Ouverture

Une minute de lecture

Bon peuple de Céresse, vous vous êtes tournés vers nous lorsque l’apocalypse a sonné à notre porte. Nous n’avons pas failli face à l'ennemi. Notre coallition a lutté des décennies contre les dix républiques et nous n’avions d’autres choix que de condamner notre monde pour mettre fin à la guerre. Mon prédécesseur, feu le grand empereur Orthyannus, avait prédit cette catastrophe, le mal est dans la nature même de l’homme. Ainsi que le bien, la balance qui régit chacun de nous est sensible. Tout comme la ville qui nous a été léguée. La cité nation est le dernier espoir de l'humanité, hors de notre Empire, il n’y a que la Morte Terre et les fantômes de nos aïeux. Il est de notre devoir d'honorer les disparus du passé et d'éviter leurs erreurs. L'Empire est fort, la cité nation un phare dans les ténèbres. Chacun doit être prêt à donner sa vie pour qu’Aldius perdure…

Discours de Nearion, premier empereur d’Aldius lors de la fin du grand exode et la fondation de la cité nation.

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