Des cons finement maîtrisés

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Un calvaire s'achève pour laisser place à un autre.

Les nouvelles contraintes que les dirigeants s'apprêtent à nous imposer vont dans le prolongement d'un racisme social de plus en plus marqué. S'y ajoute maintenant une discrimination géographique inédite.
Les théories libérales avancent sans résistance et le genre humain disparaît encore un peu plus sous les déguisements obligatoires. La symbolique d'un masque sur le visage des "inutiles", puisque c'est à présent notre nouveau qualificatif, plus méprisant encore que les "sans dents", est un nouveau signe de la volonté d'effacer progressivement les êtres, voulu par des gens qui estiment sans doute que nous ne méritons plus d'apparaître visages nus sous leurs yeux.

Après les gants de travail qui dissimulent, selon eux, la médiocrité intellectuelle des travailleurs manuels ; après les chaussures de sécurité qui ressemblent à ces souliers que portent les clowns au cirque ; après les lunettes de protection qui sont assez grandes et larges pour viser l'identique d'un regard d'insecte, après les bleus de travail qui identifient immédiatement la classe sociale de celui qui le porte ; après les gilets jaunes qui transforment les gens au travail comme autant de points sur une mini-carte d'entreprise, voilà que le masque anti-covid muselle la parole de ceux à qui on n'accorde que le droit de vivre sans jamais profiter de rien, ou seulement des miettes de ce que les riches crachent négligemment. Il ne manque finalement à ce déguisement anti-social qu'une charlotte semi-transparente pour terminer le tableau. Quand tout cela sera achevé, il ne restera finalement qu'à laisser notre place aux robots, anges-gardiens serviles, silencieux et peu coûteux.

La haine des riches pour les autres est aujourd'hui visible au travers de toutes ces directives qui, sous couvert d'un message humaniste et protecteur, gomment et standardisent la viande humaine pour n'en faire qu'une masse silencieuse et obéissante.

La destruction méthodique de nos libertés se prolonge sans à-coups et déjà s'ébauche la silhouette d'une civilisation qui fait froid dans le dos. Les conséquences d'une fausse pandémie, à l'identique des précédentes (souvenons-nous que le H1N1 n'a finalement fait que 125 victimes dans le monde...) mais parfaitement orchestrée, signe des progrès réalisés par les propagandistes à la solde de ceux qui rêvent de voir le monde soulagé des "inutiles", font que les gestes les plus naturels, les attentes les plus légitimes seront rapidement supprimées. La volonté est claire de faire de nous des outils de production, et rien d'autre. Notre unique souci devra être celui de la rentabilité des actions côtées en bourse. Et si les rendements attendus ne devaient pas être au rendez-vous des actionnaires planqués dans leurs paradis fiscaux, alors il sera naturel de nous sacrifier en supprimant nos emplois. Nous serons ce que nous devons être à leurs yeux : des mouchoirs jetables. Ou, plus simplement, des insectes qu'on écrase d'un simple coup de talon. 

J'aurais bien aimé pouvoir changer d'horizon, changer de pays pour respirer autre chose que la sueur et le désespoir de mes contemporains. Mais cette fois-ci, l'offensive contre les gens simples est mondiale. Pas une nation n'échappe à la folie de ces psychopathes qui ont décidé d'accélérer brutalement l'oppression de ceux qu'ils considèrent comme moins que rien. Je ne peux même plus caresser l'espoir d'une vie meilleure dans un enfer moins violent. Voilà ce que je retiendrai de cette pandémie de merde, de cette arnaque mondiale organisée par des pervers narcissiques, relayée par des gouvernements acquis à l'ambition de juguler les libertés élémentaires des êtres vivants, promue par des médias qui ne méritent que la corde ou le peloton d'éxécution : la fin de l'espoir. 

L'Histoire montre pourtant que toutes les tentatives de contrôler le monde, et elles sont nombreuses ! ont toutes sombré dans les caniveaux, sans la moindre exception. Tant que nos civilisations continueront de concerntrer tous les pouvoirs entre les mains d'une caste d'aveugles assassins, le monde courra à sa perte. Les civilisations humaines sont tombées un jour entre les mains d'une minorité de gens qui ne méritent pas de vivre, des cerveaux malsains concentrés sur l'unique rapacité de leur cupidité, et le cirque perdure depuis quelques milliers d'années. Les multitudes continuent de se soumettre sans protester, et les fous en profitent pour les opprimer pour le seul plaisir de s'en réjouir entre eux.

Finalement, la seule difficulté qu'ils rencontrent, c'est de trouver le moyen de rester sur le fil du rasoir, sans jamais dépasser les limites du tolérable pour les masses, et ainsi de les confiner et de les déconfiner sous les prétextes les plus arbitraires. Ce qui fait de nous des cons finement maîtrisés.

A suivre...


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