Les noms défendus
de
Marine B.

Ciel, un jeune homme au regard pénétrant, arpente les rues grises de la mégalopole étouffée par la bureaucratie. Son esprit rebelle transparaît dans chaque geste, dans chaque sourire subtil échangé avec les quelques âmes encore en quête de liberté. Son nom, Ciel, évoque l'infini, la vastitude d'un monde qui refuse d'être enfermé dans les chaînes de la conformité imposée par le régime totalitaire.
En opposition à la lumière qu'incarne Ciel, il y a Ombre, une jeune femme mystérieuse, dont la présence semble effleurer les recoins les plus sombres de la cité. Ombre évolue dans l'ombre, dissimulée par les plis de son manteau, mais ses yeux scrutent le monde avec une intensité égale à celle de son comparse. Son nom, Ombre, évoque la discrétion, la résistance silencieuse à un régime qui tente d'effacer toute individualité.
Ciel et Ombre se croisent dans l'obscurité des souterrains interdits, là où la véritable nature de leur société se révèle. Ils partagent un secret, un fragment de vérité qui les lie au-delà des mots bannis. Un réseau clandestin de résistance les unit, unissant des esprits libres qui refusent de se plier à la volonté tyrannique du gouvernement.
Au fil des pages, le duo insaisissable se lance dans une quête pour restaurer la dignité des prénoms, pour libérer les individus de l'emprise oppressante des noms communs. Leur parcours les mène à travers des territoires inexplorés, au cœur des mystères dissimulés derrière le vernis de la normalité imposée par les autorités.
À travers les yeux de Ciel et Ombre, le lecteur découvre un monde où la résistance prend la forme d'une poésie subversive et où la véritable rébellion réside dans la préservation de l'identité.
Table des matières
En réponse au défi
Un monde...sans prénom ?
Coucou !
Cette nuit, pendant une de mes insomnies, je me suis rendu compte que de nombreux mots de la langue française avaient une jolie sonorité et que s'ils n'existaient pas déjà et n'avaient pas un sens, j'aurais pu les prendre pour des prénoms. Je m'explique.
Prenons par exemple le mot "poésie", s'il n'existait déjà pas, j'aurais adoré ce prénom !
Du coup je vous propose aujourd'hui d'écrire un texte, peu importe la longueur, sur un monde dystopique dans lequel les prénoms tels que nous les conaissons aujourd'hui, sont interdits par le gouvernement. Plus de Léa, Jade, Mathilde, Stéphanie, Antoine, Laurent, Kevin... maintenant, dites bonjour à Cyanure, Javel, Poésie, Antilope et Pinceau !
(C'est peut-être une idée pourrie mais je trouvais ça drôle sur le coup XD)
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