Chapitre 3 : Noa...
Réveillée en pleine nuit à cause d’un cauchemar, je poussai un hurlement strident. Ice se réveilla lui aussi et posa sa main sur mon épaule. Je déglutis et me levai en sueur. Je traversai la chambre jusqu’à la salle de bain et me passai de l’eau froide sur le visage. La porte de la chambre d’Ice, s’ouvrit à la volé sur un de ses frères. Ce dernier posa son regard sur moi et je sentis mes joues s’échauder.
- Tout va bien, Poupée, je t’ai entendu crier ? me demanda Jet tout en effleurant tendrement ma joue
- J’ai fait un cauchemar, répondis-je laconique.
- Ice ? demanda Jet.
- Ouais ça va, répondit-il tout en me lorgnant. Poupée, tu veux bien me parler de ce cauchemar.
- Non, répondis-je tout en fouillant dans mes sacs.
- Tu cherches quoi ? me demanda Jet en s’approchant de moi.
- Quelque chose, répondis-je frénétiquement tout en m’énervant sur mes affaires, vidant ma trousse de toilette, puis fouillant mes poches avec colère et frustration.
- Noa ! coupa Ice en quittant le lit.
- Je cherche mes médocs, un tube en plastique, je les ai oublié, putain de merde, je les ai oublier ! commençai-je à m’énerver.
- Calme-toi ! m’ordonna ce dernier.
- J’ai besoin de mes cachets ! Tu ne peux pas comprendre, j’en ai besoin pour éviter de me faire du mal !
- Putain de merde ! Noa, c’est quoi ces cachetons ? demanda Jet. Qui t’a donné ça ?
- Le Doc pour mes crises d’angoisse. Ils font taire la voix dans ma tête, celle qui me dit que me faire du mal c'est bien, expliquai-je tout en reprenant mes recherches avec rage.
Ice donna un grand coup de pied dans mes affaires avant de me saisir par la gorge. Il me plaqua contre une colonne du lit et serra sa prise. J’ouvris la bouche pour respirer et ne cherchai point à me défendre.
- Mec, elle a besoin de décrocher et de mettre son cerveau sur pause, c’est le seul moyen qu’on a pour calmer sa crise.
- Tu es fatigué ? demanda Ice en regardant Jet.
- Non, je suis en pleine formerépondit ce dernier en souriant alors que je sentais la crise monter en moi.
- J’ai des cordes dans le dressing, on va jouer, son cul est vierge, et il est pour moi, alors on oublie.
- OK, répondit ce dernier tout en s’écartant pour aller chercher un jeu de corde.
Ice effleura ma joue et puis avec son pouce ma bouche.
- On va éteindre ton cerveau, mettre fin à ta crise. D’accord Poupée ?
- Personne ne peut faire taire mon cerveau, murmurai-je.
- Je te promets que je vais le faire taire pour très longtemps, tu vas avoir mal, je vais mal te parler et Jet va se joindre à moi. Il a le droit, tu lui appartiens aussi, Poupée, même si c’est moi qui décide. On va le mettre sur pause assez longtemps que tu dormiras comme un bébé après ça, me promit-il.
Une main se tendit devant moi et naturellement je glissai ma main dans la sienne. Ice me guida jusqu’au banc en cuir et me hissa dessus avant de plonger sa main dans ma nuque. Il plaqua sa bouche sur la mienne et m’attira contre lui avant d’attacher mes poignets au-dessus de ma tête. Quand il s’éloigna, j’aperçus Jet avec une ceinture à la main.
- Je veux que tu fermes les yeux, Poupée et que tu laisses ton corps réagir face à la douleur et que tu comptes pour Jet, murmura ICE à mon oreille.
- D’accord, répondis-je mécaniquement alors que les cordes sciaient la peau de mes poignets.
Je me mis à compter quand Jet donna le premier coup de fouet. Ce dernier claqua sur ma peau nue et sensible. Je serra les dents en sentant la morsure du cuir sur ma fesse et sentis ma peau s’échauffer. J’ouvris les yeux croisai son regard gris, emplit d’une lueur d’envie et d'un sombre désir. Ceux-ci firent écho à la mienne et je sentis mon ventre se serrer d’envie. Jet me fouetta et mon cerveau décrocha, happé par un monde brumeux. Je voulais le haïr pour la douleur, mais je ne le pouvais pas, Ice avait promis et réussi à me faire lâcher prise.
Après les dix coups de fouet que je reçus, Je fus soulevé par Ice qui sans me donner de répit plongea en moi. Accrochée aux liens qui m’entravaient, je nouais mes jambes autour de lui et encaissai les assauts brutaux des coups de reins de ce dernier. Je m’entendis le supplier de m’achever, mais ce dernier se retira et me laissa pantelante et frustrée.
- S’il te plaît, murmurai-je dans un souffle.
- Pas maintenant, Poupée, répondit Jet d’une voix suave et provocatrice tout en pinçant mes tétons.
Je fermas les yeux et lançai la tête en arrière avant de me mordre la lèvre pour ne pas gémir. Ice me fit descendre et vint m’attacher les jambes à une espèce de barre qu’il régla, m’obligeant alors à garder les jambes écartées, offrant une vue monumental sur mon sexe luisant et dégoulinant. Ice saisit mon mamelon entre ses doigts et le provoqua avec sa bouche avant de refermer ses dents dessus. Je poussai un cri de douleur avant de me débattre.
- Poupée, je vais te laisser avec Jet, il va te montrer et t’apprendre à utiliser ta bouche autrement que pour nous envoyer chier.
Tout en me parlant, il donna du mou dans la corde et je me retrouvai penchée en avant, ma tête à la hauteur de la taille de Jet. Ce dernier caressa ma joue avant de me présenter son sexe tendu. Ce dernier était tout aussi long et large que celle d’Ice. Courbée et moins veinée, elle arborait en sont extrémité un petit anneau en argent.
Je laissai échapper un soupir en sentant Ice se glisser derrière moi et je déglutis en sentant ce dernier caresser mon dos avant de m’asséner une tape sur mon cul déjà échaudé. Je poussai un cri et tournai la tête pour voir ce que ce dernier allait me faire, mais Jet saisit brusquement mes cheveux et m’ordonna d’ouvrir la bouche. Les yeux écarquillés, surprise par son ordre sec et le ton employé, je mis quelques secondes avant d’obéir et d’ouvrir la bouche. Jet en profita alors pour enfoncer son érection dans ma bouche.
Les yeux clos, je sentis le plaisir monter en moi. Ses mains dans mes cheveux, l’autre sous son menton, il me maintenait la tête avant de me dire d’ouvrir la bouche en grand et de tirer la langue comme chez le docteur, puis sans ménagement, il me baisa la bouche, jusqu’à sentir son gland taper dans le fond de ma gorge.
Il resta enfoncé au fond de ma gorge, mon nez contre son pelvis et cela jusqu’à ce que je déglutisse autour de son gland. Il se retira et j’en profitai pour prendre une grande inspiration alors que mes joues étaient couvertes de larmes et cela malgré le plaisir immense que je ressentais en me soumettant ainsi. Ma salive couvrait mon visage et coulait par terre. Ice qui se tenait debout derrière et qui branlait entre mes fesses.
- Putain de merde Poupée, prendre la queue de Jet dans ta bouche te fait mouiller. Tu es trempée, je n’ai même pas besoin de te préparer pour me recevoir en toi, dit-il en me pénétrant en douceur.
Ses deux mains sur ma taille, il se retira et s’enfonça sans aucun ménagement en moi. Je poussai un cri qui fut rapidement étouffé par le membre imposant de Jet. Ice se montra passionné et brutal dans ses assauts. Mes cris et mes gémissements étaient soigneusement étouffés par la queue qui allait et venait dans ma bouche et parfois restai profondément logé dans ma gorge. Je tirai sur mes liens, m’arquai et hurlai avant de jouir violemment. Ice se retira de mon intimité et je sentis mon sexe gicle de plaisir sur le plancher.
Jet me sourit, puis caressa ma joue et se pencha avant de m’embrasser avec une fougue désarmante. Il se déplaça derrière moi, puis inséra sa main entre mes cuisses avant de plonger son index en moi. Je vis Ice sourire et me fixer longuement. Je sentis Jet faire aller et venir ses doigts en moi avec une rapidité désarmante, appuyant par moment sur des zones qui semblaient à des boutons déclencheurs d’orgasmes. Mes muscles se contractèrent aussitôt autour de ces derniers. Il les retira puis les replongea à nouveau avant de les faire aller et venir violemment en moi et cela tout en caressant mon clitoris. Je hurlai et mes jambes se mirent à trembler, puis je giclai à nouveau de plaisir.
Jet s’approcha de moi, guida ses doigts imprégnés de mon propre plaisir dans ma bouche et sans le quitter des yeux, je pris bonheur à les sucer. Ice saisit mon visage et plaqua voracement sa bouche sur la mienne avant de se glisser derrière moi. Sa queue douloureusement tendue glissa dans ma fente trempée et sans ménagement il me baisa. Jet était tout aussi impatient et quand Ice se retira, Jet ne mit pas longtemps à prendre sa place et se montra tout aussi brutal que son frère dans ses assauts.
Je sentis alors mon plaisir monter en flèche en moi et une douleur lancinante me descendit dans les reins. Ses mains dans mes cheveux qu’il empoigna brusquement, Jet pencha la tête en arrière et ferma les yeux. Le plaisir déformant son visage quand il se crispa avant de laisser un râle résonner dans la chambre. Il me baisa avec fougue et m’ordonna de tout avaler quand il se retira pour jouir dans ma bouche et je n’eus pas le choix que d’obéir et d’encaisser les derniers assauts de ce dernier.
Ice, lui me baisait à sa façon, glissa sa main sous mon ventre, entre mes cuisses, pinça mon bourgeon et je ne pus contenir plus longtemps le tsunami de plaisir. Je me mis à convulser autour sa queue. Enfoncé en moi jusqu’à la garde, il céda à son tour et jouit puissamment en moi laissant un râle de plaisir lui échapper. Lentement, il se retira et je vis son foutre s’écouler de mon intimité et tomber sur le sol. Je n’étais plus qu’une putain de loque. Ice me libéra et m’allongea sur le sol. Je ne sentais plus rien, mon corps ne répondait plus et mon cerveau était enfin sur pause. Dans un dernier effort, allongée sur le plancher, le souffle court et les yeux clos, je murmurai un merci avant de fermer les yeux.
Le lendemain matin, je sentis une bouche chaude se poser sur mon épaule. J’ouvris les yeux et croisai le regard vert de Jet. Ce dernier caressait mes cheveux et semblait en pleine forme. Dans mon dos, je sentis la présence d’Ice, ce dernier nicha son nez dans mon cou et grogna.
- On a une longue journée en perspective. Mais avant ça, j’ai une messe à tenir.
- Depuis quand Satan et ses potes organisent des messes ? demandai-je tout en m’étirant dans le lit.
Jet pouffa et attrapa mon visage entre ses doigts avant de me d’exiger que je l’embrasse. Je me hissai contre lui et comme si cela était déjà entre nous très naturel, je l’embrassai.
- Je vous laisse, je vais préparer le petit déjeuner, dit-il tout en quittant le lit. Mec, je t’ai ramené ce que tu m’as demandé.
- Merci, mon frère, répondit Ice avant de m’attirer à lui. Je veux savoir ce qu’il s’est passé cette nuit, dit-il en me serrant contre lui.
- Je ne peux pas en parler.
- Noa ! me menaça-t-il.
- Tu t’es réveillé en hurlant, tu prends des cachetons et ce n’est pas pour rien ! Je veux savoir à quoi m’attendre !
- Je suis déglinguée !
- Arrête ton char bordel de merde. J’obtiendrai mes réponses que tu le veuilles ou non, Poupée. A toi de voir, si je dois te torturer pour les obtenir.
- Me torturer ?
- Je ne suis pas un saint, poupée. Je déteste les secrets et les mystères.
- Tu n’as pas de secrets, toi ?
- Pleins, mais moi, je suis le chef, celui qui décide. Toi tu es à moi, tu dépends de moi et tes secrets pourraient me causer du tort à moi ou pire encore à mes frères. Tu veux finir comme l’autre ? me demanda-t-il.
- Non, répondis-je aussitôt.
- Alors tu me racontes pourquoi tu es déglinguée et pourquoi tu prends des cachetons.
- Je présume que tu sais que ma mère est une addicte des jeux ?
- En effet, grâce à elle, j’ai une nouvelle et sublime poupée.
- Ma mère a toujours joué, d’aussi loin que je m’en souvienne. J’avais dix ans, c’était la veille de noël. Un bookmaker a défoncé la porte de notre appartement miteux. On vivait dans le Nevada, à Las Vegas à cette époque-là. Il pointé un flingue sur ma tempe, ma mère lui a demandé un peu de temps, il lui a dit qu’il lui en donnerait s’il pouvait jouer avec moi. Ma mère a dit « oui ». Cet enfoiré m’a entraîné dans ma chambre, a fermé la porte derrière lui. Il a posé le pistolet sur mon bureau et ma poussé sur mon lit.
- Stop !! Poupée, putain dis-moi que cet enflure est mort.
- Il l’est, affirmai-je. Je l’ai tué, je lui ai planté une paire de ciseaux dans la gorge quand il s’est couché sur moi. Depuis, je cesse de le voir dans mes nuits, de voir son visage, de sentir son sang couler sur mon visage. Parfois, je le vois en morceaux, dans la baignoire après que ma mère l’aie découpé à la meuleuse. Parfois, je ne vois que les sacs poubelles, ceux que j’ai balancé par-dessus un pont en pleine nuit après avoir traversé plusieurs états pour fuir le Nevada.
- Putain de merde ! Poupée, tu étais une gamine, ta mère une salope et tu t’es défendue. Tu n’as pas à te sentir coupable d’avoir éliminé un enfoiré.
- Donc si par hasard, j’arrive à te tuer, ce n’est pas grave ? demandai-je.
- Poupée, coupa Ice. Si tu y arrives, une marée de Mambas en colère avide de vengeance seraient prêts à cracher leur venin pour te le faire payer.
- On peut ne plus en parler ?
- Ouais, pour le moment. J’ai un truc pour toi, enfin pour moi, plutôt. Tu sais que je veux te voler toutes tes premières fois, mais il y en a eu que je veux savourer et pour cela je dois t’y préparer, parce que même si je suis un connard, te faire du mal n’est pas mon but, pas gratuitement en tout cas.
- Ice, j’ai eu ma dos de sexe... je suis littéralement courbaturée, surtout après cette nuit.
- Je sais, mais je m’en tape et puis ce n’est pas ta chatte que je veux. Allonge-toi sur le ventre et écarte tes jolies fesses pour moi.
J’obtempérai et écartai mes fesses pour lui, puis j’écarquillai les yeux, terrorisé en sentant les doigts d’Ice s’aventurer vers mon anus. Il le caressa, le provoqua avant d’y étaler un gel frais et huileux. Son autre main se glissa entre mes cuisses et il vint caresser mon clitoris avant de pousser sur mes sphincters.
Les yeux clos, une larmes coulant sur mes joues, je le sentis envahir mon anus de son index. Il le fit aller et venir avant de le retirer, puis il en glissa un second et je mordis dans l’oreiller avant de gémir de douleur en le sentant peu à peu m’écarteler douloureusement. Ice retira ses doigts après m’avoir longuement torturé et s’éloigna.
La tête lourde, je la laissai tomber en avant et soufflai longuement, puis je le sentis à nouveau derrière moi avant de sursauter quand un truc froid caressa mon intimité. Il le fit glisser dans mon vagin avant de le ressortir, puis il le dirigea lentement vers ma rose. Sa bouche dans mon cou, son souffle chaud contre ma peau, il murmura :
- Si tu veux que ce soit plus facile pour toi, souffle et détends-toi, dit-il contre mon oreille.
Je sentis comme une boule en métal forcer sur mon orifice et mes sphincters s’ouvrir sous la pression. La boule entra en partie en moi et je me mis à trembler, puis Ice attendit quelques secondes avant de reprendre sa torture et de le pousser entièrement cette fois-ci. Je sentis alors mes muscles aspirer l’objet et se refermer autour d’une tige fine mais tout de même intrusive. Je le sentis, il était lourd et pesait contre les fines parois de mon intimité. Il m’étirait, mon corps avait du mal à accepter cette intrusion. Ice appuya comme sur une sorte de bouton et je sentis l’objet comme éclore en moi, s’ouvrant pour mieux s’ancré dans mon fondement étroit. Il le verrouilla à l’aide d’une clé qu’il entreprit de passer autour de son cou.
- C’est quoi ton truc ?
- Un plug anal qui s’ouvre en toi pour bien rester en place dans ton petit cul que je rêve de baiser et que tu ne pourras évidement retirer qu’en ma présence, et pour cela tu vas devoir me supplier.
- Tu n’es pas sérieux ? dis-je outrée et choquée.
- Crois-moi que si, Poupée, c’est pour m’avoir tenue tête quand je t’ai posé une question. Je dois y aller, tu peux rester au lit, je ne serais pas loin, dit-il à mon oreille. Larks va me donner un nouveau téléphone pour toi. Impossible à tracer, ni à mettre sur écoute. Cet après-midi, on ira faire un peu de shopping, je te dois des fringues et on passera à ton boulot.
- J’ai le choix ?
- Non, soit sage, Poupée et je serais cool, emmerde-moi et je serais con avec toi.
- Avant que tu t’en ailles, je peux te poser une question ?
- Ouais, tu peux la poser, mais cela ne veut pas dire que j’y répondrai.
- Je suis ton jouet, juste une fille que tu sautes, mais est-ce que je suis la seule ou bien est-ce que tu as d’autre jouet ?
- Je n’ai que toi pour le moment, pourquoi tu es jalouse ?
- Non, c’était comme ça, pour savoir.
- Noa, je ne suis pas un mec qui offre des fleurs et des chocolats, je ne suis pas un gentil ! Ne l’oublie pas.
- Je le sais bien, je me posai seulement la question. On devra également passer à la pharmacie pour aller chercher ma pilule à moins que tu veuilles d’un mioche, en tout cas moi, je n’en veux pas. Je trouve ces trucs encore plus flippant que toi.
- Ouais, je vais demander au Doc de passer te voir, on en discutera tous les deux et moi non plus, je ne veux pas de gosses. Je veux pouvoir te baiser sans restriction.
- Va voir ailleurs, je crois que tes chérubins aux poils de cul roussis attendent leur messie pour l’ordre du jour.
Ice secoua la tête et m’insulta de connasse tout en me promettant de me faire supplier pour qu’il me retire son jouet de l’enfer que mes muscles n’arrivèrent point à ignorer. Ce dernier se glissa sous la douche alors que je pris la décision de m’allonger et de prolonger ma nuit de sommeil. L’eau de la douche me servit de berceuse et rapidement, je sombrai, tout en faisant un rêve très érotique.
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