Je ne pourrais vous dire ni l'heure ni le jour ni la période.Mais je me souviens qu'il fesait beau.Papa et Maman ne pouvaient pas me garder, ils décidèrent alors de me déposer chez mon tonton.Tonton François...Je devais avoir cinq ans tout au plus.Nous nous étions garer dans un immense parking assailli par la chaleur du soleil.En face de moi se dressait un immeuble, ni vieux, ni récent.Nous avions pris un ascenseur ou une odeur de renfermé regnait.Nous avions sonné à la porte d'en face, au quatrième étage.Il avait ouvert, mince, grand, au lunettes rectangulaire.Une barbe de trois jour fleurissait son menton et ses cheveux grisonnants n'avaient pas étés peignés.Papa me laissa là.Je pénetra dans l'appartemment lumineux.Nous parlâmes, un peu, beaucoup...Il me chuchota alors qu'il avait une malle secrète, une malle magique.Il m'entraîna dans le salon et me montra une vielle malle en bois sombre.Le loquet rouillé était verrouillé.Il sortit de sa poche la clé, tourna celle-ci dans la serrure, et on entendit un cliquetit.Il ouvrit d'un geste décidé la malle.J'y découvris une multitude de jouets, des poupées de porcelaines, des cheveaux en peluche, des déguisements de chevaliers et de princesses, quelques balles rebondissantes et de jolies barbies aux boucles d'or.Le trésor était encore plus merveilleux que se que j'avais pu imagnier.Dans cette malle il y avait les plus beaux jouets du monde.