1er Chapitre

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Il y avait ce garçon un peu étrange, qui captiver le regard d'Antoine sans savoir pourquoi, ni comment. Il s'appelait William, il avait la peau très pâle, des cheveux châtain clair et des yeux bleus foncés comme les abysses...

Antoine ressentait comme une sensation bizarre en le voyant, ce garçon, mais ce n'est pas quelque chose qui lui arriver souvent, pourtant... A certains moment, il arriver a capturer le regard de William, et il avait l'impression que de ses prunelles, ne s'échapper aucune lumière ; Au contraire, elle tenter d'en absorber, pour palier au manque de chaleur et de vie, qui pouvait se lire dans ses yeux.

Antoine se poser énormément de question, le plus simple aurait était qu'il demande au concerner, mais ce n'est pas là, la personnalité du jeune homme, il se serait sans doute murer dans le silence le plus totale ; Comme avec les autres, avant lui.

Antoine sortit de ses pensées une fois la porte de son lycée franchis. il était tard dans la soirée, encore une fois. Et sans avoir aucune idée de la ou il comptait allait, il se décida a ne pas rentrer chez lui, sachant très bien les remontrances que son aînée aurait eut a son encontre.

Il parcourra les petites ruelles autour de son établissement, qui elles mêmes étaient presque plonger dans l'obscurité la plus totale. A cette pensée, il se remémora les moments ou il avait croiser William, dans les couloirs... Il sembler toujours perdu, distant, et sans éclats. Mais a contrario de lui, Les petites routes étaient un tantinet éclairer. Même si cela venait seulement des phares des voitures, qui pourtant malgrè la peine, parvinrent a perçaient les ténèbres. Antoine marcha quelques pas, droit devant lui, puis s'arrêta brusquement. Certes, de nombreux véhicules éclairèrent son chemin, mais qui pouvait aider celui de William, dont le regard sembler éteint ?

En revenant a nouveau a lui, il se pétrifia, et de la sueur goutta le long de son échine dorsale. La lumière ne filtrait plus sur son chemin, mais sur les autres, oui. Il lui sembler que chaque pas qu'il tenter de faire, l'éloignerait un peu plus de l'éclairage des habitacles. Il tenta de courir pour rattraper la clarté qui se répercuter sur le trottoir, une centaine de mètre plus loin de lui.

Des pleurs derrière lui l'arrêtèrent dans sa course effréné. Et malgrè sa peur de l'obscurité, qui devait avoir atteint son apogée, il se retourna. Lentement. Ses iris tentèrent de capter quelque chose, mais seul le noir de la nuit se répercuta dans ses yeux. Il vint a se demander pourquoi même la lune n'arriver pas a éclairer cette endroit, pourtant exposer au ciel. D'ailleurs, aucune étoiles n'était apparentes, elles aussi.

Il sursauta malgrè lui, en entendant une respiration se faisant sifflantes au fil des secondes. Et, une voix s'éleva dans les airs, le glaçant sur place.

  • Je t'en supplie... Aide moi ! Je n'en peut plus ! JE NE PEUT PLUS SUPPORTER CE CAUCHEMAR !

Plus le flot des mots s'écoulèrent, plus la voix sembler lointaine, et dévorer par la douleur, et la terreur. Et a la fin de ses paroles, de ses hurlements qui déchirer le silence de l'obscurité, des sanglots suivirent. Il ne savait pas vraiment d'où ils venaient ; Il lui sembler que tout autour de lui était baigner par la déchirure de cette même voix. La personne devait être loin, pourtant. Mais il parvenait a l'entendre. A ses côtés, au loin, et même dans son crane.

Il chercha du regard, tentant même d'oublier l'environnement invisible a l'oeil nu. Mais, rien... Puis, le silence revint, et les signes de l'autre individu s'évaporèrent.

L'adrénaline qui l'avait saisis quelques instants plus tôt, venait alors de déserter son corps. Il tenta de calmer sa respiration, qui était devenu haletante au fil des secondes ; Mais il avait eu l'impression que tout cela avait durer des minutes entières, voir des heures.

Il ferma ses paupières une dizaine de secondes pour tenter de faire le vide. En les rouvrant, il fut aveugler par le vieux lampadaire qui était au carrefour entre le chemin du lycée et le chemin qu'il avait emprunter un peu plus tôt. Il lui avait pourtant sembler avoir couru pendant un long moment. Il fut alors étonner de constater qu'il avait du faire une vingtaines de pas, tout au plus.

Il recula pour s'appuyer contre le mur derrière lui. Il se demanda si il avait imaginer tous ça. Si ce n'avait était qu'un rêve tordu de son esprit.

Pourtant, rien ne lui avait parut aussi réel que ce qu'il avait vécu. Il lui sembler même encore ressentir l'écho des sanglots de la personne qui avait était là. Mais non, c'était trop bizarre pour que ce soit réel...Et pourtant en se remettant en route sur le chemin, en tentant de faire comme si tout ceci n'était pas la réalité, la respiration sifflante et les sanglots lui parvinrent en passant devant un chemin sur sa droite. Pour finir finalement par s'évanouir de plus en plus, comme si la personne venait de s'éloigner, en passant par la.

A présent, il était sûr de ne pas avoir rêvé. Ce qui le paralysa de question. Il savait que personne ne le prendrait aux sérieux, et qu'il serait prit pour un fou. Sa soeur pensait déjà qu'il était atteint de la même maladie que leur mère, même si elle prétendait que c'était une plaisanterie. Elle lui répéter depuis qu'il était enfant. Une boutade ne dure que quelques minutes. Pas toute une adolescence.

Il se promit-alors de garder le silence sur ce qui venait de se passer, car cela ne se répèterait sans doute jamais. De toute façon, il ne prendrait plus ce chemin a partir d'aujourd'hui.

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