Le choix de vivre.
C'était il y a longtemps, sur une voie ferrée.
Épiée, dans l'éternité.
Comme une termitière tout en haut de l'Everest en plein été.
Un jour où je serai sur ma terre blindée de blé
Bras de fer d'un égrégore de paix.
Forban sur sa galère et ce trésor me plaît.
Mais ce qu'il y avait dans l'air m'a fait voir ces corps de près.
J'ai plongé en voulant faire rire la sorcière près d'un port de pêche.
Celui qui demande pardon, c'est bien celui qui prêche.
Se faire autant de promesses, que de jours que l'on brûle.
Ils ont niqué ma vie, mon jugement. Retrouvons le mental d'Hercule.
Je dois enlever le goudron de ma bulle.
Tourne le potard, appuie sur le bouton, prend le pécule.
Les grandes études... Je connais mon nom. Le nord, le sud, l'Est et L'Ouest, je les ai réappris avec une seule lame portée par quatre véhicules.
Dans le vestibule des certitudes. Les vicissitudes restent une servitude.
Je me dis que ça sert, je le stipule.
C'était qu'une étoile, j'ai vu le destin qui gesticule.

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