Plancha
Elle se dirigea l'air de rien vers la terrasse où se trouvait la plancha qu'elle avait déplacée à côté des transats et d'une table basse. Il faisait encore une chaleur accablante et le soleil était bien présent. Après qu'elle soit allée et revenue, tout était en place pour ce qu'aiment appeler les vrais adultes un apéro dînatoire.
Je me dirigeai vers le transat, quand, surprise, Madame me poussa dans la piscine.
— Oh mince, quelle maladroite !
— Vous êtes toute excusée, ça arrive des accidents, dis-je d'un ton surjoué.
Je sortis de l'eau comme si de rien n'était et mon boxer blanc premier prix n'allait pas faire mentir sa qualité liée à son prix. Mon sexe était totalement perceptible sous le tissu mouillé. Son regard braqué sur mon entrejambe sans la moindre discrétion était extrêmement intimidant.
— Oh, dame nature a été très généreuse à ce que je vois.
Elle avança vers moi et posa un doigt à la base de mon sexe.
— Oh, t'es tout mouillé, désolée.
Elle fit glisser tout doucement son doigt sur mon boxer.
— J'adore rendre fou un homme, je sens que les prochains jours vont être très, très excitants.
Je ne trouvais rien à dire, hypnotisé par son lent mouvement le long de mon sexe.
— Pendant que j'ai toute ton attention, jeune homme, comme hier soir, je vais t'aiguiller. Alors, je suis très tactile et, comment dire, sans te choquer...
Elle pencha sa tête à mon oreille, sa main glissa sous mon caleçon, je sentis qu'elle saisissait le bout de mon sexe et commença à me décalotter extrêmement lentement.
— J'ai un petit côté maîtresse salope qui aime les hommes bien dociles dans la vraie vie.
Je sentis mon gland entièrement découvert et son pouce se plaça à la base, faisant de petits ronds extrêmement excitants.
— Derrière un écran, tu peux t'imaginer m'enculer, me baiser, mais en face à face, j'aime avoir les choses en main, si tu vois ce que je veux dire.
Elle me masturbait lentement sans me lâcher du regard.
— Oui, je crois, Madame.
— Ça ne t'embête pas que je prenne un peu l'initiative du coup?
— Non, Madame.
— Parfait, cette bite va tellement me faire crier, j'ai hâte.
Je sentis mon excitation monter et du liquide pré-éjaculatoire s'écouler. Elle enleva sa main de mon boxer et se lécha les doigts avant de se retourner l'air de rien.
— J'ai pris des bières blondes, blanches et des triples. Une préférence, jeune homme ?
— Blonde, bafouillai-je, le souffle court.
— Tu peux allumer ce truc, j'y arrive jamais, dit-elle en pointant la plancha.
Je repris mes esprits et me dirigeai vers la plancha pour l'allumer. Qui s'alluma du premier coup.
Avant de retourner à mon transat face à Madame qui me tendit une bière.
— Alors Isaac, on s'amuse bien pendant ces vacances ?
— Oui Madame, intimidant mais plaisant.
— Intimidant ? Développe.
— Vous êtes tellement pleine d'assurance, je ne sait pas trop où me mettre.
— Tu préfères que je sois toute timide ?
Elle prit une voix niaise.
— Oh non, je sais pas si on devrait Isaac, en plus ce sexe immense risque de me faire mal, mais promis j'encaisserai, je crierai peut-être un peu. Des fessées, tu es sûr que c'est raisonnable ?
Elle explosa de rire à sa propre interprétation douteuse.
— Absolument pas, ça a un côté rassurant et met en confiance dans votre assurance, mais c'est un peu intimidant quand même.
— Merci, je sais. J'espère ne pas avoir brisé d'ambition de première fois avec une fille de ton âge, première amour et grande maladresse.
— Ça peut paraître con, mais je n'avais pas vraiment pensé à la première fois. Étonnamment, le porno me convenait. Je voyais le cul plus comme une contrainte, une prise de temps et je ne sais pas trop, avec le MeToo. Je me suis dit que j'allais faire une connerie déplacée, faire du mal à la fille et du coup, j'avais un peu effacé ça de ma tête.
— C'est vrai que c'est une autre époque.
— Votre première fois, c'était dans la maladresse et le premier amour ?
Elle eut un sourire que je ne saurais trop déchiffrer.
— Avec mon groupe de copines e lycée, je disais bien fort que je n'étais plus vierge alors que non. À un concert de rock, je me la racontais un peu trop, disant que je baiserais bien un mec de la fosse dans les chiottes. Elles m'ont dit "pas cap". Alors j'ai pris le premier mec pas trop moche. Il m'a baisée penchée sur un lavabo, string écarté sur le côté. Je n'ai même pas vu sa bite, il m'a penchée directement sur le lavabo et m'a gratifiée d'un "salope" avant de me laisser là.
— Ah zut.
Je ne savais pas où me mettre à cet instant.
— C'est clairement le bon mot. Cinq minutes de douleur pour frimer devant mon groupe de copines, mais j'avais coché la case ne plus être vierge. En panique après le concert, je suis allée chercher une pilule du lendemain.
— C'était rock'n'roll du coup.
— La prochaine blague nulle comme ça, je t'étouffe avec mon cul.
— J'en ai plein en réserve, ça tombe bien.
Elle eut un sourire franc.
— Essaye pour voir.
— J'ai comme l'impression que vous avez une folle envie que je plaque mon visage entre vos fesses. Anulingus ce matin et là, m'étouffer carrément.
— On appelle ça un kink, jeune homme, des envies qui sortent de l'ordinaire. Et oui, j'aime le facesitting, l'idée de m'asseoir sur le visage d'un autre, de lui imposer mon cul et ma chatte, c'est un truc qui me rend dingue. Le penchant féminin pour la gorge profonde, je trouve, avec l'option chatte pas lavée si tu veux tous les détails.
— Je connais bien le mot kink, j'ai fait quelques recherches sur le cul.
— Plus qu'à mettre en pratique alors. Si là, tout de suite, je t'offre mon corps, tu assouvis quel kink en premier ?
Je réfléchis quelques instants sous son regard suspendu à mes lèvres.
— Sûrement vous lécher.
Elle fut surprise par ma réponse.
— Gorge profonde, sodomie, levrette brutale et tu choisis de me juste me bouffer la chatte, même pas épilée ? Alors là, je veux avoir ton raisonnement, jeune homme.
— J'ai hésité avec sodomie, mais en vrai, mais tous les soirs, je mate des pornos lesbiens et elles se lèchent tout le temps. Et à force de voir ça en boucle, je crois que c'est sûrement la première chose qui me vient à l'esprit. Et il y a l'aspect être au plus près du sexe de l'autre, être au premier loge. Une sorte de curiosité sur le sexe féminin.
— Aucune femme n'ira se plaindre qu'un homme veuille la lécher.
Je posais des légumes sur la plancha et de la viande, l'huile crépitait et l'odeur donnait clairement envie que ça cuise vite.
— Que du porno lesbien ?
— Voir des mecs pénétrer des filles pendant des heures, je trouve ça pas excitant, j'en vois pas trop l'intérêt. Surtout après avoir lu des choses sur le fait que les filles jouissent rarement par pénétration, je me suis dit "à quoi bon ce déluge de pénétrations brutales".
— Mais tu dis pas non à des filles qui s'enculent.
— Vous n'avez pas tort, je trouve la sodomie pornographiquement parlant jolie. Le côté interdit, l'image de la douleur ça a un côté excitant.
— Oh, et si il s'agit de ton cul, tu dirais la même chose ?
— En vrai, je suis pas fermé. Quand je me branle, je me caresse souvent l'anus, je vous passe le détail de comment je me touche peut-être...
— J'ai dit qu'on parlait de cul alors pas de limite et c'est mignon un jeune homme déconstruit.
— C'est con mais j'ai peur de juste parler de cul et que ça vous ramène juste à un objet sexuel.
— T'es chou, je suis excitée par ce jeu, par ce moment, par toi alors j'ai envie de parler de cul mais on peut parler de tout.
Elle saisit une brochette de bœuf directement sur la plancha.
— Pose toutes les questions que tu veux.
À vrai dire, j'en avais mille et zéro à la fois, je ne savais pas trop quoi demander et la première chose qui me vint à l'esprit :
— Vous vous masturbez ?
— Est-ce que je me masturbe en tant que vrai adulte, est-ce que je me branle sur du porno ou comment je me branle, tu veux savoir ?
— Euh, un peu tout.
— Alors oui, je me branle, oui je mate du porno et pour me branler, c'est une main sur un sein et l'autre sur mon clito. Sauf hier soir où j'ai glissé tu sais où. Après, je pense que ta question était plus sur l'excitation et ma libido. En vieillissant, la libido fluctue et l'envie varie. On apprend à mieux comprendre sa sexualité. Même si des fois, tout reste un mystère.
Elle me tendit une brochette de légumes.
— Quand tu as enlevé ton t-shirt pour la première fois, j'ai littéralement inondé mon maillot de bain. Je ne sais pas pourquoi, mais une excitation totale m'a traversée et le lendemain et ainsi de suite. À cet instant, ma culotte est une piscine de cyprine. Mais me branler le soir n'y changeait rien, tu m'excites alors je me suis dit "allez bon pourquoi pas".
On picorait au fur et à mesure que tout cuisait sur la plancha, descendant doucement nos bières.
— Et merde, ajouta-t-elle d'une voix surjouée.
— De quoi ?
— Je coule, je n'ai pas mouillé comme ça depuis des années, ce n'est pas pour me déplaire, mais bon, deux culottes par jour, ça commence à faire beaucoup.
— Je peux nettoyer avec ma langue si vous voulez.
— Tu perds pas le nord, jeune homme, tu gouteras, t'en fais pas, mais sois patient.
Elle glissa sa main sous sa culotte , se toucha sans me lâcher des yeux avant de me montrer ses doigts trempés. Elle amena ses doigts à sa bouche.
— Bordel, je suis bonne.i
— On dirait que ce petit jeu vous plaît, Madame ?
— T'as pas idée, jeune homme, tu sembles pas non plus t'ennuyer.
— Aucunement, c'est même plutôt agréable la tournure que prennent ces grandes vacances.
— Oui, je trouve aussi. Après, l'accident de Maxou, je m'attendais, deux longs mois sans grand intérêt. Et me voilà à faire l'adolescente excitée à l'idée de sucer une bite et de baiser. on ajoute du piment?
— C'est-à-dire ?
— Un Skyjo, celui qui perd masse l'autre, main baladeuse de vigeure bien sûr.
— Je vois deux petits problèmes : si je gagne, je ferai glisser de nouveau votre string pour mater votre anus, mais cela irait contre la règle de la soirée de garder ses sous-vêtements. Et surtout, le Skyjo, sérieusement, le pire jeu du monde, entièrement basé sur le hasard ?
— Un string glissé sur le côté n'est pas un string enlevé. On n'aime pas le hasard, jeune homme ?
— Je déteste surtout le côté où ce jeu nous fait croire qu'on peut faire des choix alors que tout résulte à une illusion du choix.
— Je vais finir par croire que t'es vraiment pas con, une analyse correcte du jeu. Pierre feuille ciseaux et plus rapide du coup ?
Je positionnai mon poing face à Madame qui fit de même.
— Deux manches gagnante, proposa-t-elle.
— Je suis partisan d'une seule.
— Vendu.
— Pierre feuille ciseaux.
À ma grande surprise, je gagnai sur un ciseaux face à une feuille.
— Je déteste perdre, jeune homme.
— Il ne faut pas prendre des jeux de hasard dans ce cas-là.
— Je te masse entièrement nue si je reperds ?
— J'allais dire qu'au début de soirée, vous vouliez qu'on garde nos sous-vêtements, mais je vais me raviser.
— Pierre feuille ciseaux.
À ma grande surprise, je gagnai sur un ciseaux face à une feuille une deuxième fois. Elle eut un sourire mauvais.
— T'as première masturbation si tu gagnes encore.
— Pierre feuille ciseaux.
À ma grande surprise, je gagnai sur un ciseaux face à une feuille une troisième fois.
— Je vais m'arrêter avant de mettre en jeu une sodomie, allonge-toi, je vais chercher de l'huile.
Elle se leva et partit d'une démarche déhanchée vers la maison. Sur son visage, on pouvait clairement voir que perdre n'était pas une chose qu'elle appréciait.
Le temps de boire quelques gorgées de bière, elle revint entièrement nue, une bouteille d'huile à la main. Elle avait une démarche assurée, la posture droite.
— J'ai toujours tendance à m'emporter avec les jeux, je devrais en tirer des leçons mais je continue. Mais je n'ai qu'une parole, jeune homme, la vue te plaît ?
— J'ai pas à me plaindre Madame.
— Allez, sur le ventre.
Elle monta à califourchon sur mes fesses avant d'appliquer de l'huile sur mon dos et de commencer à me masser.
— En tout cas, merci de jouer le jeu de ne pas m'avoir encore sauté dessus.
— Je suis bête et discipliné Madame, et j'apprécie ce petit jeu, surtout quand je gagne.
Elle appuya sur mon épaule, me faisant lâcher un léger râle de douleur.
— Oh pardon, il y avait une tension. Par contre, je vais faire ma prof, mais ne sois pas déçu.
— De quoi ?
— T'as parlé de cuni, une chatte, ça a des odeurs fortes, un goût, ça risque de pas être aussi excitant que dans le porno par exemple. Tu sembles plutôt posé et réfléchi sur des choses, on a souvent des espoirs, des fantasmes et la réalité est un peu différente. Ne te mets pas trop la pression ou des attentes impossibles. Le cul, ça s'apprécie pas en un claquement de doigts.
— Ah, je n'y avais même pas pensé.
— Jeune, le cul, je le voyais que par la félation, et de la levrette. Le sexe fallait être un peu salope pour apprécier et je comprenais pas pourquoi je trouvais ça chiant au final. Il m'a fallu du temps pour comprendre qu'il y avait autre chose que fellation, levrette, facial. Après, je courais après les mauvais garçons aussi, je cherchais un peu. Enfin, tout ça pour dire, on peut pas tout aimer dans le cul. Le plus important, c'est d'en parler.
— Je crois comprendre de quoi vous parlez. Ça peut être une question conne, mais qu'est-ce qui manquait à fellation, levrette, facial ?
— Le contexte, individuellement, j'adore sucer, j'adore me faire prendre en levrette et je dis pas non à un masque de foutre. Mais à l'époque c'était la mode d'être la petite salope coquine, qui suce, qui se met à quatre pattes pour faire plaisir à ses petits copains puis attendre bouche grade ouverte a genoue. Petite salope docile et épilée. Le pire, je comprenais pas. Je me disais que ça venait de moi.
— Et qu'est-ce qui vous a fait comprendre ça, si ce n'est pas indiscret ?
— On est curieux, dit donc. Des vacances d'été au camping, un jeune homme timide mais mignon, un soir seul, je lui ai dit "viens me fouffer la chatte" et je lui ai tenu plaqué sa bouche sur ma chatte. Il s'était juté dessus tellement ça l'excitait que je li maîtrisais ainsi. Et j'ai découvert que je préférais peut-être que ce soit les mecs les salopes. Mon premier orgasme, mon premier anulingus et ce pauvre jeune homme ne m'aura pas pénétrée une fois, je trouvais le changement de rôle terriblement excitant. Plus de main insistante d'un petit copain sur la tête à la limite de te faire vomir, de levrette vite fait alors que je mouille pas assez suivi d'un "allez avale, j'aime, ça te donne un air salope qui m'excite". Bref, après ces vacances, j'ai changé de registre de petits copains, finis la chatte épilée et je décidai d'explorer ma sexualité comme j'avais envie.
Ses mains dansaient sur mon dos, c'était terriblement agréable, elle appuyait doucement et ondulait son bassin.
— Retourne-toi, jeune homme, je te prie.
Elle se releva juste assez pour que je me retourne et redescendit délicatement en position, son sexe sur la bosse bien apparente de mon boxer. Et elle positionna ses mains sur mon torse pour me masser comme si de rien n'était.
— Le sexe est un long voyage où on apprend toute sa vie, et il faut avoir l'esprit ouvert et savoir mettre sa fierté un peu de côté. Toutes mes copines vénéraient la levrette et la bite de leur petit copain alors que moi, je voulais juste avoir un mec docile. Bref, je raconte ma vie et je m'égare.
Elle me fit un grand sourire avant d'onduler son bassin sur mon boxer.
Je ne pus retenir un "oh putain, c'est tellement agréable" et voir sa posture onduler mélangée à son regard provocateur.
— Juste un petit point, vu que tu risques d'avoir beaucoup de premières fois avec moi, et que l'excitation chez un homme peut être traître, rien à foutre que tu sois précoce ou que tu jouisses vite, ne te retiens pas, juste laisse-toi aller. Je suis pour le coup absolument pas dégoûtée du sperme, le sexe c'est fait pour se salir.
Elle glissa légèrement en arrière, glissa une main sous mon boxer et sortit ma queue.
— Je suis incapable de respecter ma propre règle, je suis à poil et j'ai sorti ta queue de ton boxer.
— Attention, vous risquez de me sucer avant la fin de la semaine à cette vitesse.
Elle se mit à me masturber avec une lenteur délectable.
— Vois-tu, jeune homme, demain ta queue finira dans ma bouche.
Elle fit passer sa langue sur ses lèvres.
— Je pense avoir cerné quelques points chez toi et je te ferai une proposition que tu risques de ne pas pouvoir refuser.
— Parier tous les actes sexuels à pierre feuille ciseaux ?
Elle eut un grand sourire carnassier, se pencha à mon oreille sans lâcher ma queue.
— Le prochain pierre feuille ciseaux, ce sera une sodomie en jeu et j'ai des godes qui dépassent largement la taille de ta queue, jeune homme.
— Ça reste une chance sur deux, à voir.
Elle eut un grand sourire avant de se repositionner face à ma queue et de me branler avec une lenteur jouissive. Elle positionnait un pouce à la base de mon gland pour faire de petits ronds et de son autre main montait et descendait. Mon plaisir montait, je ne contenais pas mes gémissements de plaisir. La pression de son pouce à la base de mon gland devenait de plus en plus présente et excitante. Elle glissa la main qui me branlait sur mes bourses qu'elle se mit à masser dans un plaisir total. Ne pouvant contenir un râle puissant de plaisir, je jouis entre ses mains qui continuaient de me branler sous mon éjaculation.
En reprenant mes esprits, elle avait dû foutre plein le ventre et ses mains.
— Désolé, je vous en ai mis partout, dis-je, penaud, en la voyant.
— Comme j'ai dit, le sexe c'est fait pour se salir, jeune homme.
Elle se leva, offrant un spectacle étonnamment pornographique avec le foutre sur son ventre , elle l'étala sur ses seins et même sur sa chatte.
— J'ai un petit, non, un gros kink sur le foutre, la texture, l'odeur et même le goût. Tant que je mène la danse, le foutre m'excite, la contradiction du sexe à l'état pur.
Je m'assis sur le rebord du transat.
— Et moi qui me voyais déjà vous dire d'avaler.
— Le sarcasme est un jeu dangereux, jeune homme.
Elle s'avança pour placer son ventre où coulait mon orgasme à quelques centimètres de mon visage, une main tenant ma tête.
— Plus personne ne me dira d'avaler, jeune homme, mais tu n'as pas ajouté "salope" à la fin de ta phrase, alors je te fait pas netoyer.
Par pure provocation, j'ouvris la bouche et tirai la langue.
— Putain, tu vas me rendre dingue, toi.
Et elle me plaqua la tête contre mon foutre. C'était la première fois que je me retrouvais à goûter mon sperme, écœurant était le mot. Mais l'aspect jeu sexuel outrepassait l'aspect écœurant. Elle tenait fermement ma tête, me laissant plaqué sur son ventre. Elle fit descendre ma tête au niveau de son pubis fourni.
— T'enflamme pas, tu n'iras pas plus bas.
Elle me faisait lécher un long moment avant de tirer ma tête en arrière.
— T'as des poils de chatte et du foutre sur le visage, une vraie salope en devenir.
Elle était intimidante, dégageant un réel pouvoir, c'était extrêmement excitant. Et elle me replaça contre son pubis avant de relâcher la pression sur ma tête.
— T'as pris du plaisir ?
— Oui, énormément Madame, et vous ?
— La tournure des événements sont de plus en plus excitants et tu en es le principal responsable, je te remercie.
— Euh, de rien.
— Avec plaisir.
— Ce n'est pas le tout, mais je vais me toucher dans ma douche avant d'exploser sur place.
— Je peux aider ?
— J'en doute pas une seconde, mais un peu de patience. J'avais dit une semaine ce matin et d'ici demain ta queue sera dans ma bouche, n'en doute pas. Mais il y a toujours un avant et un après la baise dans une relation humaine. Profitons encore un peu de ce petit jeu, si cela te va.
— Pas de souci, Madame, un dodo, ce n'est pas si long.
— Merci, Isaac, j'apprécie énormément.
— Je suis bête et discipliné.
— Si on ne se revoit pas à demain, pour la suite des découvertes alors.
— Bonne soirée Madame.
— C'est prévu, c'est prévu.
Elle partit nue, la démarche provocatrice. Je rangeai tout le repas apéro du soir, l'air un peu béat. Puis je pris une douche dans la chambre d'amis. Avant de me glisser dans mon lit, je regardai mon téléphone et vis un message de la mère de Max.
— Merci pour la soirée, Isaac, bon visionnage.
Le deuxième message était une vidéo de Madame se masturbant dans la douche, la buée recouvrant vite les parois avant que l'on n'entende plus que les gémissements de Madame. Suivi d'un troisième message
—Oh zut, vilaine buée, dommage, c'était très agréable. »
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