Drôle de sensation 2/3 :

6 minutes de lecture

Moi : non.

Antoine : l’inceste, c’est des rapports sexuels entre des membres de mêmes familles, par exemple, un père qui couche avec sa fille de 12 ans, c’est un viol, un crime...

Moi : ah d’accord, je ne savais vraiment pas.

Antoine : ah oui, tu n’écoutes presque pas la télé... Il avait des affaires d’inceste…

Moi : encore une raison de ne pas écouter ses pseudo-journalistes qui fondent de la merde en continu...

Antoine : oui... qu’est-ce que tu vas faire ?

Moi : je ne sais absolument pas...

Antoine : tu as toujours tes caméras sur le bâtiment ?

Moi (grand sourire) : ben oui, putain que je suis conne (je l’embrasse.) tu sais que je suis vraiment dingue de toi (je fonce à mon pc, en quelques instants, je suis sur le dossier des prises de vue.) alors...

Antoine : au moins, tu sauras si elle dit la vérité, ou bien si elle imagine des choses.

Moi : elle ne ment pas, tu as une grosse queue, ne rougis pas mon cœur, accepte que tes biens montés… Voilà, j’ai la soirée, on devrait bientôt savoir… PUTAIN LA SALOPE.

Oui, elle nous a bien regardés, elle ouvre son jean, elle descend son string puis se caresse la chatte, Antoine à fermer les yeux.

Antoine : pourquoi j’ai eu cette idée complétement stupide, je ne pourrais plus regarder ta mère dans les yeux.

Moi : putain, elle nous mate bien, je comprends pourquoi elle a détaillé autant ta bite… D’ailleurs, je pense qu’elle voudrait bien coucher avec toi …

Antoine : WHAAAATTTTTT.

Moi : à croire qu’elle aime vraiment les grosses bites, attend que j’enregistre ça… Voilà.

Antoine : que comptes-tu faire ?

Moi : qu’est-ce que je devrais faire ?

Antoine : à mon avis, tu as deux choix, soit lui parler ou oublier ça.

Moi : ah oui, facile oublier que ma mère sait fait enculer par mon père.

(Il tombe une nouvelle fois du fauteuil.)

Antoine : en plus, elle aime la sodomie.

Moi : ouais, une cochonne, maintenant, je comprends pourquoi j’aime autant baise, mes parents sont d’énormes baiseurs le jour où tu vas me la mettre, je serai comme ma mère…

Antoine : non, tu ne veux pas coucher avec notre “fille”.

Moi : jamais, d’enfant

Antoine (il rigole) : nous sommes trop jeunes ma déesse

Moi (sourire) : je te rassure, je ne me sens pas encore prête pour devenir maman même si je pense que j’ai devant moi le père (il rougit.) je t’aime... Mais cela ne répond pas ce qu’on va faire d’une mère incestueuse.

Antoine : moi aussi, je t’aime mon cœur, et pour ta mère... Je me demande si nous devons vraiment faire quelque chose... Elle n’a rien fait, à l’heure actuelle, ce n’est que des paroles, alors oui, comme tu le dis, elle se caresse en pensant à toi, mais (sourire) ce n’est pas la première, ni la dernière à se caresser en pensant à toi.

Moi : elle excite papa quand même.

Antoine : Est-ce que tu penses que ton père aurait envie de coucher avec toi ?

Moi : je ne crois pas, mais hier, maman à pris cher dans le cul, je ne sais pas à quoi il pensait

Antoine : bon, alors je propose qu’on “surveille” tes parents... Tu étais excité en entendant le couple baise ?

Moi : ouais.

Antoine : penses-tu que Stéphanie aurait d’une manière ou d’une autre compris que tu l’étais ?

Moi : oui, mes tétons pointés, elle a vu et ouais peut-être que cela l'excite, mais je me pose une question, serait-elle attirée par les filles ?

Antoine : par les deux sexes ?

Moi : oui.

Antoine : je pense qu’on se pose trop de questions.

Moi : imagine, elle me coince dans un coin ?

Antoine : je ne suis pas inquiet, tu peux te défendre, je voudrais rajouter une chose.

Moi : je t’écoute mon cœur.

Antoine : peut-être qu’elle est attirée par moi, mais sache que je ne coucherais pas avec...

Moi (sourire) : je le sais mon cœur, mais merci de la pression... Après, pour être franc avec toi, si on oublie le mot que je trouve tellement horrible, l’inceste, il faut reconnaître que ma mère est une très belle femme, il faut reconnaître par rapport à d’autres femmes de son âge, elle est très belle, une poitrine magnifique et un cul à faire bander n’importe quel homme.

Antoine : ou à exciter une très belle déesse (sourire).

Moi : je ne comprends pas (il montre ma poitrine du doigt.) oui, bon...

Antoine (il me prend dans ses bras.) : tu as le droit de trouver une femme excitante.

Moi : même si cette femme est ma mère ?

Antoine : comme pour le reste, est-ce que cela est important mon cœur ?

Moi : imagine, qu’il se passe ce qui sait passée avec la bande…

Antoine : c’est-à-dire ?

Moi : qu’un jour, on ne sait pas pourquoi on fait l’amour avec… comme avec la bande… je commence à me poser de plus en plus de question…

Antoine : tu penses à quoi ?

Moi : je ne sais pas, tu ne trouves pas ça bizarre que d’un coup la bande est attiré sexuellement et maintenant ma mère…

Antoine : mon cœur, il n'y a rien de surnaturel là-dedans...

Moi : je commence à me poser des questions...

Antoine : bébé, tu es une très belle femme, alors oui, tu attires le regard des gens, regarde la bande, ils sont tous fou de toi, je suis certain qu’il y a d’autres personnes qui sont folles toi... Alors, oui, Stéphanie est excitée par toi et cette coquine excite ton père, je pense que ce n’est juste qu’un jeu sexuel, il n'y a rien de plus... Il n'y a rien de surnaturel.

Moi : alors comment expliques-tu, le parfum que je sens ?

Antoine : il y a longtemps que tu ne la plus sentie…

Moi : hier à la fac, au mcdo…

Antoine : tu as passé un bon moment dans le coma, peut-être que tu sens des odeurs que d’autres ne le peuvent pas… Ne t’en fais pas… Tu devrais aller faire une balade pour te changer les idées, regarde, il fait beau (sourire, son phone vibre) mon père…

Moi : réponds lui. (sourire)

Antoine : oui pap... Oui, je suis chez Maëlys… Oui, j’arrive… (il raccroche.) il faut que j’y aille…

Moi (en ouvrant son pantalon) : déjà.

Antoine : hmmm, oui, mon père veut acheter un plus grand lit…

Moi : ah bon.

Antoine : oui, comme ça, tu auras de la place pour dormir lorsque tu viens à la maison.

Moi : aaaahhh

Antoine : ils n'ont pas oublié ton dernier passage. (sourire)

Moi (je sors la main de son boxer) : ne me rappèle pas quand ton père est entré quand j’avais ta bite en bouche...

Antoine : ils ne savent rien, et ils ne le seront jamais... Si tu veux, après que j’ai fini, je pourrais te rejoindre…

Moi : j’en ai très envie, mais j’ai mes règles… Et comme tu ne m'as pas dépucelé derrière…

Antoine (sourire) : ne t’en fais pas, je m’occuperai de toi. (il me donne une grosse fesse.)

Moi : hmmm, rejoins ton père sinon...

Antoine (en partant) je t’aime et ne t’en fais pas.

Je le regarde partir, il a raison, il faut que je me change les idées.

Je vais dans ma chambre, pour mettre ma tenue de sport, j’ai envie d’aller courir, le programme pas trop compliquer, commencer par l’échauffement, une bière, non, je déconne, je fais quatre tours du quartier pour me mettre bien.

Une fois bien chaude, je me dirige vers les petits chemins, je prends ensuite la direction du centre-ville, je monte jusqu’à la prison, je passe devant le lycée Privé Dampierre et je finis par le lac du vignoble, si tu veux vraiment courir plus ou moins en paix, c’est le lieu.

Il faut simplement faire attention non loin de l’autoroute, au bout du parc, il peut avoir soit des couples qui baise ou des mecs qui cherche des plans cul, généralement, des “hétéro” marié qui trompe leurs femmes.

Il suffit de regarder sur le parking ou dans les rues à côtés, tu peux voir des voitures familiales...

Tromper sa femme ou son homme, je trouve cela tellement minable, oui, je juge les gens, c’est l’un des sports préfère de Français, après tous, le second est la délation un sport national…

A mon second tour, je passe non loin du parking.

Je m’arrête et je regarde une voiture.

Moi : non, je rêve, ce n’est pas lui (sourire) alors comme ça, il vient toujours ici, ou te cache tu mon petit Maxime, sale chien galeux.

Je réfléchis et je me dis qu’il doit être au bout.

Je reprends ma course pour faire mon tour de l’étang… Rien, il n’est pas là… Peut-être qu’une femme est venue le chercher...

Je reprends mon souffle non loin du parking, lorsque je vois une voiture allemande qui arrive à l’arrière un vélo tout neuf, qui n’a jamais servis.

Une femme d’environ 50 ans en sort, en tenue de sport, très moulant, elle met sa poitrine en valeurs, elle roule du cul.

Une fois le vélo de poser, elle prend son phone.

Femme : ou tu es... D'accord, j’arrive, Maxime.

Elle prend la direction du fond de l’étang.

Moi : putain, j’ai de la chance...

À suivre...

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