Mario

4 minutes de lecture

J’ai passé le reste de la journée à penser à elle. Son corps, son odeur, sa voix, tout n’a été que plaisir. Mes sens ne s’en remettront probablement pas de sitôt. Je rentre à l’appart’ fatigué et excité. Depuis que je me suis amusé avec elle, j’ai l’impression que tout me ramène à cet instant de pure luxure et de folie. Nous étions sur notre lieu de travail et pourtant…..Je ne sais même pas ce qu’il m’a pris de frapper à sa porte, moi qui suis si timide d’habitude. Mais ses gémissements et… Putain ça y est je bande de nouveau. Voilà ce qu’a été cette journée : penser, bander, se calmer, débander, repenser à elle, bander de nouveau, et vous connaissez la suite. Je suis enivré par le sexe, c’est ainsi depuis un moment. Je mange en regardant sans attention réelle un documentaire. Je décide de me mettre au lit et de checker mes réseaux sociaux. Quel n’est pas mon étonnement lorsqu’elle apparaît en suggestion sur Linkedin!!!! Ava. Alors c’est ainsi qu’elle s’appelle. Sans m’en rendre compte je murmure son prénom à haute voix, comme un souffle chaud que j’aimerais déposer sur sa nuque. Mes mains lâchent alors mon téléphone et descendent machinalement dans mon boxer. Je me laisse divaguer sur ce qu’elle ferait si elle était là. Imaginer ses lèvres charnues sur les miennes, ses mains délicates et douces sur mon pénis, sa nuque et son lobe d’oreille offerts à mes morsures. Huuuuummmmmmmm Ava. Son prénom est un synonyme de débauche dans ma tête et cela envahit toutes mes terminaisons nerveuses jusqu’à mon endroit le plus intime. Mes mains commencent à s’activer. Cela me fait du bien car j’ai plutôt l’habitude de faire ça lorsque le stress est trop intense. Un peu d’endorphine n’a jamais tué personne, si ? Je me branle régulièrement surtout ces temps ci à cause de différentes étapes clés que j’ai à passer. Un peu comme un cheval de course qui passerait les une après les autres des obstacles pour valider son parcours. Mais revenons à elle. J’imagine son corps entièrement offert à moi, sa belle chatte ouverte et prête à m’accueillir en son sein. Ma bite est vraiment dure et je suis suis sûr qu’elle aurait aimé que je m’enfonce en elle. Son humidité me l’a dit lorsque mes doigts glissaient le long de ses parois. Oh putain je la veux, là et maintenant. Mais je n’ai que mes mains pour me satisfaire ce soir puis j’ai vu qu’elle avait une bague à l’annulaire gauche. Alors pourquoi ? Pourquoi m’a-t-elle laissé jouer avec elle? Elle n’avait pas du tout l’air mal à l’aise donc deux choix s’imposent : elle a l’habitude de l’adultère ou elle est en couple libre. Sans vraiment pouvoir l’expliquer, je penche plus pour la deuxième option. Et cette conclusion me fait encore plus bander. La prendre devant son mec qui nous regarderait baiser comme des bêtes, moi lui donnant des grands coups de reins à différents rythme pour qu’elle gémisse comme elle l’a fait cette après midi. J’ai une façon très particulière de faire l’amour, sans avoir un rythme particulier. On pourrait dire que je suis un autodidacte du sexe mais je suis convaincu qu’elle aimerait ça. Mon Dieu Ava je te veux tellement maintenant. Pourquoi tu me fais cet effet ? Après tout je ne connais rien de toi. Elle a l’air jeune, comme moi je pense niveau âge, douce et bienveillante, des enfants au vue des quelques vergetures et de la cicatrice que j’ai vu sur son corps. Le reste n’est que l’objet de mon esprit lubrique : des seins à faire bander n’importe quel mec hétéro ou bi normalement constitué. Je n’en avais jamais vu de si gros et cela m’a demandé un effort surhumain pour ne pas les pétrir et les téter goulûment. Ma main s’active toujours sur mon sexe. Je me rappelle de son regard lorsqu’il s’est posé sur ma queue. On dirait qu’elle appréciait sa taille vue qu’elle est bien large surtout à la base. Ses yeux étaient plein de gourmandise et ses lèvres… Lorsqu’on s’est quitté et que je l’ai vu mordiller sa lèvre inférieure, j’aurais pu la plaquer contre le mur et la prendre sur le champ en prenant mon temps jusqu’à ce qu’elle me supplie de la faire jouir. Avoir ses hanches dans mes mains fermes et sentir sa peau sur mon torse, ses lèvres et sa langue jouant avec les miennes, ma poutre dans sa caverne humide et étroite. Je veux savoir ce que cela fait d’être en elle. Je me finis dans cette pensée, répandant ma semence dans les draps. Une certitude me vient rapidement ensuite : je dois la revoir pour concrétiser ce fantasme. Je dois la posséder au moins une fois. Ava, bientôt, je te ferais mienne pour quelques heures, peut-être plus, et tu en redemanderas, crois moi.

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