Un mariage et une villa

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  – Où va-t-on ?

  – On va à la chapelle.

  – C’est qui eux ?

  – Eux, c’est des personnes qu’ils veulent notre mort.

  – Comment ça ?

  – Avance, là tu es loin d’être en sécurité.

  – Mais…

  – Marche et arrête de parler Almaz !

 Au même moment, Val me tire et me pousse à l’intérieur de la chapelle et ferme la porte derrière nous. Nous nous sommes retrouvés face à un juge et un prêtre. Axel et sa femme Jocelyne, sont là eux aussi, pour être les témoins et ils ont les alliances avec eux. Le juge nous demande à nous et à nos témoins de signer le vrai contrat de mariage. Une fois signé et béni par le prêtre, l’alliance à nos doigt. Où je suis étonnée c’est que même Val porte une alliance. Axel regarde Val et lui fait signe de tête. Val se retourne vers moi.

  – Tu vas rester avec Joce, vous allez retourner à la villa. Nous on reviens dans la soirée.

 Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il est déjà parti. Je regarde Joce qui me fait un grand sourire en me prenant la main. On part du côté opposé des garçons. Elle me montre une voiture, pas une de sport mais une passe partout.

  – Aller, je vais te ramener à la villa et on vas se faire une soirée au bord de la piscine.

  – D’accord.

  – Et tu vas tout me dire.

  – Comment ça ?

  – Touts les détails, de toi, se que tu aime faire et tout le reste. Mais vas falloir qu’on y aille tu es trop exposée au danger. En voiture la jeune mariée.

 Je monte dans sa voiture, Jocelyne est tellement douce et pétillante. Sur le chemin qui mène à la villa, j’entends la mer. La villa est gardée par des soldats armés jusqu’aux dents, on ne peut pas dire autrement. A notre arrivée une femme sort de la villa, et vient vers nous avec un grand sourire. Elle doit avoir 45 ans.

  – Mademoiselle Lorie. Dit Joce avec enthousiaste

  – Jocelyne comment allez-vous ?

  – Très bien.

  – Où sont les garçons ?

  – Ils arrivent, mais voici Almaz, la femme de Valentino.

  – Désolé Madame je suis impardonnable. Je me présente je me nomme Lorie.

  – Ce n’est rien, dis-je à Lorie

  – Bon je vous laisse. Dit Jocelyne en partant vers la piscine, n’oublie pas ma belle notre petite soirée.

  – Je te rejoins là bas.

 Je me retourne vers mademoiselle Lorie qui me fait un grand sourire.

  – Madame Almaz Grezzo.

  – Oui.

  – Je vais vous montrer votre chambre, vous allez pouvoir vous changez.

  – Mes affaires sont arrivés ?

  – Non, malheureusement mais Monsieur Valentino a prévu pour que vous puisse vous changez.

  – Oh d’accord.

Je suis Lorie, jusqu’à l’étage, elle se tourne vers une porte et l’ouvre.

  – Voici votre chambre.

  – Valentino dors ici aussi ?

  – Bien sûr.

  – Comment ça ! Je commence à paniquée.

  – Ne paniquez pas, vous êtes mariés tout les deux. Vous trouverez à la terrasse votre repas.

  – Merci.

 C’est un détail que j’ai du mal à accepter. Être marié.

 Je trouve un bikini avec un kimono assorti sur le lit. Ils sont rose poudré, comment a-t-il su que c’était ma couleur préférée. Il doit avoir un dossier sur moi. Je prend une douche, me change et je rejoins Joce sur la terrasse près de la piscine. Je trouve sur une table un repas qui sens, extrêmement bon. Dès que Joce me voit, elle vient vers moi et s’assoit avec moi pour qu’on mange, les heures passent on a parler de tout et rien. Jusqu’à tard dans la nuit. Quand elle vois l’heure sur son portable, elle me fait un sourire et part se coucher dans la chambre d’ami. Ce que m’explique Joce. Je sais même pas quelle heure il est, quand Val rentre à la villa. Je me réveille dans ses bras, je ne peut m’empêcher de toucher son visage quand je remarque sa mâchoire crispée. Mais dès qu’il sent ma main sur son visage il se détend. Il me pose sur le lit, et part dans la salle de bain. J’entends l’eau de la douche coulée et il a laissé la porte de la salle de bain ouverte. Je peu voir la douche directement mais je vois aussi le sang coulé dès qu’il se met sous l’eau. Il me rejoin sur le lit après 30 minutes. Je le regarde et il as ce désir dans ses yeux qui brûle à nouveau encore plus fort qu’à notre départ de chez mon oncle. Et il est nu. Devant moi lui debout, moi assise sur le lit. De toute façon je suis bien plus petite que lui de 30 cm. Avec mes 1m65 et lui 1m95, je fait toute petite.

  – J’espère que tu n’ai pas fatigué ?

  – Pourquoi tu me regardes comme si tu aller me dévorer.

  – C’est le cas.

  – Comment ça ?

  – Ne me dit pas que tu es…

  – Si, je suis vierge.

  – Sérieusement ?

  – Désolé mais oui je le suis,

  – Une femme aussi jolie que toi ?

  – Oui, mais avec un oncle qui m’a fermé dans une villa pour pas que je sorte de peur que je suis trop exposée .

  – Alors, je vais devoir te montrer comment on fait.

  – Quoi, pourquoi, non !

 Je me fige au moment où il s’allonge au dessus de moi, me coinçant sous son poids. Sans que j’ai le temps de bouger. Il m’embrasse, baisé que je lui rend, nos langues s’entrelacent. Au moment où il vas faire descendre sa main jusqu’à mon sein gauche, je me crispe, et il le remarque. Il libère ma bouche et me regarde avec un petit sourire en caressant avec son autre main mes cheveux. Mais j’ai le souffle court.

  – Respire calmement, sa voix est douce

  – Je n’y arrive pas.

  – Calme me toi, ferme les yeux et respire.

  – Comment tu fait ?

  – Moi je l’ai déjà fait.

  – Pourquoi ?

  – Aller, calme toi tu vas faire une crise.

  – Pourquoi est-ce que j’ai peur comme sa.

  – C’est normal, c’est ta première fois.

 Je commence enfin à me calmer, je ne sais pas comment il a fait mais il a réussi à m’aider à me détendre. Mais cette fois-ci c’est moi qui relance le désir et il répond avec force à mon baiser. C’est moi qui ai les mains baladeuses à son grand plaisir, vu son souffle qui s’accélère. Il fait promener ses mains le long de mon corps, au moment où il fait remonter sa main jusqu’à mon intimité, on frappe à la porte.

  – Qui est la personne qui ose nous déranger ! Grogne Val

  – Boss, on a un problème.

  – Un problème qui vaut que tu viennes me voir à cette heure-ci, alors que je viens de retrouver ma femme !

  – Oui, désolé Boss.

  – Alors parle !

  – On a trouvé la taupe qui a tout balancé sur votre arrivé.

  – Qui est cette ordure ? Il me regarde avec ce regard qui en dit long, de la colère comme de la protection.

  – C’est la fille du jardinier.

  – Elle t’a dit pourquoi elle a fait sa ?

  – Oui, elle est contre votre mariage et je cite ‘il est à moi et uniquement à moi elle ne posera jamais ses mains sur lui.’

  – Elle est tarée. Tu l’as mis dans la cellule.

  – Oui, mais son père veut vous parler il dit que c’est important.

  – J’arrive.

 Il tourne le regard vers moi.

  – Désolé ma princesse, mais je vais devoir y aller. Tu peu faire un truc pour moi.

  – Oui… dis-je déçu de le voir partir.

  – Met toi dans le lit repose toi un maximum car quand je vais revenir je vais pas te laisser te reposer avant le lendemain matin voir toute la journée. D’accord .

  – D’accord, mais tu me promet de faire attention.

  – Je fait toujours attention à moi, princesse.

 Il dépose un baiser, se lève, trouve un short et un débardeur noir. Sort de la chambre. Je me sens mal, laisser là, seule sur le lit, avec un sentiment étrange qui m’envahie. Je me suis levée pour aller trouver une tenue pour me reposer, mais dans la penderie se trouve des robes pastel et des couleurs très clair, je n’ai pas l’habitude à porter des couleurs clair, mais elles sont belles. Je me tourne alors vers la commode, je ne trouve toujours pas de pyjamas. Où sont-ils passés. Il y a une armoire et toujours pas de pyjamas mais il se trouve des t-shirts, je pense qu’ils doivent être à Val, mais sa change rien, toujours pas de pyjamas, je prend un des noirs, et je me glisse dans le lit tout en portant le t-shirt de Val. Il est presque 7 heures du matin quand Val entre dans la chambre, il passe sa main sur mon visage et j’ouvre les yeux. Il a un sourire doux cette fois-ci. Mais quand il voit son t-shirt sur moi, son regard change, de la surprise, du désir et de la fierté.

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