Jeudi 9 juillet 2020

Une minute de lecture

Si je reste bien en vie, je suis désormais sûre de ne plus vouloir garder contact avec ma "famille" une fois mon indépendance prise.

Parce que j'en ai marre de ne servir à rien avec eux, de toujours me sentir nulle en leur présence, de sentir leur mépris et leur condescendance mal dissimulés à mon égard (c'est à me demander s'ils ne me prennent parfois pas pour une attardée...).

Est-ce injuste vis-à-vis de mes géniteurs ? Sans doute, mais je m'en branle parfaitement ! Après tout, la première injustice leur est attribuée : m'avoir donné la vie sans que je l'ai demandée pour me laisser pourrir dans ma noirceur actuelle... Cette justification est également injuste et irrecevable ? Je sais... Je suis vraiment bonne à rien... En fait, les autres ont raison de me traiter comme une abrutie finie...

Météo de la déprime, bonsoir !

Si, avant la rentrée, je n'ai pas trouvé de métier pouvant me passionner et donner un semblant de sens à mon existence, je crois que je vais reconsiddérer le choix que je souhaitais faire en début d'année...

Je retire ce que j'ai pu écrire précédemment : mon âme n'est pas guérie et le fil de ma vie recommence à trembler sous mes pieds...

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