Chapitre 33 Vacances à Samos

13 minutes de lecture

### Marc ###

Le réveil de ma montre vibrait discrètement, 7h30 ! Je ne sentis plus de mouvements du bateau ni le battement du moteur. On était donc à quai. Mon moussaillon dormait encore à poings fermés ses jambes encerclant les miennes. Je n’eus pas le cœur de la réveiller mais j’optai pour la voie douce. Par petits bisous répétés, elle sortit de ses rêves et me fit un grand sourire !

  • Bonjour mon cœur !
  • Laisse-moi encore dormir darling !
  • Hélas, je te rappelle qu’on est encore sur le yacht de Mélissa !
  • D’accord, retournons à l’hôtel, j’ai encore sommeil, je finirai ma nuit dans tes bras !
  • Tu veux prendre un petit-déjeuner à bord ou tu attendras d’être à l’hôtel ?
  • Non, pas de petit-déjeuner maintenant, sinon je ne dormirai plus. Je veux continuer mon rêve!

 Je te le raconterai lorsqu’on sera à l’hôtel.

Notre sac fut vite emballé et nous remerciâmes Mélissa pour l’agréable balade.

  • On se reverra bientôt ? me demanda Mélissa, en m’embrassant et me serrant contre sa poitrine. J’aurais aimé te garder plus longtemps à bord, ajouta-t-elle.
  • Oui bien sûr, répondis-je, on doit encore régler certains points pour la soirée philanthropique d’Athènes de septembre.
  • Au revoir Corina, dit Mélissa, si tu veux me contacter n’hésite pas, tu pourras venir à la maison voir mes enfants avec « tonton Marc». Ils seront tellement contents de le revoir.

Mélissa étreignit Corina, mais je trouvai son baiser sur la bouche de ma compagne un peu trop suggestif.

Voulait-elle mettre Corina dans son lit, ou carrément nous deux ?

Un taxi nous déposa quelques minutes plus tard à notre hôtel.Comme prévu, Corina retourna immédiatement dans le lit en m’invitant à la rejoindre.

-- Déshabille-toi Marc, viens près de moi, je vais te raconter mon rêve. Ne sois pas choqué, je te jure que j’ai rêvé que Mélissa me baisait ! C’était sur le sun-deck, elle m’invita à la rejoindre, elle avait les seins nus et se faisait caresser par la serveuse africaine qui était totalement nue ! Elle me demanda de me coucher sur le dos à côté d’elle et l’Africaine se plaça entre mes jambes pour me lécher le minou pendant que Mélissa titillait mes seins. Mélissa me proposait de rester avec elle et de te laisser tomber car « les hommes sont égoïstes et ne pensent qu’à leur jouissance » Il n’y a pas de suite car tu m’as réveillé avec tes bisous.

Marc, non tu n’es pas égoïste ! Fais-moi l’amour s’il te plaît ! Je ne sais pas mais cette femme ne me plaît pas vraiment ! J’ai cru d’abord qu’elle voulait coucher avec toi, jusqu’au moment où j’ai compris qu’elle avait des tendances lesbiennes avec ses servantes et la capitaine ! Je ne te cache pas que j’ai parfois envie de faire l’amour à une fille comme Sofia qui est discrète mais fondamentalement, je préfère sentir ton mât entre mes jambes et pas un strap-on ou un godemichet. Et puis hier soir tu m’as parlé de massages de ton Italienne qui te proposait des massages nus.

  • Non Corina des massages nuru ! d’accord la masseuse est nue mais elle masse avec son corps.
  • Explique-moi !
  • Bon, il faut un gel spécial pour ce type de massage, mais on peut expliquer sans ce gel. Viens dans la baignoire comme c’est le modèle maxi ça devrait aller dans l’eau. Je te promets qu’à notre retour à Athènes je te ferai la démo avec le gel adéquat !

Je fis remplir la baignoire de notre suite à mi-hauteur, je me couchai dans le fond et j’invitai Corina à se coucher sur moi sans m’écraser. Je lui demandai de glisser son corps contre le mien en utilisant toute la longueur de son corps. Elle comprit très vite et glissa avec ses seins depuis mes genoux jusqu’à atteindre mon visage, puis recula pour retrouver la position initiale.

  • Tu as compris. Normalement ce massage se fait au moyen d’un gel spécial qui est très épais. Je fais cette démonstration dans l’eau puisqu’on n’a pas de lubrifiant nuru. Ce massage est très relaxant et d’origine n’a pas de but sexuel. Le but c’est d’avoir le plus grand contact entre les corps en glissant lentement sur le corps du partenaire soit face à face, soit pour masser le dos. La masseuse utilise ses seins et ses cuisses ou encore son dos contre le corps du massé. Mais lorsque Etna me pratiquait ce massage cela se terminait souvent par une partie de baise intense !
  • Oh Marc, oui je comprends, et ce massage dure longtemps ?
  • Oui, car le but original est de se détendre, le sexe n’est qu’une dérive ! Mais on fera cela à notre retour. En attendant tu es tellement bien placée, on peut peut-être passer les étapes et aller à la conclusion ?
  • Ah, Marc, oui, j’allais te faire une proposition honnête : on baise puis on va à la piscine ou à la plage, car je sens un bâton contre mon ventre qui est tellement dur qu’il ne va certainement pas tenir dans ton maillot. Sur le bateau de Mélissa, j’avais déjà noté qu’il avait tendance à émerger ! Tant qu’on est dans notre bain, j’ai envie de refaire une plongée pour examiner de près ce vestige sous-marin !

Elle plongea la tête sous l’eau pour emprisonner mon engin dans sa bouche. Évidemment elle ne put rester longtemps en apnée et je relevais sa tête pour qu’elle puisse respirer.Je la soulevai et elle comprit la manœuvre en écartant ses jambes.

  • Oui, Marc, défonce-moi !

L’eau de la baignoire s’agita comme une mer en tempête, car Corina suivit mes mouvements jusqu’à la conclusion ! Nos cris furent étouffés par un bouche-à-bouche passionné, nous restâmes encore un bon moment sans nous désunir, mais l’eau devenait vraiment trop froide pour rester ainsi.

Nous nous séchâmes et je mis un maillot boxer me souvenant du commentaire que mon slip de bain était trop serré !

Nous descendîmes à la piscine, comme il y avait peu de monde, je pris le téléphone et la tablette que la Fondation avait activés pour Corina.

Au bord de la piscine, en voyant le nouveau téléphone, Corina se souvint qu’elle devait modifier son rendez-vous avec Sofia et l’appela sur son GSM :

  • Salut Sofia, je suis avec Marc, mais je t’appelle pour changer notre rendez-vous. Nous avons dû assister à une réunion de Marc et nous sommes encore à Samos !

Comme Corina avait activé le haut-parleur, je pus entendre sa réponse :

  • Tu as de la chance ! je suppose que tu profites du beau temps et de ton capitaine dit-elle. Je pense encore souvent à nos étreintes sur le Zéphyr.
  • Oui répondit Corina, mais je te téléphone pour changer la date car nous ne serons pas rentrés comme prévu initialement. L’avion qui doit nous ramener à Athènes ne sera pas disponible avant deux ou trois jours.
  • Oui, je comprends mais tant que je t’entends, tu te rappelles les photos dans le journal Ta Néa ?
  • Oui bien sûr.
  • Eh bien ce sont des prometteurs, juste pour que tout le monde achète le journal du lendemain ! J’ai regardé pendant toute la semaine « tipota » ! (rien du tout)
  • Tu veux parler à Marc ?
  • Oui, bonjour Marc, tu vas bien ? C’est quoi cette histoire que le journal n’a pas publiée ?
  • Bonjour Sofia, oui merci, je vais bien, désolé mais j’ai dû aller à une réunion imprévue et on ne sera de retour que dans quelques jours. Mais Corina fixera un nouveau rendez-vous pour te voir à notre retour ! J’ignore totalement ce que le journal veut ou voulait publier. L’explication de deux photos est simple : Nous sommes allés manger au Galaxy et un journaliste photographe nous a photographiés à la sortie. La deuxième photo c’est à la sortie de l’hôpital pédiatrique où nous nous sommes rendus au chevet d’enfants victimes d’accidents de la route. Je connais quelques médecins à cet hôpital qui m’ont demandé de trouver une solution car ces enfants sont dans une situation difficile et j’ai fait jouer mes relations pour qu’ils soient soignés. L’allusion du journal au deuil, c’est celui de mes parents qui sont morts dans un accident d’hélicoptère il y a quelques années. J’avais à l’époque fait la une de certains journaux qui s’étaient jetés sur ce drame. Mes parents étaient connus dans le monde des affaires. Voilà l’histoire, je suppose que ce journal voulait écrire un article sensationnel ou romantique en brodant sur la relation de Corina et moi ; comme nous sommes des gens sans histoire, ils ont vraisemblablement abandonné le sujet.
  • Et maintenant vous êtes à Samos ?
  • Oui, Sofia mais ce n’est pas pour des vacances, j’avais une réunion importante de travail prévue. Corina m’a accompagné pour profiter du voyage. Initialement c’était pour un jour, mais l’avion de retour a été retardé, nous rentrerons normalement dans deux jours. Je te repasse Corina pour fixer une nouvelle date. Mais avant de te quitter, j’ai des bonnes nouvelles pour toi : le directeur du musée d’Athènes veut bien te rencontrer, nous lui avons donné tes coordonnées.
  • Oh, c’est super, dit-elle, je vous remercie vraiment ! J’espère que bientôt je pourrai te montrer ma reconnaissance. Toi et Corina, vous peuplez souvent mes rêves !

Je repassais en grimaçant le téléphone à Corina qui convint d’une nouvelle date. La conversation fut brève et ensuite Corina se tourna vers moi :

  • Tu n’as pas l’intention d’en dire plus à Sofia ?
  • Non, pas vraiment, on verra plus tard si on doit la mettre au courant de la Fondation et de son activité. Mais je préfère garder les cloisons entre le club, la voile et mon activité dans la Fondation. Je sais qu’un jour, il faudra que je dévoile mon identité mais je ne sais pas encore comment je m’en sortirai. D’autant plus que Sofia voudrait recommencer l’épisode de la croisière ! - Bien, si on regardait tes nouveaux jouets ?

Je ne dus pas expliquer le fonctionnement de ces appareils, Corina avait une excellente connaissance de l’électronique moderne. L’activation de son empreinte digitale était très simple et garantissait la confidentialité. Je lui donnai les codes d’accès au compte banque créé pour son usage et sa messagerie cryptée.

  • Marc, je n’ai jamais vu autant d’argent sur un compte !
  • Je te comprends, ma chérie, rassure-toi, lorsque maman m’a montré mon compte à mes dix-huit ans et les chiffres financiers de la Fondation, je ne sus pas quoi penser. Je savais que mes parents étaient fortunés mais les chiffres étaient énormes ! On ne s’habitue pas à ces chiffres. Je te conseille de faire comme moi : je distingue clairement l’argent issu de mes activités financières et la fortune de la Fondation. Toi, tu as ton activité de traduction et de rédaction d’articles qui te procurent ton confort personnel. Ton compte auprès de la Fondation, ce n’est pas pour toi mais pour assurer le but de l’œuvre de mes parents : aider les enfants par les dons que nous récoltons !
  • Marc, je n’ai pas de problèmes pour distinguer mon argent de celui de l’œuvre, je suis juste abasourdie de l’importance fonds gérés.
  • Oui, et tu vas m’aider à trouver les généreux donateurs que nous invitons à des soirées de bienfaisance ! La dernière soirée que j’ai organisée, je dois corriger : que la Fondation et ses bénévoles ont organisé a rapporté plus d’un million de dollars américains. Comme tu l’as entendu lors du Conseil, une partie est dépensée immédiatement pour les enfants. L’autre partie est confiée à nos experts financiers pour investir à court terme. Pour augmenter le capital sans spéculer, uniquement des placements de « bons père de famille ». Nous avons un comité financier qui mensuellement fait le point et propose des investissements en Bourse et en banque. C’est une grande partie de mon travail de gérer ses fonds « dormants » qui assurent la pérennité de l’entreprise. On organise chaque année quatre ou cinq soirées aux États-Unis et bientôt aussi en Europe. La prochaine sera à Athènes en septembre.
  • La messagerie est cryptée mais est-elle bien protégée ? me demanda Corina.
  • Oui, tous les messages transitent par un central qui gère le cryptage entrée/sortie. Nous ne devons rien faire. Les informaticiens changent régulièrement le code de cryptage pour éviter le piratage. Tu as encore des questions ? Ce soir on fera le point pour les soins de « tes » enfants
  • Marc, je n’ai pas de questions pour le moment, je compte aller nager un peu, c’est tellement tentant !
  • Je comprends, je vais ranger les téléphones et tablettes dans le coffre de la chambre et je te rejoins dans la piscine.

***

Lorsque je redescendis, Corina traçait des longueurs dans la piscine déserte, je fis de même et plongeai à sa poursuite. Je fus fort déçu lorsque je dus admettre qu’elle était une excellente nageuse et je ne pus la rattraper qu’au bout de longues minutes de nage intensive. Elle s’était bien rendu compte que j’essayai de la rejoindre.

  • Alors mon capitaine, tu n’as pas l’air en forme ? Trop de bonne chère, Monsieur l’administrateur !
  • Non Corina, ce n’est pas la nourriture mais tes assauts qui m’ont épuisé.
  • Quelle excuse, viens, approche que je constate de visu ton épuisement !

Je vins près d’elle et immédiatement elle mit sa main sur mon maillot pour constater que mon gréement était aux abonnés absents.

  • Effectivement ! Je vais arranger ça !

Elle se laissa couler pour mettre sa tête devant mon entrejambe, descendit brutalement mon maillot et mit le vestige de mon sexe en bouche ! Mon matelot reconnut la bouche qui l’avait déjà si souvent cajolé et se mit au garde-à-vous.Elle refit surface tout en gardant mon gréement en main :

  • Oh mon doudou ! tu n’es vraiment pas en forme !
  • Corina, pas ici ! il y a peut-être des caméras !
  • Tu as raison, ce serait un scandale si demain on retrouve ton anatomie en première page d’un journal en mal de tirage ! dit-elle en riant et remettant mon vêtement en place. Viens, remontons en chambre, j’ai envie de toi !

Quelques minutes plus tard dans la discrétion de notre douche, elle s’agenouilla devant moi pour reprendre son examen détaillé de mon engin. Sa bouche gourmande obtint très rapidement sa récompense, je ne pouvais pas la priver et j’éjaculai en force dans sa bouche ! Elle garda une main sur mes testicules et agaça délicatement l’ensemble provoquant un sursaut de ma verge.

  • Je te retrouve ! me dit-elle en coupant le torrent d’eau, tu me dois encore un massage, durant cette course de natation, je crois que j’ai forcé un peu et tu vas me refaire une démonstration de tes mains si bienfaisantes d’après ton volcan italien. Tu n’as pas une photo de ta belle italienne ?
  • Non, mes parents m’ont demandé de ne plus nous mettre en première page des magazines à sensation et ce n’est pas dans mes habitudes de garder une photo de mes nombreuses conquêtes féminines dans mon portefeuille ou mon téléphone !
  • Vantard, tes nombreuses conquêtes ! Tu m’as parlé que d’une seule ! Lorsque j’ai fait des recherches sur toi dans l’espace Internet, je n’ai pas trouvé grand-chose. Que des clichés de parade durant des soirées caritatives ; aucune trace de tes « conquêtes ». Tes parents ou la Fondation ont fait le ménage ?
  • C’est possible, mais à l’époque je n’étais pas l’objet des paparazzis et mes apparitions publiques avec Régina étaient rares.
  • Attends, me dit-elle en se couchant nue sur un essui pour le massage. Pendant que tu me masses, je vais faire une recherche sur son nom !

Pendant que je la massais, je pus voir le résultat de ses recherches sur l’écran de sa tablette. Assez surprenant, il n’y avait pas énormément de clichés de mon Italienne. Une ou deux avec son mari, quelques-unes avec des beaux mâles, mais rien me concernant.

  • Je ne suis pas jalouse, me dit-elle, elle n’a pas un physique qui attire les foules !
  • Je t’ai dit que ce n’est pas un canon de beauté, dis-je en massant ses muscles dorsaux. Les images de ma copine de sexe réveillèrent mon désir, ce que Corina vit dans le bord de sa vision pendant que je la massais. Pourtant les clichés n’avaient rien d’érotiques, seulement des photos prises lors de réceptions ou images volées en rue.
  • Oh mon prince ! tu bandes encore pour elle ?
  • Je crois que c’est plutôt ma mémoire qui me rappelle des souvenirs personnels ; la vue de ton corps et le contact de ta peau me font plus d’effet que sa photo !
  • Marc, continue ce que tu me fais ! dit elle en délaissant sa tablette. Tu m’intéresses plus que ton Italienne ! Tes massages sont divins, descend plus bas, mon dos est tout raidi. Approche-toi je veux sentir ton mât entre mes jambes.

Je passai ma main entre ses fesses et récoltai une quantité appréciable de cyprine tout en provoquant des gémissements annonciateurs.

  • Oui, Marc, continue, mets ton engin à la place de tes doigts !

Je soulevai un peu son bassin et la pénétrai dans un mouvement sans brutalité mais en profondeur.

  • Oui, Marc défonce-moi ! Fais-moi jouir !

Je me laissai aller égoïstement, Corina et les souvenirs de Régina firent le reste.

  • Marc, oh c’est bon ! Continue de me pilonner, ça vient !

***

Le soir, je fis servir une collation en chambre. Puis Corina prit sa nouvelle tablette pour regarder les messages concernant « ses » enfants. Le service social de l’hôpital nous rassura sur l’état de santé de Georges qui avait eu sa première séance de kiné. Je trouvais cela très rapide après l’intervention mais la chirurgienne consultée nous confirma que c’était la procédure. Pour Rina, il n’y avait pas d’évolution, il fallait patienter.

Après cette connexion, Corina regarda sa messagerie privée sur sa tablette personnelle mais elle ne dut pas aller très loin dans sa messagerie, car je la retrouvai assoupie dans le lit, la tablette toujours dans ses mains…

Je retirai délicatement la tablette et je couvris son corps du drap léger pour éviter que le conditionnement d’air la réveille.

Je restai pensif sur l’attitude de Mélissa. Je ne l’avais pas vue depuis le décès de sa mère, j’avais présenté mes condoléances lors du service funéraire de sa maman où elle, son mari et ses enfants étaient présents. J’avais encore assisté à l’épandage de ses cendres dans la mer à bord de son yacht. Depuis plus rien jusqu’à sa présentation au Conseil.

Je me dis qu’imiter Corina pour faire quelques recherches sur Internet ne serait pas une mauvaise idée.

Mes recherches sur son nom ne donnèrent rien de relevant, puis je me rappelai la réflexion de Corina : « où est son mari ? » et je trouvai quelques articles dans un journal peu connu où le mari était pris en photo sur une plage en compagnie d’une starlette de seconde zone.

Je supposai que la Fondation n’avait pas fait le lien avec Mélissa et donc n’avait pas « fait le ménage » sur cette publication.

Je me promis de ne pas en parler à Corina, mais d’interroger Mélissa à l’occasion de notre prochaine rencontre. Sera-t-il présent à la soirée de septembre ?

Finalement je laissai tomber et me couchai à coté de ma partenaire qui dormait à poings fermés.

NDA : Prochain épisode : les révélations d’Emily.

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