Fatigué...

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Je ne sais plus comment faire. Je ne sais plus comment échapper à cette gigantesque mascarade qui me pollue la vie depuis deux ans.

Et maintenant, ce fils de pute de pédéraste de merde de président de mes couilles se permet d'insulter la population qu'il mène à la baguette, assisté en cela par un monsieur Loyal pour qui mentir est une deuxième nature, comme naguère cette porte-parole venue d'Afrique qui proférait conneries sur conneries avec une candeur qui frisait la correctionnelle.
Marre aussi de cette censure permanente qui musèle les insultés qui sont dans l'absolue impossibilité ni de se défendre, ni seulement de répondre aux flots d'insultes.

Alors, quite à me faire traiter de tous les noms, voire même de me faire tancer par les propriétaires du site Scribay, je vais profiter de cet écran pour me soulager, comme je le ferais un petit matin en me levant. Je vais tirer la chasse, en quelque sorte.
Oui, je vais tirer la chasse.

Contrairement à tous les machiavels en place, je n'ai pas de plan, pas de stratégie, pas d'ambitions dévorantes à assouvir. J'ai juste envie de dégueuler mon pays, ses dirigeants de merde, les moutons bien pensants qui le peuplent, les indifférents, les intéressés pour des raisons qui me dépassent et, enfin, envie de gerber tous ceux que je ne conçois tout simplement pas mais qui sont fiers de raisonner comme des tambours.

Vous en faites partie ? Alors, ne lisez pas ceci. S'il vous plaît.
Cela ne ferait que vous exaspérer et vous vous sentiriez probablement obligé de rajouter une couche d'insultes.

***

Si je dois commencer par quelque chose, alors je voudrais parler de ce drapeau européen placé sous l'arc de triomphe, à Paris.

Je ne rajouterai pas de commentaires inutiles et creux, compte tenu de ceux des seuls autorisés à jouer les prosélytes d'un gouvernement de merde.
N'en fûmes-nous pas inondés plus que de raison ? Alors, laissons les coqs et les abrutis pérorer jusqu'à plus soif. De toute manière, ils se sont tous bien gardés dire la chose la plus essentielle.

Laquelle ?

Celle-ci : le dictateur de cette nation a sciemment fait flotter cet étendard en veillant surtout à ce qu'il ne figure pas à la droite de notre drapeau national. Il est impossible qu'il s'agisse d'une simple erreur. D'abord, il sait parfaitement les règles en usage dans ce pays. Il est interdit, tout simplement, de laisser flotter le drapeau européen tout seul au vent.
Le message est donc extrêmement clair : pour son premier jour de présidence du conseil européen, le mollusque macron vient de dire à près de 70 millions de Français qu'il les emmerde et qu'il en fera, bon gré, mal gré, des européens. Que les Français oublient leur nationalité historique ! Par sa seule volonté, nous serons les membres heureux et standardisés d'une fédération bancaire sans frontière, sans race, sans histoire, sans culture. Bref, des consommateurs à l'échelle d'un continent. Le dictateur nous a donc envoyés nous faire foutre.
Que ce doigt dans le cul lui soit rendu, bien profond...

Il commence donc, quelques semaines seulement après une interview larmoyante et nulle à souhait dans laquelle il annonçait "aimer un peu plus les Français", par prétendre les voir renier leur nation, sous les yeux attentifs, et probablement amusés, de nos voisins européens.

Et puis, le lendemain même du retrait de cet étendard, le voilà qui se met à insulter directement cinq à six millions de personnes, auxquelles il retirerait presque le droit de citoyenneté. Quand je repense au poireau qui le précédait à ce poste et qui s'était aventuré sur ce terrain au lendemain des attentats meurtriers exécutés au nom d'une religion malmenée par une poignée d'obscurantistes sanguinaires, je me dis que l'anesthésie s'est généralisée dans mon pays...

Il nous emmerde...

Et quand je pense à la tafiolle de porte-parole de ce gouvernement de pourris, quand j'ai vu avec quelle délectation il (elle !) répétait ces mots insupportables, j'ai nettement eu la sensation que ça devait pousser fort dans son calbut à sida, tant cela lui faisait visiblement plaisir d'en rajouter une couche. La morgue de ce gouvernement est sans borne, la haine qu'il porte à cette nation est stupéfiante. Les rois de la propagande, les princes du mensonge, les dieux déchus de la haine pour ceux qui ne sont pas de leur olympe...
La Révolution Française n'a finalement servi à rien, récupérée par des gens sans foi ni loi qui ont pour seul livre de chevet "Le Prince" de Machiavel et qui appliquent à la lettre les concepts multicentenaires de gens pervers, dépravés, malveillants et, quand l'occasion se présente, assassins de peuples entiers.

Non content de ses insultes, il proclame devant l'Europe entière qu'il "assume" ses propos, se lançant même dans une lamentable dissertation de pré-adolescent traitant des tenants et des aboutissants du principe de liberté !
Il affirme, ce fasciste de merde, qu'être citoyen c'est avoir des droits, mais surtout des devoirs.
Misérable con, c'est seulement la définition feutrée d'un contrat léonin...
Etre citoyen, c'est avoir autant de droits que de devoirs, pauvre merde !

Croit-il qu'il suffise d'assumer pour être pardonné ? Qu'il aille au diable, lui et son ministre de l'Insanté, véreux de mes couilles, son monsieur loyal à l'accent pyrénéen, sa tapette propre sur elle de porte-parole, son conseil scientifique de croulants poussiéreux et de toute cette clique fanatique de députés et de sénateurs qui lui lèchent le fion sans jamais réfléchir aux conséquences de leurs décisions.

Le monde d'hier disparaît petit à petit sous les coups de butoir de ces dégénérés. Certes, comme il est maintenant incontestable que le climat change sous nos yeux impuissants, notre société est menée de force vers un avenir dont on ne nous dit rien mais dont on peut déjà comprendre qu'il n'incluera pas tout le monde, qu'il aura au préalable formaté un peuple qui répondra à quelques critères précis, à commencer par ceux de la soumission et de la crédulité.

Je n'ai aucune envie de connaître ce monde, aucune envie de perdre ma lucidité et mes connaissances pour laisser la place à un monde à la "Soleil Vert", ou pire encore, pour me retrouver en quelque sorte comme le dernier des mohicans en train de jouer le Survivant dans un monde rendu stupide et seulement dirigé par la folie de quelques connards comme ceux de LREM (Le Royaume d'Emmanuel Macron, vous n'aviez pas encore saisi ?) mais aussi de tous ces autres politicards de merde qui ne disent rien mais qui consentent, qui s'absentent aux moments cruciaux des orientations majeures d'un pays, qui se taisent pour mieux laisser passer l'inacceptable.

Tous ces enfoirés nous tapent ensuite sur l'épaule, l'air goguenard, et tentent encore de nous persuader que s'ils nous enculent, c'est seulement parce qu'on leur prête nos culs et qu'ils sont bien obligés de nous faire plaisir...

Mais les plus grands responsables de ces désastres accumulés, ce sont encore les Français eux-mêmes, ceux qui s'apprêtent déjà à doubler la mise au printemps prochain pour cinq nouvelles années de dissolution généralisée.

Qu'il est dur de se sentir seul au beau millieu d'un troupeau de couillons et de crédules, d'innocents et d'imbéciles ! Prétentieux de ma part ? Probablement, puisque tous les cons semblent unis pour plonger à corps perdu dans l'obscurité et la connerie crasse vendue par des enculés qui ne vivront jamais qu'entre eux et pour eux. Je préfère encore passer pour un prétentieux que pour un con.

Macron ?
Puisqu'il m'emmerde, je lui aurais bien répondu que je l'encule, mais comme il est pédé jusqu'aux oreilles, j'aurais trop peur d'y choper des misères qui m'obligeraient à me faire vacciner !
Alors, qu'il aille se faire miser le fion chez les européens. Avec un peu de chance, il finira bien par se faire défoncer la rondelle par la plus grosse du continent. Et peut-être même qu'un jour son cul servira de bouche de métro ! C'est son devoir de président, après tout : laisser une trace de son passage, non ?
Bon, si quelqu'un pouvait lui refiler une feuille de PQ, ce serait charitable pour les autres.

Amen.


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