Des nouveaux plaisirs 1/2 :

6 minutes de lecture

Une heure vingt après, j’ai déposé tout le monde.

Je n’en reviens pas du monde qui peut avoir sur la route, les gens qui conduisent avec leurs phones au volant. (Vous attendez quoi pour prendre un pilier de pont...) Un petit coup de maquillage au volant, manger et boire, les limitations de vitesse certains ne connaissent pas et les clignotants, je vais dire un petit secret, ils ne sont pas en option dans les voitures...

J’arrive à la maison, au lieu, de rentrée chez moi, je vais dans le canapé des parents, il y a aucun bruit, je trouve ça très étrange mon œil est attiré par la lumière du pc.

Je reste un instant à la regarder.

Puis je trouve la force pour me lever, je bouge la souris.

Moi : il n’est pas verrouillé...

Je vois qu’il y a une page et Messenger est actif, je regarde autour de moi, après tous, je ne fais rien de mal, la page s’ouvre.

Moi : ah ben oui, pourquoi pas du porno, vraiment maman est une cochonne.

En regardant, les vidéos de plus près, maman coquine, fille en chaleur...

Moi : ok, j’ai compris, elle a encore envie de moi (Je frissonne.) je me demande si elle se caresse en pensant à moi... Salope...

Je regarde l’historique, vilaine maman, maman gode ceinture avec sa fille, maman se fait défoncer par sa fille... je n’en reviens pas, elle est complètement folle de moi, je referme cette fenêtre puis je regarde sur Messenger, un message de sa meilleure amie.

Moi : elle a encore un nouvel amant, pauvre Patrice, en plus de photo, ah ouais PUTAIN LA BITEEE.

C’est à ce moment-là que je me rappelle que dans quelques minutes, je vais me prendre une belle grosse queue, je ferme le pc, pour montrer à mère que je sais exactement ce qu’elle veut.

Je ferme le pc.

Je rentre chez moi, je passe la porte, je frissonne, il fait un peu froid, je regarde le ciel, je me demande si nous allons avoir de la neige cette année.

Moi : aller bouge-toi, ton mec va arriver avec la bite en feu.

Je fonce sous la douche, je retourne mon meuble pour trouver un string... Je n’en reviens pas, je n’en ai pas, ce n’est pas possible.

Moi : PUTAIN DE BORDEL DE MERDE.

Je tombe sur mon lit, qu’est ce que je vais mettre, je voudrais pour une fois être sexy pour mon homme, ce n’est vraiment pas dans mes gênes.

À cet instant, je me souviens qu’il adore un de mes jeans et ma petite chemise verte, je sais que je devrai mettre des dessous, mais non, je n’ai pas envie, je suis en manque, j’aime le sexe, mais est-ce que sais normal que je suis dans cet état.

J’ai juste le temps de finir de fermer le dernier bouton qu’on toc à la porte.

Je regarde sur l’écran, mon mec est enfin là.

Moi (sourire, je lui ouvre la porte) bonsoir beau mec.

Antoine : mon dieu tu...

Moi (sourire) : moche ?

Antoine : la plus belle des femmes, j’ai tellement de chance.

Je le laisse sur le pas de la porte, je vais en direction de la chambre, je suis en mode salope ce soir, je roule du cul, je peux sentir ses yeux sur mes fesses, ce qui m’excite encore plus.

Moi : tu vois la boite-là ? Tu serais un amour si tu pouvais la prendre, elle servira pour mon cul…

Je m’assois sur le bord du lit, je l’entends arriver, lorsqu’il passe le pas de la porte de ma chambre, il a bien le colis que j’ai pris sur Amazon.

Il me regarde avec le sourire, je lui fais signe du doigt de venir, il obéit immédiatement sans discuter, il est devant moi, je passe mes mains sur son torse, je lui fais comprendre qu’il doit retirer sa veste, elle tombe sur le sol.

Je passe ma main sous son t-shirt pour le caresser, je lève un peu le tissu pour déposer quelques bisous sur ses pectoraux, je lui lèche, il frissonne.

J'ouvre son jean, je peux déjà voir que les quelques bisous ne l’ont pas laissée insensible, il bande, une fois ouvert, je le fais glisser jusqu’en bas, il le retire puis se replace devant moi, je lui ordonne de retirer son t-shirt.

Je lui caresse les jambes, je remonte jusqu’à ses couilles, je redescends en le griffant, il se mort la lèvre, il gémit, je me laisse tomber à terre juste devant lui, comme une soumise qui attend les ordres de son Maître, sauf que dans l’histoire, c'est moi qui dirige, je suis la Maîtresse, je donne les ordres.

Je me redresse pour lui embrasser les pectoraux, je descends sur son boxer gris, je fais le tour de son boxer, j’essaie de ne pas toucher sa bite, je le veux sous mon contrôle, qu’il soit complètement à moi, je crois que Lou a raison, je suis une diablesse...

Je prends les extrémités de son boxer, je le regarde dans les yeux, il se mord la lèvre, je fais glisser le boxer vers le bas, je l’ai assez vu celui-là, je veux voir autre chose, lorsqu’elle est libre de la prison de tissu, sa bite fait comme je ressors, je manque même de me la prendre en plein visage.

En regardant sa bite, il a un peu de pré sperme, je m’empresse à le prendre en bouche pour tous faire disparaître, en un coup de langue, il ne reste plus une goûte.

Antoine : mon dieu, ma déesse, tu m’excites tellemennnnntttttttt.

Je lèche et suce son gland, je m’attarde sur son gland que je lèche comme une glace, au moins là, ça ne va pas fondre, je pourrais même avoir une surprise toute blanche, si je me débrouille et que je suis attentionné.

Je sors son sexe pour lui lèche les couilles, lorsqu’il pose ses yeux sur moi, il voit que ma chemise est ouverte, il voit mes seins, ses yeux ne l’ai quitté plus.

Je le suce encore quelques minutes, je ne veux pas qu’il éjacule, je le pousse, je me relève, je passe mes mains dans mes cheveux, mon corps ondule doucement, il ne me perd pas des yeux, je sens qu’il me désire, il a envie de me toucher, de me caresser la peau.

Je me caresse le visage, je passe mes mains sur mes seins, en faisant attention qu’il n’en voit pas trop, je veux faire monter le désir.

J’ouvre mon jean, je descends la fermeture éclair puis je me retourne, je me caresse les fesses sur le tissu, je sens son regarde me caresse le cul, mon corps est parcouru par tellement de frissons.

J’ai de plus en plus chaud, je mouille tellement on dirait les chutes du Niagara, je tourne la tête, je fais descendre mon jean doucement en le regardant, il ne quitte pas des yeux... Mon jean descend, il prend sa bite pour se caresser.

Moi : pas touche, sinon tu rentres chez toi.

Antoine : ou,i Maîtresse, pardon.

Je reprends la lente descente du jean, je le vois qu’il déglutit, il bande tellement fort, je me penche en avant en descendant mon jean.

Antoine : OH MY GODEEEE.

Je me redresse et descends le jean jusqu’au sol puis je le balance, la chemise reçoit le même traitement, je me retourne vers lui, je marche comme une panthère qui s’approche de son prochain repas, je tourne autour de lui, je pose la main sur son torse, je lui caresse le bras, le dos, je lui donne une fesse, il gémit, il a vraiment un très beau cul, je reviens devant lui, je passe mes bras autour de son cou pour l’embrasser.

Moi : j’espère que tu es en forme, je suis chaude comme un volcan, je veux de la baise, tu vas me balancer sur le lit, puis ouvrir le colis, une fois chose faite, tu me rejoins sur le lit.

En réponse, il me pousse sur le lit, je m’installe avec les jambes bien écartées, il a une vue plongeant sur ma vulve, lorsqu’il a ouvert le colis, je le vois qui a la bouche grande ouverte.

Antoine : un gode...

À suivre...

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