Une semaine vient de s'écouler, depuis l'événement. Antoine a du mal a dormir, et a se concentrer en cours, ce qui lui vaut de nombreux avertissements. Et malheureusement, un de ses représentants légaux devra être convoquer dans le bureau du directeur de son établissement. Si il se prend a nouveau a être dans la lune, ou en ayant a nouveau de mauvaises notes, cela dit.

Tant bien que mal, il essaye de mettre ce qu'il c'est passer derrière lui, et de ne plus y penser. Mais, il y a toujours quelque chose pour lui repasser les événement de cette certaine soirée. Et il essaye de garder le rythme qu'il avait avant tous ça.

Mais, Les journées sont longues, les leçons paraissent insurmontable, et Antoine fait de son mieux pour réussir a faire tout ce qui lui est demander, et a progresser. Malgrè le mal qu'il as a faire abstraction de son angoisse constante. Pourtant, ce dont il redoute le plus serait que quelqu'un commence a comprendre que quelque chose lui est arrivé. Il a toujours l'impression que le doute plane, malgrè lui... A cause de sa grande soeur ; Est-il vraiment malade ? Ou as t-il rééllement vécu un phénomène inexplicable ? Pour lui, c'est la réalité. Mais il sait très bien que les autres changerait la version des faits, car de toute façon... Personne ne pourrait prouver qu'Antoine dit vrai, mis a part lui ; Mais encore faudrait-il que quelqu'un estime qu'il est suffisamment lucide dans sa tête pour faire la part des choses sur le faux du réel.

Il tente tout de même de se concentrer sur sa copie, en se triturant les méninges. Surtout, il se force a ne plus penser, enfin si, mais seulement sur son évaluation. Pendant quelques petites minutes, cela a l'air de fonctionner, et il a réussis a remplir quasiment une dizaine de question. Il continue son travail, jusqu'au moment ou son attention est détourné par un bruit derrière lui.

Il se retourne, et voie avec stupeur son camarade William, a côté d'une jeune fille qu'il connait vaguement, puisque elle a changer de lycée en court de route, il y a seulement deux mois. Il semble qu'elle est remarquer le regard appuyer d'Antoine, sur leur camarade de classe. Antoine garde le regard fixé sur le châtain, car des abysses, gouttent un fin ruisseau, dont il efface le passage d'un revers de la main. La voisine de celui dont Antoine appeler le sans éclats, en remarquant la situation, lève la main pour interpeller leur professeur d'histoire. En prêtant attention a ce fait, il donna la parole a la demoiselle.

• Monsieur, je pense que William doit sortir de la pièce un instant. Il n'a pas l'air bien depuis le début de classe...

Le professeur tourne l'oeil, droit sur le châtain, et répond par l'affirmatif. Pour qu'ainsi il puisse aller prendre l'air quelques instants a l'extérieur, en demandant a sa voisine de classe, Jade, de l'accompagner. Puis il ajoute, une fois les deux jeunes gens lever :

• William, vous viendrez me voir a la fin du cours, a la sonnerie. Si vous ne vous sentez pas capable de poursuivre l'heure, venais simplement avant le fuseau horaire suivant.

Le sans éclats hocha la tête, en remerciant leur professeur, laissant un sentiment de déjà vu pour Antoine. Qu'il comprit, une demie seconde après, en se remémorant le déclin de la semaine dernière, qui avait finit par le torturer jusqu'à aujourd'hui. Cette voix... Dont il n'avait pas réussis a identifier rééllement jusqu'à ce jour.

Elle ressembler a celle de William. Il en était certain. Et, cela le mettait dans tous ses états, en lui faisant se poser un tas de question ; Peut-être qu'il s'agissait de William, la dernière fois. Il n'était pas sûr a cent pourcent, mais... Son intuition lui intimer que la personne a la voix torturer, plonger dans les ténèbres de la nuit était tout simplement ce fameux garçon.

Antoine se sentit soudain nauséeux, eu le cerveau en bouilli, le cœur au bord des larmes,et ne parvenais plus a penser correctement ; Lorsque soudain, la sonnerie retentit. Il revint a ses esprits, et posa ses pupilles droit sur sa montre. Il fut surpris de constater qu'il avait du être absent pendant une dizaine de minute. Et en relevant le regard sur ceux qui se trouver dans la même pièce que lui, il fut horrifier. Car il venait de constater que, evidemment, il n'avait pas finis de remplir sa copie. Il poussa un soupire de frustation, et eut l'impression de ne plus être lui même. Normalement, Antoine était une vraie tête en histoire. C'était surtout avant, ça. Avant d'avoir vécu une expérience marquante, mais traumatisante.

Puis maintenant, il avait encore plus de question. Qui rester sans réponse. Et il savait qu'il resterait dans le flou pendant un long moment.

Un raclement de gorge le fit sursauter, son professeur s'excusa de l'avoir surpris, et observa la copie de son élève, le visage soucieux.

• Antoine... J'ai remarquer que depuis quelques temps, tu enchaîne les mauvaise notes, et les copies vide... J'aimerais donc si tu me le permet, te poser de rapide question, a la fin de la journée.
• Je manque juste beaucoup de sommeille, vraiment. Je les déjà expliquer a-
• Je sais, ta professeure principale m'a rapporter ce que tu lui avait dit. Mais je ne soit pas certain que celà ne relève simplement de fatigue, ou de manque de sommeille. Je me trompe ?

Antoine fut un peu prit au dépourvu, et ne sû pas quoi répondre pendant une dizaine de seconde. Il savait qu'il ne pouvait pas dire la véritable raison de son inéfficacité en classe. Il n'avait pas spécialement envie de mentir, mais ne pouvait pas dire la vérité. Alors, il opta pour un demi mensonge, ou une demie vérité, selon le point de vu.

• C'est juste que... Je suis asser préoccuper par des problèmes personnel, qui me bouffe pas mal de temps. Et je n'arrive plus a être concentrer a l'école. C'est pour ça que je suis plus tout a fais le même en classe. Mais j'ai aussi vraiment beaucoup de fatigue.
• Je vois, et je comprend un peu mieux... Dis-moi, as-tu penser a parler a quelqu'un ?

Antoine leva un sourcil d'incompréhension. Il était entrain d'en parler, là, justement. Enfin, pas en profondeur mais il en discuter tout de même. Une illumination le frappa de plein fouet. Son professeur venait de lui demander si il n'avait jamais penser a consulter un psychologue. Le jeune homme savait que les médecin en psychologie était très utile, en en ayant déjà vu de nombreux par le passé. Puis, il avait eu aussi des thérapie familiale. Enfin... Ca, c'était quand son père était toujours là, a leurs côtés... Donc, il y a plusieurs années en arrière.

Son professeur poursuivit, en lui disant que cela lui ferait sûrement du bien ; Même si il ne savait pas de quel nature était le problème de son élève. Puis que parler permettait de sortir de situation compliquer, mais qu'il fallait réussir a s'ouvrir, et a y mettre des mots... Antoine l'écouta, même si son attention commença a se détourner au fil des secondes, pour être finalement concentrer sur William, qui venait de pénétrer a nouveau dans la salle de classe.

Leur enseignant finis par remarquer la présence de celui qui venait de s'incruster au milleu de la discussion. Il s'éclaircissa la voix, et quand l'adulte détourna son attention de lui, il décida de prendre ses jambes a son cou, pour partir en mathématique. Le dernier cours de la journée.

L'enseignant n'eut même pas le temps de prononcer le moindre mot, qu'Antoine avait déserter les lieux. Il arpenta les couloirs, monta les escaliers, et partit pour sa dernière heure. Il se demander comment il aller réussir a garder les pieds sur terre, tout en arrivant a démanteler le vrai du faux. Car, il sentait que l'angoisse prenait place au fond de ses entrailles. Et, il n'aimer pas du tout ce sentiment.