La Géométrie de l’Âme
Avant le souffle,
l’âme est un plan silencieux,
flottant au‑delà de notre regard,
parallèle à l’espace que nous croyons réel,
immobile et infini.
Puis elle s’incline,
et traverse notre monde,
tracée fragile dans la matière :
une droite d’existence
où le temps naît,
où la vie commence.
Chaque pas, chaque geste,
n’est que projection,
ombre vibrante du plan supérieur,
onde qui frémit à travers le filtre du corps,
et qui croit être tout,
alors qu’elle n’est qu’une note
dans la symphonie invisible.
La résonance nous touche parfois :
un frisson, un rêve, une intuition,
et la ligne résonne avec le plan caché,
nous rappelant que nous sommes plus
que ce que nos yeux voient.
Puis vient la fin de l’intersection :
la droite disparaît,
le corps s’éteint,
mais le plan continue,
l’âme voyage hors de notre portée,
libre, entière, intacte,
danse invisible dans la quatrième dimension.
Et parfois, dans le silence des étoiles,
ou dans le souffle du vent,
une rencontre se produit,
une nouvelle droite apparaît,
une nouvelle incarnation :
le plan s’incline à nouveau,
l’âme réintègre la matière,
et la géométrie sacrée reprend son cours.
Ainsi chaque vie n’est qu’un passage,
une ligne dans un espace supérieur,
une vibration qui traverse la matière,
et laisse dans le monde l’écho
d’une vérité silencieuse :
l’âme existe, toujours,
même quand le plan se retire.Avant le souffle,
l’âme est un plan silencieux,
flottant au‑delà de notre regard,
parallèle à l’espace que nous croyons réel,
immobile et infini.
Puis elle s’incline,
et traverse notre monde,
tracée fragile dans la matière :
une droite d’existence
où le temps naît,
où la vie commence.
Chaque pas, chaque geste,
n’est que projection,
ombre vibrante du plan supérieur,
onde qui frémit à travers le filtre du corps,
et qui croit être tout,
alors qu’elle n’est qu’une note
dans la symphonie invisible.
La résonance nous touche parfois :
un frisson, un rêve, une intuition,
et la ligne résonne avec le plan caché,
nous rappelant que nous sommes plus
que ce que nos yeux voient.
Puis vient la fin de l’intersection :
la droite disparaît,
le corps s’éteint,
mais le plan continue,
l’âme voyage hors de notre portée,
libre, entière, intacte,
danse invisible dans la quatrième dimension.
Et parfois, dans le silence des étoiles,
ou dans le souffle du vent,
une rencontre se produit,
une nouvelle droite apparaît,
une nouvelle incarnation :
le plan s’incline à nouveau,
l’âme réintègre la matière,
et la géométrie sacrée reprend son cours.
Ainsi chaque vie n’est qu’un passage,
une ligne dans un espace supérieur,
une vibration qui traverse la matière,
et laisse dans le monde l’écho
d’une vérité silencieuse :
l’âme existe, toujours,
même quand le plan se retire.Avant le souffle,l’âme est un plan silencieux,
flottant au‑delà de notre regard,
parallèle à l’espace que nous croyons réel,
immobile et infini.
Puis elle s’incline,
et traverse notre monde,
tracée fragile dans la matière :
une droite d’existence
où le temps naît,
où la vie commence.
Chaque pas, chaque geste,
n’est que projection,
ombre vibrante du plan supérieur,
onde qui frémit à travers le filtre du corps,
et qui croit être tout,
alors qu’elle n’est qu’une note
dans la symphonie invisible.
La résonance nous touche parfois :
un frisson, un rêve, une intuition,
et la ligne résonne avec le plan caché,
nous rappelant que nous sommes plus
que ce que nos yeux voient.
Puis vient la fin de l’intersection :
la droite disparaît,
le corps s’éteint,
mais le plan continue,
l’âme voyage hors de notre portée,
libre, entière, intacte,
danse invisible dans la quatrième dimension.
Et parfois, dans le silence des étoiles,
ou dans le souffle du vent,
une rencontre se produit,
une nouvelle droite apparaît,
une nouvelle incarnation :
le plan s’incline à nouveau,
l’âme réintègre la matière,
et la géométrie sacrée reprend son cours.
Ainsi chaque vie n’est qu’un passage,
une ligne dans un espace supérieur,
une vibration qui traverse la matière,
et laisse dans le monde l’écho
d’une vérité silencieuse :
l’âme existe, toujours,
même quand le plan se retire.
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