Chapitre 35
Remontés tard dans leur chambre, Stein aller sur un fauteuil éclairé d'une lampe haute, afin d'y lire ses messages sur son téléphone, laissant Alya se démaquiller et se changer pour la nuit.
Le mafieux ne réussit pas à se concentrer sur sa tâche, car le souvenir de cette demande en mariage par sa fille lui restait en tête. Il ne put empêcher un lent sourire étirer un coin de sa bouche.
- Ah, soupira-t-il. Maria... Notre fille nous ressemble tellement que c'en est douloureux de la voir grandir aussi vite sans toi.
- Elle a pourtant un exemple en face d'elle, entendit-il depuis la porte menant à la salle de bain.
Son corps se compressa en découvrant Alya dans un pyjama qui n'avait pourtant rien de glamour. Un t-shirt trop grand pour elle, dont l'une des épaules était découverte, un sort à peine visible en dessous tant son haut tombait sur ses cuisses. Son visage débarrassé de son maquillage, ses cheveux lâchés sur une épaule, il pouvait imaginer le reste tomber en une belle cascade dans son dos. Stein pria les dieux de lui venir en aide. Maria avait été la beauté pure et la femme qu'il aimerait jusqu'à sa mort, mais Alya était d'une beauté sauvage. Son regard intimidé lui fit battre le cœur si fort que son souffle se fit plus rare.
Taeliya l'avait placée sur son chemin, lui disant que même Maria acceptait cette union, pourtant, il n'avait pu s'empêcher de ressentir une sorte de culpabilité. Il était si reconnaissant envers sa petite Princesse d'avoir put le libérer de cette douleur, mais maintenant qu'Alya se trouvait devant lui dans cette tenue, qui était loin de celles qu'avaient put porter sa précédente épouse durant son vivant, tout en lui criait qu'il la voulait. En avait-il le droit ? Il la regarda s'approcher et venir s'agenouiller face à lui, posant son menton sur une de ses cuisses musclées, échauffant l'homme qui ressentit un certain vertige le prendre quand il croisa son beau regard.
- Taeliya ressemble beaucoup à sa mère, dit-elle. Elle m'a montré une photo qu'elle garde avec elle. Maria, c'est ça ?
- Oui, souffla Stein avec difficulté.
- Tu sais, Taeliya m'a parlé de sa maman et de notre... relation naissante à tous les deux...
Voyant son hésitation à en parler, il pouvait comprendre qu'elle avait encore du mal à se décrire en couple avec le plus redoutable mafieux du pays, internationalement connu comme le plus sanguinaire et intraitable des hommes de son genre. Avait-elle peur ? Oui, il pouvait le voir dans son regard, mais il n'y avait pas que ça. Il y avait de l'admiration, mais aussi, une émotion qu'il ne saurait décrire. Pensait-elle à Taeliya ou à Maria ? Sans doute les deux.
Il lui caressa la tête avec douceur, sentant sa chevelure lui glisser entre les doigts. Il était fasciné par la texture et eut envie d'y perdre son visage afin d'en humer l'odeur.
Pour tromper son esprit et son corps qui commençait à réagir à la présence de la femme, Stein demanda :
- Que t'a-t-elle dit ?
- Taeliya pense que sa mère est d'accord avec ça. Je ne sais pas vraiment si je peux me sentir encourager ou si elle tente de nous pousser l'un vers l'autre...
- Ma fille est intelligente. Son coma lui a permis de voir ce qui m'est interdit. Elle m'a également dit que Maria était d'accord et je la crois. Si tu ne te sens pas à l'aise, douce femme, je ne te presserai pas. Penses-tu que ma fille cherche à nous forcer la main ? Elle a à cœur mon bonheur et désir qu'une chose, que je ne passe pas ma vie seul et triste.
- Est-ce que tu es triste ?
- Je ne peux dire que je ne le suis pas, soupira l'homme, continuant à caresser sa tête, le regard perdu dans l'exploration de la suite où ils dormaient. Ma femme me manquera toujours et la dernière image que j'ai d'elle, tenant ce bébé mort dans les bras avant de finir criblée de balles, restera à jamais gravée dans mon esprit. Taeliya sait à quel point ce souvenir est douloureux, mais je sais que ma femme nous regarde et qu'elle veille sur nous deux. Si elle a put dire à notre fille qu'elle nous donne sa bénédiction, alors je ne vois pas pourquoi je devrais rester avec ce sentiment de solitude épouvantable. De plus, ma Princesse m'a fait rencontrer une femme courageuse et intrépide, bien qu'un peu timide.
Alya sourit.
Elle ne pouvait en vouloir à cet homme de se sentir ainsi. Qu'avait-elle vécue dans sa vie ? Pas grand-chose. Du moins, rien de comparable avec ce qu'il avait pu vivre.
Elle connaissait Stein Carlington sans vraiment l'avoir rencontré. Cet homme avec une réputation connue partout dans le pays et Alya n'y faisait pas exception. Elle lisait souvent les news qui expliquaient ses faits et gestes et elle avait, une fois, eut envie de le voir pour découvrir qui était ce mafieux sanguinaire que la presse dépeignait avec autant de crainte. Mais la peur de se retrouver face à lui ou à ses hommes l'avait très vite refroidit jusqu'à ce qu'elle reçoive un appel d'un homme à la voix imposante et au phrasé très... courtois et spécial. Quand elle rencontra Taeliya, elle ne se serait jamais attendu à rencontrer Stein pour de vrai et apprendre à le connaître, pour finalement entamer une relation avec cet homme puissant.
Aujourd'hui, Alya ne pouvait réfuter les sentiments qu'elle avait pour cet homme, mais quand Taeliya lui avait parlé de sa défunte mère, la coiffeuse avait ressentit une sorte de honte de désirer cette relation. Cependant, la jeune femme l'a rassuré en lui disant qu'elle souhaitait cette relation entre les deux adultes. Elle était reconnaissante envers Alya d'être entrée dans leurs vies et de prendre soin d'eux comme elle le faisait. Stein semblait partager cette pensée et la coiffeuse ne savait pas si elle devait se laisser aller à ce genre d'histoire ou non.
Soudain, avec douceur, Stein lui attrapa la nuque et lui fit relever le visage vers lui, elle le regarda ployer son corps vers elle pour venir déposer un baiser sur ses lèvres. Surprise, Alya ne dit rien, ne fit rien non plus, sonnée par ce qu'il venait de déclencher en elle. Quand la langue du mafieux se posa sur sa lèvre inférieure, elle se sentit fondre. Son corps frissonnait au contact de cet homme et elle ne pouvait s'y soustraire. C'était comme si elle en voulait encore plus... comme si tout en elle appelait à ce qu'il la touche encore et encore.
Dans un soupir, elle ouvrit la bouche et le laissa entrer, venant se glisser autour de sa compagne timide qui se laissa d'abord dominer par le mafieux. Stein sentit son corps se tendre, son cœur battre à tout rompre, sa faim s'éveilla et sa soif d'elle lui rendit la gorge sèche. Il se sépara de la femme, plantant son regard fauve dans le sien, embué d'un plaisir auquel elle ne s'était visiblement pas attendue.
- Ah... soupira l'homme, passant son pouce sur la lèvre inférieure d'Alya qui ne broncha pas. Suis-je damné à tomber sur des femmes extraordinaires ?
Elle ne sut quoi lui répondre, aussi garda-t-elle le silence. Son regard enflammé lui donnait des frissons dans tout son corps. Elle ne savait quel sort il avait prononcé pour qu'elle réagisse ainsi, car c'était puissant, et pourtant ce n'était qu'un baiser.
Alya sentit son souffle se raccourcir face à cet homme. Stein lui empoigna sa longue tignasse et tira sa tête vers lui pour posséder ses lèvres avec plus de fièvre cette fois, un désir fou et brutal qui gardait tout de même une certaine retenue. Stein ne voulait pas l'effrayer et il se battait contre lui-même pour ne pas lui faire du mal. Il se leva, gardant leurs bouches scellées, Alya le suivit jusqu'à ce qu'elle se sente soulevée dans les airs par une paire de bras aux biceps gonflés. Elle feula sans s'en rendre compte. La langue de Stein se fit plus insistante et ses mains, largement ouvertes sous ses fesses, lui malaxait la chair, pénétrant ses doigts à l'intérieur du short et sentit un sous-vêtement qui allait très vite lui barrer la route. Encore habillé de son costume du soir, Stein respirait pourtant la férocité et la virilité d'un alpha. Alya pouvait sentir contre elle ce témoin silencieux qui ne désirait qu'une chose, la rencontrer. Elle allait se faire dévorer par un démon. Rien à voir avec celui de Taeliya, mais celui-ci était tout aussi dangereux et terriblement sexy. Ses grondements la rendirent folle. Elle allait perdre la tête, c'était certain. Il la déposa sur le lit, allongée face à lui, le corps tremblant, une jambe pliée, légèrement écartée de l'autre, il pouvait apercevoir une tâche sur son short, ce qui l'excitait encore plus. Il retira sa veste sombre et défit la cravate qu'il avait mit pour l'occasion. Alya suivait chacun de ses mouvements, jusqu'à ce qu'il ouvre sa chemise blanche, dévoilant un corps parsemé de blessures, de tatouage et de muscles entretenus. Il était l'homme le plus dangereux de la pègre, et il se trouvait là, face à elle, tentant de museler son désir pour elle afin de ne pas l'effrayer. Alya sentit son entrejambe s'humidifier abondement. Elle désirait cet homme.
La chemise chuta sur le sol, rejoignant le reste, sauf la cravate que Stein gardait dans ses mains.
- Approche, ordonna le chef du clan, d'une voix sombre et autoritaire.
La coiffeuse de ne se fit pas prier. Elle se redressa et s'approcha de lui pour lui présenter ses poignets qu'il lia avec ce qu'il tenait dans ses mains, sans trop serrer. Tout juste assez pour qu'elle qu'Alya ne puisse se soustraire à son emprise, puis il la fit se rallonger. Il tint ses poings liés haut-dessus de sa tête, sur les coussins, le regard affamé. Sa peau se couvrait de petites cloques, elle avait ce désir tremblant de savoir ce qu'il allait lui faire découvrir comme nouvelle sensation. L'homme vint se placer entre ses cuisses, soulevant une des siennes pour la caler contre sa hanche étroite. Alya sentit les doigts féroces de son partenaire parcourir sa peau, la caresser, la marquer en l'empoignant par moment. Il glissa entre le bas de son short de nuit et vint lui caresser une fesse, la faisant soupirer, cambrant son corps. Stein aimait l'observer, apprendre ce qu'elle lui montrait et lui enseigner de nouvelles émotions. Maria avait été sa première victime dans ce jeu sensuel et elle avait été plus que réceptive, Alya serait-elle pareille ? Pour le moment, c'était le cas. Il pouvait le voir dans son regard. Elle attendait avec patience, ressentait et apprenait ce qu'il lui imposait.
- Tu es si douce, femme... gronda doucement l'homme qui quitta le short pour passer sous le t-shirt beaucoup trop grand pour elle et toucher son ventre nu.
Alya s'arqua. Ses doigts frais électrisaient toutes ses terminaisons nerveuses. Elle voulut gémir, mais impossible de sortir le moindre son de sa bouche. Il la captivait et elle n'arrivait plus à agir sans qu'il ne lui en laisse l'occasion. Il était le maître et elle sa soumise. Conscient de son pouvoir sur elle, Stein approfondit son exploration jusqu'à une pointe qu'il vit se tendre sous le tissu. Ne sentant aucune protection par dessus cette poitrine, il en rugit intérieurement. Il la pinça entre ses doigts, faisant finalement couiner Alya qui se tordit sous lui.
- Ah !
- Ton corps est si doux, murmura-t-il, le regard luisant de plaisir.
Le maître était-il satisfait de la découvrir aussi réceptive ? Visiblement oui, mais comment ne pas l'être avec un tel homme ?
Le mafieux releva le vêtement pour lui dénuder le torse. Son souffle se coupa devant une vision divine. Elle était mince, une poitrine qui remplissait à la perfection sa main, sa peau nacrée brillait sous la lumière tamisée de la pièce, uniquement éclairée par la lampe de lecture sous laquelle il avait été assis. Son torse se soulevait au rythme de sa respiration précipitée. Il posa sa large main sur son sein, la faisant se cabrer une nouvelle fois. Il le lui massa, pinça la pointe puis glissa vers l'élastique de son short afin de le lui retirer. Là, sous ses yeux se trouvait une culotte claire dont l'entrejambe était entachée d'une ombre humide qu'il appréciait voir, tendant un peu plus son sexe dans son pantalon de soirée. Il voulait se glisser en elle, mais se refusa à précipiter l'instant. Son pouce se posa dessus, caressant en cercle la zone dont il vit l'ombre prendre un peu plus de place. Les gémissements de sa belle l'excitaient de plus en plus au point ou il eut beaucoup de ma à se retenir de se dénuder directement. Il passa sa main sur la cuisse de la femme et pénétra la culotte qu'il tira vers le bas pour la lui retirer, dévoilant ainsi un corps exquis qui ne manqua pas de le mettre en difficulté pour déglutir.
Se redressant, il vint engloutir son sein, jouer avec, gardant les poings de la femme dans son autre main, l'emprisonnant comme il le voulait, asseyant ainsi une autorité qu'il aimait avoir au quotidien. Alya se cambra contre lui, frottant son entrejambe contre son sexe dur qu'elle pouvait sentir être sur le point de déchirer le vêtement. Elle souffla son nom, mais à chaque fois, Stein lui mordillait son sein, cherchant à la faire taire.
La main virile vint enfin couvrir sa rose humide, en récompense quand elle maîtrisa le silence qu'il voulait. Ce jeu sexuel était tout nouveau pour elle et pourtant elle s'y plaisait déjà. Pas d'asphyxie, ni d'objets ou de force physique pour la maîtriser. Uniquement cet homme à la puissance décuplée et à l'autorité naturelle. D'un simple regard, il pouvait faire tout ce qu'il voulait d'elle. Chaque variation de caresse, de position lui indiquait l'ordre qu'il voulait qu'elle exécute et elle s'exécutait sans sourcilier. Pourtant, dans cet échange, elle n'était pas réduite à l'état d'objet sexuel. Stein prenait en compte ses moindres gestes. S'il la sentait moins réceptive parce qu'elle était dans l'inconfort, alors il changeait ce qu'il faisait.
Quand son index se glissa entre les pétales de la femme, Alya se sentit écartelée. Il y allait progressivement, cherchant à la découvrir et l'aida à sentir chaque partie d'elle, aussi intime soit-elle. Quand il lâcha enfin ses poings pour s'accroupir plus bas sur le lit afin d'avoir un meilleur accès à ce qu'il désirait goûter, il y plaqua sa bouche, jouant de sa langue sur ses replis intimes qui la firent frissonner. Instinctivement, elle se mit à gémir plus fort et se cramponna à la tête du mafieux. Il l'explora autant qu'il le voulut, l'aida même à avoir son premier orgasme puissant avant qu'il ne se redresse pour enfin, se mettre nu devant elle. Le regard embué, elle dut s'y reprendre à plusieurs fois pour voir ce sexe pulsant qu'il possédait et qui allait la réclamer.
Stein prit encore un moment pour la rendre plus accessible. Il s'allongea sur elle, l'embrassa tout en prenant possession de son corps. Elle sentit cette pression étrangère dans son corps. Stein y alla progressivement jusqu'à se retrouver totalement en elle.
Il lui laissa un moment pour se familiariser avec ce corps étranger en elle, avant de reculer son bassin jusqu'à sentir son sexe entièrement à l'extérieur. Il revint se ficher en elle et se retira de nouveau, jouant ainsi de façon à ce qu'elle se détende complètement et que son corps quémande sa présence en elle.
- Hm ! fit-elle quand il donna un grand coup sec.
- T'ai-je fais mal ? Demanda Stein qui se figea, une main posé sur le ventre de sa belle, le lui caressant.
- N-Non, souffla-t-elle. C'est... C'était juste...
Stein embrassa sa gorge, léchant sa peau pour l'aider à parler, mais c'était tout l'effet inverse qui se produisit et elle se mit à le supplier de recommencer. D'un geste, il s'allongea et la fit basculer sur lui. Alya domina l'homme, mais le plaisir de le sentir au fond d'elle était beaucoup trop intense pour qu'elle ne maîtrise ce qu'il voulait d'elle. Alors, Stein plia ses jambes derrière elle, empoigna ses fesses et donna un coup de bassin, les soulevant tous les deux du lit.
- Ah ! s'écria-t-elle, le regard grand ouvert par la surprise.
Elle était une marionnette à ce moment précis. Il la possédait d'abord avec douceur, ne donnant des coups forts que quand il sentit qu'il pouvait approfondir son emprise sur elle.
Mais très vite, Alya comprit et elle posa ses deux mains à plat sur son ventre musclé et s'y appuya pour le chevaucher. Elle savait enfin ce que le mafieux voulait d'elle et se donna pour lui. Utilisant ses muscles intimes pour le compresser en elle, l'enserrant dans cet étau délicat. Stein gronda avec puissance. Ses sons se répercutèrent en elle, au point qu'elle sente une première vague la faucher. Mais Stein était un homme affamé, après vingt ans d'abstinence, il était enfin temps pour lui de laisser ses démons sortir afin de posséder complètement ce petit bout de femme. Il se redressa et se mit en tailleur. Alya se retrouva un peu plus haute, sur les genoux, elle put se glisser à loisir. Il lui embrassa les seins, la gorge, le menton, maintenant sa nuque d'une main, enroulant son bras autour de sa taille, la pressant contre son corps viril bardé de tatouages et de cicatrices. Il était terriblement sexy. Plus encore quand, prit de passion, il la propulsa sur le lit pour la posséder bien plus férocement. Ses coups n'étaient plus retenus, ils étaient bruts, profonds, faisant crier Alya de plus en plus fort. Les voisins se plaindront le lendemain du tapage, mais pour l'heure, Stein n'avait qu'un seul plaisir, celui de sa douce qui lui rendit en l'appelant, quémandant sa force en elle.
La vague ultime arriva de façon surprenante pour elle. Ce fut quand Stein lui mordit l'épaule qu'ils jouirent tous les deux. Elle tremblante et lui se répandant sans retenu dans son corps qui ne lui appartenait plus.
Ils se laissèrent tomber dans les draps, Stein lui délia les poings et les lui massa avant qu'il ne l'accompagne dans la salle de bain pour une douche qui déboucha sur une nuit torride aux jeux de plus en plus érotiques.
- Alya, murmura Stein, alors que le jour commençait à se lever.
- Hm ?
- Reste avec moi.
- Je suis déjà avec toi, lui répondit-elle à demi endormit.
- Non.
Alya se tourna vers lui et planta son regard dans le sien, tentant de comprendre.
- Sois entièrement à moi.
Elle sourit, posa sa main sur la joue du mafieux et lui dit :
- Je le suis déjà.
***

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