MORTS SANS COMPRENDRE POURQUOI
de
Reidid Ndele

MOTS DE L’AUTEUR
Année de l’aube : 1237
Il existe des guerres que l’Histoire célèbre, et d’autres qu’elle efface. Il existe des peuples que l’on honore dans les livres, et d’autres que l’on condamne au silence. Élioréa est l’histoire de l’un de ces peuples perdus — non pour ce qu’il a fait, mais pour ce qu’il aurait pu comprendre.
Contexte historique et période
En l’an 1237, à la charnière d’un Moyen Âge flamboyant et déjà vacillant, les épées dictent le droit et le soupçon a plus de poids que la justice. Les forteresses se dressent sur des terres où l’ombre confine le cœur, et les rumeurs s’enflent plus vite que la poudre noire.
Thèmes majeurs
Philosophie et quête de sens : un appel à s’interroger sur la nature même de la guerre, de la mémoire et du pardon.
Guerre et oppression : la descente aux enfers d’un peuple accusé à tort, traqué, massacré — sans procès ni justification.
Psychologie du survivant : comment continuer à aimer la vie quand chaque aube rature un nom, une histoire, un visage ?
Sacrifice et trahison : des amitiés brisées, des alliances perverties, des promesses étouffées par le mensonge.
Perte et résilience : la douleur avancée comme un fleuve obscur, mais aussi la lumière d’un espoir ténu, fragile.
Les Élioréens vivent une tragédie qu’ils n’ont pas choisie. Victimes d’un mensonge aussi ancien que la mémoire des hommes, ils sont traqués, massacrés, effacés, sans jamais savoir pourquoi. Et ce silence-là, ce vide de sens, devient leur tombe la plus cruelle.
Au cœur de ce désastre, Éryaine, jeune survivant aux rêves brisés, s’élève contre l’injustice. À travers les ruines fumantes, les berceuses éteintes, les archives interdites et les cris étouffés, il exhume peu à peu une vérité insoutenable : et si la guerre n’était pas née d’une faute, mais d’une peur ? Une peur viscérale que le savoir libère et que le mensonge entretient.
Ce livre est plus qu’un roman de guerre : c’est une élégie pour les voix oubliées, un miroir tendu à la falsification du réel, et une récupération douce-amère de la dignité humaine. À chaque chapitre, la douleur avance, mais aussi une lucidité douloureuse : celle qui force à regarder non les armes, mais les idées qui les forgent, à écouter non le fracas, mais les silences qui le précèdent.
Pourquoi lire "Morts sans comprendre pourquoi"?
Pour ressentir l’épreuve de l’âme humaine confrontée à l’absurde.
Pour comprendre comment l’endoctrinement et la peur peuvent détruire un peuple.
Pour porter un autre regard sur les récits officiels, parfois complices d’un oubli délibéré.
Pour s’interroger, après la dernière page, sur la valeur inestimable de la mémoire et de l’empathie.
Et toujours, dans les cendres :
Pourquoi meurt-on quand on n’a rien fait,sauf exister ?
Année de l’aube : 1237
Il existe des guerres que l’Histoire célèbre, et d’autres qu’elle efface. Il existe des peuples que l’on honore dans les livres, et d’autres que l’on condamne au silence. Élioréa est l’histoire de l’un de ces peuples perdus — non pour ce qu’il a fait, mais pour ce qu’il aurait pu comprendre.
Contexte historique et période
En l’an 1237, à la charnière d’un Moyen Âge flamboyant et déjà vacillant, les épées dictent le droit et le soupçon a plus de poids que la justice. Les forteresses se dressent sur des terres où l’ombre confine le cœur, et les rumeurs s’enflent plus vite que la poudre noire.
Thèmes majeurs
Philosophie et quête de sens : un appel à s’interroger sur la nature même de la guerre, de la mémoire et du pardon.
Guerre et oppression : la descente aux enfers d’un peuple accusé à tort, traqué, massacré — sans procès ni justification.
Psychologie du survivant : comment continuer à aimer la vie quand chaque aube rature un nom, une histoire, un visage ?
Sacrifice et trahison : des amitiés brisées, des alliances perverties, des promesses étouffées par le mensonge.
Perte et résilience : la douleur avancée comme un fleuve obscur, mais aussi la lumière d’un espoir ténu, fragile.
Les Élioréens vivent une tragédie qu’ils n’ont pas choisie. Victimes d’un mensonge aussi ancien que la mémoire des hommes, ils sont traqués, massacrés, effacés, sans jamais savoir pourquoi. Et ce silence-là, ce vide de sens, devient leur tombe la plus cruelle.
Au cœur de ce désastre, Éryaine, jeune survivant aux rêves brisés, s’élève contre l’injustice. À travers les ruines fumantes, les berceuses éteintes, les archives interdites et les cris étouffés, il exhume peu à peu une vérité insoutenable : et si la guerre n’était pas née d’une faute, mais d’une peur ? Une peur viscérale que le savoir libère et que le mensonge entretient.
Ce livre est plus qu’un roman de guerre : c’est une élégie pour les voix oubliées, un miroir tendu à la falsification du réel, et une récupération douce-amère de la dignité humaine. À chaque chapitre, la douleur avance, mais aussi une lucidité douloureuse : celle qui force à regarder non les armes, mais les idées qui les forgent, à écouter non le fracas, mais les silences qui le précèdent.
Pourquoi lire "Morts sans comprendre pourquoi"?
Pour ressentir l’épreuve de l’âme humaine confrontée à l’absurde.
Pour comprendre comment l’endoctrinement et la peur peuvent détruire un peuple.
Pour porter un autre regard sur les récits officiels, parfois complices d’un oubli délibéré.
Pour s’interroger, après la dernière page, sur la valeur inestimable de la mémoire et de l’empathie.
Et toujours, dans les cendres :
Pourquoi meurt-on quand on n’a rien fait,sauf exister ?
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Commencer la lectureTable des matières
Partie 1 : LES BRUMES DE L’INNOCENCE
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