Chapitre 0

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Un Commencement emplie de Haine

L’air étais glacé, le vent sifflée au oreille d’un homme a genoux sur les pierre rugueuse qui lui taillader la peau, de fine goûte d’orée en s’écoulait, se mélangeant au larme perlant le long de ses joue, ses long cheveux noir ébène lui tomber sur le visage, balaillé par les forte rafale qui souffler, tout contre lui, ses main serais tout contre son cœur, une fleur, hélas ses pétale rose étais sèche et abîmé, celle ci s’envolèrent de ses main, il tenta en vain de les rattraper d’un geste désespéré.

« Ne m’abandonne pas... » Murmura il entre deux sanglot, qui se transformèrent rapidement en hurlement de désespoir et de tristesse, se si se perdit au loin dans les ténèbres de se lieu dépourvue de vie et d’espoirs.

Les prunelles sombre de l’homme se mire alors luire d’un bleu électrique, redressant la tête vers le ciel cacher par de sombre nuage d’orage, son regard laissa place a la colère, un fort sentiment de vengeance l’envahie

« Tes acte ne resterons pas cette fois si impunie !! » Hurla l’homme, déclenchant de violant éclaire qui zébrais le ciel.

La terre se mi alors a tremblée, quand soudain un précipice s’ouvrit devant l’homme, une silhouette se dessina alors prêt de lui, posant sa main sur son épaule, il tourna la tête vers elle, c’était une jeune femme au long cheveux noir parsemée de mèche bleu nuit, attachée en couette haute, ses yeux bleu nuit briller dans la pénombre, et tout comme se de l’homme, son regard étais emplie de colère.

« Ne crois pas être le seul a réclamée vengeance. Hadès. » Lui dit elle, le dieux grogna en entendants son prénom, avant de relever la tête vers le ciel orageux, montrant la colère du seigneur des cieux, Hadès aimer se ciel, témoignage que son cher frère l’avais entendu et que l’impertinence dont avais fait preuve lainé, ne lui avais pas plus, cela plaisé au Dieu des Enfers, Zeus lui avais retirée tout se au quel il tenais, sa libertés, sa famille, et pour finir il avais dépasser la limite a ne pas franchir, il lui avais retiré la femme qu’il aimer plus que tout, la guerre avais étais déclarais, et Hadès pouvais compter dans ses rang, la Déesse Sorcière Hécate qui se tenais a ses coté, la déesse des moisson, Déméter qui tout comme son gendre, réclamée vengeance pour sa fille, mais également Héra et Hermès, tout deux c’était lier d’amitié avec SA déesse et n’aller pas laisser passée un tel acte, tous se retrouverais au Enfer, pour mener une guerre de vengeance au nom de la reine des enfer, de la Déesse du printemps, Perséphone.

Au même moment les Divines Moires tissai le fils d’un nouveau destin, le sourire des trois femme aurais pu faire pâlir n’importe qui les voyants, et personne n’aurais su dire si ils étais vicieux et emplie de sadisme ou satisfait et pressée que les événement tissée se réalise, les prochaine année prométais d’être mouvementer et dangereuse pour la terre et ses habitant.

Début de l’apocalypse

Les grondement de l’orage c’était intensifier durant toute la nuit réveiller Agapé, une jeune femme vivants a Athènes, son sommeil avais commencer a être pourvue de cauchemars au milieu de la nuit puis l’orage l’avais fait sortir de cette enfer, des mèche rousse lui tomber sur son visage humide a cose de la transpiration du réveille, son regard se porta vers sa porte, ou une lumière venais de s’allumer, laissant entraits un faible trais de lumière dans la piece, sens suivie qu’un dout toquement résonna contre le bois de la porte, avant que celle si s’ouvre et laisse dépassée le visage de Meïla dont les long cheveux noir tomber sur ca nuisette, elle etais la meilleur amie et colocataire d’Agapé, celle si lui lancé un regard inquiet.

« Je tes entendu crier, es que tout vas bien Aga ?... » Lui demanda elle, venants calmement s’asseoir a coté de son ami, en profitants pour poussée délicatement de ses long doigt fin les quelque mèche ondulée du visage de la rousse.

Agapé prit quelque seconde a assimiler se qu’il se passé, reprenant calmement son souffle qui étais devenu bien trop rapide du au stress intense qu’elle avais ressentie au réveille, une fois calmée, elle souri a Meïla pour la rassurée.

« Oui, tout vas bien ne t’inquiète pas autans » Lui répondit t’elle, sous le regard dubitatif de son amie qui ne l’avais pas lâcher du regard, le grondement du ciel leur fis toute les deux tournée la tête vers la fenêtre. Agapé empoigna alors la télécommande qui se trouver sur sa table de nuit et actionna la lever des rideaux électrique, une fois entièrement monter, les deux jeune femme s’approchèrent des vitre et regardèrent le spectacle qui se déroulée sous leur yeux, le ciel étais aussi sombre que la nuit, des multitude d’éclaire zébrée le ciel faisans tremblé la terre, une image presque apocalyptique leur étais montrée et celle ci n’étais loin de les rassurée au contraire, l’atmosphère étais chargée d’électrique même a l’intérieur, et l’air étais lourde, très lourd.

La jeune femme brune regarda alors les pots de fleur accrocher a la fenêtre, elle écarquilla les yeux et tapota l’épaule de son amie rousse, qui tourna la tête vers elle.

« Regarde... » Lui dit Meïla le regard choqué, Agapé posa alors son regard sur ce qui avais choqué son amie, il lui fallu plissé les yeux un instants avant de réalisé se qu’elle voyais, toute les fleurs qu’elle avais plantée étais dessécher et sens aucune vie émanant d’elle.

Les deux amie se regardèrent effrayais, toute deux avais compris la gravités de la situation, et toute deux espérais au plus profond d’elles que cela ne sois que pacagée et que tout aller rapidement s’arrangé.

« Les dieux son en colère... » Finie par articulée la rousse, qui avais reportée son regard vers le ciel, mais malgret leur espoirs l’orage n’avais pas l’air de se calmée.

Soudain elles entendirent la porte de leur appartement s’ouvrir en fraqua, toute deux se précipitèrent alors dans le salon, elles tombèrent alors nez a nez avec Arthur, le frère jumeaux de Meïla, ses court cheveux noir étais plaqué sur sa tête, et dégouliné d’eau, son souffle étais saccadée et son regard emplie de peur, se qui ne rassura pas les deux jeunes femmes, qui le regard inquiète.

« A-alumé la télé. Tout de suite. » Ordonna il d’une vois stricte et inquiet, Meïla sen chargea et alluma la télé, au lieu d’une émission bidon et ennuyeuse, un message d’alerte générale s’afficha, le reportèr qui expliquai la situation avec l’air – tout comme les trois jeune gens – effrayer de la situation. Plusieurs message passée sur l’écran mais ils affichée toujours le même message.

« Les dieux se son déclarée la guerre... » Lu les deux jeune femme en cœur, toute deux se regardèrent, une lueur de peur et d’inquiétude se reflétée dans leur yeux, les larme montèrent rapidement au yeux de Meïla qui se réfugia contre son frère avant de lever la tête vers lui.

« Il faut que j’appelle Calypso... » Lui dit-elle sur le point d’aller chercher son téléphone dans la chambre, mais le grognement de colère d’Arthur la fis se stopper et elle le regarda d’un air interrogateur.

« Cette garce c’est tailler det qu’elle a su, je l’est vu partir a toute alurs avec sa lamborguinie rose barbie. » dit il d’un ton sec et colérique, Calypso etais la copine de Meïla, toute deux étais en couple depuis 2ans, mais Agapé et Arthur savais qu’elle étais mauvaise pour elle, mais l’amour rend aveugle et Meïla ne les écouté pas, et en payais a présent le prix, sous le choque celle si regarda son frère stupéfet et choquée, mais se rendant compte qu’il n’étais loin de mentir, les larmes se mirent a coulé a flot sur ses jour, son frere la serra autan qu’il pouvais, sous le regard attristée d’Agapé, son regard se portas alors vers la télé.

« Hey… Regardé... » dit elle a ses deux amis, la télé diffusée une nouvelle image, sur celle si étais visible deux personne, un homme au long cheveux noir ébène qui volé au vent, une lueur assassine dans les prunelles, a ses coté se trouvée une femme plus petite que lui, ses long cheveux noir tout comme se de l’homme volé au vent, quand a ses yeux il étais dénuer de toute iris ou toute pupilles, seul le blanc de ses yeux brillé, tout deux étais face a un immense précipice dans le sol, la jeune femme se demanda qui ils étais, les dieux c’était toujours pavané devant la presse, excepter quelque exception, mais dans les grande ligne, tous étais connue, Agapé plissa alors les yeux, elle avais si souvent etudier les dieux grec et encore plus depuis qu’il étais descendu sur terre et y vivais quand ils n’étais pas sur l’olympe, cette homme étais forcement un dieux mais le quel, il y avais ten de dieux non olympien au physique sombre, mais l’homme se trouvant sur cette photo ne lui paraissez bien Olympien, son nom lui apparue en tête au même moment ou il s’afficha sur l’écran de la télé

« C’est Hadès... » Dit elle a sois même, elle ne l’avais jamais vu, a vrais dire maintenant qu’elle y penser, il étais le seul dieu a évitée la presse et les humain en général, dans les écrit ancien il étais inscrit qu’il ne pouvais sortir des enfers, au vu de l’image cela n’étais plus d’actualiser, elle fut tirée de ses pensé par un tremblement, au debout ce n’étais que de léger vibration qui se transformèrent rapidement en tremblement de terre, faisans tomber les livres des bibliothèque, brisant la vaisselle qui tomber des étagère, Arthur serais autan qu’il pouvais sa sœur qui pousser des couinement apeurée tel une belette prise au piège. Les crie de terreurs des autre résident de l’immeuble ou ils logée parvenez au oreille d’Agapé, qui fixer un point au mur sens bouger malgret les chute d’objet autour d’eux, la jeune femme avais l’étrange impression que le mur les regardé, non la regardé elle, il fallu que ses deux amis la tire hors de l’appartement pour qu’elle reprenne ses esprit et sorte de cette observation, la jeune femme dévala alors les escalier re goignian avec les deux jumeaux le reste des résidant a l’extérieur du bâtiment , sous une pluie des plus violente, a peine a l’extérieur que tous les trois furent trempée jusqu’au os, l’eau étais affreusement froide. Le regroupement étais composée principalement de jeune homme et femme mais également, un pere qui serais sa petite fille tout contre son coeur et une mere qui tenais ses deux jumeau par la main, pourquoi cela devais arriver, pourquoi les humains devais payer le prix de la querelle des dieux, ses question se bousculèrent dans la tête d’Agapé qui centée la colore dans ses veine.

« Agapé on doit se metre a l’abrit et vite... » Lui fit comprendre Meïla en posant ça main sur son épaule, la jeune femme rousse tourna la tête vers son amie, elle faisait peine a voire, ses long cheveux noir lui collée a la peau, son corps étais parcourue de frisson de peur et de froid, sa pauvre nuisette ne ressemblé plus a rien et ses yeux étais rouge et humide, la pluie dissimulant ses larme, Agapé se rendit alors compte qu’elle aussi tremblée de froid mais également de colère.

Arthur emmena rapidement les deux jeune femme dans un bâtiment sécurisée, Agapé ne c’était retournée pendant le trajet, mais le bruit retentissants et les crie de peur et de désespoir qui lui étais parvenu, lui avais très clairement fait comprendre que sa maison venais tout juste de s’éffondrée, du moins en partie, des larme de rage perlèrent sur ses joue, elle serais tellement les dents qu’elle en avais mal a la mâchoire par la faute des dieux, elle avais tout perdu sa maison et sa sécurité, mais également la confiance et la passion qu’elle leur portais, ce n’étais que le début de leur misère mais elle se promis de faire payer a ses sois disant divinité, pas seulement pour elle, pour tout les innocent qui aller payer le prix de cette guerre.

Non loin de la, sous de multiple décombre, la terre s’ouvrit, dévorants les corps piéger sous les grava, qui formèrent un donne autour de ce chemin vers les très font de la terre, le bruit de la pluie dissimula alors les nombreux grognement émanant de cette antre, de multiple yeux immonde apparurent dans les ténèbre, ainsi que des cros aiguisé, qui ne réclamée qu’une chose, se plantée dans de la chaire fraîche, le chemin étais ouvert et les humains aller devoir faire face a l’enfer sur terre, des bête sortie tout droit des pire cauchemars aller enfin pouvoir manger a leur faim et déversée le haine bestiale sur terre.

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