CHAPITRE 2

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Soudain Kyo, Kùn et Oldà perdirent connaissance...

— Où suis-je ? Demanda Kyo en se réveillant.

— Tu es à la maison, répondit Joy content de voir son ami se réveiller. Je te remercie vraiment pour le sacrifice que tu as fait pour moi, je trouve cet acte digne d'un héro !

— Moi, je trouve cet acte inconscient de ta part à cause de toi, tes amis sont dans le même cas, je t'avais pourtant défendu de le faire, mais non, vous n'en faites qu'à vos tête, déclara Corneille en colère.

— Je voulais sauver Joy, c'est tout ! Expliqua Kyo.

— Mais réalise tu qu'en voulant sauver Joy, tes amis t'ont suivi dans ta péripétie, declara Corneille.

— Je ne vou..., dit Kyo tout embarrassé qui fut coupé par Corneille.

— Et ne me dit pas que tu ne pouvais pas utiliser un autre sort que ça, je t'avais pourtant prévenu que si tu utilises ce sort, tu risques d'endommager tes sens, vous connaissez tous des sorts plus puissants, mais pourquoi arriver à cette extrémité, ajouta Corneille toujours en colère.

— Mais pourquoi, tu nous empêche d'utiliser notre magie à notre guise ? Demanda Oldà réanimée de son étourdissement.

—Ah, tu t'es enfin réveillé Oldà ! lâcha Joy joyeux.

— Si tu ne voulais pas qu'on utilise ce sort pourquoi avoir utilisé un même sort que nous ? Questionna Kùn.

— Vu que vous connaissez des sort plus puissants, je voulais tester vos compétences magiques, mais je n'ai malheureusement pas pu tester vos compétences de combats et au..., expliqua Corneille qui perdait peu à peu connaissance.

Elle tomba raide sur le lit de Kyo.

— MAMIE ! criaient les 4 jeunes gens.

—Je lui avais pourtant dit de ne pas le faire, lâcha Joy avec culpabilité.

— Qu'est ce qu'elle a fait ? S'enquit Kùn.

— Elle vous a transmit de l'énergie pendant que vous étiez inconscients, je le lui ai défendu mais vous la connaissez, elle voulait pas vous laissez dans cet état parce qu'elle se sentait coupable et que nous avons une compétition aujourd'hui !

— Oui la compétition, je l'avais oublié, mais comment faire pour Mamie ? demanda Oldà.

— Ne vous en faîtes pas mes petits, je vais bien, déglutit difficilement Corneille.

— Mamie, tu reconnais que ton âge a eu raison de toi, annonça Kùn en riant.

— Je déciderai de ta punition plus tard ! Marmona Corneille.

— Kùn, laisse Corneille tranquille ! lâcha Joy.

— Ça suffit déjeunez et partez me rempoter cette compétition ! annonça Corneille en souriant.

— On sait déjà qui est-ce qui gagnera, dit Joy avec joie.

— D'abord, prend des forces pour être disposé lors de ma victoire, dit Kyo tout excité.

— Pathétique, renchérit Kùn en levant les yeux vers le ciel.

— Ça suffit, allons-y déjeuner, vous vous déchargerez sur le terrain, soupira Oldà.

Ils allaient petit-dejeuner et parlaient de leur stratégie du combat contre Corneille. Après le déjeuner, Ils se rendirent au chevet de cette dernière.

— Bonne journée mes petits et soyez prudent, declara Corneille avec les larmes aux yeux.

— Oui Mamie, répondirent tous en chœurs, hormis, Kùn Visiblement stupéfait par cet air, il Marmona :
—Depuis quand tu es aussi soucieuse ? Je croyais qu'il y avait ta beauté avant nous !

—Tu sors d'ici ou tu sera le premier à utiliser moyen de transport très singulier, annonça Corneille avec un sourire angélique.

À cette phrase, Joy prit la main de Kùn et sortit de la chambre. Une fois le rangement fait, ainsi que leurs affaires, ils prirent la route de l'école.

    Le soleil était haut dans le ciel et reflétait sur le sol, l'ombre des oiseaux qui chantaient et réalisaient des figures attrayantes. Le vent agréable qui soufflait le visage jovial de nos jeunes gens qui serpentaient le grand chemin entouré de végétation menant vers la grande place du village. Cette place était occupée par la "fontaine des rêves", on comprenait par son appellation qu'elle exaucait les vœux, ce qui attirait l'attention de certains enfants autour d'elle. Pendant que d'autres s'amusaient à s'éclabousser. On voyait non loin de là, un stand de confiserie qui faisait sourire les jeunes passants en se remémorant des souvenirs lointains.

Le groupe avait installé un silence de mort, mais vu cela, Kyo voulut briser cette glace et demanda :
— Vous croyez que c'est l'état de Mamie qui l'a rend ainsi ?

— Non je ne pense pas, répondit Oldà en réfléchissant, quoique ça me donne des frissons son sourire innocent.

— Cette vielle psychopathe est prête à tout pour attendrir ses victimes, je me méfie dangereusement d'elle, annonça Joy stressé.

— Pourquoi ? Questionna Kùn en le regardant confus.

— Par un beau jour d'été, je voulu partir à la cueillette, il était nécessaire que je prenne un panier dans lequel je mettrai mes beaux fruits, cette demencière me sauta sur le dos et me disait "eh oh le marcassin, j'ai besoin de toi, pour des expériences", disait-il en imitant sa voix, ce qui provoquait un rire chez ses amis. Je lui ai donc répondu que je n'avais pas le temps et que j'allais à la cueillette , elle m'a répondu "ok" avec un sourire calme, réponse brève à laquelle j'ai froncé les sourcils mais je sortis de la maison, je me retrouvais...

— Pourquoi tu t'arrêtes ? continue ! Déclara Oldà obnubilé par l'histoire de son compagnon.

— Je me suis retrouvé... nu au milieu du marché... termina Joy en cachant son expression honteuse.

— Ha ha ha, tu es sérieux ? Ha ha ha..., je suis déçu, lâcha Kùn en riant de plus beau.

— Pourquoi ris-tu alors ? Demanda Oldà, je te plains mon pauvre Joy, ajouta Oldà en le reconfortant.

— Si elle est capable de faire ça et nous ? Quand n'est-il de nous ? Je ne savais pas qu'on vivait avec une quelconque demencière déglutit Kyo,  qui croisait les regards ébahis de Kùn et Oldà qui se transformait en crainte.

— Ma vie sera sans doute gâchée, pleura Oldà.

— Mon existence sera fini... déglutit Kyo.

— Et moi qu'en sera t-il de moi, je ne rentre par ce soir avec vous, et toutes les fois où je me suis moqué d'elle, pensa Kùn.

— Je vous plaindrai aussi, mais je rendrai risible la situation de certaines personnes, renchérit Joy sournoisement en regardant Kùn.

— Atchoum ! Éternuait Corneille, tiens donc ! on parle de moi, je me demande qui s'est ? Sûrement mes admirateurs !

La jeune troupe reprit la route avec une tranquillité et se trouvaient désormais sur la voie menant vers l'école, cet endroit était animé par les champs inclinés des cultivateurs et offrait aux passants une excellente vue sur l'horizon, guidé par le lit fluvial étendu jusque vers le mont Fukuyama. Selon la légende rurale, le fleuve était habité par le "Kami Dragon" qui se trouvait dans un profond sommeil, d'où la pureté de l'eau qui guérit mystérieusement les bêtes malades, venant se désaltérer.

Sur la toiture d'une maison, se tenait une personne qui semblait être invisible aux yeux des personnes et fixait les jeunes gens

- Hum...

Une fois arrivé devant l'école, ils l'admiraient en pensant que c'était leurs dernières années et sincèrement avaient foi de remporter la compétition, afin de commencer leurs premières missions officielles.

L'école se nomme Hókòri, dirigée par l'aimable Directeur Paper Wisk et de son assistante Chill Near. C'est une école de magie et de combat très réputées pour la formation rigoureuse des élèves, car c'est ici que nos Vaillants cavaliers-mages ont été formés auparavant. Cette école est la 2ème grande école du pays.

Hókòri est grande telle un sanctuaire archaïque dont la façade comme des murailles était coloré d'une peinture modeste, garder par deux grandes statues de marbre Komainu*. Entre ces statues se trouvaient là, un grand Torii* qui laissait apparaître une réception traditionnellement décorée avec un sol en tatami et des murs montrant des divinités dont Amaterasu* et Tsukuyomi*. À gauche, une voie menant vers les salles de classe, une grande bibliothèque, une infirmerie et la salle des professeurs qui se trouvaient dans un bâtiment de 4 étages, en face, se trouvait un autre bâtiment dédié aux laboratoires, avec au rez-de-chaussée une 2e infirmerie et un grand réfectoire centré entre les deux bâtiments. À droite, un autre couloir amenant sur la grande esplanade permettant aux jeunes apprentis de s'entraîner avec des professeurs aux combats comme à la magie, et pratiquer avec une autorisation exclusive du proviseur des expériences magiques, en respectant strictement les mesures de sécurité. Près de l'arbre Sakura qui sert d'abris aux élèves desirant étudier, lire ou discuter paisiblement en plein air, se découvrait une 3e infirmerie fièrement équipée pour les cas d'extrêmes urgences.

Hókòri propose une filiere en lien avec l'élément magique de l'élève, c'est-à-dire qu'elle propose une série de magies dans lesquelles les jeunes apprentis doivent se perfectionner en permettant d'apprendre tout les sorts qu'il soit, de même en combat, pour permettre aux élèves de faire qu'un avec leurs pouvoirs, selon les règles de l'apprentissage.

Les jeunes gens perdus dans leurs pensées se remémoraient de leurs premières années, dans cet établissement, "Aaah le bon temps !" se disaient-ils en souriant.

— Bonne chance ! Déclara Oldà.

— J'ai pas besoin de chance car je suis la chance ! Affirma Joy sur un ton catégorique.

— Dit le pervers qui s'est retrouvé comme un bébé sortir du ventre de sa mère au milieu du marché, raconta Kùn en riant.

— Répondit le lâche qui prétend avoir peur de rien mais qui refuse de rentrer à la maison, répliqua Joy avec calme.

— Un point partout, dit Kyo avec un fou rire.

— On verra bien le nudiste ! Lança Kùn sur un air de défi.

— J'ai tout mon temps le lâche, rétorqua Joy en toute sérénité.

— Les garçons ! Vous allez quand même pas vous battre ici ? Il y a la compétition pour vous défouler, les reprimanda Oldà épuisée de ses disputes.

— De toutes façons j'allais pas le toucher puisque la nudité est contagieuse, attrapé vos vêtements le nudiste est dans la place ! dedaingna Kùn.

— Nudiste mais assume ses conséquences, lâche et fugueur, vraiment pathétique ! Repliqua Joy en levant les yeux vers le ciel.

— Deux points partout, decompta Kyo en s'esclaffant.

— Tu stoppe les décomptes et vous m'arrêtez vos gamineries irréfléchi, rétorqua Oldà en leurs donnant des petites tapes.

— Oui Oldà ! Répétaient-ils en chœur.

— Voilà qui est mieux ! Disait-elle avec un pur sourire. Dispersez vous sinon !

Aussitôt, ils exécutaient et rejoignirent tous leurs coins pour attendre que la compétition commence.

Une ravissante dame, avec de court cheveux brun, qui encadrait son visage coloré, montait sur scène pour annoncer les débuts de la compétition :
— Bonjour, chers élèves ! Je suis Mlle Chill Near, pour ceux qui ne me connaissent pas, ravie de vous revoir en forme, pour la competition de fin d'année...

— Mademoiselle, elle est toujours célibataire ? Lança un élève dans la foule, ce qui suscitait des petits rires indiscrets.

Mme Chill indignée, reprend calmement son discours :
— J'espère que pendant l'année, vous vous êtes perfectionnés, aviez appris et maîtrisés certains aspects de vos pouvoirs et technique de combats. Car c'est en 5 épreuves que vous mettrez en action votre potentiel durement assimilé, votre avenir commençera dès aujourd'hui et vous déciderez par vos actes, le chemin de votre aventure. Sans plus attendre, procédons à la présentations du Jury dont le Roi Lense Tsutamarù, le Directeur Paper Wisk, le Sergeant Harù Honda, le Grand Maître de combat Juke et d'une personne très importante l'Empereur de la magie Muny...

Au moment où elle prononça son nom, les élèves criaient de joie à l'annonce de l'Empereur.

— Un peu de calme, s'il vous plaît ! Lança Mlle Chill contente de l'exaltation joyeuse des élèves. Aussitôt ce brouhaha baissa peu à peu, comme je le disais l'Empereur Muny nous rejoint et vous offre une possibilité de le rejoindre pour recevoir des cours de magie et de combat speciaux dans son établissement, je vous présenterai les 5 épreuves lorsqu'ils seront aussitôt installés.

En saluant la foule, ils rentraient dans la loge installée récemment, où se trouvaient une table disposant des chaises Yamakamawa de autour et qui donnait une grande vue superficielle sur le terrain.

    À l'instant, du côté de Joy, il commençait à mettre en œuvre son entraînement robuste en pratique tandis que Kùn se disait qu'ils n'avait pas besoin de ça, néanmoins il mettait en œuvre son plan, et se basait sur ses expériences antérieures et Kyo, lui mettait ses pouvoirs en œuvres, ainsi que son style de combat. On voyait des échauffements, des footings et autres se réalisées sur le terrain.

Pendant ce temps, Oldà avait l'esprit dubitatif, une boule dans la gorge qui bloquait le passage de l'air, elle se sentait regarder de tout les côtés, "Suis-je aussi visible que ça ? ", tant de question affluèrent dans sa tête. Soudain, elle sentit une main chaude sur son épaule, elle sursautait et reconnut en un  flashback, une chevelure rouge qui lui était familier, et ses pensées aussitôt s'estompaient. C'était son grand ami, qui l'a fixait de ses pupilles rouge feu, avec un sourire.

— Je.. Jeeser, babultia cette dernière.

— Tu n'es pas content de me voir ? Demanda son ami en souriant.

— J'ai perdu toutes les forces que je possédais ce matin ! Déclara Oldà en essuyant d'un revers de main, le filet de sueur chaude posée sur son front.

Il prit la main de son amie et partirent vers l'arbre Sakura :
— Ton stress a juste verrouillé tes capacités, calme toi, respire un bon coup et tu verras !

— Je doute de mes compétences, annonçait-elle inquiète.

— Tu sais, tu dois croire en toi et non en ce tu vois dans tes pensées. Ta magie, ta confiance ainsi que ton courage réside en toi, enfouie par tes doutes, dissipes les et tu verras, je compte sur toi, disait-il en la quittant sous le grand Sakura.

Ces paroles qui ne lui étaient pas étrangères renforcait en cette dernière, une émotion qu'elle reconnaîssait, dès son apparition. Elle se sentait prête à prendre son courage par la main.


        Pendant ce temps chez le Jury, ils étaient installés autours d'une table désormais, garnie d'amuse-gueule. D'une main musclée, le Roi saisit sa coupe d'eau-de-vigne, qui l'avait entamée, il caressait sa barbe noire sculptée et lançait la discussion d'une voix rauque avant de porter sa coupe à la bouche :
- Je vois un énorme potentiel cette année, je vois que vous avez joué un très bon rôle Paper !

— Merci, mon bon Roi,  je ne pense qu'au bien-être de nos élèves, que voulez-vous ? Repondit Paper qui caressa sa fine barbe entourant ses joues rebondies en un geste mimique.

— J'ai hâte de voir commencer la compétition ! Annonçait Chill en les rejoignant.

— Honoré est un village radieux, on vend plein de petits plats, ça me fera mal de m'en séparer, déclara l'Empereur souriant en prenant d'une longue bras un gâteau et se leva, puis regarda de ses pupilles bleu au travers de la vitre.

— Mon Empereur, ou du moins Muny, si je peux me permettre, tu n'es pas là pour te goinfrer, petit effronté, lança le Maître de combat en passant une main dans ses cheveux châtains.

— Je ne t'ai pas donné le droit, que je sache ? Daignez montrer un peu plus de respect à mon égard et conservez votre vulgarité pour vous, exigea Muny en souriant et il ne pouvait répliquer face à cette réponse déconcertante.

— Je crois que s'il profite, c'est parce qu'il mange pas assez chez lui, pas vrai Empereur ? Demanda Harù en prenant une tasse de thé de sa main pâle.

— Tu dis vrai, ce n'est pas de ma faute, avoua Muny en levant les deux mains.

— Alors que me vaut l'honneur de L'Empereur sur mes terres ? Demanda le Roi en sirotant sa coupe.

— Je voudrais plus d'élèves dans mon établissement, je voudrais en savoir plus sur la fabuleuse magie des élèves d'Hókòri, dont tout le monde parle, j'ai eu l'occasion de voir cette magie en action mais seulement qu'au combat et on m'avait aussi dire que la magie de ses élèves étaient un peu différente des autres, vu que vous les apprenez beaucoup plus, je prendrai certains de vos élèves. Bien entendu, je continuerai la formation donnée par vos professeurs aux élèves, pour qu'ils n'aient pas à se plier à nos règles d'apprentissages, devoila Muny.

— Désolé pour mon pessimiste mais je dois vous avouer que l'avis dépendra de l'élève et de ses parents ! Expliqua le Directeur.

— En effet, je le comprends ! Répondit Muny

— Tu as bien changé depuis notre dernière bataille, pas vrai ? Ajouta le Roi, tu ne pense qu'à bouffer !

— En effet, je te le fais pas dit, toi aussi tu as changé mon vieil ami ! Tu es toujours à la recherche de la meilleure ou tu as fini d'user de toutes les filles, annonça l'Empereur avec un sourire innocent.

— Quoi !? Répétaient-ils tous simultanément excepté le grand maître de combat.

— Ha ha ha, le Roi ha ha est polygame, la meilleure du jour, declara Harù qui se tordait de rire.

— Pourquoi, ça ne m'étonne, un Roi faisant croire à son peuple qu'il est bon mais qui est en vérité un pervers ! Ajoutait  Juke calmement.

— Ooh bonté divine ! Ne t'approche plus jamais de moi, espèce de paria, quand je pense que j'étais amoureuse de vous, c'etait une erreur grave de ma part, si mes parents le savaient, ils me renieraient sans réfléchir ! Avança Mme Chill en reculant.

— Je ne vous regarderai plus de la même façon, moi qui avait du respect profond pour vous, comment peut-on tomber amoureux de lui ? Ajouta le Directeur Paper attristé.

— C'est bon ne me juge pas !! Declara Mme Chill.

— Tu es content de ce que tu as causé, je croyais que tu ne devrais pas parler de ma quête, tu me le paiera ! Annonça Lense embarrassé.

— Oups... le gros boulet, lâcha Muny d'un sourire innocent.

— HAKKO-KYÒ, lança le Roi vers Muny, une lumière vive s'agrandissait, qui attirait l'attention des élèves.

— Fermez les yeux, SOMBRE LUMIÈRE, incanta Muny, une autre lumière apparut pour faire sombrer celle du Roi. Il voulait nous faire perdre la mémoire pour ce qui vient de ce passer, tu utilises toujours cette technique, c'était prévisible, ajoutait Muny en riant

— Quelle frivolité !  Vous réalisiez ce que vous faisiez ? Annonça Juke en regardant vers le ciel.

— Il y'a que la vérité qui flash ! Renchérit Harù avec un léger sourire.

— Je ne sais pas quoi dit...  annonçait Paper avec un regard triste.

— Eh ben ne dit rien ! bref, je dois commencer la présentation des épreuves, au revoir ! Lâchait Mme Chill en partant vers la foule.

— Attends ! Ne me condamne pas Chill, lança Lense.

— Tu te condamne seul, déclara Muny avec un sourire d'ange.

— Je te hais Muny, tu as gâché ma vie et si je le fais ce sont mes désirs.

— Trêve de discussion ! allons juger nos chers élèves, déclara Pape.

À au moins 2 km de là, se tenait le même jeune homme sombre au  sourire noir assistait aux spectacles et lâchait entre un rire :
— Ce rêve à assez durer, je passerai à l'action, il est temps que je renverse la situation, Kyo, Kùn et Joy... tenez vous prêt !

Mots-clés :

*Komainu << Chiens Coréens de la route en visite >> : ce sont des paires de statues shintoïstes semblables à des lions dont l'un à la gueule ouverte et l'autre fermé pour signifier le début et la fin de toutes choses. On raconte qu'ils sont apparus lors de l'époque Edo, ce sont les gardiens des sanctuaires et qui conjuraient les mauvais sorts.

*Amaterasu : dans la cultures shintoïstes est la divinités du soleil

*Tsukuyomi : dans la culture Shintoïstes est la divinité la lune

*Torii : un portail traditionnel japonais.

Cher(e) lecteur(ice), je voudrais avoir votre avis sur mon ouvrage, vos différentes critiques m'aideront à voir mieux et exceller dans ce domaine, merci d'avance ! (^-^)
Le CHAPITRE 3 sera bientôt prêt !
Bonne lecture !

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