Chapitre 1 Le bateau et première tempête !

13 minutes de lecture

NDA : Bonjour tout le monde ! Voici un récit tout neuf. Je viens de le lancer, de couper le ruban et la bouteille de champagne a éclaté contre la coque !

C’est toujours un bon présage.

Vous allez suivre les aventures du Zéphyr et de son propriétaire Marc. On naviguera essentiellement en mer d’Égée.

L’érotisme et le sexe sont à bord ! Donc ce n’est pas destiné au jeune public !

Je vous souhaite une bonne lecture et « bon vent » !

### Marc ###

Tout a commencé à Athènes, j’étais à la recherche d’un voilier de taille raisonnable que je pourrai gérer seul, mais avec suffisamment de place pour naviguer en haute mer.

Durant des jours et des jours je me baladais dans les marinas à la recherche de voiliers à vendre. J’évitais les vendeurs commissionnaires dont la réputation est parfois douteuse. Je préférais de loin acheter directement à un propriétaire qui voulait vendre pour en acheter un autre.

Évidemment j’allais parcourir des kilomètres le long des quais à la recherche de la perle rare. Je cherchais un voilier entre 7 à 10 mètres avec un moteur auxiliaire inboard en bon état avec des voiles pas trop usées. Heureusement c’était le mois de janvier, la température était douce et il ne pleuvait pas !

Au bout d’une semaine et de nombreux kilomètres j’avais repéré quelques bateaux qui me convenaient à l’examen sommaire et qui affichaient « à vendre » écrit en grec bien entendu avec un numéro de téléphone.

Restait encore à résoudre le premier contact ! À l’époque mon grec était très rudimentaire se limitant aux salutations, merci, svp et quelques phrases standards pour acheter des vivres et demander mon chemin. Pas question d’expliquer au téléphone que j’étais un candidat acheteur de leur rafiot et demander un rendez-vous pour visiter et avoir une première offre !

Heureusement, j’avais un ami « voileux » Panos, avec qui je faisais régulièrement des sorties en mer et qui était disponible pour me servir d’interprète. Il était super sympa, beau physique, il attirait des filles comme un pot de confiture, mais elles ne l’intéressaient pas car il préférait les hommes ! Son comportement ne permettait pas de déceler sa tendance gay car il pouvait faire des soirées de virées avec tous nos amis, mais au moment de conclure une soirée avec un plan cul, lui partait avec un homme de préférence costaud et bien musclé alors que les autres, moi inclus, on s’isolait avec une belle fille consentante !

Avant de commencer les appels, je voulais avoir son opinion sur les voiliers que j’avais repérés et comme j’avais noté leurs emplacements ce premier tour fut rapide, tous lui semblaient « navigables » certains dans un meilleur état que d’autres.

Panos commençait donc les premiers contacts, le premier problème était la période : en janvier tous les vendeurs potentiels n’étaient pas disponibles immédiatement. Un était à l’étranger pour son travail d’hiver d’autres demandaient de venir pendant le week-end, un déclarait au téléphone qu’il venait de conclure la vente !

Il fallait donc s’armer de patience, je disposais de trois semaines, mais une était déjà bien entamée pour chercher les bateaux potentiels !

Au départ sur la vingtaine de bateaux sélectionnés deux étaient déjà éliminés. Trois autres furent écartés pour des prix pharamineux donnés au téléphone que même si on négociait à la moitié du premier prix, ils étaient de loin au-delà de mon budget !

Après de nombreux rendez-vous et désillusions il restait deux bateaux qui étaient convenables et dans mes cordes.

Nous eûmes l’occasion de faire un petit galop d’essai avec les deux bateaux, Panos et moi optâmes pour le Zéphyr un Gipsy 92 (9,2 mètres de long) avec des voiles et un moteur en bon état.

Son passé était simple, son propriétaire voulait le vendre pour s’acheter un bateau à moteur car il ne l’utilisait que pour la pêche à la ligne et ne l’utilisait plus comme voilier.

Après les transactions financières, l’assurance, le transfert du mouillage et l’enregistrement du changement de propriétaire, je pus enfin organiser ma première sortie.

Le Zéphyr demandait d’être dompté, il me manquait beaucoup d’automatismes pour envisager de naviguer en solitaire et donc je recrutais mon premier « équipage » composé de Panos et de Corina une jeune anglaise résidente en Grèce depuis de nombreuses années. Elle avait vécu en couple avec un grec qui l’avait laissé tomber après plus de deux ans pour une autre. Corina petite en taille (1m65) était très sportive pratiquait la voile et la plongée sportive. Elle parlait le grec couramment. On s’était rencontrés au club de voile, elle était de mon âge et on avait sympathisé, on avait flirté un peu sans plus, mais nous n’avions pas (encore) couché ensemble.

Panos m’avait beaucoup aidé lors de l’acquisition et toutes les formalités et donc c’était une sorte de remerciement de l’inviter à bord. Il ne pourrait rester à bord que jusqu'à l’atterrissage dans l’archipel car son boulot ne lui permettait pas de longues absences et son compagnon n’aimait pas la navigation : il avait le mal de mer !

Corina, Je crois qu’on se plaisait, mais ses blessures de cœur n’étaient pas guéries et je ne voulais pas la brusquer. Moi-même, je finissais une relation tumultueuse avec mon ex qui avait trouvé satisfaction dans le lit d’un coureur de jupons avec qui elle rompit pour cause d’infidélité notoire. Je ne la voulais plus lorsqu’elle reprit contact ! Je la regrettais car elle baisait bien, mais regardait trop les autres hommes. Elle était nymphomane et c’était difficile à gérer.

Nous sortions donc de la marina par un jour calme pour faire une course vers les Sporades du nord. C’était un projet depuis longtemps dans ma tête, on était déjà en mai et ça me semblait une bonne occasion de voir les capacités du bateau. On naviguait à l’ancienne j’avais acheté un GPS marin assez complet car le bateau n’avait aucune aide à la navigation. Mes deux compagnons connaissaient l’archipel et étaient d’excellents lecteurs de cartes.

Au contournement du cap Sounion, la brise était agréable et on put couper le moteur pour avancer à la voile. Le soleil était déjà chaud et Corina s’était déjà mis en maillot, en fait c’était un bikini assez minimaliste !

Panos même s’il n’était pas attiré par le physique de Corina me fit un regard appréciateur. Après les manœuvres de changement de bord, c’était plutôt calme et Corina décidait de refaire son bronzage qui avait pali durant l’hiver. Panos et moi on regardait le paysage et Corina vint se coucher sur le banc et me demanda si cela ne me dérangeait pas si elle enlevait le haut.

– Bien sûr que non ! lui répondis-je on est entre nous, mais fait gaffe au soleil, avec ta peau de rousse tu dois te protéger !

– Oh oui, bien sûr mais Marc, j’ai tout prévu ! Crème solaire protection 50 et écran total ! Lorsque tu m’as invitée à ta mini-croisière, j’ai couru acheter un nouveau maillot et de la protection solaire. L’occasion était trop belle !

Elle enleva son soutien avec simplicité, sans aucune provocation, et se coucha en long sur le banc.

Je tenais la barre et comme le temps était modéré, je pouvais laisser errer mon regard sur son corps au lieu de regarder les voiles, le compas et la mer !

Je ne l’avais jamais vue en maillot deux pièces, encore moins topless ! et la vue était plaisante. Au club je la voyais toujours dans un maillot sage ou en tenue de plongée qui cachait ses formes. Maintenant c’était une révélation ! Ses seins étaient fermes les aréoles un peu plus grandes que celles de mon ex.

Mais si cela ne me dérangeait pas, le copain dans mon boxer appréciait la vue au-delà de la normalité !

En y réfléchissant la réaction de mon mini-moi était normale, cela faisait plus de 7 mois qu’il n’avait plus été à la fête !

Corina prudente s’enduisit de crème mais le massage de ses seins pour faire pénétrer la protection était comme le spectacle dans un club de strip-tease.

Panos était en bas dans la cabine et préparait le repas. J’essayais de me concentrer sur la navigation mais c’était difficile !

Au bout d’un long moment Corina se retournait sur le ventre et son regard fut attiré par mon short déformé.

– Oh Marc, je suis désolé ! Tu me trouves à ton goût ?

– Corina, bien sûr mais ma vie tranquille et monacale ne résiste pas à la vue que tu me procures !

– Tu veux que je me couvre ? dit-elle en me regardant avec malice. Elle se redressait à demi montrant ses seins pendants et ses tétons qui pointaient !

– Non Corina !

– Si tu veux, ce soir je ne dirai pas non, le soleil et le voyage me plaisent. Et puis j’ai envie de toi depuis longtemps. Un peu de sexe nous fera du bien ! sans rien se promettre !

– OK Corina, ce soir on prendra la grande cabine dans la proue. Panos lui prendra la cabine du navigateur à l’arrière !

– Marc, ton gourdin dressé me fait envie, tu veux un avant-goût ? Panos ne regarde quand même pas dit-elle en mettant la main sur mon sexe.

– Tu es gentille Corina, mais je n’ai pas envie de choquer Panos, tu le connais, il n’aime pas les relations hétéros.

– D’accord mais rien que d’en parler je mouille ! Quand s’arrête-t-on ?

– Grosso modo dans deux heures si le vent se maintient on sera à Kimi, c’est un petit port mais en cette période on devrait trouver une place au quai. Je suis déjà venu ici il y a un bon restaurant dans le port !

– D’accord, si on a le temps je prendrai mon apéro dans ta cabine ? dit-elle.

– Si tu veux car je ne tiendrai pas jusqu'à ce soir !

– En attendant je profite du soleil !

Effectivement deux heures après le port de Kimi apparut, il était d’un accès facile et bien protégé. Corina avait mis un grand T-shirt, qui la rendait encore plus sexy ne couvrant pas ses petites fesses musclées. À quelques encablures, je mis le moteur en route et Panos et Corina affalèrent la grand-voile et enroulaient le grand génois. Une fois le long du quai Corina sauta à terre avec l’amarre de proue et la fixa à une bite de quai.

Panos lui lança l’amarre de poupe et l’affaire fut conclue en moins de 5 minutes !

Manœuvre réussie ! dans les minutes qui suivirent la capitainerie du port vint contrôler nos papiers, l’enregistrement du bateau, l’assurance et nos identités. Tout cela avec un grand sérieux, demandant d’où on venait et où on allait, combien de temps on comptait rester à quai. Comme c’était pour une nuit, il nous précisa que l’amarrage était gratuit. (ce qu’on savait d’après le grand livre des ports grecs). Le préposé jetait de longs regards vers Corina et demandait en grec à Panos quelle était son origine, croyant que seul Panos le comprenait. Corina dans un grec teinté d’un accent anglais lui répondit qu’elle était anglaise et pas libre ce soir ! Ce qui nous fit rire tous sauf le gars qui rougissait et s’excusait.

Panos, nous signalait qu’il allait faire un tour (sans doute trouver un compatriote) et nous conviâmes de se retrouver au restau vers 21 heures. Comme il était à peine 16 heures cela nous laissait amplement du temps !

Une fois seuls, Corina me regardait timide :

– Marc, je te demanderai d’abord de la tendresse, ce sera une première pour nous deux. Je t’avoue depuis le départ de mon ex, tu sais que j’ai beaucoup souffert, et je n’ai plus fait l’amour depuis.

– Corina, je sais et je ne veux pas te forcer, on se connaît comme amis de plongée et de voile. Laissons nos corps faire connaissance en douceur. On n’est pas pressé, si tu poses la question : j’ai des préservatifs et je suis clean !

– Moi aussi Marc ! et j’ai aussi des préservatifs, quoique je ne comptais pas les employer durant cette croisière ! me dit-elle en riant et rougissant.

Je la pris doucement dans les bras, on était assis dans le cockpit, profitant de la belle après-midi. Elle mit ses deux bras autour de mon cou et me plaquait un gros bisou sur la joue.

– Tu veux un apéritif demandai-je

– Oui mais pas d’alcool ! j’ai vu que tu as approvisionné du vin blanc dans le frigo ! j’en boirai bien un peu !

– Oui, j’ai du Makedonikos en quantité suffisante dans la cale aussi, où il est bien frais vu qu’il est contre la paroi extérieure et bien arrimé contre les changements de bord !

– Ah j’aime un chef de bord qui soigne son équipage !

– Oui d’autant plus que Panos et moi on en consomme avec modération quand même !

Je nous servis un verre chacun que nous dégustions en regardant l’activité du port.

Un petit chalutier venait d’accoster et déchargeait le produit de sa pêche. Le patron du restaurant où nous comptions manger ce soir venait faire ses achats. Comme je le connaissais de vue je lui demandais de nous garder une table. Il me répondit qu’en cette saison il n’y avait pas foule, mais nous demanda de venir choisir ce qu’on voulait manger ce soir, car il n’achetait qu’en fonction de sa clientèle habituelle.

Corina sautait immédiatement à quai sous les yeux admiratifs du restaurateur.

– Tu viens Marc !

– C’est ta copine ? me demandait-il

– Oui mais Panos que tu connais sera là aussi ! on sera trois.

– Oui vous serez quatre alors ajouta-t-il en souriant

Entre-temps Corina avait fait son choix et se mit d’accord avec le restaurateur sur le menu ! Nous retournâmes sur le bateau et Corina me tira la main pour aller à l’intérieur.

– Viens Marc, caresse-moi doucement ! J’ai envie de sexe, tu es le seul à qui je peux demander ce service maintenant !

– Elle grimpait sur la couchette de la cabine avant, qui était la cabine que je lui destinais, j’avais choisi de dormir au carré où 3 banquettes offraient la place pour dormir à condition de plier la table.

Elle s’allongeait sans se déshabiller me laissant le soin de l’effeuiller à notre guise. La cabine ne permet pas de rester debout sauf à l’entrée mais ce n’était pas le but !

Je m’allongeais à son flanc et plaçais quelques baisers sur ses joues, sa bouche, ses yeux. Je soulevais un peu son T-shirt pour embrasser son ventre musclé.

Mon mât de misaine était paré, mais encore couvert ! Corina qui n’avait pas les yeux en poche libéra le gréement et le caressait en douceur.

– Depuis quand tu n’as plus tenu une femme dans tes bras ? me demanda-t-elle.

– Depuis mon divorce il y a plus d’un an.

– Alors on est deux en manque !

– Oui dis-je mais je me masturbe quand mon érection devient trop forte !

– Oui moi je me caresse aussi de temps à autre mais cela ne me satisfait pas !

– Alors on va y aller en douceur, apprenons nos corps ! dis-je, dis-moi tes fantasmes !

– C’est con, je rêve de faire l’amour nue sur le pont, rien que nous deux à bord.

– Dans deux jours mon chaton ! Panos débarque à l’île de Skiathos pour rentrer à Athènes, tu seras seule avec moi et tu pourras me baiser pendant qu’on navigue !

– Marc déshabille, moi, prends mon minou !

– À vos ordres princesse !

Je passai son T-shirt au-dessus de sa tête et enlevai son slip de bain. Elle était belle ! Je descendais ma tête entre ses jambes encore imprégnées de l’odeur de la crème solaire. Elle écartait ses cuisses pour me donner accès à sa féminité qui était totalement rasée, comme une statue grecque !

La blancheur de sa peau tranchait sur les draps bleu foncé, son corps était parsemé de quelques taches de rousseur comme son visage. Lorsque j’insinuais ma langue entre ses lèvres intimes son corps vibrait sans que je l’aie caressée vraiment.

– Oh Marc, il y a si longtemps que je n’ai plus rien senti d’aussi bon à ma chatte ! Continue mon prince, réveille mon corps !

Elle avait du mal à garder ses jambes écartées, je sentais un étau autour de ma tête ! J’exerçais une légère pression sur ses genoux pour me donner un peu d’espace et pénétrai avec ma langue profondément dans son vagin. Je ne pouvais pas rater son clitoris, qui était en érection comme une mini-verge avec quelques coups de langue, elle cria et son corps entier se cambrait dans un orgasme fulgurant !

– Marc, je n’ai jamais joui aussi vite et aussi fort ! Oh mon prince, je suis étonnée de la rapidité mais encore plus par la violence de mon orgasme ! Viens donne moi ta bouche, fais-moi goûter mon jus !

– Corina, je n’en reviens pas non plus ! C’était bon mon chaton ?

– Oh oui ! Mais j’en veux encore, mais donne-moi ta bouche avant !

Je remontai mon visage à hauteur de sa bouche pour me rouler une pelle toute en vibrations. Je caressais un sein dont la pointe était dure comme un tenon sans sa mortaise ! Je sentis sa main qui cherchait mon gourdin gonflé à bloc ! Au contact avec sa main elle ne put maîtriser une nouvelle vibration de son corps !

– C’est comme si j’étais électrocutée ! Viens je vais te calmer en attendant car il faudra attendre que mon corps se calme après cette tempête !

Elle descendit avec sa bouche sur ma verge en gémissant encore, sa bouche sur ma bitte dure comme celle du quai accueillit sa langue comme une délivrance. Je n’allais pas tenir longtemps ! Sa bouche était experte, je l’avertis de l’éruption imminente mais elle continuait sans faiblir.

J’éjaculais dans un râle bienfaisant de plusieurs jets qu’elle gardait dans sa bouche pour l’avaler goulûment ! La puissance était telle qu’un peu de sperme débordait sur ses lèvres et qu’elle rattrapait avec sa langue !

– Marc, tu n’étais plus allé à la messe depuis longtemps ! Quelle fougue ! Mon capitaine !

– Oui, Corina tu es une experte, je n’ai jamais senti une telle caresse buccale !

– Alors mon coco, tu n’as rien connu dans ta vie antérieure !

Je la pris tendrement dans mes bras en glissant ma main sur ces flancs. Elle se lova tout contre mon corps, sa respiration et la mienne diminuaient progressivement. Elle me donna encore un baiser sur mon téton puis je sentis son corps se détendre dans un sommeil réparateur.

Je fermais aussi mes yeux et m’endormis ma bouche contre son visage !

NDA : voilà les moussaillons ! Ce n’est qu’un modeste début de cette aventure ! Les tempêtes en mer d’Égée peuvent être soudaines et violentes. La cabine en verra d’autres !

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