La bagarre [par PM34]

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Après avoir été téléportés en Australie par la magie du scénario, les GARC prirent place sur une colline d’où ils avaient une vue dégagea  sur les environs. Ils chargèrent l’artillerie avec des bidons dont les liens étaient de longueur différentes afin de les disperser, puis attendirent. Enrico ne se fit pas attendre longtemps. Le sol trembla et des dizaines de milliers de milliards de combattants coururent vers nos vaillants héros.

— Feu !

— Euh, cheffe, c’est pas une arme à feu, du coup ça marche pas trop...

— Alors tire ! Et ferme ta gueule !

— À tes ordres !

.

Les bidons volèrent vers l’armée ennemie et explosèrent en vol, libérant une pluie de gel hydroalcoolique qui dissout littéralement les soldats les plus faibles. Les autres hurlaient de douleur, ce qui fut très satisfaisant à entendre, mais restaient debout. Des soldats plus gros continuaient de courir. Ceux-là mangèrent la deuxième salve et s’effondrèrent à leur tour.

Malheureusement, le rechargement prenait du temps et les maladies arrivaient au corps à corps. Maurice, le plus faible de la bande, resta donc au rechargement tandis que les autres défendirent le Mégarc tank de la mort qui tue. Leur invulnérabilité nouvellement acquise fut étonnamment très utile. Après avoir vaincu la première vague, les guerrières remontèrent dans le char et se partagèrent une longue-vue pour voir arriver les autres soldats covidiens. Ceux-ci étaient plus gros, plus puissants. Enrico Ronavirus était avec eux.

.

Les garc chargèrent la roue, tirèrent, rechargèrent à nouveau. Mais dans leur dos, quelques survivants de la première vague se relevaient. Aislin Tolérançolactose, Cathy Potonie et Luigi Gantisme grimpèrent discrètement à l’arrière du char avant de sauter sur les guerriers. Luigi fit tomber José par terre, où elle lui cassa allégrement la gueule. Cathy tenta tant bien que mal de se battre contre Georgette et Alba qui prirent vite l’avantage. Aislin, quant à elle, affrontait Maurice qui ne faisait pas le poids. Kaka lâcha les munitions qu’elle préparait et sortit un objet de sa poche. C’était un petit cylindre, enroulé dans du papier. Elle tira la rousse par les cheveux, s’en servit pour allumer le brins de paille qui dépassait et lança le tout sur la maladie. Le fromage s’écrasa lamentablement sur elle, puis il fondit et coula hors de son emballage. Aislin hurla de douleur, eut un début de diarrhée mais, fort heureusement, tomba dans une flaque de gel hydroalcoolique où elle mourut avant de se vider.

— Je te l’avais dit, Maurice ! Un Sainte-maure-de-touraine ça sert toujours !

— Ouais… Merci Kaka.

— Pas de quoi. Aide moi à recharger !

.

Ce qu’ils firent. La deuxième vague se rapprochait dangereusement et les tirs ne semblaient pas pouvoir la contenir. Puis ils tombèrent à court de munitions.

Maurice et Georgette échangèrent un regard.

— C’est non ! hurla-t-elle.

— On a pas d’autres munitions, et pis t’es immortelle maintenant !

— Je proteste !

.

Tandis qu’elle protestait, José l’attacha à la roue et fit tourner le moteur.

— Feu ! hurla Alba.

La rousse s’enflamma et vola vers les covidiens. Elle transperça littéralement deux virus avant de faire exploser le gel hydroalcoolique qui jonchait le sol. Les maladies brûlaient, pire que des juifs en 44, et…

— Mec, sérieux ?

— Ouais… Désolé…

Les maladies brûlaient. Georgette dégaina son katana et décapita toutes celles qui n’agonisaient pas d’elles-même. Il ne restait plus qu’Enrico. Alors que les deux adversaires se faisaient face, deux hurlements fendirent l’air. Alba et José, reliées par une corde, atterrirent sur le géant. Tandis que José pendait lamentable sur sa cuisse, Alba passa la corde autour de son cou et sauta dans le vide pour la resserrer. Elle donna ensuite de multiples coups de dagues dans son dos.

Ce fut ensuite au tour de Kaka qui manqua largement sa cible, mais lui lança une aiguille dans l’épaule avant de se la jouer spider-man en le ligotant. Le géant vert tomba tel un AT-AT de Star Wars et Georgette ne compris pas cette ref.

Maurice débarqua à son tour, au commande de son Mégarc tank de la mort qui tue.

Les cinq héros escaladèrent le visage du connard de virus et se penchèrent vers lui dans une scène rappelant quelque peu la fin du film Chevalier. Regardez le film Chevalier.

.

Georgette enduit son katana du peu de gel hydroalcoolique restant avant de le planter entre les deux yeux du géant, tandis que Maurice s’exclamait :

— T’es K.O, Après avoir été téléportés en Australie par la magie du scénario, les GARC prirent place sur une colline d’où ils avaient une vue dégagée sur les environs. Ils chargèrent l’artillerie avec des bidons dont les liens étaient de longueur différentes afin de les disperser, puis attendirent. Enrico ne se fit pas attendre longtemps. Le sol trembla et des dizaines de milliers de milliards de combattants coururent vers nos vaillants héros.

— Feu !

— Euh, cheffe, c’est pas une arme à feu, du coup ça marche pas trop...

— Alors tire ! Et ferme ta gueule !

— À tes ordres !

.

Les bidons volèrent vers l’armée ennemie et explosèrent en vol, libérant une pluie de gel hydroalcoolique qui dissout littéralement les soldats les plus faibles. Les autres hurlaient de douleur, ce qui fut très satisfaisant à entendre, mais restaient debout. Des soldats plus gros continuaient de courir. Ceux-là mangèrent la deuxième salve et s’effondrèrent à leur tour.

Malheureusement, le rechargement prenait du temps et les maladies arrivaient au corps à corps. Maurice, le plus faible de la bande, resta donc au rechargement tandis que les autres défendirent le Mégarc tank de la mort qui tue. Leur invulnérabilité nouvellement acquise fut étonnamment très utile. Après avoir vaincu la première vague, les guerrières remontèrent dans le char et se partagèrent une longue-vue pour voir arriver les autres soldats covidiens. Ceux-ci étaient plus gros, plus puissants. Enrico Ronavirus était avec eux.

.

Les garc chargèrent la roue, tirèrent, rechargèrent à nouveau. Mais dans leur dos, quelques survivants de la première vague se relevaient. Aislin Tolérançolactose, Cathy Potonie et Luigi Gantisme grimpèrent discrètement à l’arrière du char avant de sauter sur les guerriers. Luigi fit tomber José par terre, où elle lui cassa allégrement la gueule. Cathy tenta tant bien que mal de se battre contre Georgette et Alba qui prirent vite l’avantage. Aislin, quant à elle, affrontait Maurice qui ne faisait pas le poids. Kaka lâcha les munitions qu’elle préparait et sortit un objet de sa poche. C’était un petit cylindre, enroulé dans du papier. Elle tira la rousse par les cheveux, s’en servit pour allumer le brins de paille qui dépassait et lança le tout sur la maladie. Le fromage s’écrasa lamentablement sur elle, puis il fondit et coula hors de son emballage. Aislin hurla de douleur, eut un début de diarrhée mais, fort heureusement, tomba dans une flaque de gel hydroalcoolique où elle mourut avant de se vider.

— Je te l’avais dit, Maurice ! Un Sainte-maure-de-touraine ça sert toujours !

— Ouais… Merci Kaka.

— Pas de quoi. Aide moi à recharger !

.

Ce qu’ils firent. La deuxième vague se rapprochait dangereusement et les tirs ne semblaient pas pouvoir la contenir. Puis ils tombèrent à court de munitions.

Maurice et Georgette échangèrent un regard.

— C’est non ! hurla-t-elle.

— On a pas d’autres munitions, et pis t’es immortelle maintenant !

— Je proteste !

.

Tandis qu’elle protestait, José l’attacha à la roue et fit tourner le moteur.

— Feu ! hurla Alba.

La rousse s’enflamma et vola vers les covidiens. Elle transperça littéralement deux virus avant de faire exploser le gel hydroalcoolique qui jonchait le sol. Les maladies brûlaient, pire que des juifs en 44, et…

— Mec, sérieux ?

— Ouais… Désolé…

Les maladies brûlaient. Georgette dégaina son katana et décapita toutes celles qui n’agonisaient pas d’elles-même. Il ne restait plus qu’Enrico. Alors que les deux adversaires se faisaient face, deux hurlements fendirent l’air. Alba et José, reliées par une corde, atterrirent sur le géant. Tandis que José pendait lamentable sur sa cuisse, Alba passa la corde autour de son cou et sauta dans le vide pour la resserrer. Elle donna ensuite de multiples coups de dagues dans son dos.

Ce fut ensuite au tour de Kaka qui manqua largement sa cible, mais lui lança une aiguille dans l’épaule avant de se la jouer spider-man en le ligotant. Le géant vert tomba tel un AT-AT de Star Wars et Georgette ne compris pas cette ref.

Maurice débarqua à son tour, au commande de son Mégarc tank de la mort qui tue.

Les cinq héros escaladèrent le visage du connard de virus et se penchèrent vers lui dans une scène rappelant quelque peu la fin du film Chevalier. Regardez le film Chevalier.

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Georgette enduit son katana du peu de gel hydroalcoolique restant avant de le planter entre les deux yeux du géant, tandis que Maurice s’exclamait :

— T’es K.O, Ronavirus !

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