarque qu’elle est assis dessus, s’approchant d’elle en l’observant ce pose des question sur la princesse, lui donnant un air sérieux, l’observant devant ce jeune homme ayant déjà un corps parfait, un visage fin mais sec et rustre, sombre et lugubre, des yeux perçant et froid bleu comme le ciel, des lèvres fines mais puissante qui pourrait aspirer des âmes, une dentition parfaite d'une blancheurs resplendissantes aux canines acérés lui donnant un côté bestial, une longue chevelure lisse noir, d'un noir si sombre qu'on pourrait croire qu'il est amis avec les ténèbres, or d'un soyeux parfait, un nez aquilin, percé par son regard, rougissant ferme les yeux et tends ses lèvres, la soulevant la pose un peu plus loin et remet son t-shirt.

« Je sais que t’as une copine, je l’ai lu dans ton dossier, je sais je n’aurais pas dû, mais quand j’ai vu t’on beau visage j’ai craqué, pour tout à l’heure, j’étais juste surprise… »

La prenant par les hanches la tire vers lui, après l’avoir embrasser d’une pichenette la pousse sur le lit, ce moquant d’elle.

« Respire ma belle, pourquoi tu te prends autant la tête, oui j’ai une petite-amie dont je suis fou amoureux, mais pour moi embrassé quelqu’un à un sens si tu veux lui en donner un, y a même des cultures ou c’est une façon de dire bonjour donc rien d’exceptionnel, faut se détendre » détend-il

Eux aux Etats-Unis accompagné d’une princesse finissant cette semaine en beauté, d’autre commence le lundi dans un collège d’Euforia devant enseignés à une classe de collégien, qui souhaite s’engager dans une des trois organisation de justice, mais sachant pas encore laquelle, doivent leur enseignés sur quelque cours l’art d’être un Ericales et leur point de vue, en tant qu’étudiant d’Arcadia, ayant pris leur rôle très aux sérieux, Mazel et Asuna se sont réunis pour décider ensemble des démarches à suivre, les discours à faire, quoi et comment dire les choses, arrivant devant le portail d’un collège, de l’extérieur ressemblant à un banal collège franco-italien, deux grand bâtiment formant en L avec devant une cours.

« Je te l’ai déjà dit, tu réfléchis trop, c’est des collégiens donc pourquoi tu te prends la tête ? Déjà que nous en cours on lutte pour pas dormir, alors eux tu peux être sur eux, en dix minute ont les as perdus »

« Pas faux, raison de plus pour les motivés, je vais te prouver que pour vous les anges, tous est plus facile, en plus d’être adulé vous dégagé un je ne sais quoi, qui ensorcèle les gens »

« T’exagère ! »

« On verra »

Allant à la baie vitrée d’un bâtiment à l’entrée du collège, à gauche, d’un simple sourire séduit le surveillant à l’accueil qui discutait avec d’autre employés, un sourire banal mais si puissant, que les homme en deviennent plus idiots qui ne l’étaient déjà, ne cherchant pas à comprendre, Asuna en un temps records est entourés d’une foule d’homme prêt à assouvir c’est moindre demande, d’un soupir de désespoir Morgan, complètement ignoré n’est même plus étonné de voir l’effet de la beauté d’Asuna et pas que sur les hommes, les femmes aussi n’en sont pas indifférentes, curieuse ses yeux brillant la fixant aperçoit autour d’Asuna une aura jaune, très lumineuse au bord de l’aveuglement, à odeur si parfumé incroyablement douce et sucré qu’on pourrait la gouté, qui inconsciemment s’étend sur les gens environnant comme enveloppés dans son aura.

« On peut le dire tu as été bénit par les dieux, tu es belle et tu es un ange » pense-t-elle

La suivant, continué à l’observé toujours derrière elle, marchant derrière elle dans les couloirs, qui était si bruyant, dissipés, d’un coup le silence règne et tout le monde se tait pour admirer un ange, bavant, rentrant dans une salle, se présentant fait son discours et de sa simple présente, tout le monde a été envouté par son existence, recevant des compliments, des bénédictions, comparés à un être parfait alors qu’elle n’a rien fait de particulier.

« Tous ça pour dire que la perfection en soit n’existe pas, le but est d’atteindre tes rêves qui vous correspondent, vous donnant un sentiment d’euphorie, pour moi la perfection c’est d’être épanouie, dans une vie simple qu’on a choisi et pour ça n’y a rien de mieux que le travail contrairement à ce que vous pensez, parce que oui j’entends tous, et non je ne suis pas née parfaite, faut arrêtez ses clichés sur les anges, les trois quarts sont totalement faux, mais ridiculement faux, la seul différence qu’il y a entre un terrien, un thanasien et un édenien, ce que nous comme les thanasien, on est une version alternatif de la race humaine, née sur une terre alternatif, mais on est des humains comme vous, avec un cœur du moins trois pour nous, mais on a une conscience, des sentiments, bref au lieu de parler rendez-vous sur le terrain, dans dix minute »

Sur une scène dans le gymnase du collège, toute deux changé en tenue de sport Asuna portant une brassière de sport et legging rouge bordeaux et basket s’étirant, d’un sifflement, affoles les hormones de tous les hommes dans cette pièce, bavant en voyant cette jeune femme d’origine japonaise à l'air raffiné avec de longs cheveux raides et blanc comme neige, attaché en queue de cheval, mettant en valeur des yeux vert à nuance de jaune, d'une beauté oxymorique froide et libre, un visage délicatement sculpté dans une douce glace, discerné avec élégance et passion, composé de traits fins, obscur et étrangement séduisant et détendue, libre du haut de ses quinze ans elle ressemble déjà à une femme fatale, aux formes généreuses, un physique en sablier.

Avec en face l’opposé, mais ayant autant d’effet, à son étonnement, une jeune femme de seize ans, aux cheveux mi-long lisse et noir, d'un noir si sombre qu'on pourrait croire que les ténèbres se crée en cette chevelure, tombant en une frange dessiné en un arc de cercle de la gauche vers la droite touchant légèrement ses yeux rouge sang, d’un regard perçant comme si elle dénudait toute âme, d'une beauté solitaire, effrayant mais mesquine, un visage délicatement sculpté d’une peau pâle accentuant cette apparence catatonique, composé de traits fins, obscur, des lèvres pulpeuse et d’un rouge sang intriguant aux formes généreuses et de petite taille, vêtu d’un jogging gris ample et une longe et épaisse veste, ne suffisant pas pour cacher ses formes plus que généreuse.

Ecoutant leur pensée curieuse de savoir ce que pense les collégiens, irrité par les critiques d’un signe de tête font signe aux professeurs.

« Tu sais quoi Morgan, enfin de compte on va suivre ton idée, c’est petits cons prennent trop les choses à la légères, ils osent penser qu’être un Ericales c’est l’équivalent d’un pistolet laser »

Vexé, d’un claquement de doigt les élèves, se retrouvent tous enfermés dans une sphère lévitant au-dessus du sol

« Les gars vus que vous êtes si malin, et qu’être un Ericales c’est bidon, ça revient à tirer des lasers partout prouvez le moi que c’est facile, je vous en prie, au passage, vos parents ne viendront pas vous chercher, ils ont été prévenus sur ce on a d’autre classe à faire »

Reprenant leur quête pour enseigner aux plus jeunes, leurs arts sortants du gymnase discutant dans la cour, une vingtaine de minute plus tard de retour dans le gymnase, les élèves à l’intérieurs chassé dans leur salle de classe, le gymnase divisé en deux partie, une partie avec Asuna l’autre avec Morgan, d’un côté fille comme garçon, tous mélangé doivent du côté de Morgan jonglé avec un ballon de football, or aucun d’eux n’arrive à le décoller du sol, du côté d’Asuna portant une veste sans manche, tous écrasé au sol.

« Comme on vous l’a dit c’est simple, vous voulez réussir l’épreuve apprenez à contrôler votre énergie, pour être un Ericales le plus dire n’est pas d’apprendre à contrôler son énergie, ça c’est une question d’entrainement et d’habitude, mais de savoir la manipuler, le but de l’exercice est simple, malaxer votre énergie de manière à l’envoyer dans l’objet pour pouvoir le soulever, si vous en mettez trop ça vous explose à la gueule, le contraire vous n’arriverez même pas à le déplacer, vous voulez sortir d’ici, vous avez qu’à réussire… »

« Asuna tu te fatigue pour rien, quand ils auront faim ils auront le déclic »

« Pas faux, tant qu’on est là, on s’entraine, tous comme eux j’ai besoin de me perfectionner »

Ne la laissant pas finir d’un tir à pleine puissance lui envoie un ballon en plein visage, qu’elle lui renvoie en un salto arrière, utilisant son énergie pour ralentir la rotation de la balle, rapidement s’échange un jeu de tir sous les yeux ébahis des professeurs et élèves.

Eux d’eux toujours en tant que garde du corps, le matin de leur côté, suivant la princesse dans une réunion diplomatique, au cœur d’un building quelque part à New York, dans une immense salle de conférence, avec sur une estrade la princesse qui protège, qui répond à des questions politiques, culturel et ainsi de suite, avec son équipe à côté d’elle, Nathanaël plus loin en smoking noir et cravate rouge, les cheveux plaqués en arrière, les yeux cachés par des lunettes de soleils qui scanne les environs, avec une oreillette dans l’oreille gauche, ayant placés de clones aux sorties et entrés, un peu partout de l’immeuble, avec en communication Neven dans la salle de surveillance de l’immeuble, et un autre homme à l’abris qui traque les moindres mouvements, ou signes de dangers.

Regardant l’heure et remarquant qu’ils sont déjà le depuis un moment, que leur matinée est d’un ennui absolu commence à penser qu’ils auraient préféré être en cour.

« Ça fait trois heures qu’on est là putain ! Il ne se passe rien ! On se fait chier ! » pensent-ils

Parlant trop vite Neven sur les ordinateurs, d’un grésillement remarque que quelqu’un essaye d’avoir accès aux donnés des ordinateurs, excité d’avoir enfin un peu d’action, criant de joie, d’une rapidité et aisance tapant à toute vitesse sur le clavier, d’un clic envoie un virus au hacker récupérant toutes ses données, satisfait remarque dans le reflet de l’écran un homme assez gros et épais munit d’une hachette, d’une idée se laissant faire la lame de la hache se brise sur son crâne, dont une partie rebondit dans l’œil du criminel, criant de rage voulant le frapper se brise la main droite, transformant sa tête en celle d’un hibou, sa tête fait un tour complet et d’un cri strident l’envoie traverser le mur, secourut par ses amis tirant sur Neven comme des acharnés.

Transformant ses jambes en pattes de guépards, d’une accélération phénoménale d’un coup de pied sauté dans les côtes d’un bandit, l’envoie s’écraser dans le décor, sentant les os se briser sous son pied, prenant appuie pour tournoyant enrouler sa jambe autour du cou du bandit en face, se jetant au sol sans le vouloir lui brise la nuque

« Red Ace, c’est grave s’ils meurent ? Sans le vouloir j’ai tué un des bandits, j’ai mal jaugé ma force et je lui ai brisé la nuque »

« Black King, ça va toi ? A ta voie t’as pas l’air déboussolé » répond-il

« C’est pas la première fois que je tue quelqu’un, pendant l’invasion à un moment je me suis retrouvé seul face à des démons, soit c’était moi soit eux, donc après avoir tué une dizaine de personne, suis déjà passer par la case cauchemar, on s’y habitue jamais, met à force on vie avec »

Lui dans le hall d’entrée du building voit six individus masqués de masque animal, en uniforme militaire, munit de fusil et mitraillettes laser, lui fonçant dessus un d’eux se multiplie par centaine, le passant, un autre volant le passant aussi, entourant ses bras et jambes de flammes bloque le coup d’un homme aux bras surdimensionnés, hypertrophié, trois fois plus gros que leur reste de son corps, d’un bouclier de flamme à réussit à bloquer le coup, mais c’est enfoncé dans le sol.

« Pour des terroristes vous n’êtes pas très malins, qui vous a payés ? »

« Les hommes les vraies attaques par devant » crie l’homme avec un accent étrange.

Partant dans un échange de coup, un combat explose, Neven plus loin transformé en un singe à quatre bras dotés d’une super-vitesse rattrape un criminel qui sortait du couloir, l’attrapant par les cheveux, se débattant d’un coup lui brise le nez au sol, l’assommant sur le coup, d’un sourire démoniaque suivie d’un rire frustrant rattrape des munitions et lui renvoie dans les jambes.

« Arrête sa connard ! » crie une femme munie d’un lance-roquette tirant un énorme rayon laser

Prenant la forme d’une chauve-souris avec des pics cristallisés implantés dans le dos, absorbe le rayon laser, colorant les cristaux en multicolore dans son dos en recrachant deux laser le paralysant, curieux d’une chose reprenant une forme humaine, d’un pressentiment essaye d’envoyer des lasers or toute l’énergie stocké a disparu, reprenant forme humaine d’un coup de lance-flamme se retrouve nue mais intact, se retournant voit un objet ressemblant de loin à un allume-feu géant, flotter dans les airs, sortant des ailes de corbeau de son dos, d’un mouvement crée une rafale de vent envoyé le criminel, se briser la nuque dans le décor, ayant mal pour lui, ne s’attendait pas à cette conclusion, d’un soupir lève les épaules et court enfilé des vêtements, or la plupart trop petit, finit par trouver un pantalon assez grand, se contente d’un débardeur, puis part aidé son chef mais est rapidement bloquer par un coup de poing géant.

« Vous êtes combien ?! » s’énerve Neven enfoncé dans un comptoir en marbre

« Sérieusement, tu viens de tuer quelqu’un ça ne te fait rien ? »

« Y a sept ans après ce que j’ai vécu, mon esprit c’est bien blindé »

Quelques étages au-dessus, les clones de Nathanaël évacuent la princesse et tous les habitant en lieu sûr pendant que lui se bat conte une armée de clone, ses lunettes détecte d’autre personne, mais ne voit qu’un homme qui s’est cloné en plusieurs fois, de plusieurs tirs se retrouve fixé au sol, faisant semblant de s’évanouir se retenant de rire nerveusement, se relève et d’un coup de tête brisant ses lunettes envoie une femme dans le mur en face.

« Merdes mes lunettes ! » se plaint-il en italien

Face à lui il reste plus qu’une personne, tremblant de peur sous la pression s’évanouit sous le visage de Nathanaël, d’une prise de judo écrase au sol un homme, puis lui brise le bras et le regarde partir sous la douleur, se concentrant utilisant veritas ses yeux brillants, voit derrière les murs des poings bleus, respirant profondément voit des individus, munit de fusil faisant le tour.

« Ce n’est pas encore au point, mais au moins mes entrainements ne sont pas inutiles » pense-t-il

Touchant le mur d’une inspiration frappant le mur attrape le bandit par le cou, lui faisant traverser le mur de force, l’écrase au sol, d’une idée sautillant sur place cours vers le mur en face et à pleine puissance transperce le mur, percutant de plein choc un des criminels, d’un bond se jette sur l’autre en face la plaquant violemment au sol, lui volant ses armes les déchires en deux, comme une simple feuille de papier, faisant signe à l’autre de venir lui tirant dessus, les lasers rebondissent sur Nathanaël finissant par abimé le smoking, d’un haussement d’épaule nargue le criminel.

Soupirant le criminel d’un rire sadique forme deux énorme boule de flammes à côté de ses épaules, applaudissant, prenant une profonde respiration s’étirant, d’une telle capacité pulmonaire, d’une telle inspiration, d’un violent courant d’air tous vient vers lui, absorbant les flammes d’un rot raisonnant dans tous l’étage lui lève ses pouces, abandonnée toutes logiques, le chargent mais fini la tête dans le plafond.

« Nana, dépêche-toi de sortir de l’immeuble, on a fini mais va sauver des employés coincer dans un ascenseur, comme t’as cassé t’es lunettes, je t’ai envoyé la localisation par message » ordonne Red Ace.

Suivant la carte, volant arrive rapidement aux ascenseur ouvrant de force les porte, voit un long tunnel faiblement éclairé, se jetant tombe au ralentie sur un ascenseur ouvrant les porte, il est vide, regardant bien la carte, remarque qu’il s’est trompé de couloir, c’était celui à sa gauche, soupirant prend de l’élan et enfonçant le mur, voyant une cabine en chute libre d’un cri la rattrape et à une main par le câble retient la cabine, cherchant désormais comment sortir inspirant profondément d’un jet enflammé trace un cercle encore une fois dans un mur, le brisant d’un coup de pied, sort avec la cabine, à un étage remplie de bureau avec encore un mur mais de vitre, agacé par tous ses murs, pose la cabine au sol, arrachant les porte de la cabine, est félicité par les employés en larmes, ne restant plus que cette baie vitré y jetant des bureaux, imprimante, elle reste intact, vexe lui rentre dedans et après plusieurs coups de pied et poing, aucune égratignure.

« Elle est fait en quoi cette vitre ! »

Vexé, s’étirant d’un cri frappe à pleine puissance et d’un direct du droit brise la vitre, provoquant une onde de choc brisant tous les vitres à côtés, sauvant la dizaine de personne, part débriefer dans la limousine de la princesse Sakura, les voyant ricaner ne comprenant, lui donnant un miroir ses cheveux sont complètement décoiffer, le visage salit de fumée noire, enduit, d’huile.

Arrivant à l’hôtel pour qu’ils puissent se laver, changé et préparer pour la suite, torse-nu en jogging finissant de se sécher dans le salon, sursautant en voyant Sakura, les trois femmes et l’homme habituels l’accompagnant partout où elle va, toujours à guider et veiller sur elle, cette fois-ci accompagné par une dizaine de styliste, coiffeur discutant avec elle, reconnaissable par leur tenue, façon de parler, discours sur eux.

Un d’eux ses coiffeurs/styliste, un homme d’une quarantaine d’année, pour une fois contrairement à deux de leur amis, lui et bouche bée son devant le cliché du gay caucasien à la perfection, du moins physiquement à l’apparence, un énième grand blond aux yeux bleu, mince et ridiculement beau à croire qu’il sort d’un magasin pour élite, aux gestuels efféminés, d’une voie nasal, maquillé à l’outrance et vêtu dans un style androgyne, s’approchant d’eux leur tournant autour, les complimentant sur leurs physiques, les tripotants se sentant mal à l’aise recul d’un pas voir deux, le regardant confus essayant de comprendre la situation

« Deux questions, un c’est quoi ce délire ?! Pourquoi ils nous matent comme des morceaux de viandes ?! Deux vous n’avez pas peur de nous ? » demande Neven dans une incompréhension totale

« Mes chéris, ça fait vingt ans que je suis dans le milieu, alors des mannequins, acteurs, j’en ai vu défiler par centaine, et je peux vous assures que vous n’êtes pas moches, certes vous avez une beauté atypique, peu commune mais vous êtes loin d’être laid bien au contraire, c’est votre beauté sombre qui vous rends si excitant, ma Sakura chérie m’as parlé de vous et j’aimerais vous embauché en tant que mannequin, je sais vous êtes des futur explorateur et n’avez probablement le temps mais pensez-y, vous gagner de l’argent et vous faites de nouvelles expérience »

« Pourquoi pas, mes sœurs vont bien devenir mannequin… »

« Bella et Lisa ?! Tu me diras belles comme elles sont, ce n’est pas étonnant, bref mes frères me poussent toujours à vivre de nouvelles aventures, à sortir de ma zone de confort, donc on vous suit, ça peut être marrant, et change d’avoir à sauver cette princesse, c’est fou quand même le nombre de personne qui veulent ta peau, faut voir avec Sakura on est là avant tout pour la protéger »

« Je dois faire un shooting dans tous les cas, donc pourquoi pas, allez les beau-gosses direction coiffure parce que là ça ne va pas le faire »

Finissant de s’habiller, partent tous pour aller dans un hangar transformé en plateau pour faire des séances photos, suivant les directions partent ce changer enfiler les tenues pour les séances photos commençant avec un style rock en premier, un jean slim noir déchiré, des bottes clouté en cuir allant de pair avec des mitaines, une chemise à carreau autour de la taille, partant aux coiffages, se retrouve affalés sur un fauteuil, avec deux femmes et l’homme d’avant donnant des directions, trouvant la chose si agréable qu’il s’endorment, réveiller ouvrant les yeux sursautent en voyant Inaya et Lorenzo aussi bien habillé avec un, s’étirant tous deux ont l’impression de les revoir sous un nouveaux jours, paraissent différents les fixant.

Commençant par Lorenzo un grand homme, extrêment musclé et athlétiques, aux physiques imposant et robuste en contraste avec un visage doux au regard tranchant espiègle, un brun châtain aux yeux marron noisette à nuance d’orange aux visage jovial, remplie de tache de rousseur un visage sympathique qui attire la confiance, remarquent que ses cheveux et yeux se sont éclaircit.

« Tes cheveux ? Depuis quand t’as des yeux aussi clairs ? Toi Ina, t’as fait quoi ? »

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