Chapitre 42

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- Je vous préviens, si le Patron l'apprends, vous êtes morts ! s'exclama Juan furieux. La Princesse n'a pas besoin de ce genre de comportement autour d'elle, mais si vous cherchez la mort dans ce cas, continuez dans ce sens !

Diana regarda le secrétaire du clan, les yeux agrandit par la peur mais aussi par la surprise. Elle n'en avait eu marre de devoir rester dans cette chambre, se sachant invitée par le grand Boss, elle avait voulu en profiter pour s'offrir quelques petits plaisirs aux frais du chef de clan.
Mais à peine s'était elle présentée comme une des invités, immédiatement elle avait été reconduite à sa chambre par deux gros bras sans qu'on ne lui explique pourquoi.

Puis elle avait fait une crise en demandant à voir le Boss pour exiger qu'on la laisse profiter des services de l'hôtel durant au moins cette journée, mais Stein Carlington et sa fille restaient injoignable. En remplacement, on lui envoya Juan, un homme aussi froid qu'inquiétant et dont la voix était aussi tranchante que la lame d'un assassin en pleine nuit glaciale. Quand il avait toqué à sa porte, elle ne s'était pas attendu à le voir, dans son regard elle avait bien vu qu'il lui serai impossible de négocier avec lui. Son propre père avait dû s'absenter pour discuter avec le fiancé de la jeune Princesse à propos de la galerie que la jeune femme comptait ouvrir. Mais l'universitaire n'en avait que faire de tout ça, elle voulait profiter de ce qu'on lui offrait pour pouvoir s'en vanter plus tard auprès de ses amies étudiantes.

Mais à peine lui avait-elle ouvert qu'il avait pénétré dans sa chambre, furieux.

- Vous n'étiez pas censé sortir ! lui avait-il dit de sa voix vibrante.
- On peut pas me retenir enfermé contre ma volonté ! lui avait-elle rétorqué, je voulais profiter du spa ! J'ai le droit quand même !
- Rappelez vous que vous n'êtes pas censé être ici, s'était exclamé sourdement Juan en s'approchant d'elle, la faisant reculer jusqu'à percuter le murs. Nous avons pour odre de vous protéger et de vous cacher ici. j'en convient que rester enfermé ne doit pas être drôle, mais vous avez tout ici. Si vous cherchez cependant à mettre votre famille en péril, dans ce cas je vous jeterais d'ici sur le champ, vous et votre famille au risque de vous voir une balle entre les deux yeux.
- Je suis pas une prisonnière !
- Ah ça non ! s'était-il esclaffé. Une prisonnière aurait d'autres préoccupations. Voyez-vous, je suis bien connu dans l'art des tortures. Savez-vous ce que l'on fait aux prisonniers ? Voulez-vous une démonstration ?

La jeune fille avait prit peur, mais cherchait tout de même à s'enfuir. Juan n'avait pas eu de mal à la ceinturer et à la plaquer au sol.

- Lâchez moi ! Au secours ! On m'agresse ! Je vais appeler la police ! s'écriait-elle tout en cherchant à se débattre.

Peine perdue, Juan était beaucoup plus fort qu'elle. Mais il n'y prenait aucun plaisir et ce fut quand sa mère, ayant entendu les cris de sa fille, débarqua dans la chambre que la jeune fille tenta le tout pour le tout.

- Maman ! Il essaye de me violer ! Aide moi !

Juan s'était attendu à toutes sortes d'attaques, même à celle-ci. Aussi ne fut-il pas surpris l'entendre se plaindre de ça face à sa mère alors que la position aurait pu y faire croire. Mais la femme dû pousser un long soupir résigné quand elle croisa le regard furieux de Juan.

- Tais toi, tu m'épuise.
- Mais... Maman !!
- Je vous préviens, si le Patron l'apprends, vous êtes morts ! s'exclama Juan furieux. La Princesse n'a pas besoin de ce genre de comportement autour d'elle, mais si vous cherchez la mort, sachez qu'il vous suffit de continuer dans ce sens.

Les deux femmes se regardèrent, puis Juan se leva pour la libérer et passa à quelques centimètres de la mère tenant sa fille dans ses bras.

- Votre mari est sur la corde raide, sachez que vous êtes épiés depuis le moment où il a décidé de rendre justice à notre Maîtresse et aux nombreuses victimes de l'Université. Retenez bien ceci jeune fille : vos actions le mèneront à la mort et vous ainsi que votre mère avec.

Puis il quitta la chambre en claquant violement la porte pour se diriger à son bureau, quelques étages plus haut. Diana pleura et raconta à sa mère ce qu'il s'était plus ou moins passé.
Bien sûr la version avait été pas mal modifiée, mais la femme trouvait tout de même que sur le peu de vrai qu'elle avait décelé, l'homme était allé loin dans sa fureur. Mais sa fille était devenu hors de contrôle et cela l'inquiétait plus que tout.

- Tu dois arrêter tout de suite.
- Mais maman ! Je n'ai rien fait de mal, je voulais juste aller au spa !
- Et le montrer à tes amies sachant que ça nous mettrait tous en danger ?!? vociféra sa mère hors d'elle les yeux exorbités. J'en ai plus qu'assez que tu n'écoute pas ! Si il faut vraiment que l'on meurt et que tu te retrouve seule pour comprendre que tu es allez trop loin, ce sera trop tard ! Maintenant tu vas écouter avant que Monsieur Carlington décide de tous nous achever d'une balle entre les deux yeux : nous sommes en danger. Tu dois obéir pour une fois dans ta petite vie, sinon...

Sa mère ne fini pas sa phrase et préféra quitter la chambre en claquant à son tour la porte si fort que la jeune fille sursauta, effarée par l'attitude de sa propre mère.

- J'ai rien fait de mal... sanglota la jeune fille en séchant ses larmes sur la manche de son gilet.

Le père Collins se trouvait à quelques rues de là, dans un quartier appartenant au clan de Stein. En visite d'un des nombreux logements de fonction que lui proposait l'homme d'affaires, afin de reloger sa famille et de les mettre en sûreté.

- C'est grand. constata t-il au téléphone avec le mafieux.
- Est-ce que l'endroit vous convient ?
- De combien est le loyer ?
- 1200.
- Vous êtes sérieux ?
- Je peux diminuer pour les premiers mois.
- N-Non, j'ai...
- Au nom de ma fille, faites ce que je vous dit Monsieur Collins.
- Euh... Ou-Oui Monsieur, bien sûr, mais c'est...
- Ah... entendit-il soupirer à l'autre bout du combiné. Ne commencez pas, c'est fatigant.
- Veuillez m'excuser. J'apprécie vos efforts pour ma famille et moi-même. J'accepte.
- À la bonne heure ! Mon notaire va vous faire signer les documents puis vous donnera les clefs. Vous pourrez emménager dès aujourd'hui.
- Très bien, je vous remercie Monsieur Carlington. Quand pourrais-je voir votre fille pour régler les détails qui concerne mon nouvel emploi ?
- Dans quatre jours.
- Dans ce cas j'en profiterai pour déménager les affaires de ma famille dans le nouveau logement.
- Je vous souhaite bien du plaisir. Ah ! J'ai entendu dire que votre fille avait encore fait des siennes. Cette fois-ci Juan a pu s'en occuper, avec la participation de votre femme. Mais je ne saurai tolérer encore une fois ce genre d'attitude.
- Comptez sur moi pour m'en occuper Monsieur.
- Je compte sur vous cher Collins.
- Au revoir Monsieur.

Stein raccrocha et l'homme pu souffler un peu.

- Voici les documents à signer.
- Oh oui ! Merci Monsieur.
- Je vous souhaite bon courage.

Il signa les différents documents et récupéra les clefs, puis raccompagna le notaire pour se retrouver seul dans ce grand appartement. La solitude le gagna mais pour une fois, il la trouva agréable. Pas de regards, pas de jugement, pas de critiques du comité qui faisait pression sur lui. Il était seul au milieu de son futur salon et se sentait plus... calme. Mais un détail se rappela à lui : sa fille.

Son comportement était à n'y rien comprendre depuis quelques temps. Il se doutait que ses hormones devaient la titiller mais elle était devenue la petite peste qu'il refusait de voir. Pourtant, elle était bien là, en face de lui à se montrer réticente à obéir, les mettant tous les trois en grand danger. Comprendra t-elle qu'elle cherchait à les mener tout droit au cimetière et ce, de la pire des manières ?

Jusqu'ici, il avait réussi à esquiver de peu la mort tout en subissant l'humiliation, mais bientôt il serai mis au pieds du murs et si sa fille continuait sur ce chemin là, il n'aurait plus d'autre choix que de l'envoyer en pension à l'autre bout du pays. Mais est-ce que ce serai suffisant ? Il n'y croyait même pas lui-même... Taeliya avait été conciliante, bien qu'elle les avait directement menacé sous les yeux de sa fille, ce qui l'inquiétait c'était le groupe qui entourait la jeune femme dont le chef était son fiancé et l'homme le plus dangereux que le monde avait pu connaître. Si Diana faisait encore un pas de côté, ce dernier n'hésiterai pas à agir et il l'avait bien vu dans ses yeux qu'un mot ou un regard de travers envers la jeune femme, les 10 passeraient à l'action déchiquetant sa fille. Comprendrait-elle que leurs vies à tous les trois étaient maintenant entre les mains de meurtriers sans cœur ?

Sûrement que non et il s'en désola.

Il attrapa son téléphone et appela sa femme.

- Chérie, prépare tes affaires et va chercher Diana, je viens vous chercher. On a un appartement. On peut emménager dès maintenant.

Un dernier regard à l'appartement et il le quitta pour se rendre à l'hôtel, récupérant sa femme, sa fille et leurs affaires avant de se rendre à leur ancien logement pour prendre le reste. Heureusement, Stein leur avait généreusement prêté quelques hommes et deux camionnettes afin d'emporter les meubles qu'ils voulaient prendre avec eux.

Mais à peine arrivé à l'hôtel, que déjà il sentait les problèmes arriver. Surtout quand il découvrit Juan, le secrétaire de Stein Carlington, en grande conversation avec Caroline, sa femme, visiblement peu contente, Diana boudant à côté d'elle.

- Chérie ?
- Eric !
- Papa !
- Monsieur Collins, fit Juan en tournant la tête vers lui.
- Bonjour Monsieur.
- Monsieur Carlington m'a prévenu de votre venu et le notaire m'a envoyé les copies des documents du logement.
- Je vous remercie d'avoir veillé sur ma femme et ma fille. Monsieur Carlington m'a prévenu que Diana avait encore fait des siennes. Je m'en excuse sincèrement.

Diana sursauta, elle toisa son père surprise par ce qu'il venait de dire.

- Papa ?
- Tais toi, gronda t-il. Je ne veux plus t'entendre.
- On peut y aller. Merci encore Monsieur.
- Je vous en prie.

Eric pris le sac de sa femme et les précéda jusqu'à la voiture près de laquelle les attendait deux démons : Orlan et Dorian. Quand Diana les vit elle ressentit un long frisson remonter le long de son dos, mais aucun des deux ne lui prêta attention.

- Vous êtes prêt à partir ?
- Oui. On peut y aller.
- Les autres attendent déjà devant votre ancien logement, les camions sont garés devant. le prévint Orlan.
- Merci de votre aide Messieurs.
- Remerciez le chef et la Princesse, répondit le démon en s'installant derrière le volant.
- Pourquoi tous le monde l'appelle "Princesse" ? Elle est de sang royal ou quoi ? s'énerva Diana, agacée par cet appellation dont elle ne comprenait pas l'origine.

Orlan n'avait pas encore démarré que déjà les deux démons grondèrent très fort à en faire vibrer la voiture. Dorian se retourna pour faire face à la jeune fille choquée.

- Encore un manque de respect Mademoiselle Collins ? murmura t-il le regard ampli d'une envie meurtrière.
- Non, bredouilla celle-ci en baissant les yeux. J-Juste que...
- Rien du tout ! s'écria Eric. Tais toi ! Tu n'as pas à intervenir de cette façon. Qu'est-ce que ça peut te faire que le clan l'appelle ainsi ?! Serais-tu jalouse ? Pour quelle raison ? Et en quoi ça te concerne ?! Maintenant ça suffit !
- Elle est l'héritière d'un empire sanglant, répondit simplement Orlan en démarrant la voiture.

Les deux démons se turent et plus aucune parole fut prononcée durant tout le trajet. Même quand ils arrivèrent à destination, la petite famille fut totalement ignorée par les deux démons qui quittèrent le véhicule pour rejoindre les autres hommes et femmes du clan qui s'étaient déplacés pour aider au déménagement.

- Ça va pas les gars ?
- ...

Complètement fermés, les deux démons s'éloignèrent, attendant que la famille Collins ne les précède dans le bâtiment afin de leur montrer l'endroit à déménager et faire un état des lieux avant de tout sortir.

Les quelques hommes et femmes présents se tinrent sur leurs gardes, inquiets par l'attitude des deux démons. Doucement, l'un d'entre eux s'éloigna afin de téléphoner à Taeliya pour la prévenir.

Une fois à l'intérieur, le mafieux s'approcha des deux démons et devant tous le monde, leur tendit le téléphone. Ce fut Dorian qui prit le portable.

- Allô ? Prin-... Ouais... Non, juste que je ne veux pas. Ouais, Orlan est avec moi. Hein ?! Sérieux ?! Okay, on termine ça et on arrive. Merci Princesse.

Il rendit le portable et d'un regard, il communiqua une certaine euphorie à son compagnon qui sentit tout son corps frissonner d'une envie de sourire.

D'après l'attitude de son ami, la jeune femme venait de leur promettre quelque chose en récompense de leur action et ils devaient se dépêcher de rejoindre leurs chefs.

- On doit se grouiller, la Princesse nous attends.
- Vous... Vous ne voulez pas y aller directement ? leur proposa Caroline.
- Non. On doit d'abord finir notre mission avant.
- On dirait des gosses, soupira Diana.

Mais sa répartie fut royalement ignorée tout autant qu'elle, ce qui l'irrita au plus haut point.

Une voiture supplémentaire vint se garer devant l'immeuble et des pas retentirent dans le bâtiment jusqu'à entrer dans le logement.

- Dorian, Orlan, les appela Carl en entrant.
- Carl ? Qu'est-ce que tu fais là ? s'étonna Orlan en s'approchant de son compagnon d'armes.

Dorian sur ses talons, les trois démons se réunirent, mais un quatrième s'ajouta à leur petite réunion : Kim.

- Tiens, t'es là toi aussi ?
- Le chef nous envoi. Le coup de file à la Princesse a un peu agacé le chef. La petite est pas mal fatiguée depuis qu'ils sont rentrés du coup il nous envoi en renfort.
- De toute façon, on doit tous rentrer après. Le chef nous demande de nous réunir chez Tristan. ajouta Kim sur un ton détaché.
- Okay, bah faut pas tarder alors, répliqua Dorian.
- Monsieur Collins, fit Carl en venant saluer le père de famille. Madame, Mademoiselle. On est venu en renfort pour vider ici et remplir le nouveau logement. Cependant on a pas beaucoup de temps, donc il faudrait déjà nous dire ce qu'on peut descendre et ce qu'il y a à jeter pour qu'on puisse se répartir les taches. On peut toujours scotcher les armoires et tiroirs pour éviter les cartons.
- Eh bien... Dans ce cas, on peut au moins vider la cuisine pour mettre ce qui est au frais dans des glacières et les envoyer directement dans le nouvel appartement pour éviter que ça ne pourrissent durant le transport, dit la femme en réfléchissant. La vaisselle doit être tout de même protégée, elle appartenait à mon arrière grand mère. J'y tiens.
- Pas de soucis Madame, fit une des femmes, on va s'en charger. Allez les filles !

Un groupe de cinq se dirigea avec Caroline dans la cuisine afin d'y faire un constat puis commença à tout vider pour mettre dans ce qu'ils avaient apporté pour déménager les lieux. Diana resta avec son père pour trier ce qui partait et ce qui pouvait rester pour un nouveau locataire.

Dans les chambres, la jeune fille annonça qu'elle garderait tout, sans exception même si elle n'avait pas forcement besoin de tout garder, mais voulant voir ces hommes en action, s'occuper d'elle, elle décida de tout prendre.

Eric s'excusa auprès des hommes du clan, bien que ces derniers lui répondirent qu'il n'avait pas besoin de le faire, ils avaient déjà cernés la petite. Tous se répartirent les tâches et le logement fut vidé au bout de trois bonnes heures. Ils prirent environ deux de plus pour tout remettre dans le nouveau et finir de nettoyer avec la famille les dégâts qu'ils avaient pu faire dans le nouveau ainsi que lui donner un petit coup d'éclat.

- Vous voulez un café ? proposa Eric.

Kim regarda sa montre et siffla les trois autres démons.

- Je suis désolé, dans d'autres circonstances nous aurions acceptés, mais nous sommes attendu. Les gars on y va !
- On arrive ! répondit Orlan en finissant de ranger la dernière assiette dans le nouveau placard. Voilà, tout est fini.
- Merci encore pour votre aide, si on l'avait fait tous les trois, ça nous aurai prit au moins une bonne semaine, ironisa Caroline consciente que Stein n'était pas tant sans cœur que ça pour leur avoir fournis des bras.
- Nous aussi on doit rentrer, fit une des femmes du clan.
- Merci infiniment pour votre aide à tous, fit Eric en les raccompagnant à leurs véhicules.
- Nous nous reverrons bientôt Monsieur et Madame Collins, leur dit Kim en s'inclinant légèrement tandis que les autres regagnaient déjà leurs voitures.

Tous repartirent dans un ballet de poussière et de vrombissements de moteurs puissants.

Une fois seuls dans leur nouvel appartement, Diana alla directement s'enfermer dans sa chambre, laissant alors ses parents se retrouver seuls dans le salon.

- Ça devient très dangereux, fit remarquer Caroline à son mari.
- Pas plus qu'avant.
- Le comité te menaçait-il vraiment ?
- Mon bureau avait été mis sans dessus dessous et deux des hommes de Taeliya ont eu le réflexe de tout vérifier pour voir si rien ne manquait et si on avait pas tenté de me tuer sans succès. Taeliya Carlington est une jeune femme douce et fragile, mais elle a eu la jugeote de les envoyer et de nous attendre.
- Cette petite à trop vécu de mauvaises choses, soupira Caroline horrifiée en se rappelant de ce que l'on racontait sur elle aux infos et de ce que son père et le clan avait fait pour la sauver.
- Son fiancé est un homme dangereux, tout comme l'est son père, mais le problème actuellement c'est notre fille. Je la trouve de plus en plus instable et étrange.
- Tu as raison, elle n'a jamais été comme ça... Je m'inquiète.
- Crois tu que...

Mais les deux se turent, ne voulant aller plus loin dans leurs suppositions au risque de se faire du mal autant qu'à elle. Eric se promit d'en parler au médecin du clan qu'il avait déjà rencontré, afin d'avoir son avis en tant que professionnel. Mais pour l'heure, ils allaient se préparer pour dîner.

***

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