Trous noirs et immortalité.

Une minute de lecture

Oui l’immortalité peut se cacher dans les trous noirs.

Une théorie récente développe un étonnant paradoxe : notre univers local serait situé au cœur d’un trou noir.

Lectrice, lecteur, il convient de ne pas rejeter cette possibilité, en tenant compte de deux données.

Tout d’abord, les derniers trous noirs découverts, mais les plus anciens dans le temps, ont une dimension démesurée , de l’ordre de milliards de masses solaires.

La fusion de deux trous noirs super massifs observée en 2015 a permis de vérifier une prédiction de la relativité générale : l’existence d’ondes gravitationnelles. C’est un phénomène cataclysmique qui bouleverse l’ensemble de l’espace temps à l’échelle de tout l’univers observable. Ces ondes résultaient de la fusion de deux trous noirs démesurément grands.

On peut donc penser que des trous noirs gigantesques, largement capables de contenir notre univers en entier, voire un univers infini, existaient il y a des milliards d’années.

Et si l’intérieur du trou noir est de la taille d’un univers, la densité extrême observée dans les « petits » trous noirs disparaît et notre univers peut être contenu au sein d’un trou noir.

Le second indice est l’exacte ressemblance entre la singularité au cœur du trou noir, singularité infiniment dense qui aboutit à la déformation infinie de l’espace temps, voire à l’arrêt du temps et

les conditions primordiales du big bang.

Certains scientifiques récents franchissent le pas et affirment : nous vivons dans un trou noir !

Si cette hypothèse est vraie, le nombre possible de multivers serait infini.

En amont, notre univers serait l’enfant d’un univers « mère » qui lui aurait donné naissance.

Cet univers « mère » viendrait d’un univers grand- mère et ainsi à l’infini !

En aval, notre univers serait la mère d’un univers « fille » et lui aurait donné naissance

Cet univers « fille » donnerait naissance à un univers petite fille et ainsi à l’infini !

Dans chacun de ces univers infinis, mon moi serait présent et jamais le cycle ne pourrait s’arrêter, le moi deviendrait vraiment immortel !

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