Chapitre 96. Encore Corina !

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Bonne année !

### Corina ###

Ce soir, malgré quelques douleurs, j’obéissais à l’ordre de Marc de le rejoindre dans la chambre. J’avais toqué à sa porte mais même sans réponse, j’entrai pour le trouver couché sur le ventre. Rien que cette vue sur son dos athlétique me donna des frissons.

Je me défis de mes vêtements et me couchai nue contre son corps sans le réveiller. Je restai à le regarder pendant un bon moment, me rappelant nos étreintes sur le Zéphyr et les plaisirs passés.

Oui, j’étais toujours follement amoureuse de cet homme et comme je l’avais avoué quelques heures auparavant, j’adorais faire l’amour avec lui. Bien que je n’aie pas l’intention de le réveiller, la vue sur ses fesses musclées m’incita à passer ma main doucement sur les courbes sensuelles et glisser entre ses jambes écartées à la recherche de l’objet de mes convoitises.

J’adorais faire l’amour à des femmes, mais Marc avait des attraits qu’aucune femme ne pouvait me donner, même si certaines équipées d’un strap-on pouvaient faire le simulacre d’une copulation. Rien ne valait un sexe masculin bien dressé, vivant et profondément enfoui dans mon antre.

Je parvins à toucher son gland dégagé et je glissais mes doigts en douceur, caressant la couronne. Malgré la douceur de mon geste, je sentis son sexe vibrer et j’entendis un gémissement de plaisir même s’il était en partie étouffé par le coussin.

Dans son sommeil son corps pivota, me donnant plein accès à son sceptre, bien gonflé. Je risquais de l’effleurer avec mes lèvres et je perçus cette odeur caractéristique et si excitante de cyprine et sperme mêlés. Il n’avait donc pas pris de douche après notre bataille, sans doute pour garder les odeurs de mon corps.

Ce n’est que lorsque je pris pleinement possession de sa verge comme d’une sucette que Marc émergea et mit sa main sur ma tête.

– Oui, continue, qui que tu sois, profites-en.

– C’est moi Marc, c’est Corina.

– Ah, Corina tu es revenue pour subir ton châtiment ?

– Oui Marc, tu voulais du divertissement, alors je suis à ta disposition.

– Alors viens plus près que je puisse lécher ton minou.

– Oh oui, Marc, j’adore ta langue entre les lèvres de ma fente.

Heureusement j’avais pris une bonne douche et donc mon intimité était fraîche. Il voulait donc me goûter. Sa langue me pénétra et j’eus directement une vague de plaisir qui vibra jusque dans mes tétons que je serrais pour accentuer ma jouissance.

Je le laissais aller et venir, pour montrer mon envie, je pris sa tête entre mes mains et changeais de temps en temps l’orientation de mon bassin pour que je sente sa langue dans tous les replis de mes lèvres intimes.

Je ne savais plus si c’était Marc qui voulait profiter de ma disponibilité ou moi qui espérais que le désir de Marc me comble. Il aspirait mon jus comme un amateur d’huîtres. Chaque coup de langue me fit chavirer et je ne voulais pas lâcher sa tête. Il se redressa et prit ma bouche ce qui me donna une idée de ma cyprine poivrée. Ses doigts pétrissaient mes seins comme si c’étaient de la pâte à pain. À chaque passage sur mes tétons ses ongles me procuraient des pulsations innommables et mes cris devaient l’exciter de plus belle.

Puis il me souleva et je compris qu’il voulait m’empaler sur son pieu. J’écartais donc bien mes jambes pour mettre mes jambes de chaque côté de son corps. Puis il cessa de me tenir et je retombais comme une poupée désarticulée son pénis droit dans mon vagin. Il bloqua mes fesses comme pour m’empêcher de bouger puis me bascula sur mon dos tout en gardant le contact.

– Tu as donc eu le courage de venir chercher ta sentence ?

– Marc, oui, mais ne me fait pas mal.

– Je ne vais pas te torturer mais demain matin tu en redemanderas. Ce soir, je te ferai sentir la différence entre baiser une fille et te faire ramoner par moi. Sans me vanter, mais toutes les femmes qui sont passées par mon lit, toi exceptée, elles ont toutes redemandé un deuxième tour.

– Mais moi aussi, Marc !

– Non, tu as préféré sucer des seins et tripoter un vagin alors que je t’offrais le nirvana.

Disant cela, il me défonçait puissamment, je crois que son engin poussait contre le col de mon utérus.

– Ah, si je pouvais je t’enfermerai en fond de cale où tu ne verrais plus la lumière du jour sauf pour te laver de mon sperme.

– Non, tu ne feras pas cela, car tu as trop envie de voir mes seins ballotter devant tes yeux et dans l’obscurité de la cale, toi non plus tu ne verrais rien. Si tu me rends la liberté de mes mains, je te câlinerai toute la nuit si tu veux.

– Non, je te garde attachée dans ce lit, jusqu’au moment où je ne serai plus capable de dresser mon harpon. Je suis profondément vexé, même Bessie préfère sentir ma verge plutôt qu’un godemiché. Alors toi, tu pourras me crier en grec ou en russe, mais tu resteras à ma disposition jusqu’à ce que tu reconnaisses l’avantage de coucher avec moi.

– Tu ne coucheras plus qu’avec moi en exclusivité ?

– Oh non, tu me serviras de dérivatif lorsque je n’aurais personne pour me divertir.

Je sentis dans le ton de sa voix qu’il se moquait de moi, mais j’étais bien sa prisonnière. Il me prit dans tous les sens, comme si tous les orifices pouvaient le défouler. Lorsqu’en finale il me demanda d’ouvrir la bouche je fus surprise de la douceur de son introduction. Non, il ne voulait pas me blesser, il resta près de ma langue sans dépasser mon palais.

Je compris le massage et caressai avec ma langue toute la surface de son chibre, à chaque passage sur son frein, je sentis la pulsion annonçant son orgasme mais rien ne se produisait. Je voulais le caresser mais il garda mes mains entravées. Plus tard il se retira de ma bouche et il prit un flacon sur sa table de nuit. Je compris très rapidement qu’il m’enduisit de l’huile pour massage nuru. Il m’arrosa abondamment puis étala avec ses mains le liquide sur toutes les parties de mon corps.

Il prit un plaisir (sadique ?) à malaxer mes seins, au point que je sentis ma cyprine s’écouler de mon ventre. Mes efforts pour libérer mes mains étaient vains et je dus subir ses caresses qui glissaient inexorablement vers mon entrejambe. Je m’attendais à ce qu’il envahisse mon vagin de ses doigts mais il n’en était rien. Il se contentait de masser l’intérieur de mes cuisses et intentionnellement récolta mon jus avec ses doigts pour le mettre dans ma bouche. Je dus reconnaître que cela m’excitait au-delà du raisonnable, d’autant plus qu’après m’avoir fait goûter ses doigts imprégnés, il les mit dans sa bouche avec un regard gourmand.

Son massage continua jusqu’à la plante de mes pieds ce qui me procura une détente bienheureuse. Puis il revint sur mes seins pour tirer sur mes tétons puis lorsque ceux-ci étaient bien durs, il promena son gland contre mes seins.

Je crus halluciner de désir à chaque passage de sa verge et vis distinctement du sperme s’étaler sur mes seins alors que rien n’annonça son orgasme. Il continua ainsi un bon moment, puis récolta avec sa langue toutes les traces qu’il avait laissées sur mes seins. Après ce jeu oh, combien excitant il souleva mon corps pour le faire glisser sur le sien. À chaque passage de sa verge sur mes seins je sentis la raideur de son bâton et j’espérais qu’il s’approche suffisamment de ma bouche pour que je puisse saisir son gland. Par contre il me laissa prendre ses testicules en bouche, je devais faire un gros effort de ne pas le mordre car ma bouche se contractait à plusieurs reprises sous ses attouchements.

Après de nombreux passages de sa verge sur toutes les parties de mon corps sauf ma bouche il passa son gland sur mon front et mes paupières. Je réussis à tourner ma tête et finalement, je pus happer son drapeau dans ma bouche.

Je gardais fermement sa queue entre mes lèvres et mordis même doucement pour le faire comprendre qu’il n’avait pas intérêt à reculer. Je crois que ce dernier acte était de trop, il éjacula avec force en rugissant.

Il me laissa profiter de son jus avant de s’écrouler, son sexe toujours agité de spasmes. Je sentis qu’il se détendit et resta ainsi pendant de longues minutes.

Pendant ce temps au prix d’efforts et de torsions, je réussis à libérer mes poignets et j’en profitai pour caresser doucement son visage et sa barbe un peu rugueuse. Il finit par rouvrir les yeux.

– Je ne t’ai pas fait mal ? demanda-t-il.

– Non, Marc, même si j’ai cru un moment que tu allais me crucifier.

– Corina, je n’ai pas encore fini avec toi. On va prendre une douche ensemble car je crois que tous les deux nous sommes pleins de fluides corporels, mais tu resteras ma prisonnière.

– Oui, d’accord Marc mais ne m’attache plus, j’aime tant te montrer mon plaisir en te caressant. J’eus à peine fini ma phrase qu’il me souleva pour m’emmener sous la douche. Il me savonna entièrement avec une grande douceur, picorant des baisers avec ses lèvres aux endroits où il avait cru me faire souffrir. Ensuite il m’emmaillota dans un drap de bain moelleux pour me remettre dans son lit.

Je m’endormis repue, ce n’est que longtemps après que j’entendis la voix de Bessie.

– Bonjour Marc, je venais voir s’il y avait des blessés ou même des morts à évacuer. Vos cris résonnaient dans toute la maison. C’est Niki qui m’a suggéré de venir voir : me disant qu’elle n’osait pas venir elle-même. Emily aussi était inquiète et était en stand-by pour t’évacuer avec l’hélico.

– Merci Bessie, pas d’inquiétude, on a conclu une trêve. Ma prisonnière sera traitée comme le prévoit la convention de Genève.

– Ta prisonnière ?

NDA : Chapitre qui demande une suite bientôt.

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