Je viens de passer une nuit complétement folle.

Je n’ai pas arrêté de faire des rêves érotiques, j’ai même imaginé que j’enculais ma mère avec un gode ceinture.

Je passe vite fait par la douche.

Je prends mon phone, sms à Antoine.

Moi : il faut que je te voie en urgence...

Je rejoins la maison, pour être franche, c’est la première fois que je n’ose pas y aller, comment je vais réagir en voyant mes parents...

J’ouvre la porte.

Papa (sourire, comme d’habitude) : bonjour, mon ange.

Moi : bonjour, papa.

Papa : j’ai fait le petit-déjeuner, maman à mal la tête. (mais oui, tu devrais dire qu’elle a mal au cul.)

Moi : ah, merde, j’espère qu’elle ira mieux rapidement...

Papa (sourire) : oui, ne t’en fais pas, ta mère est une femme forte. (ouais, vue ce que tu lui as mis hier soir)

Moi : oui, je sais... Je vais vite manger, faut que je parle avec Antoine.

Papa : il t'a trompé ?

Moi : mais non, je vais lui parler d’hier (il me regarde inquiet.) de la visite à la fac… Maman t’en as parlé ?

Papa : elle m’a juste dit qu’elle a la réponse à ses nombreuses questions, elle trouve que la fac est très belle, mais sinon rien d’autre...

Moi : ah, d’accord.

Le reste du déjeuner, il me parle de son boulot.

Je trouve ça tellement intéressant, même si une petite partie de la population de notre beau pays qui n’aime pas la police, ce qui me fait rire, ils sont les premiers à appeler le 17 lorsqu’ils sont un problème...

Moi : oui, mais tu sais peut-être un jour que les politiques vont vraiment comprendre que sans la police, ils ne sont absolument rien, tu m’excuses papa, mais Antoine ne va pas tarder.

Papa (sourire) : aucun souci mon ange, je vais aller voir ta mère.

Moi : fais, lui un bisou (à cette salope) et dis lui que j’espère qu’elle ira mieux.

Papa : oui, à tout à l’heure.

Moi : ouep.

Je referme la porte, et je rentre chez moi.

Cinq minutes après, je vois sur mon écran sur surveillance mon Toinou qui arrive avec une drôle de tête, qu’est ce qui se passe encore.

Moi (je me lève pour lui ouvrir la porte) : bonjour (je le tire à l’intérieur et l’embrasse.) qu’est-ce qui ne va pas ?

Antoine : tu veux me voir et je sais pourquoi.

Moi : quoi ?

Antoine : tu veux rompre avec moi (je tombe sur le cul) une femme aussi belle, intelligente, marrante, qu’est ce que tu ferais avec une merde comme moi, un soumis de merde, tu trouveras bien mieux que moi, plus d’un homme voudrait être avec toi.

Moi : tu as fini ?

Antoine : on dirait que j’ai encore merdé...

Moi : devine.

Antoine : je suis vraiment un connard.

Moi : oui... bref... Installe-toi.

Antoine : un problème avec la bande ?

Moi : oh non, ne parle pas de malheur, oui il y a ce qu’on pourrait dire un problème... Tu sais qu’hier, j’ai été à la fac.

Antoine : oh ouais, comment ça s'est passé ?

Moi : rien à dire, c’est une putain de bonne fac, on dirait, on verra après quelques mois... Mais ce n’est pas de ça que je voulais discuter...

Antoine : je t’écoute.

Moi : une fois que nous avons fini l’entretien avec la meuf, maman avait terriblement faim, alors nous sommes parties au mcdo, qui n'est pas loin… En sortant, sur le parking, elle me dit qu’elle doit aller aux toilettes, alors je l’accompagne... Tu sais que lorsque je mange au mcdo, je suis une vraie cochonne, j’avais plein de sauce autour de la bouche (il me fait un grand sourire.) non Toinou, pas de sperme.

Antoine (il rigole.) je n’ai absolument rien dit ma déesse.

Moi : oui bien sûr... Pour te faire court dans un des chiottes, il avait un couple qui baisait.

Antoine : non, tu es sérieuse ?

Moi : hélas oui, la meuf tellemena pris tarift pris tarif, sa chatte son cul... Tout y a p... Et le pire, la fille a baisé avec le frère du mec qui l'enculait

Antoine : sérieux ? Oh la salope, au moins elle a eu le choix (il rigole.)

Moi : ouais, mais ce n’en a pas reste là.

Antoine : euuh, ok

Moi : installe-toi, parce que ça ne fait que monter.

Antoine (sourire) : vous avez vu le couple sortir des chiottes ?

Moi : oh putain non, pire... Je ne sais pas pourquoi, mais d’un coup ma mère a commencé à se caresser les seins.

Antoine : WHAT !!! Tu te moques de moi.

Moi : mon cœur, je te promets que non et ce n’est pas fini...

Antoine : je suis prêt.

Moi : hélas, mon cœur, non, tu n’es pas prêt… Donc j’ai entendu cses gens baiser, je repensais à toi et à ta queue, nos nuits… Jusqu’au moment où j’ai senti des yeux sur moi… Ma mère me regardait, elle se caressait les seins, au moment où je suis parti en courant sa main descendre vers son sexe...

Antoine : alors là

Moi : ce n’est pas fini... Nous sommes rentrées dans le plus grand silence... Je me suis coupé du monde pendant quelques heures, je devais me remettre de ce que j’ai vu, voir la poitrine de ma mère qui pointe… Donc hier soir, après que mes parents soient à leur lit, j’avais faim, tu sais que je kiff le poulet froid (oui de la tête) alors je me suis un sandwich avec une bonne bière…

Je m’asseois.

Antoine : respire mon cœur, je suis là.

Moi (sourire) : en étant en bas, j’ai entendu les deux parler, ils discutent de moi, je vais te la faire courte, ma mère voudrait coucher avec moi (il tombe du fauteuil.) ma salope de mère à excité mon père, en lui disant, imagine que c’est Maëlys à ma place sur ta grosse bite (il me fait des grands yeux.) malheureusement ce n’est pas tout… Elle lui a dit, elle a l’habitude des grosses bites, notre beau-fils en possède une...

Antoine : WHAATTT ?

Moi : pendant la fête du bac, cette cochonne est venue nous voir, elle nous a matées

Antoine : ce n’est pas possible… C’est de l’inceste…

Moi : c’est quoi ?

Antoine : tu ne connais pas ?

À suivre...