Chapitre 2

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La nuit était tombée sur notre petite maisonnée, nous étions installés tout autour de la table afin de vérifier si tout était près pour notre voyage. Un long trajet ce profilait à l'horizon pour Rubis et moi, nos parents nous avaient chargé de faire les livraisons, pendant qu'ils s'occupaient des prochaines commandes. Après avoir vérifier une énième fois que tout les colis étaient bien là, nous sommes tous allé nous coucher afin de nous réveiller en pleine forme le lendemain.

Réveillé au aurore par la voix fluette de notre mère qui nous attendait en bas avec un copieux petit déjeuner disposé sur la table. Prenant acciduement ce repas très important de la journée, j'écoutais d'une oreille distraite les milles et une recommandation qu'elle nous disait.

- Matt tu m'écoute!? Tu peux répéter ce que je viens de dire?

- Oui, tu as dit qu'il fallait qu'on achéte deux pots de confitures, un petit sac de pomme de terres, trois colorants mauves, fuschia et bleu, ainsi que du pain, du lait et de la viande.

- Oui j'ai dit ça. Mais tu as oublié une chose très importante. NE MONTREZ PAS VOS POUVOIRS.

Après avoir promis à maman un millier de fois que je n'utiliserai pas mes pouvoirs, Rubis et moi nous nous sommes installées dans la cariole. Toutes les livraisons avaient été disposé à l'intérieur dans différentes caisses de transports par les bons soins de notre père.

Tout en cheminant le long de la route, le souvenir de la découverte de mes pouvoirs refaisé surface.

Nous venions d'avoir tout juste sept ans et pour le fêter comme il ce doit nos parents nous avaient proposé de les accompagnés durant l'une de leurs livraisons. Cela c'était passé dans un village isolé situé entre la capitale royale d'Akhynnor et les frontières établis entre celui-ci et Gaërhdarr. Là ou les derniers clients à livrer résidaient. Pendant que nos parents faisaient du portes à portes, Rubis et moi les attendions sur la place du village près de la cariole. Les habitants nous regardaient de travers et interdisaient à leurs enfants de s'approcher de nous, certains bravèrent cette interdit et s'approchèrent. Ils nous possèrent plusieurs questions et commencèrent à nous harceler. L'un d'eux attrapa même les oreilles de Rubis et lui demanda pourquoi elles étaient aussi grande? Comment elles l'étaient devenus? Il répéta inlasablement ses questions tout en tirant très fort sur ses oreilles. Je n'aimais pas voir Rubis souffrir comme ça. Une colère immense et silencieuse s'empara de moi, et un épaix brouillard commença à apparaître et m'envellopa dans un grand manteau brumeux. Effaré par sa surprenante apparition tous reculèrent appeuré. Nullement étonné par ce spectacle que je savais au plus profond de moi être mon oeuvre, je continua de déverser ma colère sur ses enquiquineurs d'humains. Des myriades de petit floçons de neiges apparurent dans mes mains, sans aucune hésitation, je les lança sur nos harceleurs et ils tourbillonèrent tout autour d'eux. Appeurés par ce phénomène que j'avais produits, ils rentrèrent tous chez eux en tremblant de froid. Quand leurs parents apprirent ce qu'il c'était passé, ils nous chassèrent de leurs village et annulèrent leurs commandes.

Après deux jours de livraisons non stop et quelque arrêt en cours de route. Nous avions décidé de nous reposer pour la nuit dans une auberge. Le repas proposé par l'aubergiste nous avais bien remplis le ventre, fatigué par le trajet je posa à peine ma tête sur l'oreillé que je sombra dans un sommeil de plonc. Peu à peu, un rêve ce créa dans mon esprit, à l'intérieur de celui-ci je me trouvait dans une forêt immense et enneigé. Enmitoufflé dans un manteau de neige pur, cette forêt dont les arbres étaient couverts de cristaux de givres, faissaient naître en moi une étrange impression de déjà vu. Subjugué par l'aspect de fraicheur que m'apportaient ce lieux, une voix à peine perceptible murmura à mon oreille des mots que je ne parvenais pas à comprendre:

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Transporté par un vent légé et rafraichisant, la voix s'envolait déjà par delà les arbres. Avant que je n'est pu demander à qui elle appartenait, une bourasque glaçante vient souffler fort, les arbres de cristaux ce tordirent et ce brisèrent comme du verre. Le sol ce craquela sous mes pieds pour former une fissure, la peur me pris au ventre quand je commençais à tomber dans ce grand trou noir. Une chute sans fin m'attendais dans ce noir immense.

Pris de panique, je me réveilla en criant, sursautant d'effroye et dégoulinant de sueur.

- Matt, est ce que sa va? me demanda Rubis inquiète.

Inspirant et expirant à plusieurs reprises afin de reprendre mon souffle. Mon cerveau s'échauffait à toutes allurent, je claque mes mains sur les joues pour m'aider à reprendre mes esprits et raconter calmement mon rêve étrange à Rubis.

- C'est juste un rêve, y a pas de quoi s'en faire. Allé rendors-toi, demain nous devons nous lever tôt pour la dernière livraison.

Sans plus s'inquiéte sur ce que je venais de lui raconter, elle remis sa couverture sur ses épaules et ce rendormi aussi tôt. Contrairement à ma soeur, je n'avais pas réussi à retrouver le sommeil et continuait à cogiter sur les paroles que j'avais entendu et que je ne comprenait pas malgré mes efforts. Un seul mot persistait à s'encré en moi: RINKU.

§PDV Rubis§


Après le réveille mouvementé de Matt, il me raconta son rêve étrange. Au départ je ne l'avait pas pris au sérieux, mais en regardant attentivement son visage je voyait bien qu'il me disait la vérité. Je me recoucha sans trop m'en soucier, après tou ce n'était qu'un rêve comme les autres.

Le lendemain alors que je prenais mon petit déjeuner tranquillement, je vis Matt descendre lentement les escaliers en ce tenant à la rampe.

- Matt, sa va? Tu n'a pas très bien dormis à ce que je vois.

- Non je n'est pas réussi à me rendormir. Mon rêve ma trop pertubé, je me repasse en boucle les paroles afin d'essayer de les comprendre.

- On n'y réfléchira une fois le livraison faite. D'accord! Bon maintenant du déjeune rapidement et tu me rejoins dehors. L'aubergiste à fait sortir la cariole.


Quinze minutes plus tard, il tenait les rènes et dirigea les chevaux vers les murailles du château. Devant les lourdes portes une longue fil de sujet attendaient patiemment d'entrer. Quand ce fut notre tour je présenta aux gardes la lettre de la reine. Ils nous demandèrent d'ouvrir la cariole afin de vérifier le contenu. La vérification terminé, ils nous invitèrent a entrer età nous avanancés prés des escaliers.

Les bras chargé par lagrossé malle qui contenais les précieux colis, Matt avançais prudement devant moi. Le hall d'entré qui menait à la salle du trône était grand, de nombreux tableaux, meubles et divers objects de décorations rendaient les lieux aussi chaleureux qu'un feu de cheminée. Au bout du long chemin une lourde porte en bois massif nous faisait face, un des gardes qui était posté devant s'avança et demanda la raison de notre présence en ces lieux. Je lui présenta alors la lettre de la reine. En prenant la lettre ils comprirent de suite qui nous étions et nous invitèrent à patienter un moment, le temps que l'unx d'eux nous annonces aux souverains. Le garde revient rapidemant nous chercher.

Matt entra la premier dans la salle du trône et ce dirigea lentement vers l'estrade ou le roi vêtu de sa plus soptueuse tenu, nous regardais avec un air franc et droit. Lorsque celui-ci vit le paquet imposant que Matt tenais dans les bras, il nous invita à le suivre dans une petite salle attenante. Une femme ravisante à la chevelure hébene ce balançait dans un rocking chair en tenant dans ses bras un magnifique bébé.

- Bonjour, jeune gens. Merci d'être venu, je vois que vos parents vous ont chargé de la livraison ce moi-ci.

- Tout le plaisir est pour nous votre majesté. Voici ce que vous avez commandés. En epèrennt que cela vous plaise.

Le roi s'installa sur une chaise à côté de la reine et ouvrit la malle, leurs yeux brillaient de bonheur face à son contenu.

- C'est tout simplement magnifique. Je ne trouve pas les mots pour décrire un tel ouvrage exécuté à la perfection. Vous pourrez féliciter vos parents pour leurs travailles.

- Ce sera fait votre majesté.

Avant de prendre congé de la famille royale, la reine nous donna une lettre à transmettre à nos parents, toutes les instructions de la prochaine commande si trouvait. Elle l'accompagna d'un sac de pierre précieuses pour aggrémenté les futurs confections de brillance.

§PDV Matt§

Après notre visite à la famille royale, alors que nous étions sur le point de quitter l'enceinte du château, j'avais vu une femme vêtu d'une large cape qui lui couvrais la tête, affalé sur le sol. Elle avait du tomber et personne ne l'avait aidé, tout le monde était trop occupé pour l'avoir remarqué. Je ne pouvais pas rester là sans rien faire, alors ni une ni deux, je me suis précipité jusqu'à elle afin de lui porté assistance. Tandis qu'elle s'appuié sur moi pour ce levé, je fut stupéfait de découvrir une elfe. Elle s'inclina maladroitement pour me remercier et me dit:

- Prince des neiges... Au plus profonds de la noirceur, les terres de l'ouest sombres dans l'abîmes. Elus du Savoirs Céleste Elementaire, par votre pouvoirs guidés nous vers l'Harmonie.

A peine avait-elle prononçait ces mots énigmatiques qu'elle cétait volatilisé, je n'avais pas eux le temps de lui demander qui elle était! Et ce que pouvait bien vouloir dire ces paroles!

- Matt, qu'est ce qu tu fait dépêche toi.

- Désolé, je...une elfe m'a dit quelque chose d'étrange.

- Mais qu'est ce que tu raconte! Il n'y a pas d'elfe ici. Allé magne-toi, il nous reste les course de maman à acheter avant de rentrer.

Le chemin du retour fut beaucoup plus rapide qu'à l'allé. Rubis regardais le paysage défiler tout en jouant avec ses cheveux en les tortillant dans tout les sens. Tandis que moi, j'était concentré sur la route afin de diriger les chevaux. Soudain un son étrange ce mis à résonner dans l'air, j'arrêta brusquement la cariole ce qui eux pour effet d'énervé ma soeur. Sans dire un mot, je sauta à terre et couru aussi vite que possible vers le bruit qui semblait m'appeler. Plus j'avançais vers celui-ci, plus cette sensation d'appel s'intensifiait. Je devina très vite que ce son étrange correspondait aux pleurs d'un animal blessé. Je fut rapidement fixé en me frayant un chemin vers la cachète qu'il avait établit dans les broussailles.

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