Hier, c'était la Saint-Valentin et en rentrant chez moi, je suis retombé sur cette musique que j'avais découvert chez toi.

Y a pas, à chaque fois que je la réécoute, je pense à toi. C'est vraiment conditionné profondément dans ma matière grise.

Probablement, car je devais l'écouter en sortant de ces moments d'intimité chez toi. C'est le genre de moment que le cerveau inscrit à l'encre indélébile, je crois.

Et ce matin, en cherchant une musique pour me réveiller, j'ai eu envie d'encore un peu de celle-ci. Ce n'était pourtant pas la meilleure pour avoir de l'énergie, mais va piger.

Puis j'ai eu une révélation, j'avais jamais écouté l'album d'où elle venait. Alors voilà, je me dirige pour prendre ma douche et je mets l'album et en fait elles sont vraiment cool... Voilà comment on teinte un peu plus sa vie d'une personne qui n'est plus là.

C'est drôle, qu'après une relation de deux ans, c'est une fille que je n'ai vu que quelque peu de fois qui s'est inscrite aussi loin dans mon cœur.

Promis un jour celle qui s'imprimera en moi décrétera d'y rester, pour le meilleur et pas les drames ou la négligence.

En attendant je continu à aimer ces amis, cette famille dysfonctionnelle, ces belles personnes que je croise et surtout ces souvenirs des personnes que j'ai aimé de tout mon cœur. Surtout toi qui m'a partagé un peu de ton âme en échange de la mienne, même si tu as fini par me distancier jusqu'à me ghoster pour des raisons qui m'échappe toujours un peu.