C’était un jour d’hiver, le 2 février 2024 a 19H13 ( heure française ) exactement quand le G7 ou le groupe des sept ce présenta a la télé en avouant leur supercherie et une découverte a la fois. Ils se présentaient accompagné de secrétaire ou de conseiller, peut être même d’interlocuteur devant une énorme table ronde a son centre elle était creuse, ils étaient une quinzaines dans la grande salle avec un grand lustre sombre juste en haut de la table, autour deux de grand pilonne on aurait presque dit une grotte sombre. Enfin ici présent : l’Allemagne, Les États-Unis, La France, L’Italie, Le Japon, Le Royaume-Uni, ainsi que L’Union Européenne seul le canada fut absent. Ils commencer a expliquer au monde entier leur mensonge sur la vérité de ce monde celle ou notre terre n’étaies pas ronde mais bien plate comme l’avais théoriser les platistes. Selon les « platistes », la science et la technique moderne nous mentent, pour eux la terre est plate comme une pizza, ceinturée d’une barrière de glace qui empêche l’eau des océans de couler bien évidement cette théorie étais réelle mais pas tout a fait. C’est alors qu’un homme de petite taille pris la parole « je pense messieurs les chefs d’états que les images valent mieux que des paroles, après tout c’est image vienne de chez nous un français partie en quête de l’absolue vérité » il ce gratta la tête donna un regard tout autour de la table tout en continuant ce qu’il avait a dire « des pêcheur toulonnais on trouver non loin des côte française en mer Méditerranée un bateau a la dérive, avec a son bord rien d’autre q’un couvre chef, une carte, un sac abimer par le temps ou autre chose et une camera.. pourquoi ? tel est la question peut être le destin ou même le hasard qui c’est ? » la il sortie une petite clef usb de sa poche avec un sourire narquois, il la connecta a son ordi et un grand écran holographique sortie du creux de la table puis lança la video. C’est alors que le G7 découvrit ces image tout comme le monde par la même occasion.

« Je m’appelle Christofer Colombia et je croit ou plutôt j’en suis même sur, les gouvernements nous on mentit depuis trop longtemps ce que je vient de découvrir et réelle regarder par vous même » une gigantesque muraille de glace se présenter, elle faisait au moins 213 mètre de haut il s’étendait a perde de vu, le navire qui transporter l’homme étais tellement petit qu’on croyait vivre dans un monde de géant, pourtant c’était un Monte Carlo 52 élégant, spacieux il faisait 16,33 m de longueur et 4,6 m de largeur il pouvait a peine passer dans la géante fente qui ce trouver devant « je croit que je peut passer par la » avançant avec stupeur dans l’inconnu entre c’est grande plaque blanche et froide comme si la faucheuse elle même étais la, il continuer d’avancer pendant au moins 1 kilomètre avant d’apercevoir une grand lumière comme si il étais mort lui montrant la voit vers le paradis. À ça sortie l’air étais tellement pur, la mère étais clair qu’on croirait que l’eau n’existait pas et que le bateau voler, de par et d’autre des pilier en marbre blanc d’au moins onze mettre de haut former un chemin vers une terre ou on dirait presque une illusion tellement elle étais loin, au de-la du mur le froid étais inexistant comme si on étais en pleine été puis la il se présenter devant la camera c’était un homme assez vieux, fatiguer sûrement a cause de l’excitation et la durée du voyage il avait une longue barbe grise, une moustache de style guidon bien épaisse et longue des yeux d’ambre couleur vert, un nez crochu et un tic ou il cligner des yeux « il est la le nouveau monde ! Qui croirait que de l’autre coté de cette muraille de glace ce cacher un autre univers ou l’homme na pas encoure mis le pied, je doit avancée et je pense qu’il me faudra deux heures avant d’arriver sur cette terre inconnue au loins, pour l’instant je doit continuer de filmer pour que le monde voient ça ». Et il continuer sur ce long chemin avec la seul idée de mettre pied a terre sur ce nouveau continent. Au fur a mesure qu’il avancer mètre après mètre il commencer a percevoir de mieux en mieux la terre, il aperçut une pointe surement le sommet d’une montagne cacher par des immense arbre bien plus grand que ceux de notre monde. Enfin, après avoir dépasser le dernier pilier il trouva un peut plus loin une sorte de petite crique en croissant de lune, a son centre une sorte de parvis en marbre avec des escalier surplombant une falaise d’au moins 7 mètre de hauteur, la il décide d’accoster pile au milieu de cette lune rocailleuse.

S’ensuit alors une préparation d’explorateur digne de se nom, il faisait tourner un long manteau gris déchirer de partout pour ce couvrir, on aurais plus dit une cape que portait la mort elle même, enfila son sac a son dos ses chaussure de montagnard même si il a eu du mal a les enfiler, peut être la fatigue du voyage ou la précipitation de l’envie de découvrir ce qui ce trouve tout en haut. Il sortie alors dune caisse sur le Monte Carlo un grand chapeaux en cuir foncer, il le positionna sur ça tête avec un grand sourire puis ramassa deux canne une rafistoler a la va vite et une canne assez basique quoique assez énigmatique pour une simple canne puis récupère ça camera pour ne rien rater de cette nouvelle étape. Un pied devant l’autre de plus en plus rapide il commencer son ascension puis avant d’avoir atteint les dernière marche il entendit un grand « PROUFFFFF !! » Comme si une énorme bombe avait exploser sous l’eau ou le réveil d’un volcan sous marin déranger par le moteur du bateau quelque minute avant son accostage, il se retourna toute suite après l’énorme bruit après quelque droite, gauche de la tête puis gauche, droite il ne vit rien a part quelle que onde formant des anneaux sur l’eau. Quelque seconde en regardant l’horizon pour être sur qu’il n’y a rien il se retourne et continue ça monter, une dizaine de marche afin d’atteindre le sommet, c’est alors que devant lui se dresse une fôret immense aperçu plutôt a bord du Monte Carlo 52 c’était incomparable de se qu’il a vu jadis. Ces arbres étaient des « Séquoias géants » bien plus grand que ceux de chez nous, ils faisaient bien aux moins 150 mètre de haut avec un diamètre de 7,6 et un volume total de 1.487 m3. Inutile d’essayer d’enserrer son tronc seul, il faut plus de quinze adultes pour y parvenir, alors que ces géant immobile boiser entourant notre voyageur la au loins un semblant de chemin tel un serpent faufilant ces arbres géants. Il décider de poursuivre son chemin bouche bée devant le gigantisme de ces arbres, quelque milles plus tard les rayons de soleil perçant la foret de « Séquoias » commencer a ce taire pour faire place a la nuit sombre. Devant lui un arbre avec un trou béant formant une voute géant ou on pouvait s’installer et s’y aménager un petit camps pour se reposer et faire passer la nuit sombre et solitaire, on aurais presque cru que la nature lui offrit ce moment de répit car c’était le seul arbre au alentour ayant cette forme unique. Le camps fut près quand Christofer sortie de son sac une sorte de grand rouleau, assis a coter d’un feu préparer avec soin on aurait presque dit de loin une bouche énorme avec a son milieu une lumière vacillante toute les secondes, la du rouleau il sortait une carte exactement comme nos carte du monde, seulement elle n’étais pas comme les autre, entourer d’un vaste cercle blanc l’ensemble des terre émergées, soit en cinq continents : l’ Afrique, l’Amérique, l’Asie, l’Europe et l’Océanie puis il commencer a dessiner sur la surface vierge de la carte, tout en bas au sud de l’Afrique les zones qu’il découverts pour former l’entrer du mur, les piliers en marbre jusqu’à la petite crique en forme de lune et la découverte de cette terre inconnue, après plusieurs gribouillis vient ensuite le temps de dormir dans cette endroit pleine de mystère, la ces paupière ce fermer pour laisser place au ténèbres et tomber dans les bras de « Morphée ».

Le temps demeurait gris et couvert, avec un vent d’est quand la nuit laissa place au aurore et que l’homme gisant au sol couvert par son manteaux la tête enfariner par la fatigue du réveil . Après moins dune demi-heure et quelque casque-croute il se remettais en route tout droit en direction du sud toujours encercler par l'immensité de ces géants vert, plusieurs milles plus tard et quelque bruit de faunes sauvages même si il n’entendit que le bruit de plusieurs - Frip - Frap - ou - Floch - Floch - surement le bruit de quelque oiseau encore inconnu, au loin deux monticule de terre ou surplombait les arbres géants formant un v laissant croire un chemin ou le travaille hasardeux de mère nature. C’est alors qu’il retrouver le haut de la falaise aperçut au tout début qui a elle seul ne faisait qu’une seul montagne dépassant tout les « Séquoias », autour d’elle les arbres géants laisser place a de petit arbres tel un tapis de verdure puis grimper sur la montagne par si par la, en haut par contre elle était recouverte d’arbres on pu croire même quelle étais coiffé dune crinière verdâtre. La tout en parlant a la camera il dit « regarder cette beauté c’est la première fois que je voit se genre de montagne, a part compté dans des films ou des livres sortie de l’imagination, regarder cette découverte peuple du monde je doit en découvrir plus, enfin je pourrais rentrer de l’autre coté du mur et même revenir faire une expédition plus pousser avec de meilleur moyens.. » la soudain un énorme bruit comme si on soufflet sur un cor pour débuter une guerre, Christofer relever la tête et la juste en haut de la falaise malgré l’éblouissement du soleil, une silhouette ailé qui tenais bien un cor en soufflant dedans comme si il voulait appeler quelque chose ou avertissez la venu d’un intrus, en regardant de mieux en mieux il vu des ailes blanche grisâtes, une armure scintillait tel de l’or et enfin il remarqua une chevelure blanchâtre, sur ça tête une couronne avec a son centre un joyeux bleu foncée et des corne comme si la couronne avait des bois de cerf majestueux, il compris alors que c’était une femme, elle étais belle avec un visage d’ange on avait l’impression qu’il brillais, ses yeux étais comme ça crinière blanchâtre. En pointent la camera sur la femme, pour immortaliser la scène surréaliste Christofer remarqua alors derrière la femme ailée, un nuage noir s’avançant en direction deux a toute vitesse alors que le vent souffler a l’est « comment un nuage peut-il aller contre le vent ? c’est impossible ! » Alors il comprit.. ce n’étais pas un nuage mais une nuée d’oiseau noir, pas de simple oiseau même de loins il voyait qu’ils étaient horrible comme si ils étais dénuer de vie et qu’ils suivaient juste un ordre, leur croisement étaient étouffer. Le voyageur compris alors que c’est horreurs répondait au cor utiliser réssament, d’un geste lent la femme pointant son bras en direction de l’inconnu les créature foncée en piquant dans un brouhaha de croisement.

De retour dans la foret Christofer courée pour sauver ça vie face a c’est monstre aillé, ce retournant pour voit ou ils étaient il aperçut la femme ce poser au sol et marcher tranquillement, la un sifflement vient a ses oreille c’était un des oiseau noir. De plus près la bête étais difforme, elle avait des yeux rouge plus rouge que le sang lui même, une langue qui pendait, son pelage étaient ébouriffais, un bec acérer et d’une puanteur, tous chez eu étaient horrible et morbide. De plus en plus de bête arriver sur lui, la sur un coup de colère leva sa canne tira sur le bois, il sortie alors une longue épée fine mais tranchante, s’ensuit un carnage sanglant découpage après découpage, tournoyant sur lui même pour achevais c’est immondice il pu se libérer de ce carnage. Il continuer et continuer, plus vite et plus loins pour sortir de ce cauchemar, mètre après mètre il dépassa son camp la ou il pu ce reposer la nuit dernière, l’espoir le submergea il lui rester quelle miles a faire pour arriver a son cher Monte Carlo et rebrousser chemin, car il comprit qu’il a fait une erreur il aurait jamais du partir tout seul dans l’inconnue. Enfin après une longue course inquiétante sans savoir si il était toujours poursuivit, il retrouva la petite crique la ou il avait laisser son bateau, enfin il monta dessus remonter l’encre jeter son sac sur l’arrière, démarra avec hâte le navire pour filer direction le mur, il su alors qu’il lui resta quelque heure avant d’arrivé a destination. Le Monte Carlo filer a une vitesse entre c’est redoutable pilier de marbre a tel point que le bateau ricocher sur l’eau, on aurait pus croire que le navire aller se briser sur la mer qui n’avait encore la pas de nom. « Voila la sortie ! j’y suis presque ! » dit-il. Après avoir fait la moitié du chemin par le passage emprunté une journée avant, un bruit sourd ce tenais a l’arrière, une voix d’une femme surpris le voyageur c’était elle, la femme ailée, la poursuivante sur son navire, de près elle étais plus grande que lui de deux tête de plus « tu a mis le pied sur notre terre sacrée, toi le premier Centrien, tu ne peut pas continuer, tu doit rester, votre race n'est pas encore prête pour fouler cette terre » dit-elle dune voix douce et calme pourtant tellement en contradiction après tout se quelle a fait subir au voyageur « vous êtes qui ? Et que voulez vous ? » dit Christofer d’une voix forte « je suis la protectrice du royaume solitaire et des terres sauvage, Geminia et cela ne te regarde pas ! » rétorqua la femme, la elle positionna ses main sur le joyeux bleu foncé, une lumière déchirante en sortie avec un souffle destructeur qui de part sa puissance envoya le bateau continuer sa route d’une vitesse vers la sortir faisant s’écrouler les grande plaque blanche qui former le passage bien plus tôt, le voyageur perdu l’équilibre tomba ce cognant la tête, lâchant la camera de sa main et perdit connaissance puis passant par dessus bort, il sombra dans les eaux glacé.

La video ce finit sur un ciel bleu pendant longtemps, avant quelle ne s’éteigne sur une image noir absolue. Un gout amère et de stupeur se senti dans la grand salle quand le petit homme récupéra la clef usb, il avait un sourire tellement narquois qu’on cru tellement que c’était le génie du mal en personne, habiller d’un smoking noir avec un noeud papillon, une chaine en or cachant une montre a gousset. Son visage étais simple rasée a blanc, des yeux couleur noir, un gros nez, des sourcils en triangle comme si il étais toujours énerver, pas de cheveux en haut du crâne a part tout au tour laissant penser un nid d’oiseau oublier. Il étais le chef d’état français, il s’appelait Gabriel Doumer. Un hum, hum retentit dans la salle, puis Gabriel pris la parole.

« Voila les dernière image de cette malencontreuse aventure de ce Christofer Colombia, je pense mes chers amies qu’ils va falloir prendre une décision a cette découverte, surtout quelle nous amène a de nouvelle dangerosité exceptionnel, vous l’avez vu par vous même ces créatures et puis cette femme.. au pouvoir a la limite de la magie et surtout un monde qui na jamais étais découvert jusque la » tous fut d’accord sur ce point la.

« Peut être que cette nouvelle contrer pourrais nous apporté des ressources nouvelles, alors que les nôtres s’épuise vite, très vite même » dit un homme, cette homme étais le chef des Etats-Unis, première puissance mondial. Il était d’origine Honolulu, Hawaï et États-Unis, des cheveux noir rasé de prés et une barbe qui était pareil, habiller d’un costard noir élégant avec une broche en forme de fleur du coté droit, il était un peut gros mais d’une carrure assez forte.

« je pense que notre cher Nelson a raison, alors que le monde en manque énormément, n’es ce pas la le moment pour nous d’oublier nos rancoeur et de former une coalition mondial, alors nous mettront nos ressource en commun afin de voir de nouvelle horizon dans cette opportunité » l’homme qui proposa cette alternative étais l’empereur japonais Wukong, un vieillard âgée de 70 ans assez mystérieux pour la plupart des personnes le connaissants et pour ceux qu’ils l’ont côtoyer très peut aussi. Grand avec un kimono gris assez vieillissant, une longue barbe noir au niveau de la bouche mais de plus en plus grise au fur et a mesure quelle descendais s’arrêtant au torse et de long cheveux gris qui descendez au niveau du bassin. Son visage étais fatiguer mais plein de vigueur, c’est yeux étais presque fermé comme si il somnoler a longueur de journée, la il se leva s’inclinant par forme de respect et de politesse.

« merci de m’avoir écouter » dit le vielle homme. Tous fus d’accord par la suggestion de l’empereur, après tout c’était le plus âgée de la salle et le plus sage pour beaucoup d’entre eux.

« Mais avant de décider quelque chose la brèche n’a pas étais boucher pas cette Geminia ? après avoir utiliser se..pouvoir ? ou magie ? Quelle puisse être cette étrangeté et est-que il y a d'autre entrées pour ce monde et comment allons nous nous organiser pour cette expédition de grande ampleur ? » Dit une femme, c’était la présidente de l’Italie Giorgia. Et elle portait bien les ont dit sur les femmes italiennes, elle étais magnifique d’une beauté sans pareil un visage lice sans ride avec de beau yeux bleu et une bouche a en faire fondre tout les homme amoureux des femmes, pourtant elle était âgée de quarante ans même si dévoiler l’âge d’une femme et a ses risque et péril, ses cheveux était soyeux et très ténébreux, habiller d’un béret rouge entourée de premier vu des piercing énorme en forme de rond même si cela restait un mystère, elle portais de grosse boule comme boucle d’oreille, une belle robe rouge avec d’étrange motif noir.

« Ceci et une bonne question ma chère dame, je pense qu’avant de partir nous devons nous préparer pour faire des recherche et nous laisser une année pour nous organiser » dit le vielle empereur.

« Voila que parle la sagesse en personne cher Wukong, surtout que nous devons envoyer une équipe bien préparer et je pense en sous nombre pour rester le plus discret possible avant des représailles, c’est qu’après que nous pourrions envoyer le gros de nos troupe » dit le président des Êtas-Unis.

« Peut être que nous devons aussi demander aux autres pays qui ne sont pas relier a cette assembler leurs aides » sur un grand fauteuil ses bras positionné sur les accoudoirs, vieux et d’un regard froid avec une barbe de trois jours, une grande balafre du haut de son crâne passant par le milieu de son nez jusqu’à son oreille gauche, elle s’éparpillait du haut de son oeil gauche au bout de son nez formant un trident avec ses pique a l’envers. Ses bras positionné sur les accoudoirs, habiller tout en noir d’un uniforme de généraux. Cette homme sombre était le chancelier de l’Allemagne.

« Je préfère l’écoute a la parole, je suis d’accord avec monsieur Friedrich » dit le premier ministre anglais Jack. Assis en tailleur, un beau smoking noir, visage très sérieux et stoïque avec un calme naturel.

Clap en claquant ses deux main Gabriel cria « Dans ce cas tout et dit » toujours son sourire narquois de coté « laissons nous une année a la préparation, j’informerai le canada manquant a cette réunion, après tout nous somme lier par nos origine, chacun de leur coté tiendront informer leur peuple a ce changement mondial sa sera l'affaire d’une prise de parole simple et efficace » tous acquiesça, puis enfin pris fin une des plus grandes réunions que notre monde et connue.

Mais quelque parts au même moment, au-delà du mur de glace, un océan avec deux immenses montagne séparant d’autre contrée. En son centre un continent cruciforme constitué d’un point central duquel s’étendait quatre bras de terre d’apparence tentaculaire, les deux première celle qui étais rapproché du mur étais napper d’un lit blanc, les deux autre branche tentaculaires étais plus verdoyante avec a leur bout deux grandes villes a la limite de se toucher, un lac immense en son centre rejoignant l’océan accompagner de petit terre perdu dans son vaste centre. Mais le plus incroyable fut dans son point central, par de la les montagnes, un gigantesque royaume, une citadelle fantastique dans un décor fantastique, des paysages urbains naturalistes en émeraude et de bronze. Chaque bâtiments étaient très grand avec un dôme comme toit, mais la dans les ruelles une fourmilière de gens, vendant, s’occupant de leur affaire, sur les ponts ils marchaient et ce promenaient, on voyer des enfants jouer dans les grands espaces, dans les bâtiments travaillant et faisant leur petite affaire de vie. Un peuple elfiques, derrière leur dos ils portaient de petite ailes ressemblant au ailes de fée dans les comptes, leur couleur de peau étaient verte, les oreilles taillées en pointe, des corps plus sveltes et bien plus légers que ceux des humains. Ils étaient assez robuste et grand enfin, ils sont plus agiles, rapides et endurants. Ils sont également imberbes, bien qu'ils arborent souvent des cheveux longs et soyeux. Pourtant minuscule dans cette citadelle, mais encore plus car au loin au centre de la grande citadelle, un immense château entourer de quatre grande tour avec va son centre une tour central dépassant de peut les quatre autre. A l’intérieur se trouve une immense salle ou des garde elfiques soutenu par leur arme, des grande lance doré, vêtus d’une magnifique armure qui s’accorde parfaitement avec la beauté de la salle émeraude et de bronze, au bout un trône élégant mais simple. Assis sur ce trône le rois elfique Ajaw seigneur du royaume ancestral, Le roi elfique Ajaw, souverain du royaume ancestral, incarne la majesté et la sagesse des anciens. Son âge, enveloppé de mystère, témoigne de la longue longévité des elfes et de leur lien profond avec les cycles de la nature. Revêtu d'une armure d'un vert émeraude éclatant, le roi Ajaw se distingue par sa prestance royale et sa force intérieure. Au centre de son armure, là où bat son cœur noble, brille un joyau d'émeraude, symbole de la puissance et de la noblesse qui coulent dans ses veines. Chaque pièce de son armure est finement travaillée, témoignant de son statut de souverain et de son engagement envers la protection de son peuple et de ses terres. Son expression faciale est empreinte de gravité et de détermination, reflétant la responsabilité qui pèse sur ses épaules en tant que dirigeant de son peuple. Ses yeux, profonds et perçants, captent la lumière comme des éclats d'émeraude, révélant la sagesse ancienne qui réside en lui. Les cheveux élégants du roi, d'un grisâtre argenté, encadrent son visage avec une élégance intemporelle, ajoutant à son aura de noblesse et de grandeur. Sur sa tête, une couronne verte, d'une brillance presque dorée, scintille avec un éclat royal, soulignant son statut de roi des elfes et de gardien des traditions ancestrales. Sa peau, d'un vert profond et chatoyant comme les feuilles de la forêt, témoigne de ses origines elfiques et de sa connexion innée avec la nature. Chaque trait de son visage, chaque mouvement gracieux, évoque la beauté et la grâce des anciens elfes, rappelant à tous ceux qui le voient la puissance et la majesté de leur royaume ancestral. Ainsi, le roi Ajaw se tient comme un pilier de stabilité et de sagesse au sein du royaume elfique, guidant son peuple avec dévouement et compassion. Son allure imposante et sa présence royale en font un dirigeant vénéré et respecté, honoré par tous ceux qui ont le privilège de le servir. il dit. « Alors qu’en est-il des magiciens de Pitatia vont-ils nous apportaient leur aide contre les sauvages d’As gardien ? » demande le seigneur elfe.

« mon seigneur les messages envoyer n’ont pas encore reçu de réponse. Peut-être devrions nous envoyer directement un messager sur leur ile principal Falias, ou alors pourrions nous les inviter à un dîner diplomatique à nos porte ? » Propose un conseiller, ce tenant devant son roi.

« Cela pourrais être une bonne idée, ainsi nos deux royaumes pourront se familiariser mutuellement, après tout la terre de Pitatia on des bonnes relations avec l’ancienne terre d’Anak » déclare le roi. Mais d’un coup le conseiller qui parler a son roi na pas pu commencer ça phrase qui fut interrompu par un crie a l’entrée de la grande salle, un garde couru en direction du roi.

« Mon roi ! » chutant malencontreusement par terre, se relevant puis reprenant sa course folle en direction de son bon seigneur.

« Mon roi ! » s’écria t-il une deuxième fois « une nouvelle du sud, Gemina protectrice du royaume solitaire et des terres sauvages a intercepter un voyageur » lui coupant la parole le roi répondit.

« Et alors que croit tu que ça me fasse, j’ai d’autre chose a faire que d’apprendre sa, surement encore un sauvageons d’as gardien » alors le garde rétorqua.

« nan mon seigneur vous vous trompez ce n’est pas qu’un simple sauvageon ou un aventurier curieux de cette terre, c'est un Centrien ! le premier qui est passer au-delà du mur » un silence de mort se sentit alors dans la grande salle, tous fut choquer d'entendre cette nouvelle et le garde continua sa missive « elle la intercepter avec ses créature les « drips » puis la poursuivi jusqu’à ce qu'il rebrousse chemin, la elle a boucher le passage de l’autre coté et l’homme a sombrer dans les eaux glacé » le roi ce leva d’un bon et donna un ordre, un seul, comme si ce moment étais attendu depuis longtemps.

« Garde préparer vous a la guerre faite venir les généraux ! Toi avertie les magicien et les géant ! Partez maintenant laisser moi seul » Tous partir a leur besogne et la salle fut silencieuse. Ajaw s’assît posa sa tête pensante sur sont poing, fermant les yeux et chuchota.

« Ainsi la légende disait vrais ils vont arrivaient » et d’une langue inconnu il répéta ces mot.

« Dnauq iulec iuq arua tout udrep sareluof son rerret, al erreug arecnemmoc, ruop nifne’uq sel sruetropsnart ed tnenitnoc semrofer « el aeagnap » te euq essiup nifne riruom letrommi’l »

(Quand celui qui aura tout perdu fouleras nos terre, la guerre commencera, pour qu’enfin les transporteurs de continent reformes « Le Pangaea » et que puisse enfin mourir l’immortel).