Ava

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La matinée se termine enfin pour moi. Je suis encore surprise de mon effet sur les hommes. Moi qui me trouve si…..normale. Bon d’accord je suis jolie et toujours souriantee mais pour moi cette attitude est juste la base du savoir vivre. Pourtant, tous ces hommes me veulent et je le sais. Parfois je me demande si je pourrais retourner à une vie monogame e mais il est vrai qu’il est dans ma nature de séduire. J’aime ça car après tout, coucher avec quelqu’un est simple alors que le toucher dans son cœur, y entrer, devenir petit à petit, jour après jour, un objet de désir, un objectif sexuel à atteindre, cela me plaît énormément. J’aime sentir les regards s’attarder sur mes courbes, ressentir la tension sexuelle dans l’air et surtout jouer au jeu de la femme si conviviale mais si inaccessible aussi. Avec les années, c’est presque devenu un hobby comme les autres mais auquel je suis presque autant accroc que les hommes qui me désirent. Je pense alors à ce que je pourrais faire avec eux ou elles d’ailleurs. Mon désir ne se limite pas juste aux hommes mais aussi aux femmes. Malheureusement je n’ai pas encore trouver la partenaire de jeu qui me convienne. Ce n’est pas faute d’essayer, de chercher, mais mes exigences disqualifient bon nombre d’entre elles et les femmes assumant leurs côté bi sont finalement si rares. Et je n’ai pas non plus trouvé de lesbiennes qui auraient pu assouvir mes envies d’exploration des plaisirs cent pourcents féminins.

J’étais perdue dans mes pensées lorsque j’ai aperçu un beau jeune homme venir prendre sa pause déjeuner à côté de moi. Il me dit bonjour et je lui adresse un sourire. Ma tête est tellement conditionnée que je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir des pensées coquines. Les muscles de mon voisins sont saillants malgré la tenue blanche clairement désavantageuse. La chaleur et la période du mois ne sont pas là pour m’aider. En effet, en ovulation, mes bas instincts sont exacerbés et j’ai clairement l’impression d’être connectée et même dirigée par mon côté animal. Mon corps chauffe tout entier et que dire de mon sexe qui devient de plus en plus humide. J’aimerais lui dire quelque chose mais j’ai peur que ma voix trahisse mon envie folle à cet instant de lui faire sauter les pressions de sa blouse et de lui lécher le torse tout en lui caressant sa bosse qui deviendrait dure à mon contact. Je décide de remonter avant que mon envie devienne visite et me dirige vers les WC.

Je choisis évidemment ceux qui je sais sont toujours vide à mon étage. Je m’approche du miroir au dessus du lavabo et me regarde. Mes joues sont un peu rouges mais, au pire, il a pu interpréter ça comme un signe que j’ai chaud. J’hésite à me passer de l’eau sur le visage mais cela ne calmera certainement pas le feu qui règne dans ma culotte. Je décide donc de m’enfermer dans une des cabines et je bénis les milieux de soins de penser aux personnes handicapées y compris pour les besoins naturels. La pièce sent encore le désinfectant ce qui est bon signe pour moi car quitte à me soulager, autant que le lieu soit propre. J’enlève mon pantalon et commence à caresser ma chatte à travers ma culotte. Huuuuuummmmmm... Toutes les différentes parties répondent à mon appel d’extase. Mes lèvres s’écartent comme les pétales d’une fleur et mon bourgeon grossit sous mes doigts. J’accélère un peu le mouvement tout en restant sur les vêtements. J’ai de plus en plus chaud et mes jambes flageolent. Je m’assois alors au sol, jambes ouvertes. J’écarte légèrement ma culotte avec mes doigts qui continuent à danser le long de ma fente. Qu’est-ce que j’aime le plaisir solitaire! Car quoi de mieux finalement pour se connaître et augmenter son plaisir? L’entrée de mon vagin est tout humide et mon intérieur réclame d’être rempli. Putain que j’aimerais que mon chéri soit là !!! Ou même une autre bite franchement. À la place j’introduis mes doigts en moi et je ne peux m’empêcher de gémir. Je m’amuse à tantôt faire glisser mes doigts dans mon vagin, tantôt faire rouler mon clito sous mes doigts experts. L’extase est proche et je regrette de ne pas avoir un rabbit pour me labourer l’intérieur autant que faire littéralement vibrer mon bouton d’or. Mes hanches vont et viennent naturellement et je respire bruyamment. J’entends la porte principale s’ouvrir. Et merde!!! J’étais si proche. Je ralentis donc la cadence mais j’entends alors un bruit de braguette mais aussi de main qui s’active sur ce que je suppose être une bite bien dure. Il ne m’en faut pas moins pour recommencer à m’activer et un peu exprès, gémir. J’avoue que l’idée d’un mec faisant la même chose que moi derrière cette cloison stimule particulièrement mon esprit et m’excite encore plus si cela est possible. J’entends alors le mec se racler la gorge et sortir. Je m’arrête une fois de plus, mes sens en alertes. Puis on toque à ma porte. Merde !! Qu’est ce que je fais ? Et si l’inconnu est un vieux bedonnant et non pas le Jason Statham de mes rêves ? Je suis en train d’hésiter lorsque l’homme me dit : « je vois qu’on a la même activité donc pourquoi ne pas mettre nos efforts en commun ? » La voix est séduisante et je décide de déverrouiller la porte mais sans l’ouvrir. L’homme entre et quelle est ma surprise lorsque je vois le beau jeune homme de ma pause devant moi. Je ne peux m’empêcher de rire jusqu’à ce qu’il baisse ses yeux et que je me rappelle que j’ai quasi la chatte à l’air car mon pantalon est toujours par terre. « Intéressant » dit-il un sourire en quoi. Je rougis jusqu’aux oreilles et mon corps est tel un volcan en éruption. Il s’agenouille et me dit « Allonge toi » Je m’exécute, bien trop gênée par ma posture. Il se pose à côté de moi et approche sa main gauche vers l’intérieur de ma cuisse. Ses doigts sont doux et fins et lorsqu’ils rencontrent mon clito, un long soupir ne peut s’empêcher de sortir de ma gorge. Avec son autre main, je le vois sortir son engin et commencer à s’astiquer. Je n’avais jamais fait ça mais c’est drôlement bon. Plus sa main accélère sur sa bite, plus ses doigts jouent la symphonie sur mon clito. Pour l’aider encore, je le regarde tout en me malaxant les seins et me léchant les tétons. Finalement, je le sens se raidir et se redresser avant que son sperme se répandent au sol. J’arbore un petit sourire satisfait car de mon côté, je n’ai pas encore joui. Mais voyant cela, il tire d’un coup sur mes cuisses et enfoui sa langue en moi. Un cri rauque de plaisir m’échappe. Sa langue est du velours et en à peine quelques coups, je me bâillonne pour exploser de plaisir. Tous les deux haletants mais satisfaits, on se regarde en souriant et se rhabillant. « Au plaisir » me dit-il en sortant des WC. « Au plaisir » je lui réponds en souriant et me mordant la lèvre inférieure. Avant qu’il ne parte, j’ai eu le temps de lire son badge : Mario, kinésithérapeute.

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