CHAPITRE 1

12 minutes de lecture

Par de là, le Mont Fukuyama se trouvait un grand cratère dans lequel se trouvait un grand village où règne le calme, l'ordre et la gaieté. À quelques mètres se tenait une maison éclairée par la terne lumière de la lune, on pouvait en juger par le jardin et le bassin bien entretenu, le ménage de la maison qui faisait bon vivre, ainsi que le parquet bien luisant.

Mais cette nuit semblait interminable pour Corneille Jouvencelle qui se trimballait dans son lit, la respiration haletante comme si la chaleur de la pièce l'asphyxiait, malgré le temps frisquet de cette nuit. Elle faisait le même songe que tout les soirs, songe dans lequel elle fuyait une réalité lointaine, mais comme toutes les nuits, son corps se recouvrait d'une faible lumière. Dans un sursautement brusque, elle se leva le front chargé de sueur froide, les yeux en orbite, la gorge sèche, le corps frémissant, la respiration coupée et comprimée dans ses poumons, elle fouilla sa chambre d'un regard telle une bête affamée. Ne voyant rien, elle lâchait un soupir et aspirait une bouffée d'air allègeante. Recroquevillée, elle essayait de se convaincre qu'elle était loin de ce qui se passait dans son esprit."Inspire et Expire..." se disait-elle, en ouvrant un livret qu'elle avait récupéré sur sa table de nuit, il faisait nuit noire mais cette dernière semblait avoir perdu son sommeil.
Après quelques heures de lecture, Corneille posa en souriant son bouquin terminé, qu'elle avait dévoré avec passion. Les rayons de l'aurore éclairait la pièce qui se fit singulier par son rangement coquet, ses aventures littéraires superposées sur sa mini bibliothèque et son mur jaunâtres qui donnait de la vie à cette chambre, et attirait l'attention de la spectatrice se laissant guider par les mouvements monotones des nuages qui voilait le soleil étincelant, le ciel orangé était assorti à ce cadre, que Corneille qualifiait de "Toile de l'Aube". La lueur du soleil révélait son visage et ses pupilles ambrées masqués par sa mèche rebelle.

— Une bonne journée se prépare, pas vrai ? Lança la jeune femme en souriant devant ce spectacle esthétique.

Après sa toilette, elle descendait de sa chambre et entrait dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner de ses garnements.

— Réveillez-vous, le jour a mis son plus beau sourire et annonce une belle journée, criait-elle.

Peu de temps après son annonce, une jeune fille aux longs cheveux blancs entrait le visage souriant dans la cuisine où tournoyait Corneille, pour prendre les ingrédients dont elle avait besoin. Oldà ne se lassait de regarder chaque matin Corneille exécuter cette danse avec sa gaieté naturelle.

— Bonjour Corneille, Je suis déjà prête, hum... ça sent bon, qu'est-ce que tu nous concocte ce matin ? Demanda Oldà qui venait l'aider dans sa tâche.

On entendit des pas descendants les escaliers en colimaçon qui donnait sur la pièce occupée par les jeunes femmes. De là accédait, un grand garçon aux cheveux d'ébène encore assoupi.

— Il n'est pas un peu tôt pour crier ? balança Kyo nonchalamment.

— Eh Ben, dit donc, un simple bonjour sera le bienvenu, ajouta Corneille en continuant sa cuisine. Passe moi la farine Oldà...

— Désolé, Bonjour Mamie, bien dormi ? Répondit Kyo qui retrouvait peu à peu sa vivacité.

D'un bras musclé et trempé par la sueur mêlée de la rosée du matin , un jeune brun ouvrait le Shoji*, qui cédait sur le vestibule. Il se déchaussait et rejoignit la jeune troupe.

— Bonjour à tous, j'ose espérer que vous allez bien ? Pour moi, ça sera une pomme et une banane ce matin.

— Joy, c'est quoi ce spectacle ? Tu me déposes ça et tu mangeras après avoir pris une bonne douche très froide, suis-je clair ? Répliqua Corneille en arrachant ses amuse-gueules.

— Bof... j'y vais ! Je prends aux moins une banane avant de rentrer sous la douche, ajoutait le jeune brun en sortant de la pièce.

Une heure plus tard, ils étaient tous à table en train de prendre leurs déjeuners, cinq "Damedai" étaient disposées autour de la table "Kotatsu" chargée de plats, mais seulement quatre d'entre-elles étaient occupés, Corneille énervée lança :
- Où est ce gros paresseux ? Il peut néanmoins faire un effort, pour être là pendant le petit-déjeuner !

— Il doit sûrement... dormir comme un ours, répondit Joy la bouche pleine.

— Je vais sans doute mettre fin à ses sorties nocturnes, ajoutait Corneille.

— Ses sorties nocturnes ? Comment le sais-tu ? Questionna Kyo.

— Je suis au courant de tout vos magouilles, mais je préfère vous saisit sur le fait, expliqua Corneille.

— Donc... tu sais sans doute que nous mettons parfois des feuilles de somnolence dans ton dîner ? Interrogea Joy sur un ton ironique.

— Attends, vous me donnez des somnifères ? Demanda Corneille confuse, ce qui suscita des rires chez les jeunes gens.

— Non, juste pour savoir, relevèrent-ils d'emblée en s'exclaffant de plus belle.

Une heure plus tard, Corneille était assise devant la fenêtre du salon, le regard perdu dans le jardin. La pièce était décoré d'objets antiques, laissant respirer le doux parfum du service café et des biscuits aux chocolats posés sur la table "Nobuki". elle y déposa sa tasse de thé, puis raconta :
— Pendant dix-sept siècles, une guerre ne cessait guère, vu de cette situation, trois ennemis peu connus décidèrent de mettre leurs forces en commun. Cette intervention coûta leurs vies, mais selon la légende, ils ne sont pas vraiment mort mais disparus et vivent certainement parmi nous...

— Mais Mamie, tu nous contes cette histoire presque tous les jours, tu n'en as pas d'autres ? Soupira Kyo en coupant Mamie.

— En effet, je suis pour une fois d'accord avec l'autre, acquiesça Joy.

— Et voilà que vous vous plaignez encore, si vous ne voulez pas entendre mon histoire, laissez-moi au moins terminer et cessez de m'appeler Mamie.

Tout à coup, la porte pivotait sur la pièce, laissant infiltrer un jeune homme au cheveux grisâtres, sa démarche présomptueuse montrait une personnalité dynamique, il lâcha :
— On sait manipuler la beauté mais pas l'âge ?

— Je vois que je suis entouré de demeurés, sauf toi Oldà... enfin, je l'espère, ajouta Corneille.

—Merci pour ta confiance mais je me demande sans vouloir être indiscret, si Corneille comme tu le dis est ton vrai prénom, tu nous parles jamais de toi, ajouta la concernée.

—  Je vois que la confiance règne, lança Corneille indignée, ça fait quinze ans que nous vivons ensemble et vous doutez de moi, je crois qu'il est l'heure pour vous de préparer vos aptitudes pour demain, HOKOTSÚ Technique de dissipation, incanta Mamie pour se débarrasser de ses bourreaux.

— "Non ! On veut la su..", répliquaient-ils en chœurs, une lumière s'empara d'eux et ils disparurent.

—Commme vous voulez, je ne raconterai pas la fin, dit Mamie sur un ton enjôleur en buvant sa tasse de thé.

Et chacun allait de son côté...

Tard dans la soirée, ils étaient réunis à partager un bon repas, exceptés les 3 jeunes garçons qui se disputaient.

— Vous ne cessez donc jamais ? Balança Oldà. Ma pensée serait toujours la même à votre sujet.

— Pourrait-on savoir ta pensée ? Demanda Mamie.

Oldà voulu repondre mais fut coupée par le garçon au cheveux noir :
— Nous sommes déjà au courant, de ce que tu prépares, garde-le pour toi, tu veux ?

— Moins on en sait mieux ça sera, ajouta Joy, la bouche pleine.

— Tu as sans doute raison. N'empêche, tu n'es pas obligé de manger comme un cochon, tu me passe l'envie de partager mon repas avec toi, ajoutait celui aux cheveux grisés.

— Arrête de m'agacer, n'ai-je pas le droit de manger comme je veux ? Répliqua Joy qui continuait de manger.

—Au point de nous offrir ce spectacle écœurant, merci mais non merci. Mais quelle barbarie ! Répliqua Kyo.

Oldà voulu prendre la parole mais couper encore une fois par Corneille harassée de cette dispute anodine.

— Fin de discussion jeunes enfants, mangez et reposez-vous car demain, il y'a école !

— Décidément, je suis coupée par tout le monde, lança Oldà en colère.

— En parlant d'école, l'école organise une grande compétition, pour tous les élèves de dernière année, nous pourrons... euh, je veux dire je pourrais enfin aller sur le terrain, en accomplissant les quêtes, pour cela j'éliminerai les tas de cailloux que vous êtes pour arriver à mes fins, déclara Joy sur un ton de fierté.

— L'action vaut plus que les mots, on sait tous que je suis l'enfant prodige, souleva Kyo plein de sûreté.

— Quelle amertume ! Vous battre en sachant qui est le meilleur, releva Kùn

— Je vous signale que tout le monde est prêt, DONC FERMEZ VOS GUEULES ET DÎNEZ, SINON VOUS SAVEZ CE QUI VOUS ATTEND, reprimanda Oldà. Donc un peu de silence.

Colère qui choqua les garçons, qui obligés de se taire, usaient d'un sort de télépathie pour continuer leurs affaires. Soudain, ils tombaient tous dans les pommes, ce qui provoqua un rire fou chez les deux jeunes femmes, car elles se préparaient à ça. Ce fût la dernière tentative des garçons ce soir.

Nos jeunes aventuriers vivent dans un monde régit par la magie, où il existe tant de créatures magiques aussi fascinantes que monstrueuses, mais semant des atrocités parmi les habitants. C'est dans ce contexte que fût créé la Cavalerie des mages, qui a pour mission d'éliminer ses créatures et de servir la population.

Huit ans auparavant, ce monde arrachait à Oldà, la vie de ses parents et qui poussa cette dernière à prendre sur elle pour désormais se défendre. c'est pour ça qu'elle s'entraîne si dur, pour se venger de ce démon qui lui a enlevé son bonheur...

Corneille l'avait recueillie pendant une de ses missions, alors que cette dernière était sur le point de se faire tuer par un Kaï. Elle emmena avec elle dans le petit village d'Honoré, où elle fit la connaissance des trois garçons. Le village était sous la protection d'une barrière qu'avait façonner le Roi Lense, empêchant ainsi aucun monstre d'y pénétrer.
Horonée est un petit village mouvementé car c'est l'essence même de la magie, c'est ici que tout les vaillants(e)s magiciens(e)s ont été formés.

Par cette rencontre, elle apprit que les 3 garçons avaient été retrouvés dans des coins différents mais dans des états similaires, ayant tout trois aucunes mémoires, de ce qui leurs étaient arrivés...
Ces enfants retrouvés ont des expériences magiques endormies, et qui restent difficile à manipuler selon Corneille.

Tôt le matin, les quatres jeunes gens étaient prêts pour l'école et installaient un silence glacial s'épiant chacun. Stupéfaite Mamie demanda :
— Des langues tranchées ce matin ?

— Tout va bien Mamie, nous avons besoin de calme, rétorqua Oldà.

— Vous vous sentez prêt pour le combat et les épreuves ? Redemanda Corneille.

— Plus que jamais ! Déclara Kyo excité.

— À la bonne heure ! Déclara Joy jovial.

— Et comment ! Acquiesça Kùn avec un sourire au coin des lèvres.

Choquée et ravie, Mamie sourit et annonça :
— M'envoulez vous pour hier ?

—Quelle chose ? Disait Oldà en faisant des grimaces pour faire signe à Corneille.

Tant mieux !  Disait-elle in petto. Non rien de grave mes petits, prenez votre petit-déjeuner.

— Hum ! J'ai comme l'impression que tu nous caches quelque chose la vielle, mais je te réglerai plus tard... lança Kùn avec un regard noir.

— Toujours armé de ton scepticisme, j'aime ta façon de voir les choses mais je t'assure, babultia Corneille avant de prendre une bouchée de son cake.

— Bizarrement, ça ne te dérange pas qu'il t'appelle "Mamie", Je croyais que t'était, comment le dis-tu déjà... la beauté inné de ce village ? Renchérit Joy.

—Mais toujours célibataire, lança Kyo narquois.

— C'est parce que j'ai pas assez de temps pour ses sottises, déglutit Corneille pour se défendre.

— Je croyais que tu appréciais... raconta Oldà, qui fût soudainement prise par la bouche par cette dernière.

— Ah, enfin le printemps dans la vie de notre grand-mère ? Lâcha Kyo émerveillé.

— Il est aussi vieux et acariâtre que toi ? Demanda Joy en s'esclaffant.

— HOKOTSÚ, incanta Corneille.

— INTOUCHABLES, incantation d'immunisation, repliqua Kùn.

Et Il n'y eu aucun effet.

— C'etait prévisible, tu balance toujours ce sort pour éviter nos questions vieille touffe, lança Kyo sur un ton enjôleur.

— Ainsi soit-il ! Répondit Corneille avec mesquinerie.

Soudain elle balança :
— KÚKI NO HENKA

En cet instant, ils changeaient tous de pièce et se trouvaient dans une dimension parallèle, spécifiquement sur une esplanade entourée par une végétation et éclairée par une orbe de lumière au-dessus d'eux. Cet endroit leurs était familier, annonçait donc que la causette prendra une autre tournure.

Par la suite, elle lança :
— SHIGANAÏ, Une vague de terre se dirigeait contre eux, d'un saut sur le côté, ils évitaient le sort de leur adversaire, excepté Oldà qui se préparait à contre-attaquer.

— CYCLONES ENNEIGÉS, un tourbillon de neige sonna la magie de Corneille et fonçait droit sur l'auteur.

—TSUIHÒ NI TAISHITE, incanta Corneille qui à l'aide de son Katana retournait le sort d'Oldà contre elle.

Cette dernière fût projeté, mais rattraper de justesse par Kyo.

— Ça va ?

— Oui, acquiesça Oldà reprenant peu à peu ses esprits.

— C'est pas le moment de rêvasser, balança Joy.

— Passons à l'attaque, annonça Kùn.

En un instant, il accourut vers Corneille et il adjura :
— SPIRALE EMBRASÉE, un enroulement ardent fonçait sur Corneille, qui esquivait avec souplesse mais malheureusement
prise de vitesse par Joy qui lançait:

— COURROUX TERRESTRES..., d'un coup une ascension de terre montait et se divisait de trois côtés pour rejoindre un axe, Corneille. Elle sautait impartialement très haut et atterrissait sur cette terre.

Quand un rire silencieux venant de Joy, rendait Kyo et Oldà, hormis Kùn, qui semblait avoir compris.

— Pourquoi ce rire ? Demanda Kyo.

Corneille comprit tardivement l'incantation de son garnements n'eut assez de temps pour l'esquiver.

— D'ENGLOBEMENT, termina Joy d'un ton enjôleur, Trop tard !

— Ouah ! S'exclama Oldà ébahie, je vois où il voulait en venir.

— Il voulait qu'elle saute et atterrisse sur son élément pour lui permettre de terminer son incantation, expliqua Kùn.

— Comment le savais-tu ? Demanda Kyo confus.

— On avait établir un plan télépathique, annonça Kùn.

— Vous avez établies un plan sans nous ?! Disait Kyo tout indigné.

— J'avais pas pensé à ça, balança Kùn.

— Quoi ? Qu'est ce que tu racontes, pour un simple plan, vous m'oubliez et quoi encore ! Ajouta Kyo morose.

— Ce n'est pas le moment les garçons, prévenait Oldà.

— ASUTORARUBARIA, subitement une barrière qui détruisit le sort entravant de Joy s'agrandissait avec violence et qui fonçait droit sur eux.

— Attention ! Criait Joy en courant vers eux, MURAILLE FERME.

Un grand mur se leva pour contrer la magie de leur adversaire, il se retourna vers ses amis et leurs dire :
— Que faîtes vous ? Restez concentrés, nous en reparlerons plus tard...

Kyo effectua un saut perrieux avant au dessus de Joy, et incanta :
— RAFALE GRONDANTE, un puissant vent parat un autre sort de Corneille. Je suis déconcentré, tu disais ?

— C'est fou la vitesse à laquelle tu me déconcerte, lâcha Joy en souriant.

— Merci, bref passons aux choses sérieuses, nous avons tous un adversaire, qui est la Vielle, déclara Kyo.

— Vous parlez un peu trop et passez à l'action, vous aurez rendu l'âme, si vous étiez en face d'un adversaire, déclara Corneille, qui semblait préparer une autre attaque.

— Donc mettez vos différences de côté et cognons fort, Ajouta Oldà enthousiasmée.

— Je suis désolé pour le comportement que j'ai eu, lâchait Kùn avec gêne.

— Ouah ! Tu as vu Oldà, Kùn s'est excusé, annonçait enthousiasmé.

— Mais ne t'y habitue pas, lança Joy, bon reprenons notre part...

— INSEKI KARYŪ, une pluie de météore lumineuse descendait sur eux.

— BARRIÈRE AÉRIENNE, invoqua Kyo, qui avait du mal à bloquer cette attaque, dépêchez vous pour trouvez un plan, vite !

— Oui, tient bon, encouragea Oldà. BLIZZARD ENRAGÉ, une tempête enneigée fonçait sur Corneille évita adroitement.

— Nous sommes d'éléments différents, on peut l'utiliser à notre guise et le mélange de ceux-ci peuvent lui donner du fil à retordre, analysa Joy.

— Si vous pouvez mettre votre plan en exécution ça m'aidera, déglutit Kyo qui semblait mal bloquer le sort actif de leur adversaire.

— Oui, tu as raison, EFFETS TEMPÉTUEUX, invoqua Kùn.

Une tempête de feu alla vers Corneille qui paraît avec un grand saut de côté.

— Maintiens le sort, je fais mon possible pour l'atteindre, intima Kyo à Kùn. Préparez-vous !
D'un saut, il volait au dessus de sa cible et déclenchait "CYCLONES", sort qui emportait violemment sa cible vers le sol.

Oldà, maintenant ! Lâcha Kyo télépathiquement.

Elle appliqua d'un coup du ver glace sous ses bottines. Dans une course glissante, elle se retrouvait au niveau de Corneille et conjurait :
— TAILLE GELANTE, ce qui figea fermement le corps de Corneille dans un bloc de glace.

— DISPROPORTION TERRESTRE, invoqua Joy qui transformait la terre en plusieurs branches pour entraver la prisonnière de glace, mais celle-ci avait d'autres tours dans son sac.

Elle lançait :
— ASUTORARUWARUTSU, un rayon de lumière fulminant fonçait sur Joy qui l'esquiva par un saut perrieux avant et qui annulait la magie de ce dernier, Le choc du sort se propageait sur le terrain.

En un instant, Corneille sorti du charme d'Oldà et lança :
— ORBE ASTRALE, une boule puissante fonça violemment sur Joy.

— J'ai pas le choix, disait le voltigeur. Fonçant sur Joy, ayant l'idée d'utiliser la magie qui lui faisait fortement défaut. Une fois au niveau de son allié, il lança :
— EA BAITO, une lance céleste fonça sur le sort de Corneille, ce sort affaiblissait notre héro mais réussit à le maintenir.

— Non Kyo ! Criaient Kùn et Oldà en chœurs qui lançaient à leur tout, ITETSUKU HONÓ, une fusion du feu et de la glace fonça sur Corneille, qui ne put le contrer.

Soudain Kyo, Kùn et Oldà perdirent connaissance...


Mots-clés :

* Kaï : monstres d'apparence de démon écarlate de rang inférieur.

*Shoji : Portes coulissante japonaise.

*Damedai : Petite chaises sans jambes

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 4 versions.

Vous aimez lire Aiden2090 ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0