Clockworld
Moins d'une minute de lecture
Ô toise, comptoise,
Haut oiseau dévorant les graines du firmatemps,
Ton aiguille de topaze draine sans discontinuer
L'essence d'un Monde fatigué
Jusqu'au fatidique instant ;
Que jamais tu n'atteints.
Attend.
En vain, tu trottes,
Enfin, tu te stoppe.
Le tour du montre - cadran main
De tes douze coups de midis bien retentis,
Te voilà qui reprend chemin.
Annotations
Versions