Chapitre cinq

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Victorine se radoucit, heureuse de cette réponse et sans attendre quelconque réaction, se jette dans les bras de son amie.

Elle la serre contre elle, la dorlote doucement, lui massouille le dos.

Oriane, un peu tendue au début, se laisse rapidement aller à l’accolade et enlace à son tour Victorine avec grande délicatesse.

Ses mains pleines de douceur caressent ses cheveux blonds, puis ses épaules, puis la très fine étoffe de satin de la nuisette.

Le tissu est si soyeux que ses doigts semblent toucher le corps nu de la blondinette, qui se met à soupirer de bonheur, de soulagement, de plaisir.

L’étreinte se resserre, Victorine masse le dos de sa copine, puis de ses mains, vient longuement presser le torse moelleux de la rondelette demoiselle contre son buste.

Tout devient frôlements, soupirs, battements de cœur, mais, plus un mot n’est prononcé.

Affectueusement, Victorine vient glisser son nez sur celui d’Oriane.

Ne sentant aucune résistance, elle dépose ses lèvres humides sur la bouche de la jeune femme.

Oriane, saisie par l’émotion de ce baiser, se raidit, puis se ravise, et offre ses lèvres à sa copine.

Le baiser est d’abord timide, elles s’embrassent lentement, doucement, sensuellement, puis il prend vigueur, plus de bouches, plus de lèvres, plus de langues, plus de souffles.

De longues minutes passent en silence, en embrassades, en câlinages d’infinie tendresse.
Oriane désorientée, à force de se noyer dans ce baiser, finit par doucement se démêler de l’étreinte.

« je… hihi… j’ai la tête qui tourne, ohlalaaaa, il est tard, je vais boire un coup, puis dormir je pense, non? »

« ah… déjà ? Tu as raison sans doute, bon alors moi aussi, y faut que je désaoule »

Toute deux, la tête dans les cieux, s’exécutent lentement, se désaltèrent et installent le matelas d’Oriane au pied du lit de Victorine.

Oriane, toujours en culotte, se baisse et fouille dans son sac pour récupérer un large t-shirt blanc, elle enlève celui qu’elle portait à la soirée, retire son soutien-gorge et, sous l’œil scrutateur de Victorine, enfile le t-shirt pyjama.

Victorine, bras croisés, debout devant son lit hésite et se lance, avec une forme d’impatience.

« dis, n’hésites pas à faire comme chez toi hein, y a personne ce weekend rappelles toi »
« quoi donc ? »

« hé bien pour dormir, hehe, fais comme tu m’as expliqué l’autre jour quoi, hahaha »
« pfff, haha ouais, tu as peut-être raison »

Oriane pudiquement, glisse ses mains sous son t-shirt puis retire et dépose à ses pieds sa petite culotte qui semble garnie de diverses sécrétions.

Victorine, innocemment, pupilles dilatées, avance son museau pour venir inspecter.

« ah,…c’est fou comme tu mouilles toi ! »
« bah, je sais pas, y a du pipi là aussi certainement, je suis une fuiteuse quand je bois haha »

« mh, il a dû sécher depuis ton pipi, là on dirait que c’est tout mouillé,… de mouille hihihi »
« ptêtre »

« haha, c’est Céleste qui te fait cet effet ? »
« boarf mais qu’est-ce que tu racontes encore ? »

« vous avez passé la soirée ensemble et elle t’appelle petite étoile, c’est pas anodin ça, alors bon je me demande c’est tout, on dirait que tu me caches des trucs »
« je.., mais… »

Soudain le visage de Victorine, tant apaisé il y a quelques minutes devient à nouveau glacial et défiant.

« « mais » quoi ??, j’ai tout raconté, toi rien, alors vas-y, dit tout ! »
« bon, il n’y a rien de plus à dire que ce que tu sais hein haha, sauf,… mais c’est elle,… je…. sans que je demande rien, dise rien, ou fasse rien, qui m’a montré sa chatte, comme ça »

« Mais QUOIIIIIII, genre « il n’y a rien » et comme ça, elle te montre ça chatte, hahahahaha tu me prends pour une dinde ou quoi ? »
« je… »

« ouaiiiiiiis, c’est ça ouais, j’avais bien vu votre petit manège, pourquoi t’as pas été dormir chez elle tiens ? »
« Vic, mais qu’est ce que tu racontes, et qu’est ce que ça peut te faire, elle me dit cash "j’ai pas de culotte", elle soulève sa robe pour me montrer, genre pour se vanter et basta fin de l’histoire, c’est juste rigolo rien de plus »

« nianianianiania rigolo, ah ouiiiiiiii très drôle, vous avez des super discussions vous, mais c’est pareil que pour moi, c’est un viol de se montrer à poil alors que tu ne voulais pas »
« heuuu, c’est de l’exhibition, oui si tu veux, mais genre c’est une pote de classe et on est majeures, elle m’a rien demandé mais c’était drôle et je ne me sentais pas violée du tout »

« pfffffff ah ouaiiiiiis tu as apprécié en plus »
« non, elle voulait me montrer qu’elle avait raison car j’ai dû avoir une tête dubitative quand elle m’a dit qu’elle n’avait pas de culotte. Tu sais bien qu’elle aime toujours avoir raison, pis voilà ça a duré cinq secondes »

« cinq secondes ?, mais c’est énorme »
« n’exagères pas »

« elle est comment se nénette »
« c’est un mini trait sans poil comme pour une petite fille »

« beuarkkk, elle fait sa grande et a une chatte de bébé, hahahahaha »
« ouais »

« et t’es contente ? »
« de quoi ? »

« de ta soirée ? »
« non, on n’a rien fait à part boire et en plus tu t’es faite agressée, comment veux-tu que je sois contente ? »

« et genre vous auriez fait quoi si j’étais pas arrivée »
« rien, je serais allée te chercher »

« ben j’aurais pu attendre longtemps on dirait »
« Victorine, arrête, viens »

« comment ça, "arrête", justement si j’arrête, tu me dis jamais rien, tu veux quoi, tu veux voir ma chatte à moi aussi ?, je te la montre, hein, pas de soucis »

Oriane brusquement lève sa nuisette au-dessus de son nombril, la coince d’un bras contre son torse, et de l’autre retire son shorty, se cambre et exhibe son sexe indécemment.

« voilà, moi aussi je peux te montrer ma moule, mais au moins j’ai une vulve de femme non ? »

« oui Victorine »

« c’est dingue cette histoire quand même »

« bon, excuses moi, mais ça devient pas drôle ce plan jalousie »

« comment ça ?, mais je suis hyper pas jalouse, je suis pas ton mec hein »
« non, en effet, alors pourquoi tu me saoule avec ça ? »

« t’es ma meilleure pote, on se dit sois disant tout et en fait, je dois te tirer les vers du nez pour apprendre que tu as passé ta soirée à mater des chattes en gloussant, en te faisant appeler petite étoile, tu parles d’une pote, HAHAHAHAAAA »

« VICTORINE, MAINTENANT TA GUEULE, TU M’EMMERDE ! »
« … »

« … »
« snfffff »

« … »
« snniffrl, snifff, bhouuuuuuuuuuuuuuhouhouhouuuuuuuuuuuuuuu »

Sous l’électrochoc du ton employé par Oriane, Victorine, après avoir lutté pour garder le contrôle, s’effondre en larmes et laisse échapper toute la tension qu’elle contenait en elle.

« je…. Je suis désolée Vicvic, je voulais pas te faire pleurer »
« bhouuuuuuuuuuuuuhouuuuuuuuuuuuuuhouuuuuuuu »

« reviens dans mes bras ma belle, excuses moi »
« bhouhouhouhouhouuuuuuuu, c’est moi qui suis trop coooooonnnnne je te parle comme à un chien »

« c’est rien, c’est rien, la soirée a été horrible pour toi, je comprends, je suis désolée je n’aurais pas dû crier, viens là que je te câline »
« noooooon, c’est moi qui abuuuuuuuuse, je suis nulle, je ne suis pas forte comme toiiiiiiii bhouuuuuuuu »

Oriane cette fois prend les devants et enlace son amie, puis la serre contre elle un moment avec vigueur,
Les sanglots baissent, Oriane sans réfléchir, du bout de ses lèvres embrasse le cou de la demoiselle en pleurs,

Le cou, puis la joue, et, comme poussée par une force intangible, indomptable, sa bouche se rapproche de la commissure des lèvres de la jeune femme effondrée,
Sans aucune appréhension, elle prend les devants et vient l’embrasser sur la bouche, d’une sensualité infiniment passionnée,
D’un baiser de mille pureté, de pure beauté, garni d’intenses frissons,
Victorine, après un dernier spasme, rejoint son amie dans la caresse pour une jolie fusion,
La calinade est tendre, sincère, amoureuse,
Les deux demoiselles, quasi nues, à l’exception de leurs petites tenues de nuit, semblent heureuses.
Elles éteignent, et, toujours entremêlées, se laissent tomber dans la pénombre sur le matelas d’Oriane avec liesse.
Victorine se blotti dans le dos d’Oriane, les mains entourant son ventre, par-dessus son t-shirt, juste sous sa lourde poitrine. Elle se presse toute entière, seins contre dos, pubis contre fesses.

Le souffle d’Oriane ralenti.

Celui de Victorine accélère.

« … »

« Petite choute? »

« mmmm »

« tu dors ? »

« presque »

« je… je peux te poser une question indiscrète ? »

« mm, de toi toujours, même si je m’attends au pire »

« genre… »

« mh, t’as toujours des trucs tordus à demander hein c’est pas ma faute, mais accouche, j’étais bien à m’endormir contre toi »

« je… heuuuu…. tu…, heu, tu te masturbes des fois ? »

« … »

« mh, je te choque ? »

« ha non, non, je réfléchissais à pourquoi tu demandais ça »

« et alors qu’as-tu donc à répondre »

« ouin, je l’ai déjà fait, mais bon, genre pour essayer quoi, je le fais pas souvent »

« tu aimes pas »

« je sais pas, si si, ça dépend, des fois oui des fois non »

« c’est parceque tu as pas d’orgasme ? »

« je sais pas, peut être »

« bah si tu avais des orgasmes, tu le saurais, haha c’est tellement fort »

« mh bah si c’est très agréable quand même parfois, mais ça dépend je sais pas »

« ptetre que tu le fais pas bien »

« haha j’en sais rien, mouais, si tu le dis »

« faut être douce, pas stressée, et se laisser sentir les sensations »

Victorine, en même temps qu’elle chuchote, laisse imperceptiblement descendre ses mains, qui n’ont toujours pas lâché le ventre de son amie.

« bah, ça va chuis pas tout le temps stressée »

« oui, mais il faut pas, genre se dire, » « je veux absolument jouir », ça marche pas trop sinon »

« mh, je me dis pas ça »

Les mains de Victorine dérivant vers le bas du grand t-shirt parviennent à son extrémité, pile au niveau du pubis à peine protégé de la brunette.

« je sais pas y faut peut-être tenter d’autres choses ? »

« boarf, flemme haha, mais si ça t’intéresse tant, tu te fais jouir tout le temps toi ? »

« l’autre, hihi, pas tout le temps, mais, heuuu, très souvent hihihi »

« tu l’as fait quand la dernière fois »

Les mains de mieux en mieux positionnées de la blondinette se faufilent cette fois sur les cuisses nues de son amie presque endormie. Elle se met à presser tout doucement ses doigts, en effleurant le haut des cuisses d’Oriane, qui, rêveuse, n’a toujours pas bougé d’un cheveu.

« hier… et toi ?»

« ha oui quand même, moi je sais pas,… heu…le mois passé, pour la dernière fois »

« ah oui, tu l’as fait où ? »

« ben dans mon lit, pourquoi tu fais ça ou toi ? »

Les deux mains de Victorine massent en cœur l’aine de son amie, elles frôlent lentement sur sa zone périnéale, progressant, avec douceur sensuelle, millimètre par millimètre vers l’intérieur du bas ventre.

« mmh, hihi, ça dépend d’où je suis, de mon envie, de si je suis seule, je le fais souvent dans ma chambre, mais aussi dans le canap, ou sous la douche, ou aux chiottes »

Oriane ne bouge pas mais semble particulièrement détendue, elle se laisse toucher sans montrer le moindre signe de désagrément, bien au contraire, elle semble faciliter le passage des mains de son amie sur l’intimité de son corps nu.

« mais, cash dans les chiottes, t’es une sauvage toi »

« hihi, naaan, mais bon des fois j’ai vraiment envie et je n’ai pas d’intimité alors bon hein, là au moins je suis sure qu’on vient pas me chercher »

« hébé, c’est ce que je dis, faut vraiiiiiiment avoir envie »

Des pointes de ses doigts chauds, Victorine serpente maintenant jusqu’au replis gonflés de la vulve d’Oriane, elle en découvre par de petits massages, la douceur, la moiteur aussi. Elle peut sentir contre son pubis les légères ondulations des fesses de sa copine, accompagnant les gestes de ce massage discret, secret, infiniment langoureux.

« hé oui, parfois j’ai très envie, je sais pas pourquoi, il faut que je me touche, c’est presque plus fort que moi, ça t’arrives pas alors ? »

« heuuu, pas vraiment, enfin oui j’ai déjà senti l’envie de le faire, sinon je n’aurais pas essayé, mais genre, pas au point de vite aller dans les toilettes pour le faire »

« je pourrais pas t’expliquer, ça vient parfois comme ça, puis une fois que j’ai l’idée en tête, bah si je le fais pas, alors mon excitation augmente car j’y pense tout le temps, alors y faut au bout du compte que je le fasse absolument haha »

« ah… bah ça en effet j’ai pas trop cette sensation, je fais ça, plus comme un massage, me faire des petits frissons, pour voir comment ça fait du bien, pour expérimenter quoi. Mais tu jouis vraiment souvent ?»

Victorine a installé une de ses mains sur le mont de vénus d’Oriane, qu’elle caresse doucement. L’index et le majeur de son autre main jouent avec les plis des quatre lèvres charnues de la jeune femme, se glissant de temps en temps sur le haut de la petite fente humectée qui s’ouvre à eux.

Sans qu’Oriane n’ait pu vraiment s’en rendre compte, les mouvements nocturnes des deux demoiselles ont relevé la courte nuisette de la blondinette qui, au fur et à mesure de son massage intime, a tendance à presser chaque fois un peu plus son sexe nu contre les fesses dénudées délicieusement arrondies de son amie.

« mm, voui voui, pas à chaque fois mais presque, j’ai l’habitude, ça fait quand même des années que je me caresse par-là, haha »

« ah oui, combien d’années »

« oulà, je sais plus j’ai dû commencer à dix ans ou avant je crois »

« hé bé t’es précoce toi »

« bah non, je faisais ça sans me rendre compte haha, tu te touches depuis quand toi ?»

« genre quinze, mais, comme je te dis, pas forcément souvent, des fois je le fais pas pendant des mois. Et toi ? c’est tous les jours ? »

Oriane ouvre les cuisses pour laisser son amie la butiner de ses phalanges, les battements de son cœur s’accélèrent au plus Victorine masse son petit capuchon désormais mouillé de sa propre cyprine, que Victorine remonte régulièrement du secret sillon tout visqueux. La jeune femme entreprenante presse de plus en plus sa vulve en l’ondulant dans une synchronisation parfaite avec les mouvements sensuels de sa main sur le sexe de sa copine.

« oh non, en fait parfois une fois dans la semaine, mais parfois ça m’arrive aussi trois ou quatre fois par jour »

« hé ben là j’imaginais pas hihi, en fait 4 fois par jours alors qu’on se voit tout le temps ça veut dire que tu te masturbes dès que j’ai tourné le dos ? »

« méééé nooon, si tu es avec moi je profite de ta présence, quand c’est quatre fois c’est que je suis seule, que je m’ennuie, que j’ai l’envie qui me titille hihiihi, des fois le fait de le faire une fois me donne envie de recommencer tout simplement, comme si j’en avais pas eu assez »

« ah ouais, et tu fais comment ? »

Victorine, imperceptiblement accélère le rythme de la rotation de sa vulve sur les fesses, comme de sa main sur le vagin d’Oriane, sa main est douce, fluide, moite de sécrétions, les mouvements sont tantôt amples, tantôt plus resserrés. Parfois, espiègle, elle s’arrête une ou deux secondes, savoure l’immédiate réponse des cuisses de la brunette qui s’écartent de plus belle comme pour appeler à plus.

« pour me masturber ? »

« voui ! »

« hihi, je te montrerais si ça t’intéresse, mais en fait c’est beaucoup plus clair si je te dis, que je fais exactement comme je suis en train de faire maintenant »

« ho, d’accord, tu…, tu fais ça bien, c’est,.... agréable »

« merci ma choute, je suis vraiment contente que mon massage te plaise, ta petite chatte est tellement douce, tellement agréable à la caresse »

« bah c’est un sexe quoi »

« oh non, détrompes toi, la tienne est pulpeuse, pleine de secrets, toute mouillée, toute gonflée, belle, grande, c’est fou comme tu as de jolies rondeurs même là,… Même celui-ci est super grand hihiihi »

A ces mots, Victorine se met à lui palper le clitoris de vas et viens délicats, de haut en bas, du plat de toute sa main.

« je… je ne savais pas que j’avais une grande chatte, mais c’est peut-être juste parce que je suis grosse »

« je ne suis pas sûre que ce soit lié, mais tu n’es pas grosse tu es sensuelle et féminine »

« arrêtes, tu es mille fois plus féminine que moi princesse »

« bien sûr que non, tu as plus de hanches, de fesses, de seins, de lèvres, même de clito que moi »

« c’est pas un gros cul qui fait une femme féminine, mais chez toi ce sont tes vêtements, tes sourires, tes cheveux d’or tout fins, tes allures qui te font belle comme une fée »

Victorine, émue de ces compliments serre un peu plus son amie contre elle, accentue son massage de plus belle.

L’intense pressement de son pubis pétrit cette fois littéralement le cul rebondit d’Oriane, Victorine de sa main gauche plante ses ongles dans la cuisse de la pulpeuse demoiselle, alors que les trois plus grands doigts de sa main droite, par leur vivacité, se mettent à malmener le sexe de son amie.

La blonde souffle, la brune écarte ses cuisses avec indécence.

« merci ma choute, tu es tellement adorable, tu aimes mon massage »

« je….tu…. oui… tu fais ça très bien, c’est hyper agréable, tu… tu as déjà touché une autre fille ? »

Victorine semble frénétiquement ne plus pouvoir arrêter ses pressions, sa patiente, offerte, se laisse tripoter de partout.

« je….jamais,… comme pour le baiser,…. Tu…. Tu es ma première fois,… et… je… hhhhhh »

« oui ? »

« je sais pas, je trouve que c’est tellement agréable de te caresser, tu… tu m’excites beaucoup petite choute »

« hihi merciii »

« tu…hhhhhhh… tu…mmmm »

« je ? »

« hhhhhhhaa, tu aimes ? »

« oui, c’est très doux, tout mon corps pétille de partout, j’adore tes caresses »

« hhhi, hhhhhhhh »

Victorine devient haletante, elle se raidit, se presse toute entière contre sa compagne pour écraser de plus belle, contre ses fesses, son clitoris en pleine déflagration.

« ça va princesse ?»

« hhhaaîîîîîiiihaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh »

« … »

« … »

La blondinette délivre son étreinte, relâche tout son corps, respire bruyamment, stoppe ses mouvements, mais garde ses mains humides posées entre les cuisses de la jolie brune.

« hihihi, ça va ?, tu dis plus rien ?»

« je… oui…je…, j’ai joui ! »

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