Chapitre 2 : Ice...

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Je me garai devant le QG, le moteur de ma Harley grondant une dernière fois avant de s’éteindre. La nuit était calme, seulement troublée par les ombres de mes frères qui patrouillaient autour du bâtiment.

Sans attendre, je descendis, jetant un bref regard à Noa avant de lui faire signe de me suivre. Elle obéit sans un mot, son pas rapide trahissant sa nervosité.

En avançant vers mon bâtiment privé, je saluai d’un mouvement de tête les gars en ronde. L’un d’eux m’interpella brièvement, mais je ne pris pas la peine de répondre. Ce soir, une seule chose comptait : régler cette affaire.

Je récupérai les clés de sa voiture et les tendis à Noa.

  • Va chercher tes affaires, ordonnai-je d’un ton sans appel.

Elle hésita un instant, mais sous mon regard insistant, elle s’exécuta.

Je l’observai tandis qu’elle s’éloignait, son dos droit, son souffle serré, sa détermination vacillant sous le poids de la situation.

Un sourire imperceptible effleura mes lèvres.

Elle était différente.

Et j’aimais ça.

Je l’avais remarquée bien avant qu’elle ne franchisse la porte de ce bar.

Petite, pas plus d’un mètre cinquante-cinq, elle semblait presque insignifiante dans ce monde brutal. Mais c’était une illusion. Ce qui l’entourait n’avait pas réussi à l’effacer.

Ses cheveux, longs et ondulés, étaient rasés sur un côté, un contraste marqué qui attirait immédiatement le regard. Une provocation silencieuse. Une façon de dire qu’elle ne se fondait pas dans le décor, qu’elle était différente, qu’elle refusait d’être comme les autres. Un regard noisette, innocent en apparence seulement, et cette bouche que je rêvai de posséder. Noa était petite, frêle, une petite poitrine naturelle, de longues jambes moulées dans un legging en cuir qui était en train d'éveiller des désirs indicibles.

Et ce tatouage sur son épaule… Un motif floral qui s’accrochait à sa peau comme une empreinte personnelle, un rappel qu’elle appartenait à quelque chose de plus grand, à une histoire qu’elle seule connaissait.

Elle avait du cran. Je l’avais vue quelques jours plus tôt, en veillant sur la maison de sa mère. J’avais observé cette façon qu’elle avait de se tenir, droite malgré ce qu’elle ignorait encore. Et je l’avais voulu. Alors, j’avais chassé sa mère. J’avais forcé la situation. J’avais attendu qu’elle tombe dans mes filets. Et maintenant, elle était là, devant moi. À moi.

Je la vis porter ses deux gros sacs, son corps frêle ployant sous leur poids. Mais ce n’est pas ce qui attira mon regard.

C’était cette boule de poil qu’elle serrait contre elle.

Un chat noir et blanc, abîmé par la rue, une oreille fendue, un œil manquant. Un survivant, comme elle.

L’animal me fusilla du regard avant de feuler, se hérissant comme un combattant prêt à défendre son territoire.

Je haussai un sourcil avant d’ouvrir la porte et d’allumer la lumière.

La pièce principale s’illumina, révélant un espace brut, viril, imprégné de mon monde.

Un salon dominé par un large canapé en cuir usé, un écran plat trônant contre le mur, un billard à quelques pas, sous les lumières tamisées. La stéréo, imposante, prête à rugir de vieux morceaux de rock à la moindre pression sur un bouton.

La cuisine, ouverte, révélait deux frigos—l’un pour la bouffe, l’autre exclusivement pour les bières. Un bar prenait place juste à côté, son bois patiné par des années d’usage, où les verres s’empilaient dans un désordre organisé.

Et là, au fond, une barre de pole dance s’élevait, vestige d’une époque où les soirées étaient encore plus démesurées.

Les murs parlaient aussi.

Affiches de pin-up provocantes, une demi-Harley accrochée en trophée, et au centre, en évidence, le blason des Mambas.

Noa s’arrêta, ses yeux parcourant l’espace, analysant, comprenant où elle venait de mettre les pieds.

Et moi, je la regardai.

Elle allait devoir s’y habituer.

J’attrapai ses sacs et l’entraînai avec moi à l’étage.

  • Suis-moi.

Elle hésita, mais obéit, son pas mesuré, une prudence silencieuse dans sa démarche.

Je lui fis traverser la mezzanine, où mon espace tatouage s’imposait contre le mur. Les croquis s’étalaient sur une table encombrée, les machines parfaitement alignées à côté des encres. Ici, je travaillais sur mes frères, sur moi-même. Un territoire bien marqué.

  • Là, c’est mon coin. Personne n’y touche sauf moi.

Elle hocha à peine la tête, gardant ses observations pour elle.

Je continuai la visite jusqu’à ma chambre, grande, sombre, meublée comme j’aimais. Du cuir, du métal, un espace brut sans prétention. Un grand lit avec de larges colonne en fer forgé. Une salle de bain privée ouverte sur la chambre, parfaite pour les exhibitionnistes et les tordus dans mon genre. Je posai son gros sac au pied du lit, sur le banc en cuir avant de la voir laisser tomber l’autre de son épaule.

  • C’est là que tu vas dormir à partir de maintenant.

Je lui laissai le temps de voir, d’intégrer.

  • Sauf si je décide autrement.

Ses mains se crispèrent légèrement sur la sangle de son sac, mais elle ne répondit pas. On quitta la chambre puis on descendit l’escalier en fer avant de rejoindre la cuisine et le salon.

  • Ici, c’est l’espace de vie. Tu bouffes ce que tu veux, tant que tu ranges derrière toi, ça me va. Je refuse de vivre dans une porcherie et les règles s’applique à ton truc poilu.
  • C’est un chat, tes règles, il s’en tamponne la croquette.
  • Il y a un jardin, et le parc est grand, il pourra sortir dehors. Je dirais à mes gars de faire gaffe, je suis un connard, mais ça reste un sac à puce et tant qu’il ne me fera pas chier, il restera en vie.
  • Merci, me répondit-elle tout en le lâchant par terre.

Avant de descendre, elle avait récupéré sa gamelle, ainsi qu’une boîte de croquette. Noa se permit de lui servir à boire et posa la gamelle par terre près de la baie vitrée. Son sac à puce renifla et vint boire un peu avant de partir à la découverte de la maison.

  • Je dois lui racheter une litière, tu l’as cassé pendant ta perquisition, me reprocha-t-elle.
  • On verra ça demain.
  • Je bosse demain, dit-elle.
  • Non, demain tu resteras avec moi, j’appellerai ta bosse en personne.
  • Laisse-la en dehors de ça, s’il te plaît.
  • Tu es à moi, Poupée, je fixe les règles et mes conditions à cet accord. Demain, tu resteras avec moi. Tu as des choses à savoir, si tu ne veux pas finir comme la pute qui vient de me causer de gros soucis.
  • Elle a fait quoi ?
  • Elle collaborait avec les fédéraux. Il y a clown qui s’est installé au poste de police, il a été muté pour essayer d’endiguer la criminalité de Forks. Elle a ouvert la bouche, mes frères lui ont donné une raison de parler et la leçon était publique.

Un léger dégluti anima son visage. Je m’adossai au bar, la fixant un instant avant d’ouvrir le frigo.

  • Tu veux manger ? demandai-je

Elle croisa les bras, obstinée.

  • Non, répondit-elle vivement.

Un refus bien trop rapide pour être sincère. Juste pour me contrarier. Mais à peine eut-elle lâché ces mots que son ventre protesta violemment. Un gargouillement sonore brisa le silence. Je souris. Elle se raidit, frustrée de cette trahison corporelle. Je m’approchai, sans brusquerie, mais sans lui laisser d’option. Mes doigts effleurèrent son visage, se posèrent sur ses joues, l’obligeant à me regarder.

  • Inutile de lutter, Poupée.

Elle ne détourna pas les yeux, mais je sentis sa mâchoire se serrer.

  • Ton seul moyen de me fuir maintenant, c’est un trou six pieds sous terre.

Elle déglutit, et dans son regard, quelque chose changea. Elle comprenait enfin.

Noa garda son regard rivé au mien. Elle ne baissa pas le regard, et ainsi une lutte silencieuse prit forme entre elle et moi. Je fixai son regard et vis dans ses yeux la peur, l’appréhension, mais aussi cette lueur de détermination, une détermination que j’admirai.

Habituellement les femmes rasaient les murs, craignant mon courroux et ma colère. Je n’étais pas un homme facile, dénué de sentiments, possessif, colérique, connard sur les bords, déterminé et brutal peu importe mon adversaire. Les femmes voulaient être traité en égale des hommes, je leur offrais sans remord la même équité face à ma colère. Je n’avais pas de pitié, même si elles possédaient une chatte et des seins. Je ne pardonnai pas la trahison quelle qu’elle soit. Je ne pardonnai difficilement l’erreur, surtout si elle avait pour but de me blesser ou de blesser mes frères.

Celles qui ne rasaient pas les murs rampaient au sol pour me sucer la bite et satisfaire le moindre de mes désirs, même les plus tordus, mais à force, je me lassai de c’est brebis qui jouaient avec les queues de mes frères à saute-mouton. Les brebis étaient des filles faciles avec peu de dignité et de respect pour elle, des pouffiasses accrochés à nos couilles, prêtent à les traire telles des moules sur des rochers. Les poupées, elles, elles étaient différentes, un statut avec quelques privilèges, mais pas autant qu’une putain de régulières. Chez les Mambas, il n’y en avait pas, aucun de mes frères n’avaient été assez cons pour se faire mettre une laisse autour des couilles.

La polygamie, les orgies, en revanche étaient monnaie courante. La pudeur n’était nullement bienvenue ici-bas, les mœurs étaient à notre image, tant que le respect et la discussion entre nous Mambas étaient limpides. La loyauté, la fidélité entre nous n’étaient pas les seuls liens qui nous unissaient. Le partage de nos certains de nos biens faisait parti du deal.

Noa était ma poupée, mais tous les mambas n’auraient pas le privilège de pouvoir jouer avec elle. Seul mon cercle proche aurait ce droit. Noa l’ignorait encore, elle ignorait dans quel monde elle venait de pénétrer et ce soir, elle allait y faire ses premiers pas.

Désirant goûter à cette bouche depuis que je l’eus entendu débiter un nombre surprenant d’insanités contre le gardien de son immeuble, un vieux vicelard, alors que j’étais en planque pour trouver sa vieille. Puis mon désir s’est accentué quand je l’ai vu entrer dans mon bar, alors qu’une brebis me suçait la queue sous la table.

Ma résistance lâcha et je jurai avant de plaquer ma bouche la sienne. Brutal, exigeant, je vins plonger ma langue dans sa bouche, cherchant et provoquant la sienne. Noa gémit contre ma bouche, elle s’accrocha à moi et répondit avec beaucoup d’hésitation à mon assaut.

Je l’attirai à moi tout en savourant ce baiser, sa bouche enfin à moi, son goût sucré se diffusant en moi et exacerbant mon désir pour elle. Noa tenta de me parler, mais je lui intimai le silence, ne désirant qu’une chose à présent la posséder.

Je reculai un instant avant de la pousser contre la baie vitrée, celle qui menait au jardin privé. Mon érection contre son ventre, elle déglutit et cela sans baisser le regard. Je caressai sa joue, puis sa lèvre avec mon pouce avant de descendre vers sa poitrine. Sans lui demander son avis, je tirai vivement sur son t-shirt. Le tissu craqua dans un bruit sourd et j’en eus rien à foutre. Sa petite poitrine nue fut enfin exposée à ma vue et je refermai ma main sur son mamelon que je pressai avant de plaquer à nouveau ma bouche sur la sienne. Je vins alors semer des baisers dans son cou, puis je happai ses tétons érigés et durs comme du béton. Je fis tournoyer ma langue autour de ces derniers avant de les aspirer entre mes lèvres et de les mordre.

Noa se cambra contre ma bouche et soupira de plaisir. J’abandonnai sa poitrine avant de la retourner contre la vitre, ma main dans son dos, l’autre sur son ventre plat. Elle était naturellement cambrée, mais je l’incitai fortement à accentuer sa cambrure. Puis je fis glisser ma main dans son dos avant de défaire très lentement la fermeture de son legging en cuir avant de le faire glisser le long de ses longues jambes dorées. Je vis un pansement contre le haut de sa cuisse et fronçais les sourcils.

  • Noa…
  • Hum… dit-elle perdue dans une bulle loin de la réalité.
  • C’est quoi ça ? demandai-je brusquement tout en tirant le pansement, ce qui la fit couiner.

J’aperçus alors plusieurs stries rougeâtre, recouverte de fines croute de sang séché. Je compris alors ce que c’était et réalisait que Noa était peut-être aussi détraquée que moi dans sa petite tête.

  • Ice… dit-elle en poussant un cri quand j’abattis ma main sur son cul.
  • Compte avec moi, trompes-toi et on recommence. Si tu te trompes, tu n’auras pas le droit de jouir, dis-je contre son oreille.

Ma main s’abattit à nouveau sur sa fesse et Noa se mit à compter. Je lui ordonnais alors d’écarter les jambes et elle s’exécuta timidement avant de poser ses deux mains sur la baie vitrée pour tenir debout alors que je venais de gifler son anatomie. Ses jambes tremblaient déjà, tant elle était réceptive.

Je caressai son intimité trempée et fis pression sur clitoris avant de plonger mon index en elle. Ses muscles se contractèrent aussitôt autour de mon doigt. Elle était très étroite et je n’avais qu’une hâte, celle de la baiser jusqu’à ce qu’elle oublie son nom. Tout en faisant aller et venir mon doigt en elle, je caressai son petit trou avec mon pouce et la vis se tendre.

  • Personne ne t’a jamais prise ici ? demandai-je.
  • Non, murmura-t-elle dans un souffle.
  • Putain de merde, c’est parfait ça. Je vais prendre plaisir à t’initier. Mais là maintenant, Poupée, je vais juste faire ce que je rêve de faire depuis que tu as franchis le seuil de mon bar, dis-je en libérant mon érection de sa prison de tissus.

Pressé, je déroulai un préservatif sur mon membre tendu et prêt à exploser.

  • Ecarte tes fesses pour moi. ordonnai-je vivement.

Noa obtempéra maladroitement et écarta son fessier bombé pour moi, m’offrant une vue sublime sur son sexe dégoulinant de plaisir. Je saisis ma queue et sans aucune préparation, je la guidai entre les replis luisants de son intimité. Mon gland entra et rapidement je la sentis s’étirer autour de moi. La tête en arrière, elle gémit et voulut me parler, mais je la fis taire d’un baiser possessif et ardant.

Mes mains sur sa taille, je m’accrochai fermement à elle avant de lui asséner un violent coup de rein la pénétrant jusqu’à la garde. Noa poussa un cri de douleur strident et je réalisai alors l’ampleur de la situation. Les jambes tremblantes, le front contre la baie vitrée, elle renifla et prit de grandes respirations pour endiguer la douleur de mon assaut. Ses muscles me comprimèrent douloureusement et ce fut avec quelques caresses que je réussis à l’aider à se détendre.

Délicatement, je me retirai et l’obligeai à me faire face. Noa évita mon regard, je saisis son menton et approchai mon visage du sien.

  • Je pourrais te demander pardon, mais je suis un connard et je ne regrette pas de t’avoir arraché ta fleur, Poupée, dis-je tout en la soulevant pour me diriger vers le canapé.

Je la renversai dessus, la tête contre l’assise, les jambes tendue et les pieds au sol. Noa jura avant de trembler quand je vins doucement masser son clito avec mon gland. Elle s’accrocha au coussin et mordis dedans quand je vins guider ma queue entre ses petites lèvres couvertes de sang. Je la sentis se tendre et appréhender la douleur, et la vie se tendre.

Les yeux clos, mes mains sur sa taille, j’entamai un lent et doux va-et-vient. Noa mordit dans l’assise du canapé et laissa échapper un long gémissements de plaisir, alors que tout son corps se tendit sous le mien. Je la vis ainsi jouir autour de ma queue. Prêt pour la posséder comme je le désirai cette fois-ci, je sus qu’elle était prête quand elle se redressa légèrement et posa une main contre l’accoudoir pour se tenir en équilibre alors qu’elle convulsait encore autour de ma queue.

Je me retirai lentement avant de saisir ses cheveux que j’enroulai autour de mon poignet. Je tirai sa tête en arrière et plongeai en elle brutalement et cela jusqu’à la garde. Je fis ainsi claquer mon pelvis contre son cul avant de la baiser sauvagement sur le canapé. Noa hurla de plaisir, ne pouvant retenir son deuxième orgasme. Je sentis mon propre plaisir monter en flèche. Ses muscles vaginaux étranglèrent ma queue, son plaisir coula sur ma queue et le long de mes couilles. Je lâchai ses cheveux et passai mes bras autour de son corps tremblant. Ma main se referma sur son sein, l’autre, je la fis glisser vers le sud où je trouvai son bouton de chair. Mon torse collé dans son dos, j’allais et venais en elle, avec fougue. Elle était prête pour un troisième orgasme, alors que le mien était sur le point d’éclater. Dans un dernier élan, je donnais un énième coup de boutoir tout en pinçant son clitoris provoquant sa chute.

Noa hurla mon nom dans son orgasme qui la ravagea littéralement, tout en provoquant ma propre chute. Je sentis cette douleur atroce me vriller la colonne vertébrale, puis les reins avant que je ne jouisse dans un jet puissant et salvateur, remplissant le préservatif de mon foutre. Mon râle de plaisir résonna dans la maison et je cherchai à l’atténuer en plantant mes dents dans l’épaule de Noa, marquant ainsi pour la première son corps. Elle soupira de plaisir avant de s’écrouler comme une simple poupée de chiffon entre mes bras.

Dans un dernier effort, je nous renversai dans le canapé, allongés sur le cuir frais. Mon jean autour des chevilles, mon cuir sur le dos, Noa débraillée, blottit dans mes bras, ma queue encore tendue et coincée contre ses fesses. Mon nez dans ses cheveux, je grognai quand mon ventre gargouilla à son tour.

  • Poupée... je vais nous faire couler un bain. Tu peux marcher ?
  • Je ne sais pas, me répondit-elle tout en étouffant son reniflement.
  • Poupée, tu as jouis trois fois autour de ma queue, tu as aimé ça, tu as crié mon prénom bordel, alors ne joue pas les prudes, pas ici ! Tu étais vierge, je suis un connard parce que j’y suis allé comme un bourrin, mais putain, je ne regrette pas, en vérité, je suis heureux d’avoir eu ce privilège. Je vais te prendre toutes tes premières fois avant de te partager avec mes frères.
  • Et si je ne veux pas être partagée ?
  • Poupée, ce n’est pas un choix, tu as signé ce putain d’accord et puis qui sait, tu pourrais aimer ça, tu te l’ais demandé avant d’ouvrir la bouche ?
  • Je ne me suis jamais demandé si un jour, je coucherai avec un homme, alors avec quatre, non jamais.
  • Tu as quoi contre les hommes ? demandai-je en me redressant tout en la saisissant par les deux joues pour l’obliger à me regarder.
  • Rien, répondit-elle en me mentant.
  • Poupée, si tu ne veux pas que je baise par derrière comme un taré, je te suggère de ne pas me mentir. Je le vois dans tes yeux ! Alors je te repose la question.
  • Je n’ai rien contre les hommes, affirma-t-elle, mais toi, je te hais, contra-t-elle tout en se redressant tout en grimaçant.

J’en fis autant qu’elle et retirai la capote que je nouai avant de me lever pour aller la jeter à la poubelle. Noa retira ses vêtements qui étaient en lambeaux et les jetas à la poubelle. Je me dessapai à mon tour et lui fis face. Sans lui laisser le temps de me parler, je la soulevai dans mes bras et grimpai à l’étage, jusqu’à ma piaule. Je me dirigeai dans la salle de bain et fis couler l’eau de ma baignoire avant de m’asseoir dans la baignoire, Noa assise entre mes jambes, les siennes enroulées autour de ma taille. Je pris mon éponge de douche et la mouillai avant de venir la laver. Je passai l’éponge sur son buste, puis sur sa petite poitrine avant de lui ordonner de se lever.

Noa obtempéra et se mit debout, devant moi. Elle évita mon regard et je vis le rouge lui monter aux joues quand je vins passer mon éponge de douche sur la fine toison de boucles brune qui couvrait joliment son pubis. Taillé dans un triangle parfait, elle déglutit quand délicatement je vins essuyer les traces de sang, ainsi que son plaisir qui avait coulé le long de l’intérieur de ses cuisses.

Une fois propre, je vins dans un sursaut de passion, plonger mon visage entre ses cuisses. Noa poussa un cri de surprise et chancela avant de murmurer mon prénom. Je m’allongeai dans la baignoire et l’entraînai avec moi dans ma chute l’obligeant à chevaucher mon visage. Avec ma langue, je fouillai son sexe, m’abreuvant de son nectar.

Elle ondula légèrement et tenta en vain d’échapper à mon assaut de plaisir. Mes bras autour de ses cuisses, je la maintins fermement contre ma bouche, la léchai, la mordillai et suçai son bourgeon trempé. Noa jura et écarquilla brutalement les yeux quand avec mon pouce, je vins effleurer son petit bourgeon sensible. Son plaisir coulait sur mes lèvres, son odeur était en train de me rendre fou et complètement accro. Je la vis alors lentement se contracter et plaquer sa main contre sa bouche et dans laquelle elle mordit pour étouffer son cri de plaisir. Mon nom fut étouffé, mais je l’entendis et souris avant d’écarter son bras avec lequel elle se cachait. Noa plongea son regard dans le mien alors que son corps était encore pris de convulsions orgasmique.

  • Ne te cache pas poupée… Ne me fuis pas, surtout quand tu jouis pour moi, dis-je en caressant sa joue en douceur.

Noa hocha délicatement la tête avant de s’écrouler sur moi.

Après s’être remise de son orgasme, elle se redressa et voulut s’éloigner de moi, mais je la saisis par le poignet et secouai la tête avant de poser ses mains sur mon ventre. Elle reste immobile, un moment avant de caresser tendrement mon torse. De sentir ses doigts fins et tremblants sur ma peau, cela me rendit fou de désir. Elle se redressa encore et se pencha vers moi, puis posa un baiser sur ma joue, puis dans mon cou et ensuite sur ma gorge, je déglutis et sentis la bouche de ma Poupée venir se poser sur mon torse. Elle se redressa et je vins fourrer ma main dans sa nuque avant de l’attirer à moi.

  • Poupée... Je veux ta chatte ! exigeai-je. Prends ma queue et guide là en toi. Baise-moi, Poupée.

Noa me lorgna perdue, puis d’une main tremblante, elle saisit mon membre et ne cacha pas sa surprise quand elle le fixa. Elle peinait avec ses doigt d’en faire le tour. Elle me caressa, me branla et explora mon anatomie avec une innocence à m’en faire péter un câble.

  • Poupée, je veux que tu me chevauches ! Maintenant ! Je vais vriller ! menaçais-je sèchement tout en raffermissant ma prise sur son sein.

Noa déglutit, et vint nicher son nez contre mon cou, je pouvais sentir son souffle chaud sur ma peau. Ma main droite dans son dos, je caressai délicatement sa peau nue et extrêmement douce alors qu’elle m’embrassait tendrement. Elle contrastait avec sa douceur contre ma brutalité.

Lentement, je saisis ma queue tendue et pressée de s'immiscer dans les replis chauds et humides de son antre. Je frottai mon gland contre son bourgeon trempé. Puis lentement, je sentis Noa se figer au-dessus de moi quand je fus à l’entrée de son intimité. Lentement, elle riva son regard au mien et je posai ma main sur sa hanche avant de la sentir en douceur s’abaisser sur ma queue. Je serrai les dents, car elle était très étroite, et je savais que la nature ne m’avait pas épargné. Les ongles de Noa se plantèrent dans ma peau, puis lentement, elle ondula sur ma queue me prenant de plus en plus profondément en elle.

Puis sans que je m’y attende, elle poussa un petit cri. Un cri vif emplit de douleur, mais également de plaisir. Noa tremblait et une larme roula sur sa joue. Je grognai et soufflai par saccades tout comme ma Poupée, car je sentis son intimité se contracter autour de ma bite.

Profondément logé en elle, Noa m’avait prise entièrement et cela jusqu’à la garde et elle se mordait la lèvre, quand je la sentis jouer avec ses muscles et son périnée autour de ma queue. Elle m’arracha un grognement de plaisir et je l’attirai contre moi avant de l’embrasser sauvagement. Ma main dans sa nuque, je nous renversai dans la baignoire pour me retrouver alors au-dessus. Ma Poupée enroula ses jambes autour de mes reins alors que j’allais et venais en elle dans un rythme extrêmement soutenu.

Noa se cambra délicieusement sous moi et souffla, je sentis ses muscles se contracter à nouveau. Elle n’était pas loin de jouir, je le savais, je le sentis et j’étais surtout dans la même état. Alors que j’allais et venais en elle, je glissai une main entre nous et trouvai son bourgeon sur lequel je fis pression. Je traçai de petits cercles dessus et murmurai à son oreille.

  • Maintenant ! Poupée, je veux te sentir jouir autour de ma queue ! Laisse-le venir, laisse-le monter en toi et exploser.
  • Ice … murmura-elle dans un souffle avant de se cambrer brutalement sous moi.

Son dos s’arqua, je refermai ma bouche sur le vallon de ses seins et la léchai remontant dans son cou que je mordis. Noa cria mon nom, et son corps entier fut pris de puissants soubresauts. Son orgasme provoqua le mien. Son vagin qui étranglait ma queue causa ma perte et dans un dernier coup de reins profond et brutal, je sentis mon orgasme éclater. Une douleur lancinante me vrilla la colonne vertébrale et je sentis alors mon foutre jaillir dans un jet puissant, douloureux et salvateur. Un râle puissant et viril m’échappa et résonna dans tout le loft. Pris de spasmes incontrôlables, je m’écroulai dans les bras de Noa, qui dans un dernier effort s’enroula autour de moi comme du lierre autour d’un tronc d’arbre.

Le souffle court, mes bras enroulés autour de la tête de ma Poupée, mon nez dans ses cheveux, je jouissais encore et encore au plus profond de son antre, alors qu’elle jouait nerveusement avec mes cheveux.

Allongée à plat ventre sur mon lit, nue, le regard perdu dans le vague, Noa semblait pensive. Elle avait mangé une part de pizza avant de se renfermer telle une huître. Je posai ma bière vide, sur le carton vide, par terre à côté de mon lit avant de me tourner pour effleurer le dos tatoué de ma poupée. Elle frissonna à mon contact.

  • On peut discuter ?
  • Discuter de quoi ?
  • Je t’ai dit quoi Poupée, ne joue pas les prudes et les vierges effarouchées alors que tu es une petite salope, encore timide certes, mais qui ne demande qu’à explorer le monde duquel je viens de t’ouvrir les portes ! Soit honnête avec toi, Noa, tu as aimé ça, tu me déteste parce que c’est un putain de contrat, une putain de dette qui te lie à moi. Tu devrais haïr ta vieille, c’est elle qui t’a vendu à moi.
  • Je la hais, crois-moi.
  • Alors arrête de faire la gueule et regarde-moi.

Noa se retourna et me fit face. Elle me fixa et soutint mon regard. Je la fis rouler sur le dos et elle sursauta quand je sortis un feutre noir, puis elle déglutit quand elle me vit dessiner sur son buste le logo des Mambas.

  • C’est un feutre tatoo éphémère, il te protégera en plus de te lier à moi, mon blase est encré sur sa peau.
  • On dirait un sale gosse qui écrit son prénom sur ses jouets de peur de se le faire piquer.
  • Je suis un sale gosse et ça fait de toi mon jouet.
  • C’est ceux que sont les femmes pour les hommes comme toi, je l’ai bien compris.
  • Poupée... J’ai envie de fesser ton cul pour te faire passer l’envie de me chercher des poux.
  • Tu veux discuter, mais si tu n’as pas le dernier mot tu veux user de la violence pour gagner, quel homme...
  • Noa, grognai-je.
  • Je vais dormir, j’ai bossé toute la journée, j’ai supporté le gang des mamies et elles sont plus flippantes que toi. Je suis vannée et il est tard. De plus, mon cul ne veut pas de tes assauts, mon corps est assez endolori ainsi, me balança-t-elle avant de me tourner le dos et d’éteindre la lumière.

Brusquement un truc sauta sur le lit, s’agrippant avec fermeté aux draps et à mes jambes au passage, m’arrachant un grognement. J’attrapai le coupable par la peau du cou et la bestiole hideuse feula avec de miauler. Noa se redressa et me prit le chat des mains avant de le serrer contre sa poitrine. Ce petit con me griffa et cracha, me montrant clairement son mécontentement.

  • Fais-gaffe sac à puce, des malheurs vont t’arriver ! menaçais-je.
  • Fais du mal à mon chat et tu perds ton jouet ! répliqua Noa avant de s’allonger en position fœtal, la boule de poil aux creux de ses bras.

Je souris et m’approchai de son oreille avant de murmurer.

  • Dors poupée, mais fait attention, j’ai le sommeil léger et je suis encore très excité, d’autant plus que ma bite aime beaucoup ta chatte, quelque chose me dit que dans la nuit, elle viendra lui rendre une petite visite, peut-être même qu’elle y passera la nuit.

Noa frissonna, et volontairement, je vins fourrer ma main entre ses cuisses pour trouver son intimité mouillée. Je la sentis se tendre à mon contact et serrer les cuisses comme pour m’empêcher d’avoir accès à ce qui m’appartient. Je souris contre son épaule avant de murmurer à son oreille.

  • C’est bien ce que je disais, tu es une petite salope, qui mouille rien d’avec des mots. Bonne nuit, Poupée, dis-je tout en jouant avec mon index dans son antre humide et mon pouce sur sa rose bien close que je massai longuement avant d’être coupé par la sonnerie de mon téléphone.

Je jurai et roulai dans le lit pour décrocher.

__ Ouais...

__ Ice, je te dérange ?!

__ Non, enfin ouais, mais pas grave qu’est-ce qui se passe ?

__ Les flics ont fait une décente au club de strip, Boso était-là ?

__ Ils ont trouvé quoi ?

__ Une danseuse qui avait de la coke, elle a dit que c’était elle, sinon rien, Larks m’avait prévenu de la descente.

__ Fais-chier, ce mec va être une plaie, je le sens !

__ Tu veux faire quoi ?

__ Demande à Larks de trouver de quoi le faire tomber, sinon, il faut le coincer, il doit bien avoir un point faible ce connard !

__ On va trouver, on en parle demain. Et sinon, elle est comment ?

__ Qui ça ?

__ Noa, elle est comment ?

__ Intéressante... On en parle demain.

__ Demain je pourrais le découvrir par moi-même.

__ Ouais, on en parle demain, dis-je en grognant.

__ Putain ça t’a manqué tant que ça ?! se moqua Texas à l’autre bout du fil.

__ Mec, j’avais mes doigts dans sa chatte, évidement que ça m’avait manqué, putain de merde. Même ma bite est du même avis que moi ! Je peux y retourner où tu veux encore me les briser ?

__ Attention à ne pas te faire une torsion des testicules, depuis le temps, elles devaient être lourdes à porter non ?

__ Va te faire foutre connard ! répliquai-je avant de raccrocher.

Je jurai et posai mon téléphone avant de rouler sur le côté pour étreindre ma poupée. A sa respiration calme et régulière, je sus de suite qu’elle s’était vraiment endormie. Je l’étreignis, l’attirant contre moi, collant mon érection contre la raie de ses fesses avant de fermer les yeux à mon tour.

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