Dernière ligne droite avant la fac 2/3 :

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Nos lèvres se retrouvent enfin, on dirait qu’elles ne se sont pas vues depuis des siècles, il me caresse le dos, il franchit la frontière en me caressant le cul... Je suis tellement content de sentir sa bite qui grossit contre ma cuisse, je le plaque plus fort contre moi…

Maman (sourire) : un apéro les amoureux ?

Moi (je quitte ses lèvres, puis me retourne vite pour me coller contre lui, je ne veux pas que ma mère puisse voir mon mec qui bande.) : oui, maman, on arrive.

Antoine : avec plaisir Stéphanie.

Maman (sourire) contente de retrouver Maëlys (elle regarde au niveau de l’entre-jambe, puis elle repart.)

Moi : tu crois qu’elle.

Antoine : oh non, s’il te plaît... La honte…

Moi : je te rappelle l’histoire quand je l’avais dans la bouche ?

On rigole, il prend sa veste qu’il place devant pour cacher son énorme érection puis nous rentrons.

La soirée se passe très bien, on discute des vacances, je montre toutes les photos, on rigole, une fois le repas de fini.

Papa : Antoine veut tu un digestif ? Je suppose que tu ne vas pas rentrer chez toi (sourire) vient allons à l’extérieur.

Moi : je vais venir avec vous…

Papa (sourire) : pas cette fois ma princesse, j’ai envie qu’on soit entre hommes, aller vient Antoine.

Antoine : ok d’accord

La porte se referme, je regarde à la fenêtre.

Maman : ne t’en fais pas, il n’a pas son arme avec lui. (elle rigole).

Moi : tu trouves ça marrant… Il lui veut quoi ?

Maman : faire son rôle de papa protecteur…

Moi : Antoine ne me fera jamais le moindre mal…

Maman : oui, je sais, c’est toi qui pourrais faire beaucoup de mal à Antoine si tu le voudrais, mais tu sais, il veut protéger sa princesse… Être un bon père de famille.

Moi : il est un excellent père…

Maman : ça ne sert à rien que tu restes à la fenêtre comme un chien qui attend le passage du facteur mon ange, je vais ouvrir une bonne bouteille, je ne vois pas pourquoi il aurait que les hommes qui pourraient en profiter… Et après, je vais me faire baiser

Moi : MAMANNN.

Maman : ben quoi ? Ose me dire que ce soir dans la grange ça sera dodo…

Moi : tu as le feu au cul maman.

Maman : oooh ouiii.

Je suis sur le cul, je n’ai jamais vu ma mère dans cet état.

Une bonne demi-heure après, la porte s’ouvre, ils rigolent.

Papa : rien de t’elle qu’un bon moment entre mecs…

Antoine : pas faux (sourire).

Papa : par contre, je suis fatigué, j’ai envie de dormir.

Maman : QUOI ????

Moi (je prends la main d’Antoine.) Excellente, soirée, et bonne nuit.

Antoine : bonne nuit.

Maman : attends toi, je n'ai pas compris.

Je ferme la porte.

Moi : ça va ?

Antoine (il me prend dans les bras.) : oui ma décesse.

Moi : il te voulait quoi ?

Antoine : discuter.

Moi : de ?

Antoine : toi, il m'a fait promettre de ne jamais te faire de mal et d’attendre qu’on ait un diplôme pour faire des enfants (sourire).

Moi : QUOI ??? Attends-je vais le démonter ?

Antoine : tu ne préfères pas me démonter ? (sourire).

Je ne bouge plus, je sens sa bite qui grossit contre ma cuisse.

Moi (sourire) : je vais te démonter bébé.

Je lui prends la main pour aller vers mon paradis.

J'ouvre la porte, nous rentrons, il me prend la main et me colle contre lui nos langues se rejoigne.

Antoine : j’ai tellement envie toi…

Moi : tu t'es branler ?

Antoine : non pas une fois…

Moi : tu voulais te garder pour moi ?

Antoine : oui ma décesse.

Moi : maîtresse.

Antoine : oui Maîtresse

Moi (un frisson me traverse le corps) : retire tes vêtements… Ici.

Antoine : à vos ordres Maîtresse.

Il retire sa veste qui balance sur le sol, les chaussures tombent.

Il retire son t-shirt, il est vraiment sexy.

Moi : tu bandes ?

Antoine : oui Maîtresse.

Moi : fait la sortir par la fermeture éclair.

Antoine : comme ça Maîtresse ?

Moi : belle bite… Aller retire moi tes vêtements, je veux te voir à poil.

En quelques secondes.

Antoine : voilà Maîtresse.

Moi (il se touche la queue.) : ne te touche pas, sinon, tu rentres chez toi... Tourne sur toi-même.

Antoine : pardon Maîtresse… Je suis à vos ordres.

Moi : ne l’oublie jamais… Salope

Il tourne sur lui-même, il est vraiment sexy, une belle paire de fesses.

Antoine : cela vous plaît Maîtresse.

Moi : oui, maintenant, approche-toi et masturbe-toi devant moi.

Antoine : oui Maîtresse.

À suivre.

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