Chapitre 3

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Naissance

Permettre à l’énergie vibratoire de naître dans un élément naturel, baignant à sa conception dans l’eau, le liquide amniotique, et l’arrivée sur ce plan physique, vécu consciemment, et présentement, pour le plus grand bonheur de l’être qui conçoit la vie l’énergie, et celui de l’énergie vibratoire du petit être incarner à venir, tout ceci le plus naturellement possible, sans aucune intervention extérieure, nocive en excès décroissante, au bien être de soi, et de l’enfant en devenir.

Tout se qui est à contre courant de l’état naturel, de l’être vivant, humain.

Seulement être, et non vouloir faire systématiquement quelque chose, la vie énergétique que tous sommes naturellement, sait se diriger d’elle-même, c’est innée, primaire.

Vivre pleinement cet état d’aisance, de quiétude intérieur, d’apaisement, et laisser ressentir tout se qui traverse l’être, sans rester accrocher à qui, où à quoi que ce soit, se souvenir que tout est flux d’information, comme l’être regarde le ciel et les nuages qui vont et viennent, il en va de même pour toute information, penser, émotions y comprit.

Tout entre, mais doit ressortir, pour ne garder que l’essentiel, se qui permet la propre croissance intérieur de l’être, le reste, le laissée affluée, pour être renouveler.

Comme l’information entre, il y a juste à être observateur de son état, et laissée aller en accompagnant toujours d’une respiration profonde, tant à l’inspire, qu’à l’expire, et ceci à chaque cycle respiratoire, et durant tout son cheminement, durant le voyage sur le plan physique, sur terre.

Laissée l’énergie vitale, sa propre essence énergétique faire son chemin.

Ne surtout pas bloquer la bonne circulation énergétique par la respiration.

Se couper le souffle, c’est couper l’irrigation de l’essence énergétique, qui afflue dans le corps physique, et là peuvent venir se crée les symptômes, ceux-ci, naturellement présent, pour alerter l’être qu’il y a déséquilibre, dysharmonie, entre le corps et l’esprit, et qu’il faille retrouver cet état d’équilibre intérieur, entre les deux énergies, croissante, et décroissante, pour qu’elle revienne à leur état d’équilibre, harmonie.

Au risque autrement, si l’être ne ressent plus, ne voit plus, n’entend plus, ne regarde plus à l’intérieur de son propre corps et esprit, de se voir petit à petit, à force ne plus écouter les symptômes, et y répondre, la maladie apparaître, plus en profondeur.

Le mal qui indique qu’il y a dysfonctionnement, dysharmonie, déséquilibre, en l’être, à travers l’être, et tout autour de l’être en devenir, tout part de son propre fort intérieur, ceci consciemment ou inconsciemment, tout est refléter de l’intérieur, vers l’extérieur.

Ne plus appréhender le mot maladie, qui en définition, n’est qu’un signal de déséquilibre, entre le corps et l’esprit, mais qui au fur et à mesure de ne pas prendre en considération ces signaux, ceux-ci s’accentue, au risque de se voir s’éteindre prématurément, sur le plan physique, oeuvrant au cœur de la matière.

L’être vivant humain, sur ce plan physique, fait l’expérience au travers de la matière, et ressentir des émotions, est naturellement, une de ces expériences, ressentir tout cela, dans un état de quiétude, sérénité, neutralité.

Il n’y a rien de bien où de mal, juste se qui EST présent, un état énergétique vibratoire, oscillant, à plus ou moins grande fréquence, entre ces deux pôles énergétique, croissance, décroissance.

Observer, la peur, la tristesse, la joie, la colère, font partit des émotions, que tout un chacun vis.

Le tout EST, comment réagir au mieux à tout ce tumulte.

Ceci s’apparente, à une rivière, qui afflue en abondance, on ne peut que observer et laissée aller le cours d’eau, l’être n’a pas de prise possible, où si prise il y a, il bloque le cours d’eau, donc sa propre essence, l’énergie vibratoire.

C’est là tout les divers déséquilibres qui s’agglomèrent, les uns aux autres, et là commence le déséquilibre, dans la sphère de l’être, sur tous les plans, à tous les niveaux, sous tous les aspects.

Bloquer les émotions en ne les laissant ni entrer, ni ressortir, en ne rééquilibrant pas les deux pôles énergétique, et donc rester soit dans l’excès, où soit l’insuffisance, et là, voir s’enchaîner, les divers signaux, symptômes.

Cela peut s’effectuer par modification de l’hygiène de vie, celle ci, soit déséquilibrer, où soit à trop basse fréquence vibratoire, pour la croissance et où la décroissance, voire encore, à trop haute fréquence oscillatoire, pour la croissance et la décroissance.

Venir aussi revisiter le mode de vie, et modifier se qui est là aussi, en croissance et où en décroissance, soit en excès, où soit en insuffisance.

Puis venir rééquilibrer les deux pôles énergétiques.

Cela est vital, pour qu’à nouveau ces deux pôles interagisse, en harmonie, en équilibre, des deux forces, qui ne forment plus qu’un.

Laissée allée, couler l’émotion, sans s’y attacher.

Observer, ressentir, se qui se passe à l’intérieur de l’être, et y répondre, sans jugement, le plus neutre possible, ceci, en suivant le courant énergétique de la source universelle, pour l’être, et l’environnement.

C’est par l’inspire, et l’expire, que tout entre et ressort.

Penser à l’inspire.

Je m’alimente d’énergie vibratoire de la source énergétique universelle en permanence, en abondance.

Et à l’expire, penser.

Je laisse allée tout se qui n’a plus lieu d’être, pour renouvelée à la terre, et ainsi le cycle énergétique peut se renouvelée.

Toute forme de croissance et décroissance excessive, la nettoyer, la purifier, l’effacer, pour permettre le renouvellement en bio photons, croissance et décroissance ré harmoniser, énergétiquement.

Et l’insuffisance des deux pôles le ré augmenter, vibratoirement, dans le courant énergétique, de la source universelle.

Ceci depuis la naissance de la vie de l’être, de la plus infime petite cellule, au plus gros appareil, sur tous les plans, à tous les niveaux, sur tous les aspects, physique, physiologique, psychique, émotionnelle et spirituel, dans l’ADN, le plasma marin, le plasma sanguin, le bulbe rachidien, la gaine de myéline, l’albumine, la télomèrase, les cellules souche, et en soi, à travers soi, et tout autour de soi.

Il est vital, fondamental, de laissée l’énergie vibratoire, affluée en son temps, à son propre rythme, sans y émettre une quelconque forme d’accélération prématuré, au risque de voir, petit à petit, le vivant décroître, jusqu’à s’éteindre prématurément.

Ceci ne fais pas partit naturellement du cycle de l’énergie vibratoire, de la source universelle, elle ne décroît pas par nature l’énergie, elle y est soumise.

Heureusement, car aussi infime soit l’énergie, influée de part la respiration, il y a de l’espoir.

Tant que l’être garde la foi en sa propre essence énergétique, l’abondance de la circulation de l’énergie vibratoire, de la source énergétique universelle, œuvre en tout, et pour tout.

L’essence énergétique vibratoire, incarne sur le plan physique, au cœur de la matière, pour réaliser la conception du corps physique, que tous avons à la naissance, pour permettre de se véhiculer ensuite, au travers de la penser, la parole et l’action, de part l’émission de l’intention émise, intérieurement.

Par exemple.

Je souhaite être professeur de yoga, dans ce cas, je vais émettre en intention, de part la pensé, l’expression, et la réalisation, tout en ce sens.

Gardez une foi absolue, quant au bon déroulement de cette expérience à vivre.

Puis, ayant réalisé tout se qu’il fallait en ce sens, je lâche prise, l’essence même, énergie vibratoire de la source énergétique universelle, œuvre sur le plan énergétique à m’apporter sur le plan physique, l’expérience à vivre.

Pour ainsi, réaliser les exercices qui se présente sur mon chemin de vie, ceux-ci dans le courant énergétique, harmoniser entre les deux pôles d’énergie, croissante et décroissante, pour me permettre d’évoluer dans le sens, que j’ai émis l’intention, au départ.

Lâchez prise quand à la résolution de l’expérience à vivre, et patientez, autant de tant, que l’énergie vibratoire s’irrigue, en vue, de la réalisation du projet, à venir.

Durant ce temps, je ne fonce pas tête baissé, à chaque expérience, exercices, qui se présente.

Je prends de la hauteur, j’observe, je suis attentive, concentrer, et je pense, exprime, et réalise, toujours dans le sens de ma propre évolution supérieur.

Ainsi, s’en suivra l’épreuve.

Seulement après avoir compris, les diverses leçons, et dès que celle ci sont, entendue, vue, exprimez, et expérimentez, et là aussi, toujours en penser, parole, et action croissante et décroissante en équilibre, harmonie, syntonie.

Œuvrer dans le courant existentielle, sans n’y émettre une once de décroissance excessive, au risque de vivre, des expériences pour me révéler, qu’il ne sert à rien de courir, pour obtenir, au contraire, se hâter lentement, pour que la bonne mise en circulation de l’œuvre énergétique, se mette en place, sur le plan physique, de la meilleur manière pour sa propre évolution personnel.

Et c’est cela qui peut se réaliser pour tout un chacun, être vivant, humain.

Cette énergie vibratoire s’écoule en l’être, elle peut s’arrêter d’être fluide, être bloquer, mais tant qu’il y a une infime oscillation vibratoire énergétique, elle continuera de se frayer un chemin en l’être, à travers l’être, et tout autour de l’être.

Il est de la responsabilité de l’être vivant humain, de reprendre son propre contrôle, et de penser, s’exprimer, et se réaliser dans son propre courant, chemin de vie, en croissance de vie énergétique.

Toujours œuvrez pour soi, et cela se reflète à l’extérieur, son propre état d’âme, d’esprit.

Laisser l’énergie vibratoire de la source énergétique universelle, que tout êtres vivant, humain, somment, et ainsi suivre le cours du fleuve, pour atteindre le grand océan, qu’est la trame de l’évolution, du cycle de la vie énergétique.

L’on peut voir se refléter, se que la décroissance que l’être humain émet, en penser, paroles, et actions, se réaliser extérieurement.

Tout se qui arrive en excès de décroissance extérieurement, à comme point de départ, le fort intérieur de l’être vivant humain.

A l’échelle cosmique, cela impact en tout, toutes forme de vie, intérieurement, et extérieurement.

Se qui ne se voit pas, ne signifie pas, qu’il n’existe pas, et qu’il n’est pas impacter.

Jetez un caillou sur l’eau, voir comme les vagues oscille en continue, pour s’étendre à l’infinie.

Se que l’être vivant humain émet en intention, à l’échelle mondial, se reflète extérieurement.

Toutes les intentions émise de l’intérieur de tous les êtres vivant, humain, et tout se qui se reflète extérieurement, et somme amener à vivre sur son propre chemin de vie, est là somme de toutes les intentions universellement, réunis.

L’être attire à soi se qu’il émane, si la vibration est en excès de croissance, plutôt que de décroissance, où inversement, les intentions d’expérience à vivre des autres, arrive à soi même, aussi, pour réaliser l’œuvre, pour évoluer à une étape supérieur, grâce aux expérience des intentions des autres, tout est interconnecter.

Pareillement pour l’excès de croissance, l’être attire toujours à soi l’expérience en connivence avec l’émission d’intention d’autres êtres, et toujours pour but de permettre sa propre évolution, en vue d’atteindre, sa propre réalisation intérieur.

D’où l’importance de n’être intérieurement ni dans l’excès d’une énergie croissante et où décroissante, ni dans l’insuffisance dans l’une des deux, mais d’être, dans un état d’esprit énergétiquement équilibrer, pour vivre un chemin de vie, fluide, en toute équité des deux pôles, pour que tout soit naturellement limpide, en permanence, et en abondance.

Si l’être émet en penser, paroles, et actions de la décroissance en excès en permanence, en abondance, il ne s’en reflète que se que l’être voit, et exprime, aujourd’hui, extérieurement.

Il n’est que de la propre responsabilité de l’être humain, de se créer son propre paradis, où son propre enfer.

Se ne sont là que des mots, car enfin tout est ce qu’il est, par nature.

Tout expérience à vivre, est à prendre aussi neutre soit elle, pour se permettre un dénouement des plus fluides, dans le courant énergétique qui est le sien, pour se permettre une évolution, en vue de sa propre réalisation, innée, primaire, personnel, sans encombre.

N’entendons nous pas souvent, je ne peu pas vivre seul dans le silence, où bien, le silence m’effraye, je ne ferme pas l’œil de la nuit, trop d’agitations intérieur, ces oscillation énergétique, vibratoire, qui sont soit, dans l’insuffisance, soit dans l’excès, et qui ensemble en fusion, bouillonne, et l’être ne peut pas rester en place.

Ce besoin de bruits, de parasitage, pour étouffer l’appel de l’âme, de sa propre essence énergétique intérieur, pour ne pas se retrouver seul face à soi même, intérieurement à sa propre écoute qui n’est que présente, pour permettre à l’être, de recouvrez l’harmonie, d’être à l’unisson, entre le cœur, le corps et l’esprit.

Cet agitation énergétique intérieur, devenu trop bruyante, pour être en paix, ne pas en avoir peur, juste prendre le courage d’entrer en son sein, son propre fort intérieur, ceci dans le calme, la quiétude, loin du brouaha extérieur, et ainsi pouvoir allez modifier dans la sphère, tout les différents plans.

A présent, juste ajouter plus de croissance, où de décroissance, et où inversement, se défaire d’un surplus de croissance, ainsi que du surplus de décroissance, et la balance étant rééquilibrer, redémarrer à présent manuellement, et non plus en mode d’homme robotique, automatisé.

Ne pas oublier de rester à l’écoute de soi en permanence en abondance, et répondre au moindre signal, l’appel de son propre fort intérieur, pour tout de suite rentrer chez soi, intérieurement, se revisitez, et puis venir rééquilibrer se qui part à la dérive, intérieurement.

Parce que l’être est en inadéquation entre son propre corps et esprit, âme et conscience, et cela s’en révèle pas les divers signaux, symptômes, pour enfin, permettre à l’être vivant humain, de repartir dans un mouvement harmonieux, sur son chemin de vie.

Il n’y pas de jugement sur soi, aucune culpabilité d’avoir pensé, exprimer, réaliser mal, quelque chose, à un certain moment, durant son propre cheminement.

Tout est neutre, en toute circonstance, et toute essence énergétique, à toujours œuvrer en fonction de sa propre compréhension, de son propre entendement, de sa propre vision, de son propre monde intérieur, qui c’est vu se refléter à l’extérieur.

A cet instant souffler, se décontracter, pour toujours mieux ce recentrer.

Puis tout laissée allée, tout se que l’être à pu apprendre, de toute l’éducation jusqu’ici, désapprendre pas à pas, pour réapprendre, et apprendre de nouveaux champs des possible.

Tout est accessible à sa propre évolution, pourvu de gardé l’esprit ouvert, et en adéquation entre le cœur, le corps et l’esprit aligner, entre ciel et terre, pour permettre qu’afflue sa propre essence énergétique, ceci le plus abondamment.

Il n’y a jamais eût de bien de mal, ceci est une perception du grand enfant, devenue adulte, qu’est l’être vivant humain, que tous sommes aujourdhui, qui à été éduquer, et de part une éducation, c’est vu se limiter, se conditionner, en son propre fort intérieur, pour se voir se créer diverses croyances, diverses barrières, quant à sa propre liberté d’être, de penser, de s’exprimer, de se réaliser à son plus haut potentiel, innée, primaire, d’être.

Il y a juste une évolution, aussi naturel soit elle, qui comme un cours d’eau afflue, avec une fréquence plus où moins oscillante de ci, de là, en vue d’évoluer à une étape supérieur de sa propre réalisation, innée, primaire, sur le plan physique, œuvrant au cœur de la matière.

Le paradis, l’être le créer à l’intérieur de soi, cet état de quiétude, de détente, d’apaisement, de légèreté, de fluidité.

Etat d’être, si l’être vivant humain est aligné, équilibré, dans le courant vibratoire énergétique de la source universelle, dans son propre corps et esprit, en sa propre âme et conscience.

Alors l’être en devenir, ne peut qu’émettre de cette vibration symbiotique croissance & décroissance ne font qu’un à part égale, en syntonie, harmonie, et cet état, s’en reflètera extérieurement.

Inversement, émettre que de la décroissance excessive, en penser, parole et action, et c’est prématurément que toute forme de vie énergétique, en soi, et à l’extérieur de soi, décroît prématurément, et où quitte ce plan physique, prématurément, sans avoir pu s’être réalisé à son plus haut potentiel, innée, primaire, d’être vivant humain.

D’où l’importance d’avoir ces deux pôles énergétique vibratoire, à part égale, équilibrer, en abondance et en permanence, pour ainsi éviter l’excès où l’insuffisance, dans l’un des deux pôles.

Dans cette riche école de la vie, que tout être vivant humain créer, tout absolument tout est pur apprentissage, désapprentissage, réapprentissage.

De sa propre mise en œuvre énergétique vibratoire, ceci allant de l’intérieur vers l’extérieur.

Pour ainsi permettre à toute forme de vie, d’être conçut, de naître, de croitre, de mûrir, pour se voir évoluer, et se voir se réaliser à son plus haut potentiel, inné, primaire, d’être vivant humain, cela de part la penser, la parole, et l’action.

Tout part de l’intention émise, de sa pure essence énergétique.

Par exemple.

Lorsqu’une expérience arrive sur le chemin de vie énergétique.

L’être vivant humain, peut prendre la hauteur suffisante, le recul nécessaire, et puis ne penser, exprimer, et réaliser, que dans le seul courant vibratoire, de la source énergétique universelle.

Ceci à part égale de croissance et décroissance énergétique, pour ainsi permettre le dénouement de cette expérience vécue, d’être fructueuse, constructive, croissante de vie, pour l’être et l’environnement, où en tous cas, qui ne nuise pas à l’environnement, la faune, la flore, les minéraux, y compris.

A l’inverse, foncer la tête la première, ceci en penser, parole et action, en excès de décroissance et insuffisance de croissance pour l’être, et cela impact extérieurement.

Le dénouement de cette expérience qui n’est autre qu’un exercice, pour s’apprendre de soi, et toujours évoluer pour s’élever, sera décroissante elle aussi en excès.

Se qui ne signifie pas plus difficile à relever comme défis.

Mais plutôt à apprendre de cette leçon d’avantage encore, entrer plus en profondeur en soi, pour d’avantage prendre la hauteur suffisante, pour se permettre extérieurement ne pas re foncer à vive allure, et ainsi tel un cercle vicieux, répéter diverses expérience, parce que celle-ci aurait été incomprise, à multiples reprise.

L’importance de n’y émettre aucun jugement, envers soi même.

C’est quand l’élève est prêt, que le maître apparaît.

Il se peut, que en vue de sa propre histoire, entendement, vision, compréhension, de son propre monde intérieur, il s’en reflète pour l’instant, présentement, pas autres chose, que se qu’il y a là, l’accepter, c’est ok, à cet instant, d’avoir réaliser l’expérience de la manière que l’essence énergétique l’a endiguer, dans l’instant.

Tout est évolution, quoi qu’il arrive, même si l’être vivant humain croît, régressé, tourner en rond, c’est là encore, une croyance limitante.

Le mental qui reprend le contrôle automatique, là aussi, c’est ok, aucun jugement, s’apporter que de la bienveillance, observer, écouter, inspirer la vie, et souffler autant de fois que nécessaire, pour lâcher prise d’avantage, sur se qui n’a plus lieu d’être, en vu de sa propre évolution personnel.

En réalité le temps est inexistant.

Dans le sens où, l’énergie vibratoire circule à notre seule mesure possible, l’inspiration, et l’expiration.

Alors quand l’être se surprend à regardé les heures défiler, là est un désapprentissage à entreprendre, pour comprendre cette notion, que tout est, dans un seul mouvement.

Où seul l’énergie vibratoire en libre circulation, s’expand en variation du flux énergétique croissant, décroissant, en excès où en insuffisance, mais aussi, entre le rééquilibre, des deux énergies.

Voilà là, toute l’affluence perpétrer, dont est réaliser l’œuvre de l’existence même, de l’essence énergétique vibratoire, ceci en permanence et en abondance.

La tête qui tourne.

Inspire profondément, puis souffle, cela autant de fois que nécessaire à la compréhension, à l’intégration, de ce nouvel apprentissage, sur la véritable nature, de l’essence que tous sommes.

Cette affluent, qui s’en va, qui s’en vient.

En fonction de l’état sur le plan physique, à œuvrer au cœur de la matière, qui sont influencer par des rebondissements, de diverses affluence, influences, extérieurement à l’être.

Ne pas oublier que quoi qu’il arrive, de l’extérieur, l’être vivant humain, n’a pas de prise, en revanche, sur son propre fort intérieur, là oui.

Bâtir un fort intérieur puissant, pour que quoi qu’il arrive extérieurement, garder un état d’esprit en adéquation avec le corps, l’esprit, l’âme et la conscience, aligner, entre ciel et terre.

Où tout est, équilibrer, entre les deux pôles énergétiques vibratoires, et où l’être résolve au mieux, avec la prise de hauteur nécessaire, la compréhension, la vision, l’entendement, la plus adapté à sa propre évolution personnel.

Et que celle-ci se reflète, quant à l’évolution extérieurement, sans nuisance extrême possible.

La vie l’énergie vibratoire ne porte pas de mots, n’est ni belle, ni moche, précepte à désapprendre, la vie EST tout naturellement, aussi neutre soit elle.

La vie énergétique, est une immense cours de récréation, où toutes formes de vie, la faune, la flore, l’humain, tous mélangés, entre diverse taille, couleur, aspects, tout ceci, n’est que précepte.

Tout est neutre.

Tout être vivant, EST, unique, à l’état le plus brut, naturel.

Il n’y a pas de place pour le jugement, pour la séparation.

Tout est préceptes.

L’essence de vie énergétique, par nature, ne juge pas entre elle, elle est pur essence oscillatoire énergétique, vibratoire.

L’être vivant humain fait partit de cet œuvre énergétique, tous sommes cet essence énergétique, qui abonde à l’intérieur du corps physique de toute forme de vie énergétique.

Respecter le vivant énergétique, sous toutes ces formes.

C’est se faire honneur, se respecter, pure essence.

La nature de toute chose, tel qu’elle est, tel qu’elle se présente.

L’accueillir comme le premier regard qu’un enfant pose sur une expérience qui se présente sur son chemin de vie, et cela dès la conception.

L’essence perçoit les vibrations émise par l’être extérieur, il perçoit tout, et se constitue à mesure de ces émissions énergétique, et dès la naissance incarner dans le corps physique, avec tout se qui le constitue déjà d’avance.

Tout est Neutre, tout est ce qu’il est, à son état brut, naturel, et respectez, n’émettre aucun jugement vis-à-vis de qui où quoi que ce soit, l’être EST et expérimente à chaque instant, se pourquoi il œuvre au cœur de la matière, sur le plan physique, de sa propre expérience intérieur.

Etre libre de vivre sa propre expérience, pour se que tout être vivant humain, EST.

La Curiosité, l’humour, le rire, l’amour inconditionnel de la vie énergétique, de pouvoir réaliser l’expérience de la vie physiquement, en émettant la vibration énergétique de la joie, du respect, du non jugement, de l’écoute, de l’attention, de la sécurité, de l’accompagnement, de la bienveillance, de l’authenticité.

D’être aligner en soi, en son propre corps et esprit, âme et conscience, est absolument magique, fantastique, unique, et indispensable.

Tout est vibration, n’émettre que des vibrations équilibrer, à sa juste fréquence d’ETRE.

Tout est réalisable, absolument tout.

Entrer en connexion en permanence avec les vibrations énergétique qui permette la croissance & décroissance en symbiose de la vie énergétique intérieurement.

Est à expérimenter en abondance, et exponentiellement, pour permettre ainsi, sa pleine réalisation, inné, primaire.

La seule limite de l’essence énergétique incarnée dans le corps physique, est l’être vivant humain devenu homme, robotique, automatisé, déconnecter, de sa véritable essence énergétique.

Couper de cela, tout est limiter, conditionner, imposer, dicter.

L’humain robotique, automatiser, se l’impose à lui-même par le mental, préfabriqué, façonner, de diverses croyances, de toutes forme de conditionnement, des limitations de part et d’autres.

Se détachez de tout cela.

Cela est possible, lorsque l’essence énergétique refait surface intérieurement, même infimement, elle se géo localise en son propre fort intérieur, pour avertir au moyen d’envois de divers signaux, aux travers des diverses symptômes, et maladie.

Signaux qui indique que l’être s’en va à la dérive de son essence intérieur, et qu’il faille revenir absolument sur son juste courant, pour se permettre à nouveau, de réaliser au travers de cet expérience de la vie énergétique, sur le plan physique au cœur de la matière, toutes les œuvres auxquels l’essence énergétique est animer, appeler, à se réaliser, diriger, pour atteindre sa pleine expansion.

Rester à la juste place d’être pur essence énergétique, celle ci incarné dans le corps physique, permettant d’œuvrer à la croissance, l’expansion de l’essence de la vie, au cœur de la matière.

Cela durant le voyage qui l’attend, à durée indéterminé, pour tout un chacun, pour laisser l’empreinte en fin de vie, de l’essence énergétique que tous sommes, sur le plan physique, pour repasser ensuite sur le plan originelle, énergétique, vibratoire, de la source universelle.

Cela en toute forme de vie.

Que tous soient porteurs de cette empreinte énergétique de nos êtres physiquement incarné, qui ont quitté le plan physique.

Pour ainsi à son tour, émettre cette essence énergétique vibratoire, que l’être à léguer à son départ, du plan physique.

Et ainsi permettre libre cours à l’œuvre naturel de la source de la vie énergétique universelle, d’œuvrer sous toutes ces coutures, intérieurement, pour refléter l’évolution du vivant, extérieurement.

Il n’y a que l’expérience que tout être est mené à réaliser durant son cheminement, pour se réaliser soi même, à son plus haut potentiel innée, primaire, d’être vivant humain.

Ceci en emportant toutes essences énergétiques incarnées physiquement, extérieurement.

Tout ceux autour de l’être, à prendre entre ces bras, à bras ouvert, vers cette même évolution, constructive, en vue de l’œuvre, de l’évolution naturel de la vie.

C’est uni, réunis, main dans la main, se soutenant, que l’être vivant, humain, évolue.

Pas chacun pour soi, de son côté, ceci est forme d’excès de décroissance de vie, pour l’être, et tout l’environnement, la faune, la flore, l’humain, le minéral, le visible, l’invisible.

Tous ne formons qu’un, fermer la porte à l’autre, c’est enfouir une part de soi intérieurement, ce n’est pas constructif en vue d’atteindre, sa propre réalisation innée, primaire.

Par exemple.

J’entends souvent cette question, dois je réaliser un permis de conduire ?

La réponse est, est ce que je le fais pour moi, ou pour répondre aux attentes extérieurement ?

La réponse coule de source.

Ce n’est pour l’être vivant humain, pas un besoin vital, fondamental.

L’être se véhicule parfaitement de son corps physique, et de tous autres transports extérieurs, autour de lui.

De ce fait, acquérir un permis pour le conduire n’a pas de sens, cela ne permet pas une croissance intérieurement.

Obtenir un bien matériel, n’est pas ce pourquoi l’être énergétique incarner sur le plan physique, œuvre, ici au cœur de la matière, ce n’est pas essentiel à la réalisation, innée, primaire, de l’être en devenir.

L’acquisition d’objet n’est pas dans l’œuvre que l’être entrevoit, pour permettre la bonne irrigation de l’essence énergétique qu’il est, incarner en un corps physique.

Permettre de la décroissance en excès, au vu du dit, stress que cela peut générer en l’être vivant humain, un sentiment d’insécurité, certaine production de pollution, pour ainsi permettre à l’essence énergétique que l’être est, de se voir dématérialiser, prématurément, à vive allure.

Ceci accroît excessivement de la décroissance, intérieurement, et celle de tout l’environnement extérieur.

Permettre de faire profitez d’avantage tout êtres vivant, humain, ayant déjà des biens accumulés, pour ainsi permettre, d’autres moyens de transports, tel que le covoiturage.

Partageant ainsi, les divers véhicules extérieurs présent, et ainsi réduire la production de matériel de transports, en excès, non essentiels, et où au contraire, d’avantages prodigués de partages, d’accompagnement, d’entraide, de divers frais que cela engendre.

Pour toujours se diriger vers l’Essence Ciel.

Tout cela est, pour l’essence énergétique, un non sens à l’œuvre mise en circulation, depuis la nuit des temps.

L’œuvre étant d’augmenter énergétiquement en vibration, pour atteindre la pleine réalisation.

L’essence énergétique que l’être véhicule, au travers de ce corps physique, ne se dirige pas, en direction de se qui nuis, à sa véritable essence énergétique.

Ni ne perdre l’être dans diverses distractions, illusoires, qui ne concerne pas l’œuvre, dont il est question sur le plan énergétique, se rappeler que lorsque le corps physique, se meurs, l’essence que l’être vivant est, par nature, elle, perdure.

Ce n’est que le véhicule physique, qui se dématérialise, à mesure.

L’essence énergétique que l’être est, matérialiser sur le plan physique, œuvrant à réaliser, et cela dès la conception, dans le ventre de la mère, aura véhiculé sa pure essence énergétique, pour œuvrer dans le plan physique, au coeur de la matière.

En tant qu’expérience d’homme robotique automatisé conçut pour travailler, gagner, accumuler, payer, acheter, tout fait sens, si l’être est immortel, robotique, il subit tout, sans érosion, sans sentiments, ressentiments, sans jamais rien éprouver, sans dématérialisation possible, tout est modifiable, modulable.

Ce n’est pas là, se que tous sommes.

ETRE VIVANT.

Il est clair que l’être vivant humain, est atteint par cette expérience, d’homme robotique automatisé, qui est à contre courant, nature, de l’essence même de toute forme de vie, et de l’évolution, depuis la nuit des temps.

Œuvrez en Direction, uniquement, de l’Essence Ciel.

Sur le plan matériel, physique, revisitez le mode de fonctionnement de vivre.

Réduire les trajets en transports à moteur quand cela n’est pas vital, fondamental, ainsi profiter de se déplacer de son propre chef, avec le véhicule d’incarnation, le corps physique.

Le corps incarner aime l’exercice, la mise en circulation de l’essence qu’est la sienne, permettre la mouvance du corps en relation symbiotique avec la respiration, ceci en son propre corps et esprit.

Se qui permet la bonne circulation de la véritable essence énergétique de l’être, pour d’avantage accroître l’œuvre de tout se que l’expérience, sur le plan physique, au cœur de la matière, offre à l’être vivant.

Pour prodiguer ainsi tous les bienfaits à tous ces sens, vue, odorat, goût, ouïe, toucher, pour toujours accroître d’avantage l’essence énergétique, et ne pas dénaturer la vie (l’énergie) au risque de voir se corps physique, s’amenuire.

Un exemple.

J’entends souvent, Est-ce que l’être doit partir en vacance ? et si oui, à pied, en train, en avion, en bateau, où tout autre moyen de transport ?,

La réponse coule de source.

L’être vivant humain, étant déjà en voyage sur le plan physique, à expérimenter au cœur de la matière, œuvrant là, où il est déjà présent.

Où tout est présent pour sa bonne évolution, en vue de l’étape de cheminement, dans lequel l’être est.

L’être vivant humain, ne peut courir avant d’avoir appris à marcher, l’énergie est ralentie, et ou s’accélère en fonction des fréquences qui oscille vibratoirement, une émotion, un stress, tant de facteur permettant le ralentissement, comme la précipitation de la fréquence oscillatoire, énergétique.

L’expérience au cœur de la matière n’est pas une course, mais une œuvre à réaliser en son temps, à son propre rythme, pour évoluée, en vue de sa propre réalisation, à son plus haut potentiel innée, primaire.

L’être se dirige là, où il entre en résonnance dans l’instant présent, haute fréquence, basse fréquence, et où fréquence équilibrée, l’être est à sa juste fréquence, où se situe sa propre évolution énergétique, vibratoire.

L’être est tout simplement là, présent, en son propre fort intérieur, et de ce fait, où qu’il se situe en oscillation fréquentielle, c’est œuvre de voyage.

Depuis la conception, à la naissance, tout se qui se présente sur le chemin énergétique, est riche de diverses expériences, mise en œuvre, pour permettre à l’être incarné, d’évolué, en vue de sa propre réalisation innée, primaire.

Finalement le voyage est présent là, à l’inspire et à l’expire, tout naturellement.

L’être vivant humain, étant bien intérieurement en son sein, entre le cœur, le corps et l’esprit, en parfaite harmonie, équilibre, et cela se reflète extérieurement, nul besoin d’aller trop loin, pour se sentir bien.

Tout est intérieur.

Un exemple.

J’entends souvent, l’être doit il consommer des produits chimique, transformer, est ce croissant où décroissant énergétiquement, pour l’être vivant humain, et l’environnement vivant énergétiquement, lui aussi ?

La réponse coule de source.

L’être sait donc, où irriguée son essence énergétique.

Lorsque le doute opère, se poser une question.

Est ce que se que l’être vivant humain, s’apprête à penser, exprimer, réaliser, est croissance & décroissance en excès, où en insuffisance, en soi, et autour de soi, et pour l’environnement ?

Etant énergie, vecteur de vie, il est vital, fondamental, de se ramener à cet état d’être, de penser, de s’exprimer, et de se réaliser dans le courant énergétique vibratoire, équilibrer entre les deux pôles énergétique, de la source universelle.

Si toutes formes de vie souhaite se voir perdurer, encore et encore, en tout harmonie, à œuvrer pour longtemps, au cœur de la matière, sur le plan physique, sur Terre.

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