Chapitre 4
Non loin de là, dans la maison familialde de Matt et Rubis les préparatifs pour une fête très spécial battais son plein. La table était joliment dressé, tandis qu'une bonne odeur sucrée et douce émanait de la cheminée. Le couple avait mis leurs plus beau vêtement pour cette occasion. Alors que le soleil commençais doucement à décliner en peignant un magnifique contraste de couleur: rouge, violet et orange. Ce magnifique tableau naturel fut rapidement perturbé par une ombre qui approchait lentement à l'horizon. Au fur et à mesure que celle-ci s'approchait on pouvait esèment voir un cheval et son cavalier en armure. L'imposant homme de métal descendit de son destrier et se dirigea vers la porte de la maisonné. Abigaël fut la première à entendre les bruits cinglant de l'armure et à tourner son regard vers la fenêtre. A la vue de cette étrangé elle ne put s'empêcher de pousser un cri de peur. John ce précipita vers sa femme et regarda à son tour à la fenêtre. Il observa attentivement le cavalier, son armure brillait de mille feu et une épée pendait sur le côté gauche. Un détail le poussa à s'avancer vers la porte, aucun écusson était présent sur sa cape qui dansait dans le vent. L'heure était arrivé. Le contenu de la lettre qui accompagnait Matt lorsqu'ils l'on recceuillis lui reviens en mémoire:
" C'est avec tristesse que je vous confie ce petit demi-elfe. Il est le dernier espoir du royaume de l'hiver. Lors de ses quinzes ans je reviendrais lui révélé qui il est? Qui sont c'est parents. Alors en attendant je vous le confit. Vous pourrez me reconnaître à mon armure qui ne comporte aucun écusson. A très bientôt."
§ PDV Matt §
Allé courage Matt un dernier petit effort tu y es presque, me suis-je dit en portant à bout de bras le loup blanc.
- Ah! Ah! Ah! Tu cro nous échapper gamin, cria l'un des chasseurs en s'approchant de moi avec sa main crasseuse pour nous attrapper. Instinctivement je fis bouclier de mon corps pour le protéger.
- Messieurs, reculé immédiatement avait soudainement crié une vois protectrice derrière moi.
- Un chevalier, cria l'une des grosses brutes qui m'avaient suivis.
- Vite fuyons, hurlèrent les autres tout en courant à toutes jambes.
Mais qu'est ce qu'il viens de ce passer à l'instant. Je ne comprenait plus rien. Le chevalier qui avit fait fuir les bandits me tendis la main afin de m'aider à me redresser.
- Sa va petit?
- Eh, oui merci, répondit-je encore sous le choc. Ce fut les petits cris de détresse du loup qui me ramenèrent à la réalité.
- Monsieur pouvez-vous m'aider à transporter ce jeune loup s'il vous plait.
- Bien sur.
Il s'approcha alors doucement du loup et au moment de le prendre dans ses bras, celui-ci ce mit à grogner. Il ne voulait absolument pas que le chevalier le touche. J'ai pris mon temps pour lui expliquer qu'on allait juste le transporter à l'intérieur de la maison afin que ma mère puisse le soigner. Une fois entré, je cria:
- MAMAN! J'ai besoin de ton aide, vite!!
Au son de mon appel, elle surgit précipitament de l'étage et accouru jusqu'à moi.
- Matt!! Te voilà enfin. Nous étions très inquiét ton père et moi. Rubis nous à raconté ce qui c'est passé sur le chemin du retour. Est-ce que c'est vrai tu as trouvé un loup blessé?
- Oui c'est vrai. Tu peut le soigner s'il te plait. J'ai gelé sa blessure avec mes pouvoirs...
- TES POUVOIRS!! Matt qu'est ce qu'on a dit par rapport à la magie.
- Je sais, mais on été seul sur le chemin personne n'a vu mes pouvoirs. Donc je disais. J'ai gelé sa blessure puisqu'il perdait beaucoup de sang. Regarde sa patte, il c'est blessé à cause d'un piège. S'il te plait, il faut le soigner.
Mon inquiètude et ma peur ce ressentait dans ma voix. Je ne voulais pas sa blessure s'aggrave et qu'il ne puisse plus marcher.
- Bien!! Rubis va chercher un drap. Demanda t-elle, alors que mas soeur descendait les escaliers probablement pour voir ce qu'il ce passait. Jared lorsque le drap sera sur la table vous poserait le loup dessus, s'adressa t-elle au chevalier qui tenait toujours dans ses bras l'animal blessé. Tout deux s'exécutèrent sans prononcer un mot. Matt, tu ba dégelr doucement sa blessure, ensuite j'appliquerai un onguent et un bandage. Compris!
Je plaça alors mes mains au dessus de sa patte bmessé, les yeux fermés je me concentra sur mes pouvoirs. Imaginant doucement le gél qui recouvrais la plaie fondre lentement. Je sentais la fraicheur de mon pouvoir traverser tout mon corps pour arriver jusqu'à mes mains. Cette sensation dit resurgir devant moi le paysage hivernal de mon rêve mystérieux. Je secoua la tête, ce n'était pas le moment de penser à ça. Je devais me concentrer. Après quelque minutes de silence, quand je fut sur du résultat j'ouvris les yeux et fut satisfait de ce que je voyais. Le géle avait totalement disparut, ma mère put appliquer l'onguent et bandé sa patte.
"Merci" murmura une voix dans ma tête.
- Hein! Quoi?
- Qu'est ce qu'il y a Matt? Me demanda maman.
- J'ai cru entendre quelqu'un dire "merci".
- Personne n'a parler. Tu dois être fatiguer. Bon!! Tu va monter dans ta chambre jusqu'au dîner. Tu nous racontera ce qu'il c'est passé après, s'exclama t-elle.
- D'accord. Mais le loup reste avec moi.
- Mais enfin, Matt... Tu n'est pas sérieux, c'est un animal sauvage.
- Je sens qu'il n'a confiance qu'en moi. Il était rétissant à être porté par le chevalier et même lorsque tu lui a fait le bandage, il a fallut que je le rassure, tu as bien vu.
Elle accepta à contre coeur. Une fois seul avec mon ami au pelage blanc, je pus enfin souffler et décompresser. La première fois que j'avais croisé le regard du jeune loup quelque chose c'était encrée en moi. Une sensation qui jusque là m'était très difficile à définir. Je ferma les yeux et me concentra sur cette impression nouvelle, perdu dans la plus infime partie de mon être, je me remèmora cette instant. Ses yeux d'une couleur et d'une clartée éblouissantes m'avaient fait éprouver une sorte de profonde connexion entre nous. Une force immense nous unissait des à présents et elle serait là jusqu'à la fin des temps. Cette énergie nouvelle avait crée un lien d'une solidité que rien ne pouvait briser. Installer bien confortablement dans mon lit, avec le loup à mes côtés, je m'endormis rapidement repus par les événements de la journée, sans prendre la prendre la peine de dîner.
La nuit de sommeil que je venais de passer m'avait requinqué et m'avais permis de faire le trie dans tout ce qui venait de m'arrivé. Je me débarbouilla le visage avec l'aide de la carrafe et du bassin que maman avait du changer après qu'ils eux pris le dîner. Je me tourna alors vers le loup qui me regardait intenssement, comme si il attendait quelque chose.
- Sa va mieux ta blessure, mon ami?
" Oui, beaucoup mieux. Merci de m'avoir sauvé" me répliqua une voix dans ma tête.
Choqué d'entendre cette voix, je demanda par pur réflexe au loup si c'était lui qui venait de me répondre. Il confirma d'un "oui" franc et d'un hochement de la tête. Ok!! L'animal vient de me répondre, sa fait un peu bizarre. Je m'empressa de m'habiller et descendit rapidement les escaliers, le loup me suivait de loin en marchant à son rythme. Sur la table je vis dresser une corbeille de fruits et une tranche de pain dans une assiette. Avant de commencer à déjeuner, je me dirigea vers le garde manger et sorties des morceaux de lards bien gras pour le loup.
- Et bien, je vois que tu as bien dormi fiston, s'exclama mon père en s'approchant avec un verre qu'il posa sur la table.
- Papa... Oui, j'ai bien dormi... Ou sont maman, Rubis et le chevalier?
- Ils sont à l'atelier, ils ne vont pas tarder à rentrer...
- D'accord...
Il y eut un gros blanc après ce cours échange que nous venions d'avoir. Je m'assis sur la chaise et entama mon petit déjeuné. Deux pommes, de la confiture sur la tranche de pain et pour terminer je bu d'une tréte le verre de lait. Après ce copieux petit déjeuner, je m'assis sur le rebord de la fenêtre le loup posé sur mes jambes, le regard dans le vide. Comment le loup avait-il put ma parler sans que personne ne puisse l'entendre à part moi. Je ne comprenait pas. Après mure réflexion, j'en suis venu à la conclusion que cette étrange moyen de communication venait de ma part elfique.
C'est à l'heure du dîner qu'ils rentrèrent tout trois fatigués des tâches qu'ils avaient affectués. Maman et Rubis préparèrent le repas, tandis que papa et le chevalier discutait à voix basse assis autour de la table. Quand à moi j'était toujours au même endroit et commençais à angoisé. Je savais que mes parents me demanderaient des explications sur ce qu'il c'est passé. Mais je ne savais pas par quoi commencer.
Le repas ce pris dans un silence de mort, personne n'osait me poser de question. Jusqu'à ce que maman me pose la question fatidique:
- Matt peux-tu nous expliquer ce qu'il c'est passé?
Afin que ce soit plus compréhensible, je leur fit part dans un premier temps de mon rêve étrange. J'était entouré d'une fôret de sapin recouvert d'un manteau de neige, des mots murmuré à mes oreilles une phrase que je ne comprenait pas jusqu'à maintenant:
Une blancheur immaculé
Un regard hypnotisant comme le clair de lune
Ton Rinku t'apparaîtra.
Ces paroles énigmatiques prononcé par la mystérieuse voix faisait référence au loup blanc que j'avais sauvé. Seul le mot RINKU n'avait pas de signification particulière, enfin du point de vue des Humains, il ne restait plus qu'à savoir, si il signifiait quelque chose pour les elfes.
J'ai de nouveau expliqué ce qu'il cétait passé sur le chemin du retour, avec le loup et les bandits. Maman m'a alors sévérement grondé, je ne devait pas utiliser mes pouvoirs devant des personnes. Je lui avait dit qu'ils n'étaient pas encore là à ce moment.
- Maman, je ne peux pas nié mes pouvoirs. Ils font partis de moi. Depuis que tu ma interdit de le utiliser je me suis entraîné en cachette la nuit. Et j'arrive à les contrôler, il n'y que lorsque je recent des émotions fortes qu'ils réagissent seuls.
- Matt, je ne veux rien savoir. Tu avait interdiction de les utiliser.
- Mais maman...
- Non, il n'y a pas de mais, Matt c'est comme ça.
- Je suis un demi-elfe pas un humain. Je suis les deux, à la fois humain et elfe, donc je dois apprendre à les utiliser. Si il n'y pas d'elfe de l'hiver pour m'apprendre alors je dois me débrouiller tout seul.
Ma mère continua à criéer un bon moment sur moi, jusqu'à ce que mon père réussisse à la calmer et à lui faire comprendre que m'interdire d'utiliser mes pouvoirs ces comme être paralisé pour les humains. Une fois détendu, je pu reprendre tranquillement mes déductions vis à vis de mon rêve. Je parviens avec quelques mots à leurs faire comprendre qu'un lien très spécial c'était crée entre le loup et moi. Un lien invisible et indestructible que rien au monde ne pouvait briser. C'est avec certitude et confiance que je présenta le loup comme étant mon Rinku et que je baptisa: SNOW.
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