Chapitre 1

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 Des éclats de rire résonnaient à travers le monde entier jusqu'à parvenir à mes oreilles. Chaque jour ce doux son me faisait oublier petit à petit, tout ce que nous avions endurée pour en arriver à cette paix dûrement acquis. Quand je pense à tout ce que nous avons dû subir...ses souvenirs des temps anciens me terrifiais encore aujourd'hui.

Le chaos était présent de partout, il avait commencé par s'infiltré dans le coeur de quelques Naëghys, qui part leurs actions blessaient tout être autours d'eux. Sans l'intervention de nos héros nous aurions tous sombrés dans une obscurité éternels. Venant des quatres coins du monde, ils se sont rassemblés et ce sont unis contres ces forces obscures.

Tout à commencé il y a quelque années de cela, à l'Est du royaume d'Akynnor, dans une plaine immense recouverte de la plus luxuriante des verdures qui s'étendait jusqu'au Bois Clairs. Perdu au milieu de celle-ci, une petite maisonnée surplombait fièrement la vallée. Elle protégeait une charmante petite famille composé d'un couple aimant et de deux adolescents respirant la santé et le bonheur. Comme chaque matin, la mère de famille c'était levé au aurore pour s'atteler au tâche quotidienne de la maison. En premier lieu elle ouvrit les fenêtres pour laisser entrer la lumière du soleil; puis elle dressa le couvert pour quatre, sorties du pain et un couteau, posa une corbeille de fruit , de la confiture et du fromage. A peine eu t'elle finis de tout installer que son mari venais d'entré dans la pièce. Il embrassa sa femme, s'assis autour de la table et commença par manger. Un peu plus tard ils furent rejoins par leur fille, ses long cheveux blanc cendré descendaient en cascade le long de sa robe et laissé apparaître ses oreilles pointues. Elle s'installa sur l'un des banc et pris son petit déjeuner dans le silence. Pendant que son mari et sa fille terminaient de débarasser leurs écuelle, la femme s'avança vers les escaliers et tenta d'appeler le dernier de la famille. Elle s'y pris à plusieurs fois mais rien à faire celui-ci ne descendait pas. Alors sans attendre d'avantage, elle pris la decission de partir sans lui pour son atelier avec sa fille et chargea son mari de l'envoyé vers elle une fois son ventre plein.

Un étage plus haut, dans la petite maisonnée un jeune garçon regardeait en révaçant l'horizon qui s'étendait à perte de vue, depuis la fenêtre de sa chambre. Il n'avait pas entendu sa mère l'appeler. Son esprit était perdu dans ses pensée tandis qu'il contemplait le passage de l'été à l'automne. Les feuilles des arbres avaient déjà commencé à prendre leurs couleurs estivales et dansaient joyeusement dans le vent pour se poser délicatement sur le sol. Il était tellement focaliser sur se spectacle envoutant qu'il sursauta lorsque la voix forte de son père résonna.

-Matt!! Réveille toi et viens vite déjeuner. Ta mère et Rubis t'attende.

Prenant son courage à deux mains, il s'habilla rapidement et dévalla les escaliers. Son père si trouvait et le regardait descendre tout en lui disant de ce dépêcher un peu. Après l'avoir sermoné il retourna au fourneau s'occuper de ses créations. Il en avait déjà confectionnés beaucoup dpuis qu'il était levé, elles refroidisaient toutes sur la table: des vases, des pichets, des carrafes et diverses poteries. Chaque nouvelles oeuvres d'arts prenaient vies dans ses mains habilles, ses cheveux chatains clairs dansaient à la lueur des flammes et ses yeux pétillaient d'une créativitée débordante.

Une fois son petit déjeuner pris le jeune garçon enfila ses chaussures et sa veste pour s'élancer en direction de la bergerie. Celui-ci comportait un étage ou se trouvait l'atelier de couture, pour y accéder il suffisait de prendre les escaliers situé sur le côté de la bâtisse. Ce que fit Matt sans ce précer, il ouvrit la porte et se retrouva face à sa mère qui le pris par le bras et l'entraîna dans le pièce. C'était une jeune femme aux cheveux blond roux avec de légere tâche de rouseur. Elle commença à expliquer ce qu'elle attendait de son fils et se remis à son ouvrage.

PDV Matt

La journée avait commencé sur les chapeaux de roue, mon père m'avait sortie de ma torpreur à l'aide de sa grosse voix. Il m'avait expréssement demandé de me dépêcher et de rejoindre ma mère à l'atelier. Quand je me suis présenté devant la porte, je l'avais à peine ouverte que les bras fins de maman sortir de l'encadrement pour me tirer à l'intérieur. Sans prendre la peine de respirer elle réitéra ses consignes qu'ils nous fallaient suivre à la lettre. Ma soeur secoua la tête de bas en haut en signe d'accord. Voyant que le travail qu'elle nous demandait était important, je n'est pas insisté sur le temps qu'ils nous étaient impartis pour le réaliser; un mois. Nous avions un mois pour réaliser une robe pour la reine et un habit de nuit pour le futur prince ou la future princesse qui allais bientôt voir le jour. L'espace de travail de maman était lumineux grâce aux quatres fenêtres quels comptaient. Sous chacune d'elles il y avait des espaces de travail différents, pour commencer à droite de la porte il y avait des bacs d'eau chaudes contenants de la laine tondus , qui attendaient d'être brossé afin d'éliminer toutes les impuretés. Sur un cordage accroché aux deux extrémités de la fenêtre, des tas de laine séchaient. Juste à côté un rouet accompagné d'un bac de laine secs et déjà propre attendaient d'être filé. Sous une autre ouverture, il y avait deux métiers à tissé avec dans une panière entre eux des pelotes de fil de laine très fines. A la lumière du soupirail d'en face dans des bacs d'eau colorée des pièces de tissu s'imprégnaient des différents colorants. Et enfin pour terminer éparpillés sur un bureau qui donnait une vue sur la rivière Wavekìrr, des aiguilles à coudres reposaient sur un cousin ainsi que des pots en verres contenants des perles et des pierres précieuses brillant de mille éclats.

Ecoutant les ordres de maman, je m'étais avancé prêt du rouet et avais fait face à la corbeille remplis de laine. J'avais prit la première touffe de laine et je m'étais mis à la filet grâce au fuseau.

Ainsi tout les jours lorsque les rayons du soleil perçaient l'horizon, je pris un rapide petit déjeuné avec Rubis avant de rejoindre notre mère à l'atelier. Cela nous avais pris exactement trois semaines pas une de plus. En fin de journée, nous étions éreinté par le travail que nous avons effectuer. Afin de souffler un peu et nous reposer je proposa à ma soeur de nous allongé sous notre arbre préféré. Ses longues feuilles tombantes étaient typiques des saules pleureurs. Ils étaient omniprèsent dans le royaume d'Akhynnor, tellement qu'ils furent représenter sur le blasson du royaume.

Allongé dans l'herbe, les yeux plongés dans les cieux et laissant place à notre imagination, les nuages prirent divers formes toutes plus improbables les unes que les autres. Rubis était vétu d'une robe simple vert foncé qui faisait resortir ses cheveux blonds cendré. Le soleil d'automne faisait miroiter ses magnifiques yeux vairons. Mais il y a un trait de son apparence qui montrait qu'elle n'était pas comme les autres, c'était ses oreilles pointues signes caractéristiques chez les elfes. De part son apparence, elle suscittait un grand intérêt pour les Akhynnoriens. Elle était respecté par tous.

Aucune discrimination n'avait eux lieu depuis la montée sur le trône du roi David. En effet celui-ci avait enseigné à son peuple avec beaucoup de patience, à aimer et respecter les elfes.

Malheureusement pour les demi-elfes, la cohéxistance avec les humains n'est pas la même. Rejetés, mis à l'écart du faite de notre appartenance au deux mondes. Face à la réaction de son peuple, le roi avait pris les choses en mains avec l'aide du royaume voisin: Cehëllivùz. Ils offrirent chacun une partie de leurs terres qui forma par la suite un petit village du nom de Niùkuny et qui possédaient une barrière naturel face au danger; les Bois Clairs.

Etant moi même un demi-elfe qui avait était adopté par des humains, les habitants de ce village ce sont présentés plusieurs fois à notre porte afin de convaincre mes parents de les laissé s'occuper de moi. Ils ont refusé car ils avaient fait une promesse à mes parents et ils étaient heureux d'élevé un enfant, peu leur importaient qu'il soit un elfe, un demi-elfe ou un humain. Qu'ils aient un enfant à chérir leur suffisait. Un jour, alors que j'utilisait mes pouvoirs malgré l'interdiction forméle de mes parents, ma mère me surpris et me gronda. En colère contre elle, je lui est dit ces mots blessants "Tu n'est pas ma mère". Quand elle les entendus, elle a fondu en larme et me raconta par la suite son histoire avant mon adoption.

Lors d'une journée comme les autres dans son petit village d'enfance, alors qu'elle venait d'avoir tout juste seize ans, des trafiquants de demi-elfes et d'elfes ont traversé son village. Elle avait été horrifier par ce qu'elle voyait et avait pris son courage à deux mains pour libérer les esclaves. Le chef de la bande l'avait vu faire et l'avait rattrapé par le bras et de sa mains libre, il c'était emparé de sa dague pour lui entaillé le ventre. Une fois les bandits partis, le médecin l'avait soigné et lui avait annoncé un triste fait. La blessure avait causé des dégats irréversibles qui l'empécheraient de concevoir un enfant. Cela c'était passé à peu près un an avant sa rencontre avec mon père. Elle avait eu du mal à lui réveler ce tragique incident, tant elle redoutait sa réaction. Mais mon père fou d'amour pour elle, accepta ce triste fait et lui proposa même d'adopter un ou plusieurs enfants.

Après ce récit, je m'étais précipité dans ses bras et j'avais fondu en excuse les yeux plein de larmes. A partir de ce jour, plus jamais je ne me suis mis en colère ni contre elle, ni contre mon père.

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